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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
i'm a motherfucking admin
AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ ÂGE : 36
✱ QUARTIER : sunset District.
✱ COLOCATAIRES : none.
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Dim 10 Aoû - 16:23



    Samedi soir, pour une fois j'étais dispo. Je ne travaillais pas au Ruby et je n'avais aucune mission ou une affaire à régler pour le gang. Bref, je pouvais sortir, m'amuser un peu, entre mecs en l'occurrence. Non pas que je n'avais pas envie de voir Lulla, mais j'avais surtout envie de me défoncer ce soir et de faire la fête, de couper avec le monde, du travail, de tout. C'est pourquoi, nous nous rendîmes dans un club de strip-tease pour une partie de la soirée. On avait envie de voir de jolies danseuses bouger sensuellement pour notre plus grand plaisir. J'étais de ceux qui adoraient et vénéraient la perfection du corps féminin. C'est une des raisons pour lesquelles j'étais du genre volage. Haha, mais ça c'était avant. Depuis quelques semaines, j'avais arrêté cette fâcheuse habitude de coucher avec n'importe quelle fille rencontrée en boite ou ailleurs. Je l'avais déjà fait auparavant pour Lulla, et pour Lektra il y a quelques mois. Et puis là, ça avait repris. J'avais décidé de n'en garder qu'une, celle pour qui j'avais des sentiments. Etrange venant de toi Keynes. Preuve que l'on est tous capable de changer, à condition de le vouloir et de faire en sorte d'y arriver. J'avais recommencé à fréquenter la blonde, mais nous n'avions rien officialisé. Je ne savais même pas pourquoi. Peut-être de peur de brusquer la jeune femme et éviter qu'elle fuit à nouveau. Maintenant qu'elle était là, que je l'avais pardonnée, que je l'aimais à nouveau pleinement, je n'avais plus envie de la laisser filer. Je voulais qu'elle soit mienne, et moi, seulement la sienne. Je pourrai rester fidèle. Je pourrai prendre soin d'elle. L'aimer véritablement. A condition qu'elle en fasse de même, qu'elle reste et ne m'abandonne pas, encore. Je repensais à tout ça lorsque assis, une nouvelle danseuse allait faire son entrée sur scène. Je m'installai confortablement sur mon fauteuil, bras sur les accoudoirs. La danseuse s'appelait "Desire", elle avait l'air joli  première vue. On ne le voyait que de loin, la lumière derrière elle faisait contrejour, on ne l'apercevait que très brièvement. Je levai doucement la tête, patient. Elle avançait tout doucement et on voyait de mieux en mieux sa silhouette. Elle avait de sublimes courbes. Celles que je préfère. Justement, Lulla avait les mêmes. Petite sourire en repensant à elle. La pauvre, si elle savait que j'étais là, elle m'aurait fait tout un scandale. Ca va, c'était innocent, je ne comptais pas finir avec une des danseuses ce soir. J'avais arrêté, j'avais dit, non ? Elle se rapprochait de plus en plus du devant de la scène pour se diriger vers le pole dance. Elle semblait parfaitement maîtriser l'objet, maîtriser son art. Ca me fascinait toujours ces filles capable de s'assouplir à ce point, d'être sensuelle simplement en s'enroulant autour d'une barre. Elles n'avaient qu'à remuer leur bassin pour nous rendre dingue. Elle était blonde, avec de beaux et longs cheveux. Elle me plaisait bien. Mais je devais faire abstraction de toute envie haha. Heureusement, rien ne montait en bas, pas d'alerte. Je la fixais du regard, captivé par sa prestation. Je me rapprochais un peu plus en me penchant vers l'avant pour essayer de voir son visage. Puis, elle s'avança, se mettant bien sous le feu des projecteurs pour que l'on puisse enfin découvrir son visage. Et là... Merde. Quoi ? Elle ressemblait à deux gouttes d'eau à Lullaby. Parce qu'elle était Lullaby. C'était son corps. Son visage. Ses cheveux. Ses mimiques. Putain de merde. Que foutait-elle là ? Cela me faisait rappeler lorsque j'avais découvert Juliet, ancienne amie d'enfance en Irlande en train de se dandiner de la sorte dans un clup de strip-tease. Encore, avec elle c'était un choc, mais là c'est bien plus que ça. Elle ne m'avait rien dit, elle me l'avait caché. Je fronçais les sourcils tout en continuant à la regarder bouger, serrant le poing très fort. En fait, la fille dont j'étais amoureux était une strip-teaseuse qui ne me l'avait jamais dit. WTF ?!

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Anonymous
Invité
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Mar 12 Aoû - 8:37

Tu  finis ta cigarette alors que tu entends ton nom de scène résonner dans la salle, puis on s'écrit après toi dans les loges pour éviter que tu ne retardes tout le show. Montée sur tes talons et habillé uniquement de lingerie, tu te presses par la suite pour rejoindre la scène. Tu attends quelques minutes que la musique commence pendant que quelqu'un coiffe une dernière fois tes cheveux, puis ce sera ton moment de gloire. Le seul de la soirée. Tu ne t'étais jamais imaginé finir strip-teaseuse, c'était une orientation de vie professionnel qui ne te plaisait pas plus que ça. Mais au fil des week-ends passés ici, tu avais finit par t'y plaire. Tu trouvais ta place, bien que tu savais qu'il n'y aurait eu aucun soucis à ce sujet là. Tu t'entends plutôt bien avec tes collègues et encore plus avec ton équipe de travail. Tu sais également que, si tu viendrais à changer de boulot demain pour une quelconque raison, tu aurais du mal à trouver à nouveau chaussure à ton pied. Tu entres sur scène et ton esprit se vide complètement. Tu évites de penser à ce qu'il se passe à l'extérieur et également dans le public. Tu évites par dessus tout à penser à Caleb et à ce qu'il penserait de toi, ici, te déhanchant de façon sensuel devant d'autres hommes. Ton centre d'attention se pose sur toi, et ton numéro qui se doit d'être effectué à la perfection. Tu te déhanches alors au sons de la musique, te dirigeant lentement mais sûrement en direction du pôle dance. La première phase du numéro est d'attirer la curiosité du public en cachant ton visage, ne distinguant que ton corps et ta façon de bouger. La salle était spécialement remplis ce soir, c'était samedi, et le samedi il y a toujours autant de monde. Tu sais que même après ton numéro finis, tu devras rester pour exécuter des prestations privés dans les pièces prévus à cet effet. Tu rejoins la barre que tu commences à posséder, tournant autour de celle-ci, y exécutant alors touts ce qu'on t'as appris. Les premières semaines, tu avais été une vrai quiche avec l'objet. N'étant même pas capable de descendre la barre convenablement. Tu t'étais entraîné, longuement entraîné et avec un peu de temps tu avais finis par maîtrisé la chose autant que les autres filles. Au bout de quelques minutes, tu finis par quitter ta barre pour rejoindre le public. Tu te glisses entre les sièges, passant tes mains sur les épaules des hommes présents. Certains font des petites remarques en riant et tu ris avec eux. Et même si tu ne les trouves pas marrant, tu te forces, tu te dois de les charmer de la meilleure façon possible pour récolter le plus de fric possible. Et t'étais plutôt douée pour ça. Tu trouves ta cible au bout de quelques minutes, deux, pas plus. Un homme isolé dans l'obscurité, à la carrure plutôt carré. Fringué comme un PDG d'entreprise et tu sens bien le truc. Tu te places entre ses jambes, te déhanchant toujours aussi sensuellement, uniquement pour son plaisir des yeux cette fois-ci. Tu agis comme si il n'y avait que toi et lui, dans cette salle pourtant comble. Et c'est ce qu'il doit ressentir. Ton piège doit se refermer sur lui. T'es prête à parier qu'après ça, il désirera te revoir, seul à seule. Et puis, si ce n'est pas lui, quelqu'un d'autre. Tu te déhanches de la meilleure façon possible pour convaincre tout les hommes présent alors que tu sais que ton numéro est bientôt finit.
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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
i'm a motherfucking admin
AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ ÂGE : 36
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Mar 12 Aoû - 17:23



    Les hommes tout autour de mes amis et moi étaient fascinés par la demoiselle qui était maintenant parmi nous, le public. Elle avait décidé d'aller voir un type à l'opposé de là où je me trouvais. Je ressentais une telle rage en moi en la voyant s'exhiber devant un autre homme que je tentais de me contenir au maximum, en agrippant à mon siège. Putain, mais c'était que j'étais jaloux et possessif également. C'était rare que ça m'arrive, mais ça me l'avait fait avec Lektra, à cause de Dante notamment. Puis, ça me l'avait toujours fait pour Lulla. Lorsqu'elle était avec d'autres mecs, ça bouillonnait en moi, même si durant un temps, ça ne m'atteignait pas vraiment. Or, depuis quelques mois, je refusais de la voir avec d'autres que moi, ça m'énervait, ça me rendait fou. Surtout lorsqu'elle était quasi à poil devant eux. Mais merde, qu'est-ce qu'elle foutait là assise sur ses genoux ? Mec, c'est la mienne, n'ose même pas la toucher, pensais-je, furieux. Ok nous n'étions pas officiellement ensemble Lulla et moi, néanmoins, elle savait qu'elle était désormais à moi, comme moi j'étais totalement à elle. Et je pensais qu'elle le savait. Et qu'il n'y avait pas à le préciser. C'est plutôt que je ne m'attendais pas à ce qu'elle ait ce genre de profession. Merde quoi. J'observais les autres hommes dans la salle, leur attention était toute rivée sur la blonde. Ils souriaient, riaient, bandaient aussi très probablement. Cette idée me rendait encore plus furieux. Je la laissais danser, toujours calmement. Certains de mes potes avaient finalement remarqué la vraie identité de "Desire". Ils me touchèrent quelques mots à ce sujet, mais je ne disais rien, aucun son ne sortait de ma bouche. Puis, ils appelèrent la demoiselle, pour venir vers nous, vers moi, histoire de provoquer la rencontre. Elle tourna le regard vers nous. Je cachais mon visage, fallait qu'elle me découvre au dernier moment, sinon elle ne viendrait sûrement pas. Cependant, le type sur lequel elle était, posa ses mains sur ses fesses en ajoutant « Attendez un peu oui, elle est d'abord à moi la blondasse ! » Et il continuait à jouer avec elle, lui mettant des billets de 100$ à l'intérieur de son soutien-gorge, effleurant de ce fait légèrement sa poitrine. Et là, ça en était trop. Ni une, ni deux, je me levai, remonté, me dirigeant vers ce type pour lui en foutre une au visage. Lulla s'était levée juste avant, elle devait m'avoir remarqué. Les autres hommes se levèrent, certains s'approchaient de moi pour m'empêcher d'agir à nouveau, mais je me contentais simplement de lui sortir quelques mots « Connard, ne t'avise plus jamais de reposer un seul doigt sur ma copine, sinon je te défonce ! Compris ?! » Je m'emportais, mais je m'enfoutais. Les gars de la sécu débarquèrent. Lulla semblait choquée et le type par terre mal au point. Ca se voyait que c'était un putain de PDG pleins aux as qui ne savait même pas se défendre, qui ne s'était jamais battu. Je jetai un oeil vers Lulla et lui sortit, sèchement « A moins que ça te plaise à toi ? » J'étais en colère, furieux et plein d'adrénaline. Une fois que le premier coup était donné, la machine était lancée. J'avais envie de régler cette histoire, là, maintenant, tout de suite. Ma copine strip-teaseuse ? Hors de question. Je n'en veux pas. C'est ma copine, pas celle des autres en manque de sexe, pervers ou autre mecs chelous.

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Anonymous
Invité
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Mar 12 Aoû - 18:06

Tu te lèves suite au demande d'un petit groupe de jeune à l'opposé de la salle, mais ton départ n'a pas l'air de plaire à l'homme que tu charmais quelques secondes auparavant. Il agrippe ton fessier, te tirant à nouveau contre lui avant de te positionner sur ses jambes. « Attendez un peu oui, elle est d'abord à moi la blondasse ! », t'es prête à riposter qu'il faut savoir faire partager mais il glisse un billet de 100 $ dans ton soutien gorge. Tu ne dis rien, te contentant de sourire, satisfaite alors que tu t'apprêtes à reprendre ton déhanché. Tu fais directement attention à ce qui se déroule devant toi, tu vois juste un homme se diriger vers vous. Tu penses que c'est un client qui s'en va, visiblement insatisfait. Mais tu reconnais rapidement le visage de la personne, Caleb. T'arrêtes tout mouvement, ne pensant vraiment pas le retrouver ici. Tu t'apprêtes donc à dire quelque chose, mais tu te rends vite compte que tu as tout intérêt à te reculer, ce que tu fais sans plus attendre. Il lui met une gifle, tu restes complètement abasourdi par le retournement de situation. Tu te serais jamais douté que la soirée ce serait terminé de cette façon, ouais pour le coup, aucun moyen que l'ambiance reprenne. « Connard, ne t'avise plus jamais de reposer un seul doigt sur ma copine, sinon je te défonce ! Compris ?! », tu te places entre lui et le mec, t'es pas sûr de ce qu'il peut faire. Lui en coller une autre, certainement. Le mec a déjà l'air assez sonné comme ça, t'as pas envie qu'il finisse à l'hôpital. « Ça va, calme toi. Tu te donnes en spectacle là ! », que tu dis alors que t'agrippes tes mains à son bras. T'as pourtant envie de lui en foutre plein la gueule, il aurait pu se contrôler, pas faire ça ici. Sur ton lieu de travail. Il vient de tout foutre en l'air, t'es pratiquement sûr que tu vas le perdre, ton boulot. Les règles avaient été clair, pas de copain jaloux dans le club. Et fallait que Caleb se ramène. « A moins que ça te plaise à toi ? », il avait lâché ça sèchement, comme si il cherchait à tout prit à te faire hurler en public. Pourtant tu dis rien de plus. Tu lui lances un regard glaciale avant de lui faire signe de te suivre. Tu entres dans les loges avec Caleb qui te suit, « Sortez. Tout de suite ! », que t'ordonne aux deux filles présentes. Elles se font pas prier, bien que tu reconnaissais une expression d'incompréhension sur leur visage. Tu fermes la porte à verrou derrière elle alors que tu retires tes talons, les jetant dans un coin de la pièce avant de lui faire face. « Non mais je peux savoir ce qui te prend ? T'es complètement taré, t'as tout fichu en l'air Caleb. Tout. », t'essayes de te calmer, respirant lentement. Tu fais les cents pas dans la pièce en cherchant ta robe, une fois en mains, tu l'enfiles avant de prendre place sur l'une des chaises présentes, les bras croisés. « Je peux savoir ce que tu fiches ici d'ailleurs ? Toi aussi t'es en manque au point de venir voir des strips ? », il allait pas s'en sortir comme ça. T'étais peut-être strip, mais il n'avait rien à faire ici selon toute logique.
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Caleb A. Keynes
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Mar 12 Aoû - 19:43



    Tout s'était déroulé très vite, j'avais vu Lulla assise sur un mec, je l'ai frappé, elle m'a arrêté. Elle m'indiqua de la suivre pour se retrouver dans une pièce, seuls, après avoir viré deux autres danseuses visiblement interloquées. Une fois entré dans la pièce, je croisais les bras, debout au milieu de la pièce la regardant s'habiller à nouveau. Elle aussi était énervée, énervée que j'ai foutu tout en l'air. Sérieusement ? Parce que c'était ma faute maintenant ? J'eus un petit rire moqueur et lui répondis en fronçant les sourcils et remuant la tête de droit à gauche. « Attends, ne cherche pas à inverser la tendance là. » Puis elle enchaîna, me demandant ce que je foutais ici. « Tiens, c'est marrant, je me posais la même question à ton sujet. T'as pas d'autres tafs dans tout SF que tu décides de venir danser en petite tenue devant des hommes en manques ? » Je n'avais même pas relevé son allusion au fait que moi-même je sois en manque. Ce n'était pas la raison pour quoi j'étais ici. Si j'étais là, c'était simplement parce que je sortais avec mes potes, seul, je n'y serai pas venu. D'autant plus que je les regardais simplement, je n'étais pas allé voir des prostitués. Mais le problème ne se situait pas seulement là. Elle m'avait caché son métier. Elle ne m'avait jamais révélé qu'elle était danseuse dans une boîte de strip. Et c'était ça aussi que j'avais du mal à avaler. « Et explique-moi aussi pourquoi tu m'as caché ça. Pourquoi tu ne m'as rien dit sur ton boulot de strip-teaseuse ? Je pensais quand même que nous étions bien plus que des inconnus qui s'étaient connus autrefois. Dis-moi qu'on a dépassé ce stade quand même. » Je faisais référence à la période où l'on se parlait à peine, où je faisais comme si de rien n'était, que rien ne s'était produit entre Lulla et moi. Je m'assis sur une chaise qui était juste derrière moi, posant mes coudes sur mes jambes tout en fixant la demoiselle. « Je suis déçu que tu fasses ce taf de merde Lulla. Ca ne te correspond pas. Pas maintenant que je suis là. » Là, c'était le petit-copain jaloux qui parlait, mais évidemment, je faisais comme s'il ne s'agissait pas de ça. J'attendais patiemment qu'elle me réponde, tentant de me calmer tout doucement. Sale soirée à venir, je le sentais.

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Anonymous
Invité
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Dim 24 Aoû - 22:32

Tu restes là, assise sur ta chaise, les bras croisés. T'es énervé contre Caleb, sa façon d'avoir bousculé la situation te déplaît plus que n'importe quoi. Tu sais pourtant que dans d'autres conditions, tu aurais été fière de lui. De le voir "marquer son territoire" de cette façon. Mais pas ce soir, pas sur ton lieu de travail. Tu déconnes pas avec le boulot, on en trouve pas à tout les coins de rues de nos jours. « Je bosse Keynes, t'as toujours pas compris ? Je suis pas là pour m'amuser, j'ai un show à assurer. Que ça te plaise ou non. », il enchaine, directement. T'as l'impression de pas pouvoir en placer une tranquillement, il aura toujours un truc à te reprocher. Tu lui dois pas de compte de toute façon, quand t'as commencé ce boulot, t'étais toujours en froid avec lui. Et tu te voyais mal lui dire d'entrer, quand il est revenu, que tu étais strip. Tu savais très bien qu'il allait vouloir que tu arrêtes ça, t'es pas conne. Tu soupires, lassée de la situation. T'as envie de prendre tes affaires, rentrer chez toi et ne plus jamais revenir ici. T'as tellement honte de ce qui vient de ce passer. C'est le genre de scénario que tu n'aurais jamais imaginée, du moins pas avec toi. « On a pas de compte à ce rendre au dernière nouvelle, non ? On est n'y marié, ni en couple. Alors me saoule pas avec ça. », bon, t'as l'impression d'y être allé un peu fort, sur ce coup. Tu regrettes déjà tes mots alors que tu viens seulement de finir ta phrase. « Le prend pas mal, surtout. Mais tu débarques, et sous prétexte que tu es là, je dois tout changer ? », t'ose même pas le regarder, tu joues avec tes doigts alors que tu réfléchis, calmement à la situation. Tu sais bien que, dans un sens, t'as tes tords. Mais t'es trop buté pour assumer quoi que ce soit. « De toute façon, avec ce que tu viens de faire, demain je suis à la porte. », que tu dis en râlant. Tu lui refais face, croisant à nouveau tes bras contre ta poitrine.
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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
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i'm a motherfucking admin
Mer 3 Sep - 19:43



    Il fallait que l'on se calme tous les deux. Or, j'étais encore bien trop remonté contre Lulla pour le faire. Je ne m'étais vraiment pas attendu à la retrouver là en train de se déhancher devant des mecs en chien. Ca me mettait hors de moi qu'elle soit ainsi à la vue de tous, à la portée de tous. Je voulais qu'elle soit mienne. Qu'elle ne soit qu'à moi. Qu'elle m'appartienne pleinement. Bien sûr, fallait pas me prendre pour le jaloux possessif extrémiste non, c'était plutôt parce que j'étais vraiment amoureux d'elle en fait. Et l'imaginer avec d'autre types me rendait furieux. Ok, pour elle, ce n'est qu'un job, une distraction, quelque chose qui lui plait. Mais moi ça me saoulait, j'étais pas d'accord. Et si elle voulait quelque chose entre elle et moi, fallait faire un choix, prendre mon avis en compte. Justement, elle m'avait sorti que nous n'avions pas de compte à rendre l'un à l'autre, qu'on n'était même pas officiellement ensemble. D'un sens, elle n'avait pas tort. C'était peut-être aussi un peu de ma faute finalement. Je n'avais toujours pas manifesté mon envie de me poser véritablement avec elle, bien que je le voulais. C'était juste que je préférais prendre mon temps, être sûr de ne pas commettre une bêtise. Retourner avec son ex, à la base, ce n'est jamais bon. Toutefois, il fallait bien se lancer pour le savoir, non ? Il était peut-être don temps d'officialiser tout ça après tout. Elle ne voulait pas que je prenne mal sa remarque, mais c'était le cas. J'avais l'impression que le seul fait de l'aimer ne la suffisait pas pour me prendre en compte dans sa vie, de faire ses choix en considérant mes opinions. Je trouvais ça dommage. Puis elle dit que finalement, à cause de mon intervention, elle perdrait son job. Pas sûr, je pourrais très bien passer pour un fou et être banni du club s'il le fallait, si c'était vraiment ce qu'elle voulait faire, être strip. Mais sans moi, dans ce cas. Je paraissais dur pour le coup, or, elle aurait pensé et agi de la même façon si elle découvrait que je m'exhibais devant d'autres femmes, donc bon. « Ecoute, c'est simple. Tu fais comme tu veux, tu es assez grande pour ça. Je vais te laisser choisir. Si tu veux absolument ce job de merde, ok, je te le laisse, t'auras qu'à dire que tu me connais pas, que je suis un fou bourré qui cherchait la merde tout simplement, bref, on s'arrangera et tu garderas ta barre de pole dance. Mais ça sera sans moi. Je suis pas d'accord avec ça et je vais pas m'obliger à supporter le fait que tu danses devant d'autres mecs alors que tu es à moi, que tu es celle que j'aime. Je suis peut-être un connard pas très expressif, démonstratif, explicite ou tout ce que tu veux, je n'ai peut-être pas suffisamment marqué mon territoire à tes yeux, mais merde Lulla, je t'aime, tu ne le comprends pas ? Tu aurais du prendre mon avis en compte quand même, j'aurais du compter à tes yeux, tu aurais du savoir que ça me déplairait. » J'avais légèrement haussé la voix, non pas pour lui crier dessus ou la sermonner mais parce que j'étais encore en colère et je venais de m'ouvrir à elle, en plus. Je venais de lui révéler enfin que je l'aimais. Elle l'avait enfin entendu, depuis tout ce temps. Je faisais taire mes sentiments d'habitude mais là, c'était sorti tout seul, et il fallait que ça sorte, c'était le bon moment. Puis je gardais finalement le silence. J'attendais quelques secondes avant de reprendre, d'une voix plus calme, debout, la fixant du regard. « Je veux pas te contraindre à arrêter quelque chose que tu veux faire. Donc si tu veux ça, je te laisse le faire, je te libère, te laisse t'en aller. Tu ne veux peut-être pas de moi autant que je te veux. » Je faisais également référence au fait que d'autres mecs tournaient autour d'elle comme Shyaka, ce type m'énervait. Il cherchait clairement la merde. Lulla le remballer mais tout de même, j'avais comme cette sensation qu'il lui plaisait dans le fond. Et ça me faisait mal. Ca me faisait surtout mal de la laisser s'échapper comme ça, à nouveau. « J'ai pas envie de te laisser partir, pas une nouvelle fois. Je ne me suis pas battu la première fois, et là, je sais même pas si ça va servir à quelque chose. Tu préfères peut-être ta vie de célibataire, quand tout le monde te désire et que tu désires tout le monde. Parce que ouais Lulla, et toi, tu m'aimes ? Je ne le sais toujours pas. Tu ne me l'as plus redit. » A son tour de s'ouvrir, je la provoquais parce qu'il était temps de jouer cartes sur table. D'être honnête. « Tu me veux Lulla ? Moi et rien que moi ? » Je m'étais rapproché d'elle, la regardant d'en haut, puisqu'elle était assise sur une chaise. J'avais envie qu'elle dise oui, qu'elle renonce à ce travail, qu'on soit juste bien ensemble tous les deux, qu'on arrête enfin de se compliquer la vie pour rien.

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Anonymous
Invité
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Mer 17 Sep - 23:29

Tu restes scotché à ta chaise. Tu l'écoutes parler, encore et encore, sans le couper une seule fois. Sans même ajouter un petit mot entre deux phrases. Tu l'as jamais connu comme ça, si bavard sentimentalement parlant, et tu l'es pas non plus. ça t'a jamais dérangé, au contraire. Et puis merde, il vient de te dire qu'il t'aimait. Mots pour mots. Et toi, y a rien qui sort. T'es trop choqué, tu t'attendais pas à ce genre de révélation. Pas ce soir, pas maintenant, pas aussitôt. Pourtant, t'as l'impression que c'est ce qui manquer à votre relation, être sincère l'un envers l'autre. Mais t'avais rapidement chassée cette idée de ta tête, la concrétisation d'un amour, ça t'a toujours fait flipper. Tu les connais les hommes, t'as beau aimé Caleb plus que tu ne pourras jamais aimé qui que ce soit. Tu sais de quoi ils sont capable. T'as trop peur de souffrir, encore une fois. T'inspires longuement quand tu te rends compte qu'il a finit son discours. Est-ce que tu l'aimes toi aussi ? Bien sûr que oui. Est-ce que tu te sens capable de le lui dire face à face, encore une fois ? Tu n'en sais trop rien. Tu sais bien que l'issu n'est pas pareille, que cette fois ci, tout devrait ce dérouler convenablement. Du moins, tu l'espères. Il ne sera pas indifférent à tes révélations, puisqu'il vient lui même de te dire ce qu'il ressentait vraiment. « Je vais les prévenir que je bosserais plus ici. », tu prends tes jambes à ton cou sans rien dire de plus et tu sors des loges pour rejoindre la directrice du club, ou bien l'une des filles, tu sais pas. Tu vas chercher. Mais tu trouves personne, enfin, t'as pas bien cherchée longtemps. T'en profites pour prendre l'air, savoir ce que tu dois lui répondre. ça s'embrouille dans ta tête et t'as l'impression de ne plus savoir faire des phrases avec un sens. T'arrives toujours pas à te rendre compte qu'il vient de te dire qu'il t'aimait. Tu finis par ne rien dire, t'as déjà trop attendu dans les couloirs et à cette allure, il va finir par penser que tu t'es casé. Cette pensée t'arraches un sourire alors que tu regagnes les loges, retrouvant Caleb. « J'ai trouvé personne, j'appellerais demain. », puis comme si t'avais le sentiment de devoir appuyer tes mots, t'ajoutes un « Promis. ». Tu ramasses tes affaires et tu vas te positionner face à lui, « Au fait, moi aussi. ». Là, tu fais référence à sa question de tout à l'heure. Est-ce que tu l'aimes, toi aussi. La réponse te paraît pourtant évidente, tu serais pas encore ici, avec lui. Tu te serais pas non plus gêner pour qu'il se passe quoi que ce soit avec des autres gars, ouvertement. Mais t'as l'impression qu'il a besoin que tu le lui dises, de vive voix. « Je t'aime aussi. », tu précises, au cas ou il n'aurait pas compris. Puis naturellement, tu soupires avant d'ajouter, « Bon, on se casse d'ici ? ». Ouais parce que maintenant, tu te sens vraiment plus à laisse dans ces lieux.
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Caleb A. Keynes
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Jeu 18 Sep - 19:58



    C'était encore difficile de réaliser ce qui venait de se passer. Je venais d'avouer mes sentiments à Lullaby. Pour la première fois, je venais enfin de lui dire que je l'aimais. Même lorsqu'elle me l'avait avoué il y a environ un an, je n'avais rien dit, moi. J'étais resté muet, incapable de lui affirmer que c'était réciproque. Cependant, je lui avais fait comprendre cette réciprocité à travers un baiser. Enfin, c'était le but. J'espérais qu'elle l'avait saisi, et c'était sans doute le cas. Or, jamais je n'avais prononcé les mots si précieux, si importants qui méritaient d'être dits, elle méritait de les entendre. Lullaby avait été la première femme dont j'étais tombé amoureux. Et la seule qui était toujours resté dans ma tête, bien que j'eus plusieurs conquêtes après elle, bien que j'eus également des sentiments pour Lektra. Elle était l'exception. Et je sentais qu'elle le serait toujours. C'était soit elle, soit personne. Si j'avais quitté Lektra, c'était parce que j'avais senti que ça ne pouvait être une autre. C'était Lullaby. Je ne pensais pas pouvoir être capable de pouvoir ressentir ça, mais je comprenais enfin ces gens qui disaient qu'ils avaient trouvé leur âme-soeur. C'était ce qu'était Lulla. Enfin, y avait intérêt à ce que ce soit le cas. J'avais pas envie que ces croyances qui me paraissaient débiles avant finissent par s'avérer être de véritables conneries. M'enfin. Elle paraissait déstabilisée après ce que je lui avais confié. Normal. Elle n'était pas habituée à entendre ce genre de confession de ma part. Elle se leva alors après quelques secondes de silence pour aller prévenir quelqu'un qu'elle décidait de démissionner. J'étais content de sa décision. C'était bien pour elle, pour moi, pour nous. J'étais aussi surtout ravi qu'elle ait accepté sans s'y opposer. C'était preuve qu'elle tenait à notre relation. Elle s'absenta pendant quelques minutes. J'avais peur qu'elle se prenne la tête avec quelqu'un, un dirigeant de la boîte en colère à cause de mon intervention, ou sa démission, ou avec un client qui avait envie de se finir sur elle. Je commençais à m'inquiéter, pensant même qu'elle avait foutu les voiles lorsqu'elle débarqua soudainement à nouveau dans la pièce. Elle m'avertit qu'elle n'avait trouvé personne. Etrange, elle avait traîné longtemps dehors pourtant. Mais je ne relevais pas. Elle précisa qu'elle appellerait demain, sans faute. Je lui fis un petit sourire qui signifiait "ouais, ok". Elle s'approcha ensuite de moi et me confia à son tour qu'elle m'aimait aussi. Elle venait enfin de répondre à ma question qui était restée en suspend tout le long. Je souris, c'était un grand sourire cette fois-ci. Elle enchaina immédiatement en demandant si on pouvait partir d'ici. Mais j'étais encore bien trop préoccupé par l'aveu qu'elle venait de me faire. Je pensais bien qu'elle m'aimait, vu comme elle s'était accroché à notre histoire depuis plus d'un an. J'étais encore admiratif face à sa ténacité, elle n'avait pas abandonné, elle n'avait pas cessé de m'aimer malgré tous mes rejets. C'était là que je me disais que j'étais chanceux. Chanceux d'avoir une fille qui m'aime autant. Je ne pensais pas que cela pouvait me toucher. J'étais du genre à enchaîner les filles, sans trop m'y attacher. Mais Lulla bouleversa cette routine. Elle vint apporter un tout autre tournant à ma vie. Une nouvelle direction qui ne me déplaisait pas. « Attends, tu viens de me dire que toi Lullaby Yvashowski est amoureuse de moi, Caleb Keynes ? Je pourrais alors profiter de ce moment pour te demander en mariage aussi. » Je ris et mis mes mais autour de sa taille pour l'attirer vers moi, tout en plongeant mon regard dans le sien. J'étais vraiment comblé en cet instant. L'amour avait finalement un effet bénéfique sur moi, ce qui devrait en étonner plus d'un ! « Donc ça y est, t'es officiellement à moi ? Personne d'autre ne peut désormais te toucher ? Haha » Je plaisantais légèrement, j'exagérais mes propos. Je déposai un baiser sur son front. « Ouais, sortons de là. Tu passes la nuit chez moi ? » Evidemment, je n'allais pas la laisser aller chez elle et moi je n'allais pas tout simplement rentrer chez moi. Je n'avais aucune envie de la quitter. J'étais dans une telle humeur que je n'avais plus jamais envie de la quitter. Ah, l'amour... Ca change un homme.

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