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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 19:58

Le soleil est bien trop fort ce matin. J'ai envie que quelqu'un l'éteigne parce que j'ai mal au crâne. Une sorte de marteau piqueur est bien trop présent pour que j'sois serein, la tout de suite. Putain de gueule de bois. Qu'est ce que j'ai encore foutu hier soir. J'sais juste qu'il y avait une soirée, le genre "soirée gay du siècle" peuplé de beaux mâles à plus trop savoir où regarder. Le genre de truc qui me fallait. J'sais que j'ai encore du trop consommer hier soir. On est jeune, et con. C'est une des premières fois où je me réveille dans cet apart. J'ai quitté la luxueuse villa de mon père pour prendre mon indépendance. J'en avais un peu marre que sa pouf se ballade à poil à longueur de journée. Avec Arnora, une pote d'ici, on a décidé de démarrer une colloc. J'sais pas trop ce que ça peu donner, mais j'suis pas envahissant, et elle a l'air de respecter les espaces vitaux de chacun.

J'bouge un peu, parce que j'en ai marre du soleil qui tape sur mes yeux, comme pour me dire que la journée a déjà bien commencé et qu'il faut que j'lève mon gros cul de larve pour faire quelque chose de ma vie. Mais pas ce matin, j'ai pas envie. On dirait que j'suis accompagné. Alors que je me déplace, je me retrouve collé à un jeune homme. J'n'ai donc pas fini la soirée seul, et au vue de sa tenue et de la mienne, on a du pas mal s'amuser. Sans ouvrir les yeux, un sourire se place sur mes lèvres. Ça doit bien faire quatre mois que j'ai pas touché à un homme, pas depuis Hell en tout cas. J'ai enfin décidé d'avancer. Décidé de refaire ma vie sans cet abrutis. Après tout ce qu'il a dit, j'trouve ça un peu normal. J'vais pas le blâmer, on lui a toujours apprit à être un idiot, il a juste suivit les règles. Je passe mes mains sur ce corps. Il est franchement bien taillé de ce que je peux sentir. J'ai toujours eu bon gout en matière de mec de toute façon, me blottissant contre lui, je garde les yeux fermés, espérant gagner encore quelques minutes de sommeil.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 20:31

    C'est un bien étrange matin. Ton esprit se fane dans un brouillard confus alors que tu essayes de remonter en surface. Une brise légère caresse ton dos nu alors que ton corps rencontre celui de ton partenaire d'une nuit. Cette nuit ? Un vague souvenir perdu dans une masse de maux. C'est tellement dur d'affronter la lumière du jour que tu te réfugie plus profondément dans ton oreiller. Tu n'es pas chez toi,t u vas bientôt devoir te barrer avant d'affronter le petit déjeuner gênant. Échanger des banalités après la baise, c'est pas ton genre. En fait, même sans la baise, c'est pas ton truc. Parler pour parler, des paroles pour des paroles n'est qu'un gâchis immense de temps. Et comme tu es parisien, tu n'as jamais le temps. Pas le temps pour les autres... Enfin sauf Tim. Ce prénom te tire une myriade de souffrance, non pas dans ta tête, mais dans ton coeur. Tu le repousses bien loin, accueillant l'inconnu dans tes bras. Comment oublier son ex ? Avec les bras d'un autre. Tu cherches ses lèvres à coups de légères morsures le long de sa peau disponible et une fois atteintes, tu lui offres un léger baiser. Bien étrange matin. Tu embrasses ton amant d'une nuit ? Comme ça ? Alors que vous avez déjà baiser et que tu te souviens même pas de son prénom ? Tu entrouvres les yeux, près à voir qui est cette horrible personne qui te fait changer d'habitude. Un cri de stupeur te fait reculer d'un bond. Putain tu fou quoi là toi ! Les battements erratiques de ton coeur, les frissons sur ta peau... Ce sentiment de joie et de sérénité. Quel con que tu es, comment n'as-tu pas senti que c'était lui ? Comment ca se fait qu'il est dans ton lit ? Enfin comment cela se fait que tu es dans son lit. Ton crâne vibre de douleurs alors que tu essayes de sortir de lui rapidement.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 20:41

J'suis pas du genre à offrir le petite déjeuner à mes coups d'une nuit. Je préfère quand ils partent vite, sans qu'on s'échange nos numéros ou quoi que ce soit. Pour une nuit, pas plus. Je suis pas vraiment un gars qui aime être en couple, à part quand j'étais avec Hell, mais c'est autre chose. J'ai tendance trop vite à me sentir oppresser, mais peu être que c'est ça, que je veux être oppresser, que j'ai besoin qu'on soit sur mon dos, pour me faire avancer. Mon plan de cette nuit à décidé de gouter mes lèvres, avant de repartir. J'suis pas contre une petite fois pour bien commencer la journée, surtout qu'on dit que c'est génial pour le mal de crâne. Alors que nos bouches s'enlace dans un matinal baiser qui a le gout de déjà vu, mes mains commencent à parcourir son corps bien trop sculpté pour qu'il soit vrai. Dans une voix familière, le jeune plan cul de la nuit se met alors à hurler. "Mmmmh, t'es violent le matin." J'ouvre alors les yeux et comprends en effet que je connais bien cette voix. Eliott. Hell. Mon ex petit ami. Le même qui m'a mis à terre quelque jour auparavant. Je soupire alors que je m'éloigne de lui, en passant mes mains sur mes yeux. Putain de réveil. J'aurai du moins prendre des trucs hier. "Hell ... ? J'te retourne la question là, on est dans mon lit." Je me lève rapidement histoire d'attraper un jean , un caleçon, j'sais pas, un truc pour cacher cette nudité et cette envie de lui qui apparait sur mon corps nu. Un jean. Génial. J'sais même pas à qui il est, mais à vrai dire, j'm'en fou. Je me rassoie sur le bord du lit, le fusillant du regard.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 21:01

    "Mmmmh, t'es violent le matin." Ses mains sur mon corps sont trop agréable pour l'être réellement. Toute cette douceur n'est qu'une cruelle blague. Un rappel constant que vous deux, vous ne serez jamais plus ça. Tout ceci n'est qu'un illusion, une blague, un rêve. Tu vas te réveiller, seul, dans ton lit, bien loin de lui. Ce baiser à laisser sur tes lèvres une envie bien plus grandissante et ta peau maintenant éloigné de la sienne ne cherche plus que sa chaleur. D'ailleurs, c'est toi qui est maintenant à la recherche de ton jean ou de n'importe quoi à te mettre. Tu enfiles ton boxer rapidement "Hell ... ? J'te retourne la question là, on est dans mon lit."Tu jures car ton jean est hors de vue jusqu'à ce que... Putain, il fallait qu'il soit du côté de Tim et que ce soit lui qui l'enfile en premier. Tu te retrouves en boxer devant ses yeux et s'il croit qu'il a échapper aux tiens il se trompe. Son envie plus qu’évidente est difficilement invisible. Tu soupires et passe une main dans tes cheveux. Quelle matinée de merde qui s'annonce. Pourquoi avoir autant abuser hier soir ? Pourquoi avant autant consommer ? Tu te souviens être entrer, avoir bu une vodka et ensuite... Le trou noir plus rien. Tu t'étires dans un soupire. Je sais pas. Je me souviens plus. Et non, je ne suis pas violent le matin à l'ordinaire. . Tu trouves ta chemise dans coin et tu l'enfiles rapidement. T'inquiètes pas, je pars immédiatement. Juste rends moi mon jean ? Tu souris légèrement. Tu ne veux pas te battre ce matin, juste partir l plus loin possible avec une aspirine et te maudire mille fois.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 21:11

Je soupire, à nouveau. Il faudrait qu'un jour je songe à arrêter les conneries, ça éviterait que j'tombe sur des surprises pareilles le matin au réveil. Je m'allonge à nouveau et d'une main, essaie d'attraper un paquet de cigarettes qui traine sur ma table de nuit pour en attraper une et l'allumer. Je ferme les yeux. J'dois forcément rêver. Ou halluciner. Ou j'dois être encore bien trop défoncé et prendre un jeune homme inconnu pour l'ex qui hante mes pensées depuis bien trop longtemps. T'inquiètes pas, je pars immédiatement. Juste rends moi mon jean ? Je reste silencieux, tirant nerveusement sur ma cigarette. Je me lève, peu être un peu pour le provoquer, peu être un peu pour qu'il me désire ne serait ce qu'une fois, et retire son pantalon, me laissant complètement nu. Je le fixe, j'veux qu'il réagisse, pas forcément qu'il me saute dessus, mais j'veux qu'il fasse un truc pour me prouver que j'ai pas été juste rien pour lui. J'veux toujours pas croire ce qu'il m'a dit l'autre soir. C'est impossible. J'le crois pas. C'est un menteur. J'l'ai déjà vu mentir. Il est très bon dans ce domaine. Mais il a pas le droit de me mentir, pas à moi. Pas après tout ce qu'on a vécu. Il doit bien y avoir une raison pour qu'on se retrouve à nouveau dans le lit de l'un ou l'autre. Bien sur qu'on était pas clairs hier soir. Mais j'suis persuadés qu'on était quand même nous deux.
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Anonymous
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Lun 26 Mai - 21:21

    Son silence est révélateur, lui aussi est gêné. Lui aussi est surpris, perturbée, angoissé. Il ne sait pas quoi faire, il ne sait pas quoi dire. Faire comme si rien n'était ? Parler de la pluie du beau temps ? S'engueuler ? Ecouter vos deux corps tendu par le désir et l'envie ? Il est ton seul tourment, ta seule espérance, ta seule envie. Ton unique amour. Tu soupires en le voyant chercher une clope, l'envie de tirer nerveusement sur le filtre s'ajoute au reste. Tu veux fumer, tu veux partir, tu veux rester, tu veux le frapper, l'embrasser, le haïr, l'aimer l'aimer... Tu as envie de crié l'atroce réalité de tout ça, de cette vide de merde qui donne pour reprendre mieux ensuite. Tu as envie de le crier lui, crier votre vécu, et votre avenir. Tous ses défauts, toutes ses qualités, toutes ces choses que tu aimes chez lui. Tout ce que vous auriez pu devenir. Ton amour, ta détresse, ta peur, ta douleur, ton amour, votre amour. Parce que ca crève les yeux, même les tiens. Tu l'aimes. Il t'aime, même un peu. c'est plus fort que vous. Tu sais qu'il sait. Tu sais qu'il te connait. Qu'il connait tes mensonges par coeur. Tu détournes le regard et déglutit. Le bruit d'un jean qui tombe par terre ramène ton attention sur lui et sa virilité. Tu déglutis. Bien sûr que tu as envie de lui et que tu es pas indifférent. Tu tends la main, tremblant légèrement. Tu peux m'envoyer mon jean ? Tu ne dois pas foutre en l'air ce que tu as dit l'autre soir. Tu dois rester droit malgré cette bavure. T'étais drogué, mort, crevé. Tout ceci n'est qu'un accident et tu t'en désoles... Mais au fond tu sais que ce n'est pas un accident, que tu en crevais d'envie et que tu regrettes de ne pas encore te souvenir de cette nuit. Compliquons pas les choses Tim et faisons ça rapidement Voila c'est ça ce que tu veux, c'est tout. Des choses simples.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 21:29

Si j'avais réussi à le déstabiliser ? Parfaitement. Je voyer sa main tremblante venir chercher son jean et son ego partir se rhabiller. Je jubilais à l'intérieur. Juste pour ces petits détails, parce que ça voulait dire que je ne le laissais pas indifférent. Et son indifférence me tuait, encore plus que sa haine, peu importe qu'elle soit réelle ou non. Mais son allure me rassurait. Il perdait pied, tandis que moi, je prenais l'avantage, pour une fois. On échange les rôles. Et dieu, que c'est bon de se sentir au dessus par moment. Tirant longuement sur ma cigarette, presque immobile, je lui rendais son jean, un sourire victorieux sur les lèvres. Je ne cachais pas le fait que j'étais ravis de le voir si déstabilisé par la situation. Je restais, nu, face à lui, ne le lâchant pas du regard, comme pour le supplier d'agir, de faire quelque chose, ne serait ce qu'un geste vers moi qui pourrait signifier qu'il y avait encore espoir. Peu être que c'était lui, mon bonheur. Hapinness. Peu être qu'au fond, tous les moments où j'ai cru être heureux, n'était que de la merde face au bonheur que j'pourrai avoir en retrouvant l'homme que j'aime.

"J'ai jamais voulu compliquer les choses. C'est toi qui te compliques tout seul."
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 21:39

    Tu es faible, si faible. Tu viens de te trahir juste.. Juste pour ça. Juste devant ça. Devant son envie, devant le reflet de ta propre envie. Tu enfiles ton jean rapidement, d'abord très silencieux. tu préfère devenir muet plutôt que d'affronter ton masque qui s'écroule petit à petit, plutôt que d'affronter son sourire victorieux. Tu crèves d'envie de lui faire ravaler à coup de baiser. De longs baisers langoureux et passionnés. Un frisson te parcourt à nouveau. Tu peux résister au coup, au insulte, à la douleur, à son indifférence mais il te place une érection devant toi et tu flanches. Pauvre Hell. Pour une fois, Tim remporte la partie. Tu comprends qu'il veut que tu cèdes que tu lui montres un signe, un simple signe de ton amour pour lui mais non. "J'ai jamais voulu compliquer les choses. C'est toi qui te compliques tout seul." Tu ris en attachant rapidement ta chemise. il ne devrait pas jouer sur ce terrain là ou il risque de réveiller ta colère et tes démons intérieurs. Tu veux dire que c'est moi qui est tout foutu en l'air en partant à l'autre bout du monde sans donner d'explication ? Non je ne crois pas. Tu évites son regard, grattant ta barbe de trois jours. Tu te laisses aller depuis que tu l'as revu. C'est mauvais très mauvais. C'est une pente que tu dégringoles là, et c'est une putain de pentes savonneuses. Des petits cons s'amusent à savonner les pentes pour que tu puisses t’effondrer plus rapidement. Je compliques rien. Il n'y a rien à compliquer entre nous puisque tu as mis un terme à ce qu'il y avait. C'est simple, là tu joues un jeu de provocation, mais ca ne marche pas et ca ne marchera pas. Tu soupires. En es-tu certain Eliott ?
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 21:52

Il évite mon regard. Il a peur de flancher. Je le sais, je connais. J'ai gagné. J'ai enfin gagner. Et tout ce qu'il pourra dire n'aura plus d'importance, parce que je sais comment définitivement remporter la partie. C'est qu'un jeu, pas vrai ? Ou alors j'veux plus. Bien sur que j'veux plus. Je le veux mien, comme avant.

"J'ai pas dit ça Hell. Et j'ai pas envie qu'on se reprenne la tête sur ça. Alors, oui, je m'en excuse, je suis parti. Mais c'était plus possible à Paris. Et j'voulais pas qu'on espère que ça pourrait marcher à des milliers de kilomètres loin de l'un de l'autre. Oui, j't'ai rien dit. J'voulais que tu me détestes, pour te refaire."

Je m'approche de lui, le regardant se gratter cette barbe bien trop longue pour qu'elle ne signifie pas qu'il se laisse aller. Hell est toujours rasé de près. Je suis toujours mal rasé. Un peu comme le prince et le pauvre. Sauf qu'on est tous les deux pleins aux as. On a juste un style un peu différent. J'suis pas vraiment costume trois pièces, et je troc facilement une paire de mocassin pour une paire de converses troué. Lui, c'est autre chose. Lui, il a l'allure, la classe. C'est un homme. J'suis p'tête encore qu'un ado, au fond. Je reste là, à quelques centimètres de son visage, tournant avec ma main sa tête pour que nos regards se fixent encore, laissant apparaitre un sourire ni bon, ni mauvais.

"J'te provoque pas Hell. J'veux juste voir si tu me mentais la dernière fois."

Sans attendre sa réponse, j'attrape sa tête de mes deux mains et presse mes lèvres contre les siennes, sur de moi, sur de ce que je fais. J'veux raviver sa flamme, j'veux raviver la notre. J'sais qu'on est pas encore une cause perdue, malgré tout ce qu'il a dit, malgré ces coups. On est toujours aussi beau, tous les deux.
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 22:17

    "J'ai pas dit ça Hell. Et j'ai pas envie qu'on se reprenne la tête sur ça. Alors, oui, je m'en excuse, je suis parti. Mais c'était plus possible à Paris. Et j'voulais pas qu'on espère que ça pourrait marcher à des milliers de kilomètres loin de l'un de l'autre. Oui, j't'ai rien dit. J'voulais que tu me détestes, pour te refaire." Il joue, tu n'es qu'un jouet pour lui... Et pourtant. Et pourtant. Tu vois dans ses yeux cette flamme qui brûle, intense et dévorant tout sur son passage. La voit-il dans ton regard à toi ? Tu brûles de l'intérieur alors qu'il se rapproche de toi, contournant le lit et te piègant entre lui et le mur. Tu es perdu, tu le sens. Tu sens tes dernières barrières s'effrondrer avec sa voix suaves et ses airs aguicheurs. Tu le connais et tu sais que tu ne peux pas lui résister quand il joue à ça. Tu l'aimes, affreusemnt, atrocement. Tu ne peux pas l'empêcher d'être un enfant qui s'amuse et qui fait des grands gestes. Ton coeur se reserre tandis que l'espace diminue entre vous. Tu détestes ce que tu ressens, lui au contraire semble si content. Tu m'aurais demander de venir, je serais venu. Tu lâches cette vérité, comme uen bombe. Tu en as marre de lui mentir, tant pis si tu perds. Tant pis si ta seule punition est de l'aimer encore et encore, tu l'acceptes avec joie. Quelques centimètres viennent séparés vos visages alors que ton souffle se mêlnt au sien, que son odeur te percutent. Ainsi que sa beauté. Sa barbe, ses muscles, sa peau... Tu déglutis légèrement. "J'te provoque pas Hell. J'veux juste voir si tu me mentais la dernière fois.". Ses lèvres s'écrasent avec force contre les tiennes. Tu l'aimes à tes dépends, tout tourne autour de toi, sauf ta propre personne. Tu ne vois que lui alors que tes mains viennent le coller contre toi, serrant son corps avec force. Au bout d'un moment tu éloignes tes lèvres des siennes, cherchant de l'oxygène. Tu vois quoi alors ? . Tu récupères rapidement ses lèvres après avoir dit à contre coeur. Tu te dévoiles trop, bien trop à ton goût.
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Anonymous
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Lun 26 Mai - 22:32

Tu m'aurais demander de venir, je serais venu. "J'voulais pas que tu viennes. J'voulais partir sans bagages, j'voulais pas te priver de la vie que tu as, à Paris." Hell était un mec très populaire et respecté dans la capitale française. Le genre de truc que tu construis avec les années, le genre de truc que j'pouvais pas lui enlever. Ça le rendait heureux, cette gloire. Moi, j'avais rien à Paris. J'avais terminé mon école depuis juin et essayer de tout faire pour percer, mais rien ne venait. J'avais cette chaine youtube, qui elle, devenait populaire, mais j'pouvais la gérer de partout dans le monde. Puis j'avais même plus de toit, et il était hors de question que j'm'installe dans cette ville peuplé de cons comme ma famille. San Fransisco, c'était mon rêve de toute façon.

Hell n'avait pas repoussé mon baiser, au contraire, ses mains faisaient en sorte que nous soyons bien plus proche que depuis des lustres. Un sourire s'affichait sur mes lèvres, le genre franc, le genre honnête. Tu vois quoi alors ? "J'vois que t'es rien qu'un sale menteur." Lui répondis je avant de me nouer à ses lèvres à nouveau. J'pouvais plus le laisser partir. Il était prisonnier de mon étreinte, comme dans un filet dont il serait trop dur de se libérer. J'étais heureux, peu être pour un instant, peu être pour les jours à venir, peu être jusqu'à la fin de mes jours. J'en savais rien. J'savais pas comment il allait réagir maintenant. Peu être qu'il profitait de l'instant, mais une étincelle dans ses yeux avait l'air de vouloir me prouver le contraire.
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Anonymous
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Mar 27 Mai - 21:51


    "J'voulais pas que tu viennes. J'voulais partir sans bagages, j'voulais pas te priver de la vie que tu as, à Paris."Il ne voulait pas de toi. C'est assez clair dit comme ça. Ta présence était de trop. Tu soupires, vaincu face à la réalité. Face à la vérité. Il t'avait aimé, juste pas assez pour vouloir t'emmener avec lui. Tu l'aurais emmener partout toi, jamais tu ne l'aurais laisser. Bien sûr tu n'aurais jamais quitté Paris. Paris, ton monde, ton jeu, tes règles. Les règles du plus riche est toujours la meilleure, la gagnante. Et là, tu gagnais toujours. Tu aurais pu quitter sa de ton plein gré pour lui. Pour l'amour que tu lui portes. Tu ne t'en sortiras jamais indemne de cet amour. Tu aurais semer tous les maux pour le rendre heureux. Tu l'aurais attendu malgré les kilomètres, malgré les océans, malgré les heures et les gens. Il a choisi la solution de facilité en t'abandonnant. Comme un lâche. Tu n'aurais pas agis comme ça, tu te serais battu. Tu aurais tout fait pour vaincre. C'était pas à toi de décider de ce dont je dois me priver ou pas. Je serais venu par choix, par envie. Au lieu de quoi, tu as fait le lâche, tu es parti en m'abandonnant. Bien sûr qu'un réseau social datant d'avant ta naissance aurait été dur à reconstruire mais vous, cette partie du monde privilégié par l'argent... Vous n'avez pas de frontière. Un billet et tout s'ouvre. L'argent est une clé universelle chez l'Homme. Non, Tim ne voulait simplement pas que tu viennes, il ne voulait pas t'avoir à ses côtés. C'est sibyllin. Tu soupires une seconde fois alors que son baiser vient éteindre toutes tes accusations. Toutes tes questions. Son sourire heureux est plus que contagieux puisque tu abordes le même, niais au possible. Si ce n'était pas, pas toi, tu aurais lancer un regard incendiaire au con heureux. Mais c'est vous. "J'vois que t'es rien qu'un sale menteur.". Prisonnier de son étreinte tu finis tout de même par le repousser sur le lit avant de revenir le surplomber. Tes lèvres quémandeuse viennent chercher leur dû alors que tu colles ton corps au sien, épousant parfaitement sa forme. Tu es sûr ? Moi aussi je pensais beaucoup de choses avant que tu partes. Pourtant tu as préféré partir sans moi. Lèvres contre lèvres, corps contre corps, coeur contre coeur... Tu sens le sien battre aussi fort que le tien. Rapidement tu ôtes ta chemise à la recherche du contacte de sa peau contre la tienne. Peau contre peau, frisson contre frisson. Enfin.
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Anonymous
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Mar 27 Mai - 22:06

Hell avait raison sur le fond, j'avais pas à décidé pour lui, mais je l'avais fait, avec la conviction d'avoir prit la meilleure décision qui soit pour moi, pour lui, pour nous. Surtout pour moi. J'voulais pas partir avec de faux semblants. Ils sont nombreux, les gars qui courent autour de Hell et qui ont jalousé notre relation toute l'année qu'on a passé ensemble, prêts à me faire tomber au moindre de mes faux pas. Hell est leur modèle, leur idole, leur fantasme. J'étais qui à côté ? J'étais quoi ?

"Je suis lâche, c'est vrai. J'ai voulu sauver ma peau."

Il se met au dessus, comme d'habitude. C'est comme ça qu'on fonctionne, on sait qui dirige. L'homme, et l'enfant. Le dominant, le dominé. Le loup, et l'agneau. Je suis sa proie, je l'ai toujours été. Il n'a jamais eu de mal à m'avoir, depuis le début, depuis notre première rencontre. Parce que j'ai toujours été ce gamin éperdument amoureux de lui, depuis les premières secondes. Je le revois encore arriver, fringué comme un prince, alors que moi, adossé au bar, j'ai l'air d'un gamin de banlieue. Pas le fric qui me manque, j'suis pas alaise en blazer de toute façon. Il s'avance, et je le dévore du regard, il m'envoute, il me charme. Pourtant j'suis incapable de bouger, scotché à son bellâtre que je ne pourrais jamais avoir. Ce qu'il m'a trouvé, j'sais pas trop. J'sais juste que depuis ce jour, j'ai pas arrêté de l'avoir en tête.

"Et toi t'as préféré me foutre au sol, la dernière fois."

Je n'attends pas qu'il s'excuse. C'est Hell, il ne le fera pas. Il aurait pu me dévisagé qu'il ne s'en serait pas excusé. Il est comme ça. Je l'aime comme ça, avec cet égocentrisme surdimensionné qui fait de lui quelqu'un d'intouchable. On est si différent sur ce genre de chose. Il me pousse contre le lit, alors que je m'y allonge de tout mon long. Je l'observe, ôter sa chemise entre deux baisers, comme si tout ce qu'on venait de se faire ces derniers jours n'avait de sens, comme si nous étions encore à Paris. Mes mains parcourent son torse dénudé alors que mes lèvres glissent sur son cou, le mordillant légèrement. J'ai gout du passé, ce matin.
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Anonymous
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Invité
Mar 27 Mai - 22:30

    "Je suis lâche, c'est vrai. J'ai voulu sauver ma peau." Cette peau qui maintenant retrouve sa place : contre la tienne. Tu n'as été fait que pour cela, être avec Tim. Tu ne l'avoueras jamais à haute voix, bien entendu, c'est contre ton éducation, tes principes, mais tu le sens dorénavant. Tu sens que tu ne pourras plus jamais te défaire de lui. Plus jamais. Tu préfèrerais le tuer plutôt de de le perdre. Ce qui est assez con puisque la mort te le volera d'une manière tout autre. Cependant, le savoir ailleurs, quelque part avec un autre te rend fou. Comme ça le rendait fou de te voir aduler par tous alors qu'il peinait lui-même. Il a jamais été fait pour le monde, alors que tu étais présenté comme l'homme le plus prisé de Paris. La jalousie, il l'a ressentait d'une manière foudroyante, que cela soit après toi ou les autres. Longtemps tu as regretté d'être toi, d'être celui qu'on aime. Alors tu vous enfermais chez toi, loin des autres. Ces pollueurs à plein temps, des piques assiettes près à tout pour ramasser les morceaux de votre amour. Tu ne voulais le partager avec personne, même pas les passants dans la rue. Or votre relation ne pouvait continuer ainsi, alors tu l'emmenais ailleurs. Deauville, Monaco, dans un chalet, à la mer... Dans les coins sombres de Paris aussi, où la misère est si constante qu'on ne vous voit même plus. On ne vous regarde même plus. C'est fini maintenant. . C'était évident à tes yeux. Maintenant, c'était fini les conneries. Fini de vous perdre, de vous déchirez. Tu seras tout à lui. Pour toujours. Peut-être que votre première année a été marqué par la douleur mais... Tu ne laissera plus jamais faire. Tu caresses du bout du nez sa joue, allant mordiller gentiment son lobe. Tu aimes tellement faire ça et voir ensuite un long frisson se dessiner dans son cou. Voir l'effet et le plaisir que tu peux lui donner. Cette maîtrise que tu as sur son corps t'excites au plus au point en fait. "Et toi t'as préféré me foutre au sol, la dernière fois.". Tu regrettes pas d'avoir agis ainsi. Tu en avais besoin, et tu sais que tu ne t'excuseras pas. Il le sait aussi. Un silence seulement ponctué de soupire, de bruit d'embrassade, de morsure répond à sa remarque. Ses mains parcourent délicieusement ton corps. Le monde n'est plus qu'une insoltente indifférence, sauf avec lui. Sauf avec lui. L'éloignement entre vous, ne t'as permis que de mieux l'aimer, de mieux le comprendre. De mieux voir son importance. J'ai réagis à tes actes, à toi d'en assumer les conséquences Tim... Et si on arrêtait un peu de parler ? On aura le temps de bavarder plus tard...Tu lui offres un sourire joueur alors que tu viens mordiller sa lèvre inférieur. Tu ne veux plus parler, tu veux l'aimer.
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 27 Mai - 22:45

Fini. La fin. La fin de quoi ? De notre haine ? De notre amour ? De notre histoire ? De notre rupture ? C'était la fin de plein de chose, en réalité. Une fin qui annonçait un renouveau dont nous avions tous les deux besoins. Peu être pour nous retrouver, peu être pour nous aimer d'avantage. J'en savais trop rien. Je le regardais d'un oeil bienfaisant, comme on contemple une des sept merveilles du monde. Il est ma merveille, à moi. J'ai lutté pour l'avoir. J'ai lutté pour le récupérer. J'ai osé le défié. J'ai osé ne plus être ce gamin lâche, pour une fois. Tout n'est plus que silence. Je n'attendais pas d'excuses de toute manière, et la douleur poignante au niveau de mon ventre s'est vite dissipée après la nuit que nous avions passé. Il me mordille le lobe. Il sait que j'adore ça. Il sait que ça m'fait frissonner plus que n'importe quoi. Un large sourire se dresse sur mes lèvres. Il a envie de plus. Ça tombe bien, il n'est pas prêt de partir. Peu importe ce qu'entendra ma colloc.

"Je te sens bien impatient, Hell."

Je fais mine de le fuir, pour mieux le retrouver. Son sourire joueur me réchauffe le coeur. On dirait que c'est fini, la guerre. J'préfère quand on fait la paix, en vérité. On s'est engueulé un bon nombre de fois à Paris. Parce qu'on a tous les deux des caractères de merde. Parce qu'on est impulsifs, sévères avec les autres. Surtout quand on consomme. Et on consomme souvent. C'est ce qui nous a rapproché. C'est ce qui nous a probablement à nouveau rapproché hier. Lui avec ça coke de bonne famille, se poudrer le nez comme le nappy parisien qu'il est. Jeunesse dorée. Jeunesse cokée. Moi avec tout ce qui peut trainer, fort ou non, du moment que j'parte à des années lumières, j'm'en fiche.
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Anonymous
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Jeu 29 Mai - 16:16

    "Je te sens bien impatient, Hell." Impatient ? Impatient ! Comment ne pourrais-tu pas être impatient alors que son corps nu est collé au tien ? Et que tu sens sa virilité appuyé contre la tienne de plus en plus imposante. Tu soupires d'envie alors qu'il cherche à te fuir. Tu le plaques durement au lit. Si tu veux jouer au chat et à la souris, je vais te manger tout cru. . Tu lui fais ton plus beau sourire, dévoilant tes dents puis passant un léger coup de langue sur tes lèvres. D'ailleurs celle-ci va rapidement chatouiller son cou avant que tu reviennes l'embrasser avec ardeur, écartant la discussion. Tu ne veux plus parler, tu veux seulement entendre ses gémissements de plaisir. Et si sa colocataire est pas contente, tu jures la jeter par la fenêtre immédiatement. Ce que tu ferais pas par amour... Rapidement, tu viens défaire son jean, te retrouvant en boxer contre son corps musclé. Inconsciemment tu crées une frisions entre vous alors que que tu descend lentement. Tu couvres sa peau de morsures, laissant itinéraire voguer au gré de tes envies... Et bien que tu sois impatient tu ne descends pas tout de suit à l'objet de tes convoitises. Non. Tu prends ton temps pour lui rendre ces légères caresses insupportables. Tu mordilles légèrement ses clavicules alors tes mains caresses du bout des doigts son bas ventre... Là, à contrecœur sentant son souffle s'accélérer tu t'éloignes de lui, te couchant à côté sur le lit. Tu as raison, je suis bien trop impatient, on devrait prendre notre temps. Tu le regardes, couché sur le côté. Ton air moqueur scotché et ton rire silencieux volant dans la pièce soudain si silencieuse.
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Anonymous
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Jeu 29 Mai - 20:44

Hell est le seul mec à me connaitre autant. Que ce soit sur le plan moral, mental, ou encore sexuel. Il est le seul à me faire autant frissonner, trembler de plaisir. Il est le seul qui me donne autant envie, en réalité. Je bouillonnais d'envie sous ses baisers qui s'avéraient être de plus en plus indécents. Sa main me rendait fou, à s'arrêter au niveau de mon bas ventre, c'était comme une torture, c'était comme si il voulait que j'souffre à cause du désir. Mes lèvres se faufilèrent au niveau de son oreille pour lui glisser "T'as toujours aimé que j'sois la souris, de toute façon." Un sourire pervers se dessinait sur mon visage avec que mes doigts s'enfonçaient dans son dos, prit par le désir de lui, le désir de nous, à nouveau de nous. Il arrête tout brusquement. Comme ça, il s'allonge de tout son long sur mon lit avec seulement son boxer pour recouvrir sa virilité que je ne cesse de regarder. Je soupire et monte alors sur lui pour embrasser ses lèvres, et descendre mes baiser sur son torse avant de m'arrêter à son bas ventre. J'voulais qu'il frissonne lui aussi, j'voulais le torturer, j'voulais qu'il me désire.

"Tu veux toujours qu'on patiente ?"
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Anonymous
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Lun 2 Juin - 15:20

    Il a raison. Il a toujours raison. Au sujet de toi, au sujet de vous. Tu soupires, t'étirant de tout ton lit alors que sa mine blanchit à vu de yeux. C'est drôle de le voir ainsi tendu sous tes griffes. Tu joues, encore et toujours. Un peu de plaisir, beaucoup de frustration pour qu'il vienne te supplier de t'aimer entièrement. Et surtout à coup de bassins. Lui, la souris, toi le chat. Non, le tigre, qui l’effleure à coup de griffes. Rapidement après ton départ, Tim te monte dessus, s'appuyant sur ton membre tendu à son tour. En effet, il n,'est pas prêt de laisser tomber cette partie de jambe en l'air au profit du douche plus que froid. D'ailleurs, tu joues la mine austère, pas intéressé mais Tim ne s'y méprends pas il te connait. Et il a raison. Tu crève envie de coucher avec lui, peut-être pour la dernière fois tu le crains, mais au moins de pouvoir en profiter le plus possible. Il t'embrasse fougueusement, mais il abandonne vite tes lèvres au profit de ton torse puis de ton bas ventre. De puissant frissons te parcourent alors que tu passes ta main dans ses cheveux.. Tu ne joue plus là Eliott, non, tu es crispé sous l'attente et le désir. Or, Tim a décidé de jouer lui, par contre.  "Tu veux toujours qu'on patiente ?" Dans sa voix traîne de la moquerie alors que la tienne est haletante. tu le veux, maintenant. Tout de suite, rapidement. Ta main serre doucement sa nuque alors que ta voix rauque résonnes dans la pièce. Non. Tu déglutis massant doucement sa nuque. Non, j'ai très envie de toi Tim, me torture pas s'il te plait... On aura tout le temps de jouer à ça plus tard... Mais j'avoue que tout de suite, ton corps me manque vraiment.. Accablé par la vérité, tu te tais. Toutes ces paroles sorties bien trop vite à ton goût, tu les as pensé maintes et mainte fois à Paris. Tellement de fois qu'elles se sont inscrites profondément dans ton âme, en gros caractères. Comme ton amour pour lui dans ton coeur.
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Sam 21 Juin - 18:29

Le manque. De lui. De nous. De notre amour. De son corps. De ses lèvres. Son torse. Peut être ses fesses. Surtout son membre. Le manque de tout. Surtout de lui. Je le désire. Plus que tout l'univers entier. Je ne l'ai jamais désiré que lui, depuis le premier jour où nos regards se sont croisés. Et je suis à jamais à lui. À jamais à nous. Tous les deux. C'est peut être un faux espoir, j'en sais rien. Sa main s'appuie contre ma nuque alors que mes baisers descendent de façon bien trop indécente.

"Tu me manques. Toi tout entier."

À bout de souffle, je le regarde. Je suis épuisé par ce désir qui m'brule tellement qu'il pourrait me laisser des cicatrices. Hell me laisse toujours des cicatrices de toute façon, plus ou moins visible. Surtout dans mon coeur. On a toujours été bien trop fusionnels pour qu'on en souffre pas en retour. J'pourrai donner tout pour lui, j'pourrai lui donner ma vie si il me le demandait, et ces longs mois m'ont prouvé une chose, je ne peux que l'aimer lui. Je fais glisser lentement son boxer avec que mes lèvres atteignent la partie si désirée de son corps. Je la caresse du bout des doigts, avant de l'embrasser avec passion, donnant de légers coup de langue.
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Anonymous
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Jeu 10 Juil - 12:21

    "Tu me manques. Toi tout entier." . La peau de Tim s'offrant à la tienne, dans un frisson délectable n'est rien face au délice qu'est ses lèvres. Les méandres du plaisir t'enferment dans une prison tandis que tu perds doucement pied. Tu t'enfonces lentement dans ce cercle vicieux que tu as tant de fois expérimenter. Tu sombres dans l'abîme béante de cet amour. De votre amour. Hell, tes yeux se ferment tout seul alors que Tim règne en maître sur ton corps. Trône sur ton corps, sur ton coeur, cet étendard rouge oriflamme qu'est la passion. Elle vous habite tout deux alors que vos corps ne sont pas encore animé par la folle danse, par la démente exaltation. Tes mains enserrent les draps pour tenir bon alors que de légers soupires s'échappent d'entre tes lèvres. Tim s'amuse de plus en plus alors que la dépendance s'attarde à tes côtés. Tu es prisonnier, totalement alors que ses mouvements, par moment ampli d'une dureté par d'autre aussi doux que la soie entre tes doigts, s'accélèrent. Une de tes mains lâche le draps pour s'enfuir dans la douceur des cheveux de Tim. Cette caresse discrète tu l'utilisais avant pour lui dire de remonter. Tim... reviens. . Tu ramènes le corps de Tim sur le tien, retrouvant cette pesanteur, cette électricité entre vos corps. Ta bouche, assoiffé de baiser, vient rejoindre la sienne dans un tendre baiser. Pourtant, la douceur laisse bientôt place à la dureté puisque tu viens reprendre ta position habituelle. Au dessus de Tim. Votre amour exsangue revit entre vos corps alors que rapidement tu pénètre Tim. Tu retrouves cette place si particulière, ta place. Enfin. Enfin tu retrouves ce corps enfiévré, enfin tu retrouves Tim. Tu bouges lentement en lui, enfin.


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