Quelle soirée de ouff ! Il y avait eu foule ce soir. Faut dire que c'est foule à chaque fois que les coyote girl faisaient leur apparition. On c'était surpassée ce soir. Je met ça sur le compte de la nouvelle chorégraphie et des nouveaux habits ultra sexy. J'adore faire les boutique pour les CG! À vrai dire, j'adore tout de ce boulot. Ma seule déception en ce moment est que la soirée est terminée. Il ne reste que le boulot un peu plus chiant à faire, mais au moins je peux le faire en me bourrant la gueule, que demander de plus ? La vaisselle se fait un peu moins vite que d'habitude. Un peu normal quand on boit un shooter après 2-3 verres de nettoyés. J'avais encore mon costume de cowgirl sur le dos. Rien à foutre, il me donne un cul d'enfer alors bon!
Depuis quelques temps tu passais ton temps au Ruby Skye, enchaînant les soirées événements et fuyant à tout prix ton appartement vide et plus particulièrement ta petite amie, pas que tu ne l'aimais plus non justement tu en étais fou, mais cette soudaine vie pépère et posé te faisais peur. T'étais loin d'être ce genre de mec, rangé avec sa copine et s'occuper de son fils, la vie métro boulot dodo était loin de te correspondre. La vérité c'est que t'avais peur quand tout allais bien, ça ne t'avais jamais vraiment réussis la vie normal et banal finissais toujours par tomber à l'eau ou un drame arrivais rapidement et tu n'aimais pas rester en place. Tu aimais plaire et jouer de ton charme, c'est sans doutes pour cette raisons que tu excellais dans ton boulot de DJ et de gérant de boite de nuit. Tu avais toujours de bon rapport avec tes employés, particulièrement la barmaid en chef tu avais souvent flirter avec elle, voire même un peu plus que flirter, mais vous aviez toujours garder de très bon rapport. Depuis quelques mois vous aviez lancé les soirées Coyote Girl, une soirée qui faisais toujours un carton autant pour le business que pour le plaisir des yeux. Ce soir, encore une fois la soirée avais été un succès, mais après toutes grande soirée le plus délicat à faire étais encore le ménage. Tu te dirigeais vers le bar, histoire d'aider un peu et surtout tu ne manquais pas de remarquer qu'Astor portais encore sa tenue de coyote. « Palmer t'en as pas marre de toujours montré ton cul ? » disais-tu sur le ton de la plaisanterie à la brunette qui était en train d’enchaîner les shooter à une vitesse éclair. Tu lui adréssais de nouveau une pic avec ton plus beau sourire. « Heureusement que tu me rapporte énormément d'argent, parce qu'avec tous ce que tu descend je me retrouverais très vite sur la paille ! »
Je ne suis pas surprise d'entendre la voix de Jax derrière moi. Généralement, quand on est patron, on ne s'embête pas avec le boulot de nettoyage, mais depuis quelques temps, il m'aidait très souvent à faire la fermeture. Même si ma compagnie est toujours des plus agréable, oui je frime bon (a), je suspecte autre chose derrière ça. C'est pas moi qui vais lui tirer les vers du nez, s'il veut m'en parler, il le fera! Je suis loin de m'en plaindre en fait, puisque personnellement, j'aime trainer ici. Sinon, je rentre chez moi et c'est ennuyant ou bien je vais chez James. Décidément, le club est plus intéressant. J'aime bien James, mais bon... je ne m'étirerai pas sur le sujet.
- Je ne montre rien moi.. il est là c'est tout! C'est toi qui te sens obligé de regarder!
Je lui lance un petit clin d'oeil en riant. Je ne peux pas me vexer avec Jax. C'est un mec que j'apprécie beaucoup. Il me fait confiance dans mes capacités ici et je lui en suis reconnaissant. Peu de gens m'ont donné ma chance de cette façon, je lui dois beaucoup. En plus, je dois avouer qu'avec nos petits écarts de conduite dans le passé, il me plait encore plus. Je mentirais si je disais que je regrette le temps où il n'avait pas de copine. Même qu'il semble aussi de cet avis par moment. Peut-être qu'un jour...
- Exactement, je te rapporte trop d'argent pour que tu puisses m'en vouloir. En plus, ça parait peut-être pas, mais je me restreins tu sais! Allez boss trinque avec moi..
je nous verse chacun un shooter et fait glisser le sien sur le comptoir jusqu'à lui. Avec un large sourire, je fais un pas en sa direction et lève le shooter vers lui pour trinquer. J'adorais les moments de ce genre. Je me sens comme chez moi ici.
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