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 You're an asshole but I love you l- Kylian
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Anonymous
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Dim 14 Juil - 16:21

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La journée avait été longue, j’avais passé mon temps à courir d’un endroit à un autre. Heureusement j’avais enfin eu un appel du journal économique dans lequel je rêvais de voir publier un de mes articles, ce qui était une très bonne nouvelle, et pour cette raison je souhaitais sortir, fêter ça comme il se doit. Certes il ne voulait qu’un court article sur la situation de l’immobilier à San Francisco mais cela me ravissait. J’adorais ce que je faisais mais depuis l’article sur Capucine, je voulais me préserver des articles tapants plutôt qu’au véritable fond journalistique. J’avais donc contacté mon compagnon de soirée, à savoir Kylian, ami d’enfance de son état. J’aimais passer des soirées avec lui à rire, dansé… Nous nous connaissions depuis des années, nous avions nos rituels, nous savions comment l’autre fonctionnait et comment le pousser à bout mais aussi comment le réconforter. C’était pour cette raison que nous étions amis, nous pouvions être le pire ami qui soit ou le meilleur, les rôles s’inversaient à merveille.

Ce soir-là j’avais besoin de sortir, un besoin oppressant de me vider la tête, de danser, boire et m’amuser. Comme Kylian était de la partie, je décidais de mettre une robe plutôt échancrée, puisqu’à ses côtés, tous les yeux des filles en manque d’affection seraient rivés sur lui et je l’avoue, je n’aimais pas ça. Alors autant jouer sur la concurrence déloyale ! Je me préparais doucement, sifflotant dans la salle de bain. Puis finalement l’heure tournait et il était temps pour moi de partir enflammer le dance floor. Ce soir la température allait monter dans San Francisco et je comptais bien en être la cause.

Je filais en criant à Delta que je partais danser, et que je ne savais pas quand je rentrais, je n’attendais pas sa réponse et sortais rapidement dans la rue. J’attendais un taxi, le hélais et j’étais partie pour le centre. Je voulais onduler mon corps sur la piste au plus vite. Une vraie enfant, sentant l’excitation monter, je ne me défaisais pas de mon sourire enjoué. Une fois arrivée dans la boite de nuit, je voyais que j’étais en avance, mon excitation m’avait fait partir trop tôt, tant pis je trouverais bien une occupation en attendant Kylian. Le videur me laissait passer sans encombre et je me retrouvais propulsée dans la grande salle ou la foule était déjà arrivée. Tant mieux, je détestais ce moment gênant ou personne n’ose danser et chacun se dévisage attendant qu’une âme charitable aille sur la piste pour y aller à son tour. Je me frayais un chemin vers le bar et commandais un cosmopolitan. Alors que je cherchais ma carte dans mon sac, un jeune homme s’approcha et me lança «  Laissez mademoiselle, je vous l’offre. » Je relevais la tête de mon sac, hum joli garçon. Tant mieux je n’étais pas sure d’avoir ma carte tout compte fait. Je lui lançais de mon sourire le plus charmeur : « Merci beaucoup …. ? » Il me répondit qu’il s’appelait Alexis. Je souriais et entamais la discussion avec lui. J’appris qu’il faisait des études de médecine, pour devenir chirurgien, qu’il était célibataire et que il aimait le jazz ainsi que ma tenue. Je riais avec lui, il était sympathique mais je m’impatientais. Je voulais voir Kylian, ce jeune homme n’était en rien désagréable mais je ne comptais surement pas passer la soirée avec lui. Il ne cessait de m’offrir des verres, il comptait véritablement me rendre saoule. Je m’échappais et filais sur la piste de danse, dansant sur la dernière musique du moment. Tout en jetant régulièrement des petits coups d’œil à l’embrasure de la porte, cherchant des yeux ce visage, ces yeux bleus tirant sur le vert. Je rebroussais finalement chemin vers le bar pour reprendre un verre, que bien sur je me fis offrir.
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Anonymous
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Dim 14 Juil - 18:57



Jane avait littéralement égayé ma journée. J’en avais encore les larmes aux yeux tant j’avais ris. Si l’idée d’une soirée en sa compagnie suffisait à me faire esquisser un sourire, la façon dont j’en avais été informée avait suffi à imprimer un sourire sur mes lèvres pour le restant de ma journée. Comme chaque jour, à peine arrivais-je que je déposais la plupart de mes affaires dans mon bureau, je ne gardais sur moi à dire vrai que mon portable et les clés qui me permettaient de ranger mes amis les morts, ouais, les clés des casiers à autopsie, c’est pareil. Une blouse blanche sur le dos (afin de s’assurer que personne ne décide de me transférer en tant que patient vers le pole psychiatrique hum…). La matinée était alors bien entamée lorsque mon aide fut requise par les brancardiers je laissais mes quelques effets personnels sur la table d’autopsie et filait en deux deux leur prêter main forte, j’oubliais bien vite avoir égaré mon portable. Alors que je regagnais ma tendre et chère salle d’autopsie, j’eu le plaisir de constater qu’un nouveau résident avait élu domicile dans mes locaux, chic alors. Sans plus attendre, je m’attelais à la tâche et oubliais bien vite ce qui m’entourait. Une heure passa sans que je ne sois interrompu, quand soudain, au son de Led Zepplin, le bras de mon cadavre fut pris de convulsion. Ça aurait pu être flippant, ouais, si la musique ne m’avait pas fait réalisé que mon portable se trouvait sous le cadavre. Dieu que la scène était hilarante. Les vibrations d’un portable étaient si fascinante. A en voir le mouvement de ce bras qui une seconde plus tôt était inerte, il ne me semblait plus si aberrant que les ondes des portables pouvaient provoquer le cancer, douce observation… J’étais tenté de faire durer le spectacle plus longtemps mais mon professionnalisme (ou mon hoquet de rire) m’en empêcha. Jane avait l’art d’envoyer des texto aux parfaits moments. La vision de ce petit vieux se déhanchant au son de ma sonnerie de portable resterait gravée un moment.
Passé l’instant des rires et des larmes tant la situation était incongrue, je récupérais l’appareil afin de faire cesser cette danse d’outre-tombe et consultais mon texto. Ce dernier m’appris que je passerai ma soirée en sa compagnie avec la mission de fêter dignement l’obtention d’une publication dans un magazine avec l’influence nécessaire pour faire utiliser par Jane une dizaine de points d’exclamation, ce qui ne pouvait pas ensoleiller ma journée davantage, et déjà j’avais hâte que ma journée touche à sa fin.
Ainsi, sur le coup des vingt-trois heures je débarquais dans l’une de nos boites de nuits préférées (excellent terrains de chasse dans lequel terminé sa soirée seul devait être impossible tant la fréquentation était importante et l’alcool abordable), et balayais la salle du regard dans le but de trouver Jane. Mes yeux se posèrent rapidement sur elle, bien que l’endroit était bondé, elle brillait sur la piste, l’effet Jane quoi… Soit, j’allais la rejoindre discrètement pour lui faire la surprise lorsqu’elle décida que le bar semblait plus attrayant que le dancefloor. Soit, je contournais la piste de danse pour arriver à sa hauteur, quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’elle adressa un sourire enjôleur à ce type qui lui tendit un cosmo. Non sérieux ? Il n’était même pas minuit. Il était hors de question que je me farcisse l’opération « je ne rentrerais pas seule à l’appartement et contribuerais à entretenir ma plastique avec les lattes de mon pieux » que Jane avait probablement commencé. Non, pas tant que serais sobre. Et non accompagné. J’arrivais donc dans son dos sans qu’elle ne puisse m’apercevoir et l’attrapais sans prévenir par la taille presque tendrement en lui plaquant un baiser sur le front. « Je vois que tu t’es fait un ami chérie » J’appuyais volontairement sur le dernier mot afin de faire comprendre à ce type qu’elle n’était pas disponible, du moins pas aussi tôt dans la soirée, j’espérais pouvoir en profiter avant qu’elle ne se mette en chasse…
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Anonymous
Invité
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Dim 14 Juil - 22:49


Le jeune homme était vite revenu à la charge et semblait penser que passer la barre de deux cosmopolitans payés, nous étions amants, je le voyais se rapprocher, passer sa main sur ma hanche pour descendre sur mes fesses, je m’extirpais mais il revenait à la charge. Borné le garçon… Je détournais instinctivement la tête, ce qui me permit d’éviter son baiser. Ouf mais à ce rythme je ne résisterais pas longtemps. Une voix résonna à cet instant : « Je vois que tu t’es fait un ami chérie ». Je jetais un regard et là le chevalier Kylian se dressait, il m’embrassa sur le front et je sentis mes joues s’empourprer, j’évitais soigneusement qu’il le remarque. Je sentais sa main sur ma hanche, dieu merci il était là, je pourrais me débarrasser de ce garçon. Celui-ci était d’ailleurs en train de me fixer, se sentant surement trahi puis en soupirant nous quitta, non sans m’avoir jeté un regard qui en disait long. Je sautais alors sur mon ami de toujours, heureuse de le voir. « Kylian, tu es enfin là, je n’en pouvais plus ! »

Je lui déposais doucement un bisou sur la joue puis d’un air de défi, je lui lançais : «  Je suis à deux verres, à toi de me suivre. » Je savais qu’il suivrait, Kylian et moi on était comme ça, à toujours renchérir, battre l’autre et en général nous finissions très mal tous les deux mais c’était ce que nous apprécions, s’amuser à deux, faire les conneries à deux c’est toujours mieux. J’aimais cette ambigüité que nous avions, bien que nous ayons surement franchis les limites du raisonnable une fois déjà. Cette nuit-là ou comme d’habitude nous nous étions défiés, nous étions repartis totalement saouls, et de fil en aiguille nous avions fricotés. Le lendemain je m’étais vite échappée, rhabillée et recouchée. Quelques heures plus tard nous avions émergés, il ne semblait pas se souvenir, j’avais décidé de ne rien dire tant que je ne saurais dire si c’était une erreur ou non. Encore aujourd’hui j’étais incapable de savoir, il m’arrivait souvent de rêver de cet incident la nuit, et chaque matin, la question de la culpabilité revenait. Malgré tout je ne me sentais pas du tout coupable, je ne regrettais rien, et c’était presque ce qui me faisait le plus peur. Je ne pensais même pas pouvoir m’en souvenir, mais l’alcool n’a pas effacé ce souvenir de ma mémoire.

Il ne me fallait pas repenser à ce moment, il n’avait pas été question de sentiment, juste de désir. Il me fallait passer au-dessus et m’amuser avec lui comme une amie. Je ne voulais pas mettre notre amitié en péril si bien que je faisais tout pour paraitre naturelle. Je décidais de chasser toutes ces idées de ma tête et de me créer de nouveaux souvenirs. Ce soir serait la soirée bénite pour me remettre en scène. Oui ce soir Jane se lâcherait, j’étais bien décidée à montrer de quoi j’étais capable. Je n’étais qu’à mon deuxième cosmopolitans mais pas mon dernier. Mon compagnon de beuverie à mes côtés, cette nuit serait une fête sans fin jusqu’au mal de tête du lendemain que j’assumerais plus ou moins. Je jetais un coup d’œil vers la piste, elle était déjà remplie, ce soir la ville était en effusion. Les jeunes étaient de sorties et je repérais déjà quelques têtes qui m’attiraient. Cependant nous n’en étions pas encore à ce moment de la soirée, nous en étions encore loin. Il y avait encore de nombreuses étapes. Dont celle où Kylian devrait boire pour me rattraper puis continuer à deux, jusqu’à sentir l’alcool nous réchauffer, nous donner confiance et nous faire nous sentir invincibles. C’est ce moment que j’aimais, quand rien ne semble pouvoir t’arrêter et que tu te sens capable de danser toute la nuit durant.
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