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 fucked up... with lera
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Anonymous
Invité
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Sam 14 Juil - 14:29

Vomissements, crampes au ventre, fievre, cela faisait plusieurs jours que je n'etais pas bien. Je ne faisais que dormir. J'avais completement perdu l'appetit. Ce n'etait pas comme la derniere fois, lorsque Sierra etait morte. Je ne refusais pas de manger cette fois-ci. J'essayais a tout prix de manger, de me nourrir, sauf que tout avait le même goût, un goût fade inappetisant. Je ne savais vraiment pas ce qu'il se passait. C'etait la premiere fois que j'avais ca. Je n'etais jamais malade alors pourquoi est-ce que maintenant je l'etais? J'avais passe ma journee d'hier a dormir, et celle d'avant aussi. J'etais en retard dans mes revisions, et cela ne m'enchantait pas specialement, sauf que j'etais dans l'incapabilite de faire autrement. Poourtant, malgre mon etat, j'etais venu au mariage des amis de Lera. Je ne voulais pas non plus me renfermer completement chez moi. Puis peut-etre que ca me ferait du bien de sortir prendre l'air un peu. J'avais mis mon costume, et j'etais venu chercher Lera chez elle puis etions parti a la ceremonie. Je n'etais pas dans le meilleur etat, je l'avouais et je devais faire quelque peu peur avec mon teint pale. L'apres-mide se deroula bien. J'etais mieux. Enfin, mieux, c'etait un peu exagere. J'etais toujours aussi mal au point, mais je me sentais plus libre, moins renferme. Il etait temps de partir. J'avais laisse Lera lui disant que j'etais parti chercher la voiture. Je ne crois pas vraiment que cela avait ete une bonne idee. Les crampes au ventre recommencerent. Je m'appuyai sur la premiere voiture proche de moi, et reprennai mon souffle. Je me suis remis a transpirer et a avoir du mal a respirer. Ma vision se floua petit a petit et j'avais de plus en plus du mal a tenir sur mes jambes. C'etait étouffant. Je me laissais tomber par terre, je ne pouvais plus tenir debout. En fait, je ne controlais plus rien dans mon corps. J'etais juste a la merci de celui-ci.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
i'm a motherfucking admin
AVATAR : Rosie.
✱ ÂGE : 35
✱ QUARTIER : Richmond.
i'm a motherfucking admin
Dim 15 Juil - 14:54

J’avais passé une excellente soirée. Un peu trop pour que cela se termine sur cette même touche positive. Sans doute. La cérémonie de mariage avait été sublime, tout comme la mariée d’ailleurs. L’humeur était aux rires et à l’amusement. Et l’ambiance très bonne. Tellement que sur les coups d’une heure du matin, nous finîmes tous dans la piscine, comme prévu. Tout allait pour le mieux. Je crois d’ailleurs que c’était la première fois depuis longtemps que je m’étais autant amusée. Le moins que l’on pouvait dire c’était que j’avais profité des festivités, c’était le mariage d’une bonne amie après tout. Quatre heures ou plutôt cinq heures du matin sonna la fin des réjouissances et les invités commencèrent progressivement à rentrer chez eux. Hadryin et moi y compris. Alors que ce dernier allait chercher la voiture, je dis au revoir aux mariés ainsi qu’aux quelques convives encore présents et allais par la suite attendre mon petit-ami comme convenu. Je patientai durant de longues minutes sans l’apercevoir. Inquiète, je décidai donc d’aller le chercher. J’étais consciente que je m’inquiétais un peu trop, comme toujours à dire vrai mais ne valait-il pas mieux beaucoup que pas assez ? Je n’en étais pas vraiment certaine. Quoiqu’il en fût, j’avais des raisons de l’être. Il fallait franchement être dupe pour ne pas remarquer son teint pâle et cette fatigue constante dans le regard. J’étais d’avis qu’il restât chez lui se reposer mais il n’en fît, une nouvelle fois, qu’à sa tête. Non pas que cela me dérangeât énormément, j’étais contente qu’il soit venu avec moi et qu’il ait rencontré mes amis mais santé était primordiale. Et j’avais des raisons de m’en faire. Je le retrouvais allongé près d’une voiture située non loin de la nôtre. « Hadryin ! » criai-je en précipitant vers lui. Aucune réponse. Il semblait mal en point. Il transpirait beaucoup et son visage était déformé par une grimace de douleur. Ni une, ni deux, je me ruai sur mon téléphone pour appeler les pompiers qui arrivèrent vingt minutes plus tard. Je m’en voulais d’imposer cela à Bliss et à Peter, que leur journée prenne ce tournant dramatique. Néanmoins, je décidai de m’en soucier plus tard. Malgré mon insistance, les pompiers refusèrent de me prendre dans le véhicule, je dus donc les suivre avec la voiture dans laquelle Hadryin et moi étions venus. A l’hôpital je dus prendre mon mal en patience et attendre des nouvelles des médecins dans la salle d’attente. Temps qui me parut une éternité bien que je ne le montrai pas, contemplant mes mains comme s’il eût s’agit de l’une des sept merveilles du monde. Je passais aisément pour un cœur de pierre qui n’en avait rien foutre de savoir son copain à l’hôpital. Ce qui n’était pas vrai, évidemment mais je n’avais jamais été démonstrative, du moins je ne l’étais plus et à quoi cela aurait-il servi que je fasse une crise d’hystérie aux urgences ? Pas grand-chose. Une infirmière vint finalement me voir un moment, qui me parut une éternité, plus tard m’accompagnant dans la chambre que l’on avait attribué à Had. « Vous pouvez rester, il dort pour le moment, il a besoin de repos. Le médecin passera vous voir plus tard. » répondit-elle à ma question silencieuse concernant l’état de mon petit-ami. « Ok, merci » murmurai-je, en allant m’asseoir près de l’endormi alors qu’elle fermait la porte. Il ne restait plus qu’à espérer qu’il n’avait rien de grave.
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Anonymous
Invité
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Lun 16 Juil - 18:43

Je n’ai jamais pensé me réveiller un jour dans un hôpital en n’ayant aucun souvenir de la veille. En faite, je n’aurais jamais cru me réveiller tout court dans un lit d’hôpital. La dernière fois que cela était arrivée, beh en fait jamais. Je ne suis pas du genre à être malade ou a avoir un accident quelconque. Je n’allais jamais chez le médecin, et là, c’était directement l’hôpital et sans souvenir. Je me souvenais seulement du mariage des amis de Lera, Bliss et Peter. J’avais passé une très bonne soirée, et j’étais plus content d’y avoir été malgré dans un état un peu piteux avant. Mais je devais supposer que si j’étais ici à l’hôpital maintenant, c’était que cela ne s’était pas si bien terminé que cela. Je regardais autour de moi. Lera était penchée sur le bord du lit, les bras croisés et la tête posée dessus et dormait. Je passais mes mains dans ses cheveux doucement. Elle était toujours aussi belle quand elle dormait. Je n’en revenais toujours pas qu’on était ensemble, même si cela faisait presqu’un mois. Parfois, je me demandais qu’est-ce que j’avais fait pour mériter cette fille. Je l’aimais, vraiment, plus que je ne cru pouvoir aimer une fille un jour. Je la regardais là. Elle était parfaite dans son imperfection. Je savais qu’elle était parfois un peu difficile à vivre, qu’elle avait son côté mystérieux, et tout ce qui allait mais, c’était cela que j’aimais chez elle. Je lançais un rapide coup d’œil autour de la pièce. Je n’aimais vraiment pas cet endroit, ça me foutait la chaire de poule, et des frissons dans le dos. J’avais des perfusions dans le bras. Je sentais que ce n’était pas vraiment un bon signe ça. Je poussais un petit soupire espérant ne pas réveiller Lera. Elle avait besoin de sommeil, je crois. Je ne sais pas du tout, depuis combien de temps elle était là, ni depuis quand moi j’étais là. J’avais perdu la notion du temps. Je remis ma main sur sa tête et me laissa aller dans le lit, regardant le plafond. Je voulais savoir ce qu’il se passait avec moi. Pourquoi j’étais ici ? qu’est-ce qu’il s’était passé ?
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
i'm a motherfucking admin
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Lun 16 Juil - 20:40

J’observais longuement le visage endormi de Hadryin. Il semblait si paisible à ce moment précis. Si inoffensif et si vulnérable en même temps. Il ne me donnait qu’une envie, le prendre dans mes bras. Je me penchais par-dessus son visage et déposai mes lèvres sur les siennes. Je me retirai soudain, ne comprenant pas ce qui m’avait pris. Encore une impulsion soudaine que je n’avais su contrôler. Je me sentais rougir d’un coup, chose qui n’arrivait que rarement. Je me rassis et détaillais un peu plus la pièce ainsi que l’état de mon petit-ami. Et une des raisons pour lesquelles je n’aimais pas les hôpitaux se trouvaient en face de moi, des perfusions sortaient ci et là de ses bras. Quelle horreur. Cela me provoqua un haut-le-cœur. Le moins que l’on pouvait dire que c’était un spectacle des plus écœurants. J’étais détestais tout dans les hôpitaux, surtout cette odeur de mort mêlée à celle des médicaments qui me paralysait littéralement. Souvent même l’idée d’y passer me donnait de violentes crises d’angoisses et je peinais à respirer. Même maintenant mais je me forçai à garder ce genre de pensées éloignées de mon esprit. Sans grand succès cependant. Je me sentais oppressée. Constamment. Mais tentai toutefois à conserver mon calme. Une crise de panique n’arrangerait en rien notre situation. Je passai une main tremblante dans sa chevelure pendant un long moment mais n’y tenant plus, je fis une escale aux toilettes pour me redonner contenance. Je me lavai le visage et fixai mon reflet dans le miroir. J’étais pâle. Je donnais l’impression de n’avoir pas vu le soleil pendant une décennie, au moins. J’avais les membres tremblants, la lèvre également et la respiration erratique. Présage d’une crise. Je mis ma tête entre mes jambes et m’obligeai à reprendre un souffle plus posé. Cela ne fonctionna qu’au bout de plusieurs minutes. Je m’aspergeai encore d’eau puis sortis, lorsque je fus sûre que rien ne trahissait mon état d’esprit actuel. Je retournai auprès de Hadryin qui dormait toujours. Je regrettai de n’avoir pas pris de livre comme à mon habitude car l’attente durerait sans doute des heures et je me voyais mal patienter tout ce temps en tête à tête avec mes pensées. Heureusement pour moi je m’endormis vite, bien que je ne m’en rendisse pas compte immédiatement. Je fis un rêve que je n’avais pas fait depuis longtemps. Je me retrouvais toujours dans la chambre de Hadryin et près de la fenêtre se tenait de dos, une jeune fille. Elle ne parla pas cependant je compris ce qu’elle voulait me dire puis elle ouvrit la fenêtre et sauta. J’ouvris les yeux. Oona, tu m’as abandonnée, tu m’avais promis. Menteuse. Revoir Ivy et être dans un hôpital avait ranimé des souvenirs que je croyais à jamais disparus. Grossière erreur. Je me rendis soudain compte que je fixais la fenêtre depuis un bon moment et portai mon attention sur la belle au bois dormant dont je sentais le regard inquisiteur sur moi. « Alors comment tu te sens ? » demandai-je en tentant un sourire. Je me devais de ne rien laisser transparaitre et je savais que cela fonctionnait plutôt bien. J’appuyai sur le bouton pour prévenir l’infirmière en charge de Hadryin que ce dernier était réveillé, comme elle me l’avait recommandé ainsi elle viendrait avec le médecin et ils nous expliqueraient enfin ce qu’il en retournait. « En allant chercher la voiture, tu t’es évanoui du coup j’ai appelé les pompiers et t’as été emmené aux urgences puis transféré dans cette chambre. Je n’en sais pas plus. T’as dormi jusqu’à maintenant, donc six heures puisque tu as été admis à 5h du matin. » répondis-je aux interrogations qui se succédaient dans ses prunelles. Moins de dix minutes plus tard le médecin accompagnée de son acolyte féminine pénétrèrent dans la pièce. C'était le moment fatidique.
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Anonymous
Invité
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Dim 29 Juil - 12:35

J'écoutais attentivement Lera et tout ce qu'elle me disait. Je n'en revenais pas. Comment est-ce que ça a pu arriver? Mon état devait vraiment être grave pour que j'en revienne à flancher comme ça. je n'étais pas du genre à faire un chichi pour un rien, à crisser pour un simple bleu -ouais non j'suis quand même un mec après-tout- Je n'étais jamais malade, et là, c'était l'apocalypse. C'était plus qu'étrange. Je regardais Lera, un petit sourire aux lèvres. J'étais contente qu'elle soit là. je ne sais pas comment j'aurai réagi si je m'étais réveillé tout seul dans une chambre d'hôpital sans aucuns souvenirs de la veille. « j'ai mal partout…» J'avais l'impression que mon corps me brulait de l'intérieur, petit à petit, la flamme rongeait mes organes internes et me laissait mourir à petit feu. Lera se leva et partit appeler l'infirmières. Ca ne m'enchantait pas trop, mais s'il pouvait me dire ce qu'il se passait avec moi. Le médecin entra suivi d'une infirmière. Ils avaient cette expression qui voulait tout dire. Celle qui voulait dire qu'une mauvaise nouvelle nous attendait? je n'aimais vraiment pas ça. Il s'approcha de Lera et moi. Automatiquement, je pris la main de ma petite amie. « Bonjour, Mr Hamilton, je suis le Docteur Lawford. J'ai une mauvaise et une bonne nouvelle à vous apprendre. La mauvaise, vous avez l'Hépatite B. La bonne, c'est qu'il existe un traitement. » Je…je crois que l'expression qui se dessinait sur mon visage de valoir des milliers. Je ne savais pas quoi dire, j'étais complètent abasourdi. Hépatite B. Il fallait vraiment être con pour pas savoir de quoi il s'agit, surtout dans mon monde. Je ne pouvais rien dire. J'en étais incapable. j'étais là regarder le médecin, incapable de sortir ne serait-ce qu'un mot. Pourquoi? Pourquoi moi? Pourquoi est-ce que j'ai dû attraper cette connerie?
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
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Dim 5 Aoû - 20:25

J’écoutais le médecin, ma main dans celle de Hadryin. Pour être tout à fait honnête les mots qui sortaient de sa bouche n’étaient qu’une espèce de brouhaha lointain. Un mécanisme de défense, afin de retarder le plus possible la confrontation avec la chose dont on recherche à tout prix à échapper. Cela ne peut durer indéfiniment, évidemment. Peu à peu, mon cerveau les traduisit cependant. Leur gravité avec. Je fixai le médecin, interdite. Hépatite B. Ce nom ne m’était bien entendu pas du tout inconnu. Loin de là. Lorsque l’on décidait d’être prostitué il valait mieux se renseigner sur les différentes MST et leur niveau de dangerosité s’il l’on ne voulait pas se retrouver avec une mauvaise surprise à la fin. Je jetai un regard à mon petit-ami, qui semble tout aussi abasourdi que moi. Il fixait le médecin avec un mélange d’incompréhension, de surprise et je-ne-savais-quoi de désespoir dans le regard. Connaissant son activité passée, il ne fallait pas être devin pour devenir la manière dont il avait attrapé cette merde. Bien se protéger était une des règles d’or de notre métier, il devait le savoir. J’étais perdue ou plutôt toujours autant stupéfaite. J’avais la sensation que sur moi, plutôt sur nous. Je voyais enfin la lumière au bout du tunnel et il fallut qu’à ce moment précis des nuages noirs, présage de tempêtes, se forment. Je me mordis violemment la lèvre inférieure afin de réprimer un cri qui menaçait de s’échapper. Ce n’était pas le moment. Loin de là. Fermant les yeux, je pris sur moi. J’aurais tout le loisir de crier plus tard. Je serrais la main d’Hadryin un peu plus fortement, pour lui signifier que j’étais là. Qu’il pouvait compter et se reposer sur moi. Il avait besoin de mon soutient et ce n’était pas le moment de craquer.

« Et en quoi consiste le traitement exactement ? Enfin combien de temps va-t-il durer ? Est-il lourd ? Devra-t-il nécessairement rester à l’hôpital tout le temps où il le suivra ? »

J’ancrai mon regard dans celui du docteur, ne relâchant en aucun cas ma prise sur la main de mon petit-ami. Cette étreinte me rassurait, quelque peu et j’espérais qu’il en était de même pour lui. Il n’était pas seul. Nous étions deux. Nous traverserons cette épreuve ensemble.
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Anonymous
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Mer 8 Aoû - 10:32

J'avais perdu toute notion de ce qu'il se passait autour de moi. Il y avait tout un vide entre moi et le reste du monde. Je n'avais même pas remarqué que Lera me serrait la main J'étais juste là à regarder devant moi, et à n'avoir aucune idée quoi dire. Tout un monde s'effondrait devant moi. En l'espace d'une minute, tout ce que j'avais pu espérer venait de prendre un terme. Il fallait vraiment quand j'étais heureux que tout s'écroule du jour au lendemain. J'étais avec Lera maintenant, pourquoi fallait-il que cette chose vienne se mettre entre nous? Je savais que je n'avais pu l'attraper qu'avant que nous nous mettions ensemble, vu que j'avais arrêté tout ça....Arrêter pour elle, parce que je ne veux pas la perdre et parce que je l'aime. Et au bout du compte, mon ancien travail s'était quand même foutu entre nous avec cette chose. Lera me sort de mes pensées avec ses questions au docteur. je ne me souviens même plus de son nom. je n'ai retenu que ces deux mots qui ruinait ma vie. Hépatite B. Les mots résonnaient encore dans ma tête comme un écho incessant qui ne voulait jamais prendre fin. Mon regard se pose doucement sur nos mains à Lera et moi. Ca me rassurait qu'elle soit là. J'étais complètement anéanti et l'avoir avec moi, me faisait du bien. Le médecin reprit la parole répondant aux multiples question de ma petite amie. « Il s'agit d'un traitement médicamenteux qui consiste à diminuer la réplication du virus pour éviter une trop attaque avec les cellules du foie. Cependant, le virus ne sera jamais vraiment éliminer, juste neutraliser. La durée du traitement dépend de chaque personne et de son système immunitaire mais ça peut aller de un an à trois ans voir plus. » Il s'arrête quelque temps pour nous laisser le temps d'englober l'information. Pour moi, tout ça, c'était chinois. Je en comprenais pas un mots. « Oui, il est assez lourd et fatiguant, mais à nouveau, ça dépend un peu de chaque personne. Et non, il peut rester chez lui, faire toutes ses activités normales, tant qu'il vient régulièrement faire ses prises de sang et ses check-up. Pensez juste à vous protéger. » Si il essayait d'être drôle et de détendre l'atmosphère, ça ne marchait pas vraiment. Ca me faisait plus chier qu'autre chose. J'avais peur que Lera finisse aussi par être infectée de cette merde et si cela était le cas, je m'en voudrais à jamais. Elle ne méritait pas tout cela. « Nous allons garder Mr. Hamilton pour une semaine, histoire d'être sûr que tout se passe bien et qu'il se repose convenablement. Cela fait combien de temps qu'il n'est pas au mieux de sa forme? » Une semaine. Non. Je veux pas. C'est trop long. Et mes révisions, et mon bac. Je veux pas. Je releve les yeux vers le docteur pour répondre à sa question. « A peu près une semaine..enfin...une semaine que ça ne va vraiment pas bien..»
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