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i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 31 Mai - 14:35

imogen & ryan ღ we used to be best friends


San Francisco. Je suis de retour. Je n'en reviens toujours pas. J'arrive pas à m'y faire. Je sionne les rues de cette ville et je me sens toute étrangère. Je n'ai plus l'impression d'y appartenir. Peut-être que je n'y appartiens plus tout compte fait. Je ne faisais plus partie. j'avais abandonné tout le monde. Ma famille et ma meilleure amie en premier. J'avais tout laissé derrière moi pour recommencer à nouveau, ne donnant aucune nouvelles. Six mois sans nouvelles. C'est pire que la dernière fois. Je m'en veux. Je n'ai jamais voulu devenir une personne qui en avait plus rien des autres. Seulement, c'est vrai que en fait… Je ne voulais pas repenser à cet accident. Cet accident après les fashion weeks. Les images sont encore dans ma tête. Ce bain de sang dans lequel j'avais finis. J'ouvre difficilement les yeux et regarde l'heure sur mon réveil. 8h30. Je grogne. Trop tôt. Je veux encore dormir. Logann n'est toujours pas là. Je n'ai toujours pas trouvé de maison de toute façon. Il serait peut-être temps que je me mette sérieusement à chercher. J'aimerais bien ne plus vivre à l'hôtel. Je le fais déjà la moitié du temps avec mon travail, pas besoin de faire durer les choses encore plus en-dehors. D'ailleurs, je crois que j'ai rendez-vous avec l'agence immobilière aujourd'hui pour voir les différentes offres qu'ils peuvent me faire. Sauf que je sais plus quand c'est. J'ai la tête ailleurs depuis hier. Je vais revoir Ryan aujourd'hui. Je ne sais absolument pas à quoi m'attendre. Cela fait tellement longtemps qu'on s'est plus parlé, plus vu, plus rien du tout en fait. Depuis que j'étais partie en fait. Elle m'en veut. Je le sais. Qui ne m'en veut pas de toute façon? J'ai été égoïste ce jour-là. Ce jour où nous avons décidé de quitter à jamais la ville en nous promettant de jamais revenir. Et finalement, je n'avais même pas pu tenir cette promesse-là. J'étais obligée de revenir. Je n'avais pas encore fini de vivre ma vie ici. C'est pour ça que je suis revenue. je l'ai convaincue de retourner avec moi, malgré toutes nos attaches à New York, malgré notre vie. Et si je finissais par rechuter. Je me le refusais. Une fois a été assez, je ne veux pas revivre la même chose que l'an dernier. Je ne peux pas le revivre. Cela me fait carrément mal d'y penser. Plus jamais, je me laisserai emporter par cette instabilité. Je veux réussir pour une fois. Je veux réussir à la combattre. Je me lève doucement et me dirige vers mon armoire. Je sais même pas quoi faire là. C'est trop tôt. Je grogne à nouveau. J'enfile un short rapidement et un t-shirt rapidement. Mon téléphone sonne. Je regarde le nom qui venait de s'afficher. Logann. je devais m'en douter. Il m'appelait tout les jours depuis que j'étais montée dans cet avion pour la côte Ouest, le laissant tout organiser sur la côte Est. Je voulais le retrouver, être dans ses bras, retrouver ce confort et cette sécurité qu'il m'apporte. Je souris, répondant à toutes ses questions, lui disant qu'il me manque et que je voulais qu'il arrive le plus rapidement. Il me demanda si j'avais revu des gens. Je me mordis la lèvre. En vérité, je n'avais revu personne. J'étais plus occupée à chercher un logement pour nous et aussi à discuter avec les nouveaux gérants de la maison de disque familiale. Depuis que mon père avait également quitté la ville pour Londres, il y avait de nouvelles têtes dans la maison de disque, et je vous avouais que j'aimais bien que les idées de mon père soient respectés alors entre ça et les maisons, j'étais plutôt occupée. Cependant, il n'y avait pas juste cela. Je m'étais tellement habituée de n'être qu'avec Logann et mes amis de New York qu'en ce moment, je me sentais toute nouvelle dans la ville californienne. Il faudrait un peu de temps pour que je retrouve l'habitude de vivre ici. Je ne lui montrais pas que je me sentais seule sans lui. Il n'avait pas besoin de s'inquiéter pour moi. Je ne voulais pas qu'il se précité à venir pour me tenir compagnie avant d'avoir complètement terminé les papiers de déménagement à New York. Après plus ou moins une heure et demi d'appel, je lui dis au revoir et que je l'appellerai surement plus tard quand j'aurais visité les maisons. Je savais exactement ce que je voulais mais je ne semblais pas trouver la maison appropriée. Je finirais bien par trouver. Je jeta mon téléphone sur le lit avant de me laisser tomber dessus. Un soupire échappa mes lèvres. J'étais exténuée. Je n'avais pas beaucoup dormi la nuit dernière. J'appréhendais tellement cette journée. Revoir ma meilleure amie après tant de temps. Peut-être que ce n'était pas une si bonne idée. Mais j'en avais besoin. Je devais m'excuser auprès d'elle. J'entendis mon ventre grogner. ouais, il serait peut-être temps que je mange. J'enfile une paire de ballerines, prend mon sac et mon téléphone puis sors de l'hôtel. Je me rendis dans un petit café que je ne connaissais pas. Il devait avoir ouvert quand je n'étais pas là. Avant mon départ, je connaissais quasiment tout par coeur. A ma première arrivée dans la ville, je m'étais amusé à visiter chaque rue et chaque recoin de la ville. Aujourd'hui, je ne la reconnaissais quasiment plus. Tout change au fur et à mesure du temps. La journée se passe rapidement. Je n'avais même pas vu 17h arriver. Ryan finissait au studio. Je me dépêchais de m'y rendre. Je ne voulais surtout pas la rater. J'arrivais au studio, saluant les gens et attendit dans le hall. Je ne voulais surtout pas me sentir l'envahir. C'était à elle de décider si elle voulait toujours de moi, même au fond, j'espérais sérieusement que cela soit le cas.


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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 7 Juin - 2:59

    Cela faisait bien plus de cinq heures que je me trouvais là, et c'était à peu près pareil tous les jours depuis quelques semaines déjà. Jamais je n'avais passé autant de temps en studio alors qu'on était déjà en post-production. Cependant, j'en avais besoin. Besoin de m'occuper constamment afin de m'empêcher de trop penser. Depuis le départ d'Andreas, c'était désormais tout ce que je savais faire : Travailler, travailler et encore travailler. Je travaillais autant que je pouvais, je m'occupais même du job des autres. De toute façons ils travaillaient sur ma musique alors autant le faire moi-même. Ce jour-là, j'avais de nouveau du écouter l'album après un mixage...Et de nouveau fait de mon mieux pour contenir mes larmes sur la piste 7. Celle d'Andreas. Celle où je chante avec Andreas. Je n'aimais pas pleurer, encore moins publiquement, mais mon producteur savait très bien ce qu'il en découlait.

    "Tu es sûre que tu veux la garder?", m'interrogea-t-il une énième fois.

    "Certaine", je répondis une nouvelle fois, du tac au tac.

    Cette chanson, je la voulait et j'y tenais, même s'il n'était désormais plus avec moi. L'idée me trottait en tête depuis longtemps. Et le connaissant, connaissant son histoire avec la scène, je n'osais jamais lui demander. Et un jour je l'ai fait. Et il a accepté. Et cela a bizarrement été l'un des plus beaux jours de ma vie. Ceux qui me connaissent peuvent témoigner de ce que représente pour moi la musique. Ma musique. Et à ce moment-là, je n'avais plus que deux choses dans ma vie : ma musique et Andreas. Maintenant, je n'ai plus que ma musique. La vie m'avait peu à peu enlevé tous ceux qui comptaient pour moi : De ma maman à Kyler en passant par Imogen. Imogen.
    Justement, la voici de retour à San Francisco. Visiblement heureuse, fraîche et mariée.

    Elle a débarqué comme ça, du jour au lendemain, après des mois et des mois de disparition. En fait elle est réapparue comme elle avait disparu, juste après que l'on se soit enfin "réconciliées", si j'ose dire, et promis de ne plus jamais se séparer de la sorte. Paroles en l'air... .
    Je lui en voulais, c'était clair.
    J'ai tout fait pour elle. Imogen et moi étions comme deux doigts de la main. Je lui dois énormément aussi, ça c'est certain. Après tout, c'est grâce à elle que ma carrière a pris un tournant, par exemple. Je sais que j'ai toujours pu compter sur elle en cas de pépin, ou au besoin d'une épaule sur laquelle pleurer, ou juste pour me confier, ou simplement pour sa présence. Nous étions bien toutes les deux. Même lorsqu'il s'agissait de rien faire. Et malgré ses troubles disons...Psychologiques? Notre relation a toujours été forte, rien ne l'a jamais entravé. Enfin jusqu'à ce qu'elle s'en aille à New York pour la première fois. Cette période où tout San Francisco l'a haïe. J'ai continué de croire en elle, et je lui avais bien fait remarquer. Mais bizarrement, je me suis fait insulter également par ma prétendue meilleure amie. Je savais bien qu'au fond, ce n'était pas elle qui parlait, elle ne pensait pas vraiment ce qu'elle disait, voilà tout. Malgré ces paroles blessantes, j'ai pris sur moi, et laissé passer la tempête. Cela semblait s'être calmé, mais c'était sans compter l'apparition de son ex dans ma vie sentimentale. Son ex, Andreas. Rien n'était prévu, et si on m'avait dit qu'un jour je finirais avec lui, j'aurais ri. Il était presque un inconnu pour moi, je ne le connaissais que comme "le mec de Imo", puis "le pote à Ole" et puis "l'ex de Imo"...Et j'avais encore d'autres personnes en tête à l'époque...Mais voilà les choses ont fait que nous avons fini ensemble, que Imogen m'a promis que bien que ce soit dur pour elle (ce que je peux comprendre, bien qu'elle n'ait pas eu de mal à refaire sa vie, elle), c'était ainsi, et j'aurais aimé qu'elle soit juste un peu heureuse pour moi, au lieu de ne pas manquer une seule occasion de me montrer à quel point elle haïssait Andreas et le fait qu'on soit ensemble. Bref, voilà, en amitié, on fait des concessions, j'en fait bien plus que quiconque ne l'imagine et je l'ai toujours fait, mais quand les choses ne vont pas dans le sens qu'elle entend, Imogen ne se gêne pas pour le clamer haut et fort. Et puis après quelques temps de crise, une réconciliation, la voilà disparue de nouveau. Et moi seule. Seule, sans personne avec qui trainer, avec qui partager des choses, juste parler, c'était trop de demander? Je conçois bien qu'une personne puisse vouloir changer de vie mais partir comme ça du jour au lendemain sans plus jamais donner de nouvelles? Je me sentais comme une merde. Inutile. Personne n'avait besoin de moi, personne ne demandait après moi, j'aurais pu crever que personne ne s'en serait rendu compte.
    Durant tout ce temps j'aurais tellement voulu avoir mon amie à qui je pouvais parler, confier mes états d'âme...Même à distance. Au lieu de ça je n'avais rien. Personne. Je ne savais même pas si elle était toujours en vie, toujours sur cette planète.
    Certes, j'avais Andreas, mais ma vie ne tournait plus qu'autour de lui et je dois avouer que cela ne me plaisait guère.

    Ce retour soudain de Imogen m'a au départ enthousiasmée, avant que tout ne retombe. Inconsciemment je lui en voulais, et ... j'avais peur. D'un nouvel abandon probablement, de nouvelles promesses en l'air. En fait je n'attendais plus rien. Pour sûr mon amie me manquait plus que jamais, pour sûr j'étais émue de la revoir. Mais il y avait aussi comme quelque chose qui m'empêchait de vivre ce retour comme je le devrais. Une sorte de carapace. Ou une barrière émotionnelle ou...quelque chose comme ça.

    "Dave, je vais prendre l'air, je reviens dans la soirée", lançai-je à l'adresse de mon producteur. Celui-ci me répondit vaguement de rentrer chez moi me coucher plutôt que de revenir, mais nous savions très bien l'un et l'autre que je retournerais au studio pour une nouvelle veillée nocturne. Il fallait bien que j'occupe mes insomnies autrement qu'en m'abrutissant devant la tv.

    Je pris mon portefeuille et mon téléphone portable dans mes mains et me dirigeai vers la sortie du bâtiment, où Imogen m'attendait probablement. L'ascenseur s'ouvrit sur le grand hall des studios qui portaient son nom. Et je la vis. Toujours aussi resplendissante, voire plus. Je sentis mon nez me piquer. Voilà, l'émotion. Mais je n'allais pas pleurer. Sûrement pas... .

    Après une profonde inspiration, je me dirigeai vers elle d'un pas déterminé et le plus détendu possible. Arrivée à sas hauteur, rien d'autre qu'un long silence se produisit.

    "Imogen...", délarai-je en guise de salut.
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