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 » Christina&Alekseï ϟ Wanna do bad things with you (-18)
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Sam 24 Sep - 17:54


« LET ME PUT MY LOVE
INTO YOU »

« CAUSE YOU'RE HOT»

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AND I'M BAD


    San Francisco. Sa folie, sa décadence dissimulée : ses mariages organisées si rapidement, ses enfants apparaissant si rapidement : Alekseï regrettait un peu sa Russie. Là-bas, les femmes n'étaient pas aussi emmerdantes, et à côtoyer et à tirer. Néanmoins, il parvenait à accomplir son business, s'employant à dissimuler ses activités pour que le Kremlin de la mafia rouge n'en vienne pas à recevoir un rapport gênant. Agent double, ou simple homme désireux de faire les choix les mieux à même de lui convenir. Il dealait, à peine, employant des coursiers. Il échangeait des armes (AK, principalement) contre des liasses de billets. Et il faisait chanter gaiement le pouvoir en place dans la ville. Sa seule faiblesse étant son impulsivité, Alekseï évitait les contacts humains. Ne s'en préoccupant que lorsqu'il avait besoin de baiser. On pouvait aisément le prendre pour un animal, une bête russe, mais il avait le mérite de ne pas au moins se fourvoyer dans des relations romantico-dégueulasses. Plus d'une, à la Mère-Patrie, avait essayé d'être sa régulière mais en vain. La soirée débutait à peine et il projetait, pour une fois, d'être dans les ruelles du quartier : Russian Hill, un nom de rêve pour lui. Il souhaitait faire le tour de certains "clients", histoire d'avoir les dettes réglées. Le retard de payement étant assigné à la condamnation de quelques fractures. Cela lui permettait aussi d'aimer la sensation de se sentir dangereux. De voir les pickpockets, les taggeurs, à la tombée de la nuit, n'osant pas s'approcher de lui. Alekseï ne comptait pas agir comme un rédempteur mais plutôt comme un fléau à San Francisco. Lorsqu'il avait entendu un viol, il s'était contenté de sourire en se disant que la nana aurait pour une fois quelque chose d'excitant dans sa vie sans avoir à fonder une famille. Il quitta son appartement.

    Vivant au sixième, le russe aurait apprécie l'emploi de l'ascenseur mais pour l'énième fois de ce mois, il ne répondait pas à l'appel, en panne. Il ne lui restait plus qu'à s'engager dans les escaliers, clope au lèvre. A la moitié du parcours, il eut l'agréable surprise de côtoyer Christina. Du regard, elle l'allumait déjà, étant en manque d'une dose. Son dealeur favori s'éclipsait et cela l'ennuyait. « Ibanez.. Je ne m'attendais pas à une visite de courtoisie de ta part, cette nuit. A croire que bientôt tu ne pourras plus te passer de moi. » Il était obligé de baisser un peu son regard, détaillant le corps, les formes de la mexicaine. Elle était à se damner, physiquement : octroyant aux pupilles du russe un plaisir sans conteste. Il entrouvrit un peu sa veste, laissant apparaître quelques sachets à même de faire du bien à la strip-teaseuse. Ce pour quoi elle était venue. Joueur, le dealeur ressentait les morsures de la tentation tout en souhaitant y résister. Pour la forme, pour le plaisir. « C'est cela que tu veux, n'est-ce pas? » ajouta-t-il avant de refermer sa veste. Il relâcha la fumée grisâtre un peu à l'écart, et d'une main il attira la catin tout près de lui. Elle était sexuelle. Elle était bandante. Ses doigts s'égarèrent, de son dos à ses fesses. « A cinq minutes près, tu aurais eu ta dose. Bonne soirée. » Un léger sourire au coin des lèvres, il la fit se décaler un peu de son passage, continuant sa descente : la nuit l'attendait. Christina devait rêver de remonter dans son appart', histoire de s'envoyer au paradis de différentes manières. Il y avait trois étages à descendre, trois étages à monter : pour Alekseï, le jeu ne faisait que commencer.


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Anonymous
Invité
Invité
Sam 24 Sep - 22:58

» Christina&Alekseï ϟ Wanna do bad things with you (-18) Tumblr_lrzzj5DEPo1r10nbyo1_500

    « Je te veux ». Je souris en coin regardant le client qui semble assoiffée par l’envie de me baiser. Le bout de mes doigts file le long de ma coiffeuse alors que mon regard se reporte sur l’homme. Taquine, je passe ma langue sur mes lèvres en le fixant. Il ferme la porte de la loge derrière lui, prenant soin de s’adosser à celle-ci défaisant d’un cran le nœud de sa cravate. Je m’approche telle une féline, avant de me stopper à sa hauteur. Ma tête se relève légèrement, mon attention se figeant un peu plus sur mon client. Je pose une main sur son torse la laissant divaguer jusqu’à son bas ventre avant de me stopper net. Je me recule dans le fauteuil de velours rouge présent derrière moi. Relevant mes cuisses de part et d’autre de ce dernier, je passe une main sur celles-ci avant de relever d’un cran ma jupe, découvrant mon intimité aux yeux du client. Ce dernier s’approche sourire salace se dessinant au creux de ses lèvres avant de se baisser pour déposer un ou deux baisers humides au creux de mes jambes. Je le laisse faire sans broncher alors que sa langue vient lentement se poser contre le sommet de mon intimité. Je soupire d’un cran le fixant dans les yeux sous sourciller. Il attise mon envie, une de mes mains se resserrant sur le fauteuil. Il se fait plus taquin cherchant à obtenir toujours un peu plus de moi. Sa langue monte et descend avant de se hisser un chemin au creux de mon intimité. Je laisse échapper un gémissement, mordant avec volupté ma lèvre inférieure. Son majeur vient remplacer sa langue entamant un mouvement d’abord lent. Il se stoppe me fixant avant de reprendre de plus belle. Ma main se pose sur son poignet le forçant à augmenter la cadence, mon corps à présent habitué à accueillir une violence plus forte. Je penche ma tête en arrière le laissant prendre possession de moi tendant mon bras sur le côté pour saisir ma petite boîte à bonheur, je l’ouvre tant bien que mal remarquant l’absence de ma dose. Shit. En une fraction de seconde plus rien n’a d’importance et encore moins ce que ce mec est entrain de faire subir à mon entre cuisse. Je n’ai plus de coke et je ne passerais pas la soirée sans. Me relevant d’un bond, le poussant sur le côté je replace ma robe sans remettre ma petite culotte. Le client me serre le poignet en me regardant. « A ton tour » qu’il me dit en baissant son regard sur la bosse déformant son jean. « Je n’ai pas de temps à perdre pour…ça ». Appuyant expressément sur le dernier mot, je me tire de la loge sans me retourner. Le manque commence à se faire ressentir, ma main droite tremblant au moment d’allumer ma clope.

    Errant dans les rues de San Francisco où la nuit vient de s’installer, je regarde les gens défiler sous mes yeux sans vraiment réagir. Des mecs à moto me sifflent, d’autres passent à côté m’affublant de surnoms salaces. Je presse le pas en direction de l’immeuble du russe. Mon dealeur doit me fournir rapidement et sa trique elle viendra se caler entre mes reins pour finir le boulot. Arrivant dans la cage d’escalier, j’écrase ma clope au sol à l’aide de mon talon aiguille m’affairant ensuite à grimper les marches à vitesse folle pour retrouver l’homme. Je le croise en chemin là debout à me fixer comme un félin toiserait sa proie. Je mords légèrement ma lèvre inférieure, gonflant volontairement ma poitrine généreuse pour réveiller ses sens. Il tire une dose de nicotine sur le bout de ses lèvres continuant de me regarder, avant de prendre la parole. Il le sait. Il joue avec moi, sachant pertinemment pourquoi je suis ici. il ouvre sa veste de cuir déployant des sachets de poudre blanche : le nirvana. J’observe avec attention le corps du russe salivant presque ne réclamant qu’une chose à présent : m’envoyer une traînée de poudre et partir dans un coin pour planer sereinement. Il me passe devant me snobant presque estimant que l’heure est passée pour l’apprivoisement. Bastard. Je dévale les escaliers le rattrapant avant de me placer devant lui penchant ma tête sur le côté. Mon index taquine mes lèvres alors que brusquement je décroche sa ceinture ouvrant les boutons de son pantalon. Il me regarde un léger sourire en coin. Je ne dis rien, me mettant à genoux. Le sol est froid et dur, peu m’importe sur l’instant je baisse d’un cran son vêtement extirpant son membre de son boxer sans prendre le temps de baisser ce dernier. Mes mains s’enroulent autour de sa masculinité entamant un mouvement de va et vient. Je le regarde dans les yeux au moment où il serre légèrement les dents. Je continue en regardant sa trique prendre de l’ampleur. Ma bouche vient alors remplacer le mouvement, accueillant son sexe profondément. Je pose mes deux mains sur ses cuisses pour me donner un appui certain. Ma bouche accueille un peu plus sa trique alors que mon menton se relève petit à petit pour le fixer à mesure que j’enfonce sa queue dans ma gorge. Une sensation d’étouffement me prend à la poitrine. Je baisse le haut de ma robe libérant ainsi mes seins gonflés de désir. D’une main j’en malaxe un, alors que ma bouche continue d’irradier de haut en bas sur le sexe imposant du russe. Ses mains se serrent dans mes cheveux les tirant par moment. Je ne faiblis pas l’intensité de mes mouvements. Mes mains prennent possession de sa masculinité entament des allers retour énergiques, mon regard se reportant dan les yeux avides de désir du dealeur. Ses mains viennent pousser contre ma tête, me forçant à reprendre son sexe dans ma cavité buccale. Je ne bronche pas acceptant, ma langue s’appuyant contre son gland rougi de désir. Je l’aspire le faisant totalement disparaître entre mes lèvres, le reste de sa trique suivant le même chemin. Mes mains remontent sur son ventre le griffant au passage quant à ma bouche elle se fait plus féroce contre le sexe de l’homme. Je suis complètement ailleurs. Ma bouche se stoppe. Je le regarde remontant en frôlant son sexe avec ma poitrine avant de la claquer contre, la pointe de mes tétons buttant contre ce dernier. Je me redresse complètement regardant le russe. Face à lui, statique ma main regagne son sexe reprenant des mouvements de va et vient à une cadence plutôt forte. Il se crispe entre mes mains, serre les dents sous l’effet du plaisir que je suis en train de le procurer. Je souris en coin arquant un sourcil avant d’arrêter. Je me recule m’adossant à la rambarde ma poitrine encore dénudée. « Et maintenant, la dose est possible ? ». Je le fixe avant de m’allumer une clope, en tirant nerveusement dessus attendant qu’il me tente la poudre magique.

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