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 nathan stevenson & manon lebourgeois
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Jeu 20 Oct - 18:33

nathan stevenson & manon lebourgeois 651172tumblrlj1svm92zn1qb1eb9o1500
ne te laisses jamais avoir à ton propre jeu de séduction...

Ce que j’ai essayé de fuir du mieux que je peux me rattrape. Ici, saoule, totalement désemparée, et congelée. Assise sur ce petit muret de pierre glaciale je ne vois pas d’autres options. J’inspire profondément, plonge mes mains dans ma poche, une toute dernière fois pour être certaine que mes clés ne s’y trouvent pas. Rien. Je soupire, repousse une mèche brune en arrière et m’empare de mon téléphone dans l’autre poche. Je presse les touches tactiles pour faire défiler la liste des noms du répertoire et presque automatiquement, je m’arrête sur son nom. Ce petit surnom ridicule. Je déteste donner des surnoms, des diminutifs aux gens, aux hommes surtout. C’est comme si attaché un petit peu. C’est tout ce que je refuse. Je presse le bouton appel, en fixant la photo qui s’affiche sur l’écran. Sa belle gueule. C’est ce qui m’a plu en premier. Ce physique à tomber par terre, quelle fille pourrait dire honnêtement ne pas être sous le charme de cet homme aux traits graves mais si doux à la fois. Pourtant je me souviens qu’en m’engouffrant dans l’ascenseur qui nous a poussé à nous rencontrer, c’est son parfum qui a attiré mon attention. La virilité mélangé à la douceur, l’homme, ça sentait l’homme, et ce parfum m’enivre à chaque fois de la même façon, même en ayant si bien appris à le respirer régulièrement. Finalement, avant que la première sonnerie ne se fasse entendre, je raccroche. Je dois m’y tenir cette fois-ci. A quoi tout ceci rime t-il vraiment ? Je me lève, brusquement, un peu trop pour mon état d’ébriété puisque je me sens prise d’un vertige. Je soupire doucement, prise à mon propre piège. Le but de cette soirée alcoolisée, oublier ses grands yeux bleus et sa tendresse malsaine. M’abandonner dans les bras d’un autre, me laisser vivre, me laisser porter par la musique et l’alcool censé se répandre dans mes veines comme un poison délicieux. Au lieu de ça, je ne tiens plus vraiment debout, je le sais, je suis saoule, je rigolais toute seule il y a quelques instants, je suis si imprudente que j’ai perdu mes clés de voiture, et c’est lui que j’ai envie d’appeler, là, maintenant. Recommencer ce petit jeu, je le fuis avec détermination à chaque fois et je retombe dans ses bras, je fais mine de ne pas avoir besoin de lui, je fais mine d’être le maître du jeu et je prends plaisir à jouer à ce petit jeu malsain, je lui murmure qu’il n’est rien pour moi, je rigole à ses marques d’attention et pourtant seul un aveugle ne verrait pas la façon dont il sait si bien me déstabiliser avec ce genre de réactions.
Je grelotte, j’hésite, je marche quelques pas, j’ôte mes talons hauts, je fais machine arrière, je me freine avant de m’asseoir sur la murette qui glacera mes fesses. Je fixe les gens qui s’acheminent de la sortie de la boîte de nuit vers leur voiture, certains sont trop ivres pour marcher seule, des couples s’embrassent langoureusement, bien trop pressée pour attendre d’être à l’abris des regards, un homme se rue dehors et court derrière la voiture d’une femme blonde qui démarre en trombe, criant son nom et des excuses inaudibles tant sa voix est touchée par le trop plein d’alcool dans son sang. Je rigole, puis les notes de la musique bien trop forte de l’endroit se faufile à l’extérieur, à chaque fois que la grande porte noire s’entrouvre. Je chante quelques notes, je n’essaie même pas de trouver une solution. Un taxi me coûterait trop cher, je n’ai pas le moindre centime sur moi à cet instant même. Je n’ai nullement la force de marcher une dizaine de kilomètres et dans le fond je sais déjà par quel biais je vais finir par me débrouiller. Je sais que je vais finir par composer son numéro, l’appeler à l’aide, lui, et pas un autre. Pas parce qu’il est le seul sur qui je peux compter mais juste parce que c’est son odeur que j’ai envie de respirer, son cou que je veux dévorer, son corps que je veux sentir contre moi, bouillant pour me réchauffer. Les minutes défilent, et finalement je ne tiens plus. A quoi bon chercher à lutter. Je sais que je vais craquer, autant que ce soit dès à présent. Je m’empare de mon téléphone, et presse le bouton appel. Je porte le combiné à mon oreille, et attends patiemment, que les tonalités défilent et que finalement elle cesse pour un silence que je ne laisse pas le temps de s’installer. Je ne le laisse pas parler, de ma voix douce, je lâche un flot de paroles que je ne contrôle même plus. « Nate. Euh, Nathan, enfin on va pas s’embêter pour un surnom, même si je déteste donner des surnoms aux gens comme tu le sais, c’est pas non plus comme si je t’appelais Choupinou ou Chéri quand même… Enfin, je t’appelle pas pour ça, je m’excuse, je sais qu’à ce moment précis tu n’as qu’une envie, m’assassiner, de te réveiller à quoi ? Deux heures du matin ? Plutôt cinq même ? Et je sais aussi que toi tu travailles demain mais… J’ai perdu mes clés. Et je suis saoule, un petit peu, j’ai pas trop bu non plus… Dis, est ce que s’il te plaît tu peux venir me chercher ? Je… J’ai… J’ai envie de te voir, pourquoi hésiter, après tout, c’est la vérité, s’il te plaît Nate... Nathan, est ce que tu peux passer me prendre ? J’ai froid… » Pas vraiment de sens, tout se mélange dans mon esprit, l’alcool monte encore, à moins que ce ne soit la gêne, mais inhibée, elle finira par ne plus laisser aucune trace… Je me tais. J’écoute sa respiration à l’autre bout et même si jamais je ne l’avouerai, c’est bon de l’entendre.
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Sam 22 Oct - 0:35

nathan stevenson & manon lebourgeois LORD20 nathan stevenson & manon lebourgeois 18kocg
« Le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder » - Épisode 1X01
Ft. Manon & Nathan

Ça avait été une vraiment longue soirée. Nathan n’était pas le genre d’homme que les autres pensaient qu’il était. Certes, il était un salaud et un coureur de jupons, mais il était aussi quelqu’un de peu fréquentable, quelqu’un qui ne s’attache que très rarement, quelqu’un qui s’attache aux personnes qu’il ne faut pas. Sa demi-sœur, Mary. Il y avait ces deux femmes, les deux seules femmes dont il avait été capable d’un amour. Un amour malsain et un amour sincère. Il les avait perdus tous les deux et avait décidé de ne plus s’attacher à qui que ce soit. Nathan se comportait comme le dernier des salauds, couchant avec des femmes à droite et à gauche et quand il était question de sentiments, il ne se gênait pas pour les jeter. L’amour. Ce n’était plus pour lui. Il n’avait plus envie de s’attacher. Il y avait pourtant Manon. Attention, il n’était pas amoureux, mais elle était une amante régulière, une femme qu’il n’avait pas envie de cesser de voir. Elle avait une certaine emprise sur lui, elle était la seule à le dominer de la sorte, la seule à faire naître des envies aussi fortes en lui. Jeune femme délicieuse. Il la désirait ardemment, il aimait de plus en plus sa compagnie. Attaché sans qu’il ne s’en rende réellement compte. Elle lui filait entre les doigts, il n’aimait pas cela.

Ce soir, il avait travaillé très tard. Il avait des affaires à régler. Des affaires illégales. C’est très tard qu’il était arrivé à gagner le sommeil. Sommeil mouvementé. Il rêve de sa sœur, qu’il l’a prend dans ses bras, qu’il laisse ses doigts parcourir son corps. Une mauvaise chose, une chose malsaine dont il a envie. La sonnerie. Il ouvre les yeux. Le souffle court. Il râle et cherche rapidement son téléphone qu’il plaque contre son oreille. Voix enrouée. « -Allo?» Il referme les yeux et la voix de Manon se fait entendre. Nathan ne bouge plus, il écoute la demoiselle à la voix un peu molle. Elle semble saoule, elle a surement bu pour lui téléphoner à une heure aussi matinale. Il écoute ce que la demoiselle lui raconte, des mots qui défilent à une allure folle, elle dit n’importe quoi. Il ne dit rien depuis tout à l’heure, depuis qu’il a répondu.

    « -T’es où? J’arrive.»


Après lui avoir dit où elle se trouvait, il fermait son portable et enfilait un jeans, un t-shirt blanc. Passait en coup de vent dans la salle de bain et prenait rapidement sa veste de cuir pour sortir et se diriger vers sa voiture. Il était encore endormi. Il se met donc en route vers le bar que venait de lui dire la jolie brune. Ce ne fut pas long avant qu’il ne l’aperçoive dehors, posé sur ce petit muret et vêtu de vêtements légers. Il se stationne sur le bord de la route et sort de sa voiture, ses cheveux sont encore en bataille et il fait quelques pas vers elle. Nathan s’arrête tout juste devant elle, son regard bleu se pose directement dans le sien. Il n’est pas d’humeur joueuse, ses deux mains se posent à côté d’elle sur le muret alors qu’il se penche lentement vers elle. Son regard ne quitte pas le sien, il la regarde.

    « -Une chance que tu as perdu tes clefs, sinon j’aurais vu ta tête dans le journal pour annoncer que tu es morte.»


Loin de plaisanter il la regarde et fini par se reculer, il l’attrape doucement par le bras et la fait entrer dans la voiture du côté passager. Il prend place une nouvelle fois derrière le volant et ouvre le chauffage parce qu’elle tremble encore de froid. Le brun remet le contact sur sa voiture alors qu’il se met en route vers chez lui. Le jeune homme ne lui demande pas son avis, elle prendra un taxi demain matin ou quand elle se lèvera. Peu importe.

    « -On va chez moi. Tu prendras un taxi demain matin quand tu te réveilleras.»


Nathan ne lui demandait pas son avis et ne lui demandait pas si elle était d’accord. Elle lui avait téléphoné alors il décidait de ce qu’ils allaient faire. Une fois dans sa cour, il lui ouvre doucement la porte et la laisse entrer dans sa maison. Il retire son manteau et pose ensuite son regard sur elle.

    « -Tu disparais pendant des jours, tu ne me parles plus, tu ne me réponds plus et tu décides de m’appeler à cinq heures du matin? C’est vrai que les femmes sont complexes, je pense que tu en es un exemple parfait Manon. »

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Sam 22 Oct - 21:43

nathan stevenson & manon lebourgeois 651172tumblrlj1svm92zn1qb1eb9o1500

Une chose est certaine, c’est un sentiment étrange qui me submerge lorsque sa silhouette se dessine enfin dans la pénombre. Quelques minutes à peine après qu’il est répondu qu’il arrivait, il s’avance vers moi, et le froid paralyse si bien tous mes membres que je reste assise sur la murette, fixant sa démarche gracieuse et virile à la fois. Cet homme a tout, une belle gueule, une assurance à toute épreuve mais surtout un charme qui a la fâcheuse tendance de trop bien agir sur moi. Rapidement son corps se déplace en ma direction et en quelques secondes à peine, il se penche vers moi et son parfum enivre alors mes narines. C’est étrange en réalité l’effet que cet eau de toilette provoque en moi, j’en deviens folle rien qu’en sentant cette odeur qui le caractérise si bien, mais s’il arrive qu’un autre homme le porte, alors l’effet s’estompe immédiatement. Ce parfum ne convient qu’à Nathan, n’est qu’à Nathan, dans mon esprit, c’est ainsi et non autrement. Son haleine mentholée se confond avec l’air glacial qui frôle mon visage, et j’ai tout simplement envie de déposer mes lèvres sur les siennes, de mélanger nos salives, de lui sauter au coup, de l’embrasser furtivement puis passionnément afin de faire naître le désir qu’il peut avoir pour moi, et qui je le sais n’est pas longtemps caché derrière une apparence froide. Mais malgré que l’image de nos deux corps fusionnant emplie mon esprit, il m’est incapable de bouger. Comme si je n’étais plus vraiment maître de mon corps, l’effet de l’alcool sans nul doute. Un petit sourire presque innocent se dessine sur mes lèvres lorsqu’ils laissent s’échapper des siennes quelques mots. Je le fixe intensément, son regard bleu pourrait facilement me déstabiliser si l’alcool ne me rendait pas encore plus forte qu’à mon habitude. « Une chance surtout que tu m’adores au point de te déplacer à cinq heures du matin pour m’éviter une fin triste. » Je ne lutte pas lorsque son bras s’empare de mon poignet pour m’aider à m’engouffrer jusque dans sa voiture. J’y suis souvent monté, nous avons d’ailleurs à plusieurs reprises sauté le pas dans celle-ci, bien trop pressés pour arriver à son domicile. Je serai totalement incapable d’en décrire le modèle, ce n’est pas le genre de chose qui m’intéresse particulièrement mais je sais pertinemment que son parfum y règne en maître et que dans la boîte à gants, des préservatifs séjournent. Je ne suis certainement pas la seule fille qu’il transporte dans son véhicule, qu’il caresse ou embrasse à l’intérieur pourtant cette idée me met hors de moi, sans vraiment comprendre pourquoi, et je chasse rapidement cela de mon esprit, afin de simplement profiter de ce moment. Il met le contact et la voiture roule rapidement jusqu’à chez lui. Je le fixe pendant qu’il conduit avec une réelle satisfaction. Il est venu. Il est là, tout près de moi, et je sens le désir qui naît en moi et augmente à chaque fois que ses sourcils se froncent, que sa respiration se fait entendre. La température de mon corps augmente de nouveau, grâce au chauffage qu’il vient d’activer mais pas seulement, sa présence, cette flamme qu’il anime. Je n’ai à présent qu’une envie, dévorer ses lèvres pulpeuses. Mais je me retiens, on m’a toujours dit que faire attendre le plaisir l’intensifiait. Et même si je n’ai nullement besoin de l’intensifier tant c’est toujours bon avec Nathan, je prends tout de même mon pied à repousser mes limites. Je glisse ma main dans sa nuque mais il ne se déstabilise pas, prenant soin de me préciser le lieu de notre destination. « Oui, monsieur. » Je souris, mais ne le quitte nullement du regard, jusqu’à chez lui…

Son corps se dévoile dans des vêtements un peu plu saillants lorsqu’il ôte son manteau, et mes yeux se focalisent alors sur son torse particulièrement musclé. Ce n’est qu’un appel au désir, c’est certain, je n’ai qu’une envie, lui sauter dessus, sans hésiter, dévorer de mes lèvres chaque centimètre de sa peau brûlante, faire vibrer son être jusqu’à l’extase. M’envoyer en l’air, là, maintenant, dans l’entrée, contre le mur, sur le meuble en bois, ou bien dans n’importe quel endroit de cette maison. Mais ce sont des mots plus que des gestes qui émanent de sa personne, de nouveau. Je souris doucement, retire moi aussi la veste que je porte et la pose délicatement sur un coin d’un des nombreux meubles. Vêtue d’une petite robe noire, moulante à souhait, et courte au possible, je repousse ma longue chevelure brune en arrière et passe mes bras autour de son cou. Je plonge mon regard dans le sien quelques secondes, et le fixe un instant avant de répondre d’une voix légère, douce, et pleine de sensualité. « Nathan, si je n’étais pas complexe, si je n’étais pas en train de te fuir, réponds moi sincèrement, tu serais venu me chercher ? Tu aurais accepté de me revoir après une nuit torride ? Ou bien tu serai passé à la prochaine ? » Je l’interroge du regard, colle mon être entier contre le sien, ma poitrine se blottit contre son torse, tandis que la chaleur de nos corps s’entrechoquent. J’approche mes lèvres de son visage, doucement, sans le quitter des yeux, puis dépose furtivement celles-ci sur un coin de sa joue, avant de me détacher de lui, brusquement. Je m’engouffre dans le salon, sans même demander la permission et allume une bougie posée sur la table avant d’éteindre totalement la lumière sous son regard sûrement surpris. « Je trouve cela beaucoup plus sensuel de faire l’amour à la lueur d’une bougie… Pas toi ? » Dis je en me retournant vers lui. Je fais marche arrière et atteint de nouveau sa hauteur, avant de m’emparer du bat de son pull pour le remonter sur son torse. « Tu sais Nathan, si je pars et que je reviens tout le temps, c’est parce que je ne peux pas faire autrement. C’est con, mais, j’ai besoin de toi. » Une alarme de prévention aurait du retentir dans mon esprit, mais les mots sortent tout seul, l’alcool ne me permet plus de lutter forcément. Ma main glisse sous son haut, mes doigts propagent une onde de fraîcheur sur son torse brûlant. J’avale ma salive tout en me rapprochant de lui petit à petit, jusqu’à ce que nos corps se frôlent, jusqu’à ce que ma peau frissonne au contact de la sienne. « Embrasse moi Nathan, tu en meurs d’envie… »
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Anonymous
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Jeu 27 Oct - 5:12

nathan stevenson & manon lebourgeois LORD20 nathan stevenson & manon lebourgeois 18kocg
« Le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder » - Épisode 1X02
Ft. Manon & Nathan

Nathan ne savait pas pourquoi il avait bel et bien décidé de se lever pour allez chercher la demoiselle. Peut-être qu’il tenait à elle. Il n’en avait pas la moindre idée. Il ne tenait surement pas à elle autant qu’il pouvait tenir à sa sœur ou autant qu’il avait pu tenir à Mary Jude, mais il tenait à elle. Sinon il l’aurait bel et bien laissé pourrir dehors alors qu’elle le réveillait à une heure aussi.. Matinale. Le son de sa voiture sonnait parfaitement bien alors qu’il roulait simplement vers le bar qu’elle lui avait nommé. Le PDG était encore quelque peu endormi, mais il avait l’habitude de ne dormir que très peu, il était une personne ayant très peu besoin de sommeil. Il sortait de la voiture pour se trouver devant elle, sur le petit muret. Ses mains se glissaient de chaque côté de ses cuisses alors qu’il s’approchait d’elle pour lui parler. Son humeur n’était pas des meilleures, mais il n’allait pas se montrer désagréable pour autant. Un rire de sa part alors qu’il écoutait ce que la demoiselle avait à lui dire.

    « -Adorer ce n’est pas le bon mot Manon. Je n’adore personne, je ne suis pas comme ça. Je suis juste assez gentil pour venir te secourir alors que tu meurs de froid.»


Le chemin ne fut pas très long et les deux amants étaient arrivés chez Nathan aussi rapidement que sa voiture pouvait le lui permettre. Pour une fois, il n’avait pas en tête de la retourner dans tous les sens pour lui faire l’amour tout la nuit. Il avait plutôt en tête qu’il allait devoir se lever dans quelques heures pour allez travailler. Nathan se doutait que la demoiselle n’allait pas le laisser dormir. Une fois dans la maison, il retirait rapidement sa veste de cuir qu’il posait contre le crochet posé à cet effet. Alors qu’il allait partir vers sa chambre la demoiselle attirait son attention, dévoilant les délices de son corps moulé dans cette parfaite petite robe noire. Son regard électrique se posait sur elle alors que la demoiselle retirait son manteau, il l’observait l’instant d’une seconde avant qu’elle ne lui parle. Un sourire en coin venait se poser sur ses lèvres alors qu’il l’écoutait. Léger rire de sa part.

    « -Tu poses trop de questions Manon. Ça ne te sert à rien de savoir tout cela, ça ne ferait que te blesser. Je ne suis pas le genre d’homme auquel on s’attache, mais tu devrais le savoir avec le temps. Ce n’est pas la première fois que tu te retrouves ici et la première fois que je te parle de ça. Hm?»

Nathan n’avait rien d’un romantique, ni d’un amoureux transi. Les sentiments ce n’était pas fait pour lui. Le corps de la demoiselle venait se presser contre le sien et un sourire restait posé sur ses lèvres. Le brun la laissait jouer à son petit jeu, l’alcool ayant surement raison de ses sens. Alors qu’elle se pressait à lui, il venait attraper son visage d’une main et caressait lentement sa joue de son pouce. Ce ne fut pas long avant qu’elle ne le quitte une fois de plus et qu’elle ne se dirige vers le salon. Nathan la regardait faire alors qu’elle fermait les lumières pour allumer une bougie. Les mains se glissant distraitement dans ses poches il la regardait vernir vers lui une fois de plus. Masque de marbre posé sur son visage encore endormi, elle revenait vers lui alors que ses yeux brillaient d’une lueur amusée.

    « -Faire l’amour sous n'importe quelle lumière ne me dérange pas, tant que je peux dévorer ton corps. Que ce soit une chandelle ou une lampe.»


Léger rire alors qu’elle se collait une nouvelle fois à lui. Il retirait les mains de ses poches pour venir en loger une dans le creux du dos de la belle brune. Ses doigts glissaient sur les muscles de son ventre, profitant de la courbe de ceux-ci pour le caresser. Il restait calme. Ça l’amusait de jouer les indifférents avec elle. Elle croyait beaucoup en ses charmes et lui en les siens, il aimait la remettre doucement à sa place. Bien sûr qu’il avait envie de lui faire l’amour, mais il avait aussi envie de ne pas être mort de fatigue demain. Le silence était de mise pour lui alors qu’elle lui posait une nouvelle question, collant sa peau brûlante contre la sienne. Le PDG baissait un peu la tête pour pouvoir la regarder correctement, son souffle venait se mélanger au sien qui avait une douce odeur d’alcool. La distance entre eux était réduite à néant.

    « -Dis plutôt que tu meurs d’envie que je t’embrasse Manon. Je le sens dans ton corps qui palpite doucement sous le mien.» Sourire. Il se penche et prend la demoiselle dans ses bras pour se diriger vers les escaliers qui mènent à l’étage. « -Tu as trop bu et tu dis n’importe quoi.»


Il faisait référence au fait qu’elle lui avoue qu’elle avait besoin de lui. Il ne voulait pas qu’elle tombe dans un truc de sentiments parce qu’il allait devoir la jeter comme toutes les autres et il n’avait pas envie de la faire. Nathan poussait la porte de la chambre d’ami pour poser la jeune femme sur le lit, son regard se portait dans le sien alors qu’il la relâchait doucement contre les couvertures un peu plus froides de sa peau.

    « -Ne bois pas comme une ivrogne. La prochaine fois je serai moins clément.»


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