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 « Ne pas vendre la peau de l’ours, avant de l’avoir tuer. » ft. Swann
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Lun 24 Jan - 23:27

« Ne pas vendre la peau de l’ours, avant de l’avoir tuer. » ft. Swann  Cs001 « Ne pas vendre la peau de l’ours, avant de l’avoir tuer. » ft. Swann  7932661
(c) CrushCrush&Summer's Candy
Lilye A. Fernandez & Swann L. Garavani

    L’aurore était un moment que j’apprécié particulièrement, surtout lorsqu’il s’agissait de rentrée chez sois au aurore, je trouvais ce cour moment particulièrement beau, la légère brise fraiche s’évaporant laissant place aux premiers rayons du soleil venues se perdre de pars et d’autres de la ville. La matinée était passé très rapidement, après être rentrée je m’étais coucher puis relever vers dix heure et demi, j’avais pu alors y remarquais l’absence de mon partenaire, là alors dans ma tête les pires scénarios étaient envisagés, je n’osais point demander, à quoi servait-il ? Il me mentirait comme il l’avait toujours fais. Mais, ce jour là la personne que j’avais envie de voir était tout autres. Je m’empressais d’envoyer un message à ce dernier pour convié d’un rendez-vous à deux heures l’après-midi même. Swann, comment vous dire, s’était une de mes rencontres les plus loufoque, dans un premier temps car je l’avais rencontré lors d’une soirée il y avait un long moment, je ne pourrais vous dire combien de temps, je ne me rappel plus de la date ni même de l’année, je sais seulement qu’a ce moment là ma carrière prenait son tout premier tremplins. Après deux contrats dont l’un pour le maquillage Dior j’avais reçu des invitations des soirées les plus huppés ou je devais absolument me montré. Une fois que les caméras et paparazzi furent hors d’état de nuire, les choses se corsèrent, s’était une cohue générale, les masques s’enlevaient, les langues se dénouaient, il y avait un large monde entres ce que chaque personne voulait montrer d’elle et ce qu’elle était réellement. Je m’étais retrouver trainer dans le carré vip par une ami, s’est là alors qu’en y découvrant plusieurs coquer j’y trouvais Swann, intriguant jeune homme qui avait tant bien que mal essayé de me vendre son pochon ce soir là. Ce qui m’avais le plus étonner chez lui étais également la différence entre le DJ adulé et le vendeur de drogues du soir, ce que j’appréciais était que ce n’étais pas un masque, au début, je le croyais mais au fil du temps, des rencontres je m’étais aperçu qu’il était à chaque fois de la même authenticité.

    Ce qui à toujours été exclusive entre Swann et moi s’est que nous sommes amis, avant tout bien sur, avant son business, avant le miens, avant les critiques, avant l’image que nous devons véhiculer. La réponse du jeune homme fut très rapide, dès que je su que ce dernier accepter, je courrais prendre une douche, m’égarant quelques minutes de trop sous l’eau chaude. J’enfilais un bustier et un short noir, une paire de talon et partais à ma coiffeuse pour les derniers préparatifs. Un maquillage léger, les cheveux encore légèrement mouillés, je me hâtais ensuite vers le salon pour rejoindre la cuisine afin d’y prendre un petit-déjeuner. Le salon était vide, tellement grand et si vide et je m’y sentais si seule. Je regardais le canapé, puis les meubles, chacun avaient leurs histoires, je me souvenais précisément du jour où je les avais acheté, de rapide souvenir se déposèrent aux quatre coins de mon esprit, après quelques secondes d’inattention, je rejoignais la cuisine. J’ouvrais le frigo et y prenais une petite bouteille de jus de pêche, j’apercevais non loin de là, la corbeille de fruit, j’y attrapais une orange que je dégustais ensuite sur mon canapé.

    Le temps, le temps, à peine s’assoupit –on qu’il défile à une vitesse grand V. en effet, le temps était passé sans même que j’y prête attention, je le constatais à ma chevelure blonde désormais sec qui s’était coiffé d’un naturel à ravir. Je prenais soin de tout fermer et me dirigeais en direction du parc où nous nous étions donné rendez-vous. Une fois parvenue là bas, je n’apercevais pas ce dernier, je regardais rapidement une dernière fois avant de prendre place sur le banc le plus proche.
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Anonymous
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Mar 25 Jan - 11:06

Les clés retentirent lorsque je les posais dans le bol qui était à l'entrée. J'étais épuisé, cela faisait une nuit de plus que j'avais dû animer comme DJ dans une boite de nuit appelée le 1015, et il fallait le dire, je ne m'adaptais pas aussi bien au rythme américain qu'au rythme français. J'avais dû faire beaucoup de recherches pour m'adapter au style de musique en vogue ici et envoyer des bons sons, que tout le monde danse et ne s'arrête jamais de consommer pour se rafraichir ou mener la fête encore plus loin dans la nuit. Tout cela m'avait pris beaucoup de temps et d'énergie et en plus de ça, je ne dormais pratiquement pas, entre mes activités nocturnes et mes activités diurnes. La nuit, je mixais, la journée, je voyais mes amis, des jolies filles, ma petite amie .. Peneloppe. Je ne comprenais toujours pas pourquoi Joyce était aussi énervée à propos de cela puisque nous étions ensemble et heureux comme personne. Bien sûr, nous ne nous aimions pas, nous n'avions pas eu de coup de foudre mais .. nous nous apprécions et c'était tout ce qui comptait. Au fil du temps, nous apprendrions à nous connaître et peut-être que cela irait vers de l'amour .. En attendant, j'avais beaucoup d'affection pour la jeune femme et j'aimais passer du temps avec elle. Peneloppe était gentille, drôle, affectueuse, et ainsi, ce n'était pas une charge à porter que de passer du temps en sa compagnie. Tout était parfait si on écartait le fait que Joyce semblait avoir une dent contre moi pour ne pas lui avoir dit que je sortais avec sa meilleure amie, ainsi que le fait que nous ne passions pas autant de temps ensemble que lorsque nous étions tous les deux en France. C'était sûr, joyce me manquait affreusement et je n'avais pas oublié l'amour que j'éprouvais pour elle et qui brûlait en moi comme un feu inexorable. J'avais envie de la serrer contre moi, de l'embrasser, de serrer son corps nu contre le mien .. Sauf que toutes ces choses n'arriveraient jamais car je n'étais que son ami, à ses yeux. Jamais nous ne serions plus; malgré tous mes efforts en cette direction. Finalement, je me frottais les paupières et m'allongeais sur mon lit pour m'assoupir quelques heures.

Trois heures plus tard, mon réveil sonnait et je l'éteignais d'une main vive. J'étais encore fatigué mais je ne pouvais pas m'autoriser plus de sommeil que cela dans mon état, j'avais bien trop de choses à faire et je haïssais dormir. J'étais un hyperactif et s'il n'y avait pas besoin de sommeil pour vivre, surement que je resterais toujours éveillé, à la différence de certaines personnes. J'avais toujours besoin de faire quelque chose, de m'activer dans un certain domaine ou de faire telle chose pour telle personne. Quand je n'avais rien à faire, je faisais quand même quelque chose. Incroyable, non ? Et alors que je me demandais quelle allait être la première chose que j'allais faire de cette journée, mon portable vibra et je le sortais de ma poche. Oui, j'avais dormi tout habillé mais j'allai surement prendre ma douche après mon petit déjeuner comme d'habitude. Même s'il était plutôt l'heure de déjeuner que de petit déjeuner. C'était une jeune femme que j'avais rencontré il y a quelques mois de cela alors que je venais d'arriver à San Francisco, qui s'appelait Lilye et qui ma fois, était une très bonne cliente en ce qui concernait mes affaires .. privées. Oui, j'étais dealer de drogue entre autres, depuis quelques années maintenant. Je n'avais pas vendu tant que ça aux Etats Unis par rapport à la consommation qu'il y avait en France mais je commençais à avoir une bonne clientèle qui ne cessait de s'agrandir. Bien sûr, mes amis ne savaient rien de cette activité .. à part quelques uns, comme Lilye. C'était une jeune fille charmant et j'aimais beaucoup passer du temps en sa compagnie, ainsi, lorsqu'elle me donna rendez vous à deux heures de l'après midi dans le parc, je répondais par un sms à l'affirmative.

Il ne me fallut que peu de temps pour me préparer. Je me dirigeais vers la douche et me lavais rapidement avant de faire un tour vers ma garde robe histoire de choisir ce que j'allais mettre aujourd'hui. Une chemise et un jean tous deux de la marque de mon grand père, Valentino, et je me dirigeais à l'extérieur histoire de me promener un peu avant de me rendre au rendez vous. Je passais à la librairie acheter un roman policier à dévorer rapidement et allais finalement vers le parc pour rencontrer Lilye. Elle était déjà là, sur un banc, et je m'approchais d'elle un sourire aux lèvres. Arrivé à côté d'elle, je passais une main doucement sur sa joue et l'embrassais à ce même endroit. « Bonjour ma chère. Alors, on arrive plus à se passer de moi ? » Bien évidement, j'avais apporté tout ce qu'il fallait dans ma poche. De la poudre blanche s'y trouvait, et peut-être qu'elle servirait .. ou pas. Je m'asseyais finalement à côté d'elle et passais une main sur ses épaules. « Il faut que tu saches que je suis en couple, alors si tu veux faire de moi ton esclave sexuel .. N'y compte pas trop. »
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Anonymous
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Mar 25 Jan - 13:36

    Perdue dans mes pensées, je me laissais aller à ce qu’aurai pu être ma vie, un monde que je par faisais de tout part de mon esprit. La pureté de l’air s’engouffrant dans mes poumons me faisais voyager toujours plus loin, m’imaginant que je serais sur une île, avec rien de plus qu’Evan. Voilà ce qui m’étais indispensable, lui, ses lèvres, sa voix, son sourire, son être dans son intégralités me permettais de vivre, de respirer, d’être joyeuse, d’être heureuse, vous savez, ce bonheur qui après tant de souffrance aurais le gout d’un paradis. Parce-que l’amour au finale, s’était tel un grand gâteau, dont tout le monde voulait sa pars, je mettais montré plus gourmande, si gourmande que j’en payais chaque jours les conséquences. Je fus sorti de mes pensées par une main, me caressant la joue, puis un baiser, très légèrement déposer au même endroit. Je tournais la tête, dévisageant Swann qui était enfin arrivé. Ce dernier passa une main sur mon épaule après s’être installé près de moi, et ses lèvres annoncèrent après quelques temps. « Il faut que tu saches que je suis en couple, alors si tu veux faire de moi ton esclave sexuel.. N'y compte pas trop. » A cette remarque, je ne pouvais m’empêcher de rigoler, le jeune homme avait toujours les bons mots, je tournais légèrement ma tête, plongeant mes yeux dans les siens, une légère faussette venait d’apparaitre, je déclarais alors à mon tour.

    « Ah ! Les hommes, vous avez cette habitude de vous avancer sans aucune preuve. J’ai déjà assez d’esclave sexuel, puis, je ne me souviens pas t’avoir parlé de te recruter, ou bien, nous devions avoir fumé trop de joins. » Je souriais à ce dernier et lui attribuais un clin d’œil complice. Je regardais le jeune homme, je voyais déjà de là l’après-midi que nous allions passer, à fumer, à rire, comme à notre habitude. Ce que j’appréciais encore plus, de ce fais s’était ma vie secrète, je me rendais compte qu’au finale je cacher bien plus de chose à Evan qu’il ne m’en cacher, certes je n’avais jamais toucher à la cocaïne, où d’autres genre de drogue, je refusais tout, excepté le cannabis, s’était la seule chose que j’accepté d’infligeais à mon corps, mais pour Evan, ce serais déjà de trop, pourtant, s’était là que j’avais trouver mon réconfort. Je n’avais jamais été du genre à me plaindre, et, lorsque j’avais appris l’infidélité d’Evan, la drogue avait été mon seul réconfort, après l’alcool bien entendue. October, ma meilleure amie et moi n’avions jamais été du genre à se consoler, ni même du genre à se réconforter avec de tendres paroles mielleuses complètement mensongères, non. Nous nous contentions de rester l’une dans les bras de l’autre dans un premier temps, dans le silence le plus totale que seuls les sanglots avaient le droit de troubler. Secondement, nous allions consulter Swann pour retirer notre barrette de chocolat qui nous servirait des jours et des jours, voir semaine car nous ne fumions pas énormément, la troisième consistait à sortir dans une discothèque et recruter quelques esclaves sexuel d’un soir qui aiderais celle en ayant le plus besoin à oublier les soucis le temps, d’une soirée.

    Un groupe de gens passèrent au moment où je m’apprêtais à parler ouvertement aux jeunes hommes de notre après-midi, troublé dans mes paroles je fut obligé de les changer à ma guise. « t'as 20 de s.. Chocolat ! » Je souriais au jeune homme car être connue comportait quelques désavantages de plus que les gens normaux, tout d’abord car ce genre de scandale était totalement imprévisible, il pouvait être à double tranchant, sois votre carrière cartonnerais après ce genre d’écho, soit, vous plongerez à tout jamais dans les scandales tel Britney Spears qui, soit dis en passant, à su au finale tiré profit de sa mauvaise image. Il valait mieux éviter que ce genre de chose s’ébruite, ce n’étais que bénéfique pour l’un comme pour l’autre. Je venais de faire mon achat de deux mois à Evan car oui je n’achetais que tout les deux mois, 20€ de cannabis, le reste du temps sois je fumais avec des amis, soit je ne fumais pas du tout. Ce que j’avais du mal à comprendre était l’addiction des gens aux drogues, certainement parce-que je ne l’avais jamais encore vécue. Je me disais, aussi, que cette addiction n’en étais pas tout à fais une, s’était simplement parce qu’il aimait l’état dans lequel la drogue les plongés, ce n’étais pas de la drogue qu’ils ne pouvaient pas se passer, je le comprenais. Ce dont, il ne pouvait pas se passer s’était de l’état dans le quelle ils se trouvaient, ces cours instants où la vie s’avère être un long fleuve tranquille.
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« Ne pas vendre la peau de l’ours, avant de l’avoir tuer. » ft. Swann

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