AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus Kahina Amenesty Kealoha - Life is a pure beauty 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH Kahina Amenesty Kealoha - Life is a pure beauty 79124 Kahina Amenesty Kealoha - Life is a pure beauty 79124

Le Deal du moment :
Cartes Pokémon 151 : où trouver le ...
Voir le deal

 
 Kahina Amenesty Kealoha - Life is a pure beauty
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Aoû - 0:23



kahina amenesty kealoha


kealoha ★ kahina amenesty ★ 'nesty ou hina ★ 21 ans ★ femme ★ américaine ★ hawaïenne ★ né à Hilo (Hawaïï) ★ 31 décembre 1989 ★ arrivée à SF le 16 mai 2008 ★ hétérosexuelle ★ aisée financièrement ★ célibataire ★ BAC en droit fiscal ★ friendship ★ 1,79 m ★ 57,4 kg ★ blonds ★ bleus ★ porte des lunettes parfois ★ boho / old school ★ allergique à la poussière ★ aucune maladie ★ B-


★ une couleur: bleu.
★ un animal: cheval.
★ une saison: automne.
★ un plat: salade grecque.
★ une chanson: hello goodbye, the beatles.
★ un film: p.s. ; i love you.
★ un acteur : will smith.
★ un chanteur(se) : michael bublé.
★ un groupe : ac/dc.
★ un dessin animé: looney tunes.
★ un super héros: spider man.
★ un pouvoir: voyager dans le temps.
★ un pays: finlande & irlande.
★ une devise: hier n'existe plus et demain n'est pas encore arrivé.
★ un élément: eau.
★ un fruit: mangue.
★ un légume: aubergine.
★ un métier: avocate.
★ un voyage: croisière en alaska.

★ plus grand secret : la jeune kahina fut violée le 4 mars 2011 près de la demeure de sa défunte meilleure amie, emma, par murderer qui fut arrêté quelques temps après.
★ plus grand fantasme : sans commentaire.
★ plus grand rêve : faire l'europe au complet à vélo.
★ tic nerveux : tourne une mèche de ses cheveux autour de son index droit lorsqu'elle est stressée.
★ popularité : ★★★
qualité ★ souriante ★ sociale ★ optimiste ★ énergique ★ travaillante ★ organisée ★ à l'écoute ★ prévoyante ★ ambitieuse

jalouse ★ rancunière ★ anxieuse ★ trop franche ★ perfectionniste ★ distraite ★ orgueilleuse ★ naïve ★ compliquée ★ difficilement accessible

On me dis que :

★ j'ai le nez de mon père
★ les yeux de mon ma mère
★ la bouche de ma mère
★ les sourcils de ma mère
★ les cheveux de ma grand-mère
★ le caractère de mon père
★ énergique, comme mon père
★ rancunière, comme ma mère
★ les talents en chant de ma grand-mère
★ la même voix que ma mère
★ je ressemble à ma mère


hors jeu


★ pseudo & prénom : Dibulle - Kim
★ âge : 17 ans (dans 30 jours..)
★ sexe : F
★ nationalité : Canadienne
★ comment je suis arrivé sur POH : Via une publicité sur PRD

★ commentaire : POH pour la vie <3

★ je suis un : PI
★ avatar : taylor alison swift
★ code du règlement :
Spoiler:

Ma fiche est complète à 100%




Code:
[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]TAYLOR SWIFT[/font] | [/size] [font=arial][size=9]k. amenesty kealoha[/size][/font]
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Aoû - 0:23

ton histoire



« you may say that i’m a dreamer, but i’m not the only one. » - John Lennon

Je m’appelle Kahina Amenesty Kealoha. Kahina. Nom étrange, vous ne trouvez pas? En fait, c’était l’idée de mes parents. Ils trouvaient ce prénom magnifique, et très ‘accueillant’. Ouais, accueillant. Je n’avais jamais entendue de tels qualificatifs pour un prénom auparavant. Je veux dire, mon prénom ne dit pas bonjour ou quoi que ce soit. C’est simplement Kahina. Je le trouve bien banal, mais j’aime le fait qu’il ne soit que très peu populaire. Vous croisez une autre Kahina? Présentez-moi la, j’attends! Bref, mon deuxième prénom, quant à lui, est tout aussi original. C’est le plus utilisé pour moi, car vivant à San Francisco, mes parents préféraient que j’aie un nom à résonnance américaine. Donc mon deuxième prénom est Amenesty. Je vous l’accorde, vraiment pas commun. Je me demande même s’il ne serait pas unique. Pour ce qui est de mon nom de famille, eh bien c’est Kealoha. Un nom de famille moyennement répandu d’où je viens, et je dois vous avouer que celui-ci, je le trouve splendide. J’aime la résonnance du nom ‘Kealoha’. Après tous ces noms, vous devez vous demander d’où je viens! Eh bien je vais vous le dire, je suis de nationalité américaine! Bah ouais. Seulement, je viens de la splendide île d’Hawaii, et là-bas nous sommes un peu d’une autre nationalité de notre point de vue. Nous avons d’ailleurs notre propre langue, l’Hawaïen. Bon d’accord, je conçois du fait que vous devez trouver long le fait de lire sur mon nom et de ses origines. Alors je vais vous parler de ma vie, de ce que je me souviens du moins. Oui oui, vous allez effectivement tout connaître sur moi. Enfin tout, il faut bien se garder une petite réserve aussi hein! Disons pas mal, tout simplement. Quel chanceux vous êtes!

« Soit A, un succès dans la vie. Alors A = x+y+z où x = travailler, y = s’amuser et z = se taire. » - Albert Einstein

Je suis née dans la ville de Hilo, sur l’une des nombreuses îles composant l’archipel hawaiien. C’était un 31 décembre 1989, à l’aube de la nouvelle décennie. J’étais perçue un peu comme le cadeau de mes parents. Moi, je me suis toujours sentie coupable de ma naissance par contre. Cette journée-là, mes parents m’ont gagné, mais ils ont aussi perdus quelqu’un qui leur aurait été cher… Ils ont perdus ma sœur jumelle. Ils m’ont toujours dit qu’ils l’auraient appelés Mahika. Alors à chaque 31 décembre, je souhaite bon anniversaire à Mahika, ma sœur jumelle. Même si je ne l’ai jamais connue, il y a comme un vide au fond de moi. Nous avions vécues si près durant les neuf premiers mois de mon existence que je ne peux m’empêcher de penser au fait que si elle est morte, c’est parce que moi je suis née. Mahika est un sujet de controverse dans la famille, et j’évite donc de réellement en parler. Soit, c’est tout ce que je sais de ma naissance : J’ai tué un être vivant. Beau début de vie, ne trouvez-vous pas? L’ironie et moi, une grande histoire d’amour.

Je vous amène à mon cinquième anniversaire, à l’aube de l’année 1995. Depuis ma tendre enfance, j’avais toujours habitée à Kapoho, sur la rue Alapaki, plus précisément. En fait, ma maison donnait tout simplement sur l’une des plus belles plages de tout l’archipel d’Hawaii. Je dois vous avouer que la splendide vue de ma chambre m’a toujours ébahie. Soit, je venais tout juste d’avoir cinq ans. Déjà cinq ans sans ma jumelle adorée. J’allais entrer à l’école primaire en septembre 1995 et j’avais très hâte. Ma mère me préparait d’ailleurs déjà. Dès mon plus jeune âge, je savais compter et écrire. Bon d’accord, écrire on s’entendra sur le fait que je ne savais pas composer des mots. Je savais seulement l’alphabet. Ce qui était d’ailleurs un bon départ pour une jeune fille de mon âge. J’avais effectivement quatre ans et demi lorsque je savais faire tout ça. Eh ouais, j’étais déjà très intelligente, que voulez-vous! Bref, je vous passe le reste des détails de mon cher cinquième anniversaire, duquel je ne vous ai d’ailleurs pas réellement parlé de toute façon. Je ne m’en souviens plus vraiment, il faut dire.

« Mon père, il disait : Dans la vie, y’a pas de grands, y’a pas de petits. La bonne longueur pour les jambes, c’est quand les pieds touchent bien par terre. » - Coluche

Mon premier amour. Mon meilleur ami d’enfance. Maïke. J’avais huit ans. Je vous avoue qu’à cet âge, on ne peut pas réellement aimer, mais moi, j’ai aimé. J’ai aimé plus que ce qu’un cœur ne pourrait jamais contenir. Pour lui, j’aurais tout simplement tout donné. D’accord, à notre âge ça se résumait à se tenir la main et à se donner des bisous sur la joue, mais c’était vrai. Nous avions par contre toujours nos parents sur le dos, avec des ‘oh regarde chéri comment ils sont mignons!’. À chaque fois, nous avions envie de leur faire le même coup. De les fixer à chaque fois qu’ils étaient ensemble. Ça nous tombait tellement sur les nerfs que nous nous trouvâmes un endroit secret. C’était une caverne sur le bord de l’eau. C’était un endroit magnifique. C’était notre endroit pour être seuls tous les deux. Nous y allions à chaque jours, ou presque. Lorsque nous avions dix ans, tout juste avant de rentrer à l’école secondaire, nous gravâmes nos noms sur les rochers composant cet endroit. Kahina et Maïke, pour la vie. À cet âge là, nous ne savions pas vraiment ce que ‘pour la vie’ impliquait. Nous vivions au jour le jour. Seulement nous deux. Nous composions notre bonheur à nous.

J’avais onze ans lorsque je le laissai. J’avais flashé sur un garçon pas mal plus vieux que lui à l’école secondaire, et j’en avais donc conclu que Maïke n’était franchement pas de sa taille. En fait, j’avais tellement envie que l’on m’accepte, de me faire un nom, que j’en oubliai de suivre mon cœur. Il s’appelait Jeremiah, le garçon pour qui je laissai Maïke. Au final, il n’en valait pas la peine, il ne m’a jamais approché. Je me demande même s’il savait si j’existais. Il était en terminale, et j’étais beaucoup trop naïve.

Maïke ne me parlait plus. Il avait d’ailleurs une nouvelle petite amie. Elle s’appelait Michele. Nous avions désormais treize ans. Treize belles années. Enfin, belles pour lui. Pas pour moi. J’étais seule maintenant. J’avais des amis, certes, mais aucuns ne me comprenaient autant que Maïke me comprenait. C’est à cet âge que je compris finalement que ce qui fait qui nous sommes, ce sont nos faits et gestes et nos valeurs, et non pas les personnes avec qui nous n’avons aucun points communs. Jeremiah me fit comprendre cela.

« Pourquoi je ne me suicide pas? Parce que la mort me dégoûte autant que la vie. » - Emile Cioran

J’avais quatorze ans le 17 janvier 2004. J’avais quatorze ans à huit heures quarante deux minutes et vingt-neuf secondes. J’avais quatorze ans lorsque je mis les pieds pour la seconde fois dans un hôpital. J’avais quatorze ans lorsque ma mère décéda. Cette journée-là fut probablement la plus atroce de toute ma vie. L’une des étapes les plus difficiles que je n’aurais pue imaginer. Ma mère, celle pour qui je souriais à chaque jours. Ma mère, celle pour qui j’aurais tout donné. Cette journée là, j’aurais souhaité mourir à sa place. Je détestais Dieu, je détestais la vie. Elle avait quarante ans et était beaucoup trop jeune pour mourir. Un chauffard saoul. Ouais tu parles, à huit heures du matin. Foutu alcoolique de la vie. Je voulais qu’il meure. Je ne lui souhaitais rien de plus. J’avais envie de crier, j’avais envie de pleurer, ma tête tournait, mon corps tremblait. Ce fut le mur blanc de l’hôpital qui me sembla le plus accueillant en cette terrible journée de janvier. Je me laissai glisser, et je pleurai. Je crois que j’ai pleuré durant deux bonnes heures. Je vis plusieurs gens passer. Je les détestais tous. Je détestais la vie. Je détestais la mort. Je détestais d’être venue au monde. Pourquoi cela devait-il arriver à moi?

Étrangement, les funérailles du 21 janvier furent un soulagement. Je parlai à ma mère, enfin au corps de ma mère, durant près de deux heures. Je lui dis tout ce que je n’avais pas su lui dire. Je lui fis des promesses aussi, entre autre de ne jamais conduire si j’avais consommé. Jamais. Je lui promis de foncer dans la vie, de réussir ce que j’entreprendrais. Je lui promis de voir la vie d’un bon œil comme elle le faisait si bien. Je lui promis, finalement, de la rendre fière de moi. Et je pleurai après ces deux heures. Je pleurai, et je pleurai, et je pleurai… Mon père, aussi démoli que moi, vint me rejoindre dans le cimetière. Il s’accota de l’autre côté de la pierre tombale et me dit une chose que je n’oublierai jamais : ‘Dans la vie, il y a des moments injustes. Le plus dur, c’est de les accepter. La vie n’est pas parfaite, c’est à toi de prouver que tu es compréhensive sur ses défaillances.’. Il avait raison. Il aura toujours raison.

« On peut allumer des dizaines de bougies à partir d'une seule sans en abréger la vie. On ne diminue pas le bonheur en le partageant. » - Bouddha

San Francisco. Il était une fois, la ville. J’avais dix-huit ans lorsque mon père décida de changer d’endroit où vivre. J’allais entrer à l’université, et il décida que mon université serait celle de San Francisco. La raison de notre déménagement fut claire, et franchement très compréhensible. Je ne fus donc pas choqué. Nous déménagions parce que cette maison, cette vue, cet endroit rappelaient trop de souvenirs à mon père. Ils étaient bons, certes, mais ils étaient à propos de ma mère… Et ils faisaient remonter une certaine tristesse. Un manque. Tout de cette maison me rappelait aussi ma mère. La façon dont les choses étaient disposées, la senteur, les couleurs de ma chambre, les citations sur les murs, les photos. La plage, endroit où ma mère et moi allions lorsque j’allais mal. Bref, tout. Alors un peu de changement ne ferait pas de tord. Du moins, une fois habitué. Je pleurai lorsque nous quittâmes la maison pour la dernière fois. Mon père aussi. Dire adieu à ce qui rendait Marianna encore présente dans nos vies ne fut pas chose facile… Mais pour notre bonheur, et pour améliorer l’ambiance à la maison, il le fallait. Je mis donc les pieds pour la première fois dans une vraie grande ville. San Francisco. C’était d’ailleurs splendide. Mon père acheta une jolie maison, toujours sur le bord de l’eau. Ça n’était pas la plage d’Hawaii, mais ça allait. Moi qui ait toujours aimé le fait de me réveiller et de voir l’océan, symbole de liberté. Il m’annonça aussi que notre mode de vie allait changer. Nous allions voyager beaucoup plus souvent car l’emploi qu’il exerçait à Hawaii, et qu’il exercerait toujours à SF, soit avocat, était beaucoup plus payant en ville. Donc durant mes dernières années de la dizaine, je fis pas mal le tour de l’Europe, et visitai un peu de l’Asie. Je me découvris donc une nouvelle passion, tout en me concentrant sur mes études en droit fiscal. J’aimais les chiffres et j’avais toujours appréciée le métier de mon père, donc ce domaine semblait bien combiner deux de mes choses préférées. Le départ à San Francisco fut donc une bonne chose pour moi, sauf pour le fait que je du dire adieu à croiser tous les jours Maïke… Que je n’avais toujours pas oublié. ‘Pour la vie..’ Ouais, tu parles.

« La vie ne vaut rien, mais rien ne vaut la vie. » - André Malraux

L'année 2011 fut une plaque tournante dans ma vie, et pas nécessairement au bon sens du terme. Au départ, il est vrai que ce fut plaisant. Emma Davis, ma meilleure amie, et moi sommes allées séjourner aux Bahamas dans une villa pendant une semaine. Ce fut tout simplement merveilleux et je n'en retiens que de très bons souvenirs. Nos délires étaient ce qu'il y a de plus beau. Puis, à peine un mois après notre retour, ma meilleure amie souhaitait aller voir une partie de sa famille en Espagne. L'avion s'est ecrasé et elle est tragiquement décédée. J'ai eue énormément de difficulté à m'en remettre et je n'ai jamais réellement comprise pourquoi la vie était faite ainsi. En fait, pourquoi devais-je perdre ma meilleure amie? Celle à qui je me confiais tout le temps. Environ cinq jours plus tard, je devais aller trier certaines de ses affaires pour redonner à ses parents et à ses oncles et tantes. Alors je me rendis, au beau milieu de la nuit, vers chez elle. J'avoue, ce n'avait pas été très intelligent de ma part, mais j'étais désespérée. J'avais envie de sentir sa présence. Le plus vite possible. Alors, à pied, je pris le raccourçis vers son quartier par une ruelle. Je me fis violée. Ce fut la façon dont je perdis ma virginité, ainsi que toute trace de dignité. L'homme m'ayant fait ça est désormais incarcéré mais je n'oublie pas. Il m'est impossible de ne plus y penser. À chaque soir, je fais des cauchemards à son sujet. Tous les soirs, sans exception.

Malgré ces très gros incidents dans ma vie au début de cette malheureuse année, j'ai terminé l'université et ai décroché un emploi au sein de la grande firme de Wood&Porter à San Francisco en tant qu'avocate fiscale, ce qui était mon rêve depuis l'enfance bien que j'aie toujours rêvé d'être chanteuse. Ce fut un moment heureux dans cette difficile année, mais malgré ce métier qui me permet d'avoir mon propre loft, je songe toujours à Emma, à cette nuit du 4 mars. Et les nuits, ça me hante.

« La vie offre toujours deux pentes. On grimpe ou on se laisse glisser. » - Pierre Hebey

Aujourd’hui, je suis plus ou moins heureuse. J'ai un emploi au sein de la firme Wood&Porter en tant qu'avocate fiscale, je réussis très bien, j’ai des amis sur qui compter… Mais il me manque toujours le grand amour. Celui qui, je crois, réussira à amener pour moi un bonheur quasi parfait. Vous savez, l’amour qui vous fait virevolter, celui qui vous fait sentir comme une toute nouvelle personne? C’est de lui que je parle, car oui je crois au Prince Charmant. Je crois encore que les garçons ne mentent pas tous pour aller dans ton lit. Je crois toujours qu’il existe des gens sincères. Je crois toujours que Maïke est mon âme sœur… Mais je devrais probablement laisser tomber l’affaire.

Bref, maintenant vous me connaissez un peu mieux. Vous connaissez les grandes lignes de ma vie, mon premier grand amour, le drame des mes quatorze ans. Vous connaissez le manque maternel de ma vie, vous connaissez un peu mon père. Vous êtes au courant de l'autre tragique drame de fin février, ou alors la nuit où tout a basculé en mars de cette même année. En court résumé, vous en savez plus que la majorité des gens qui me côtoient n’en sauront jamais. Rares sont les fois où je parle de ma défunte jumelle, ou encore de Maïke, mon amour secret car à San Francisco, personne ne le sait. Un jour peut-être serai-je de nouveau avec lui. J’ose encore espérer.

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Aoû - 0:40

Re-bienvenue (:
Ton code est bon, je le valide (aa)
Si t'as des questions, tu connais la maison hein xD
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Aoû - 0:46

Of course, thanks :)
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 1 Aoû - 1:32

double-poste powerrrrrrrrrrrrrr. J'ai terminé (autant ma propre folie que la fiche Razz)
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 14 Nov - 16:49

Je revalide :D
Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

Kahina Amenesty Kealoha - Life is a pure beauty

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» KAHINA AMENESTY KEALOHA ✱ k.kealoha@hotmail.com
» Kahina Amenesty Kealoha ; say i'm here now...
» Kahina Amenesty Kealoha - #415-884-0756
» KAHINA AMENESTY KEALOHA ✱ 415-904-1763
» NIRI ✿ i'm all your life... and life's a bitch.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.1 ::  :: 
PERSONNAGES
 :: Fiches de présentation.
-