AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\ 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\ 79124 KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\ 79124

Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal
Le deal à ne pas rater :
ETB Pokémon Fable Nébuleuse : où acheter le coffret dresseur ...
Voir le deal

 
 KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 14:52


KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\ Tumblr_ljzvvodaSb1qgga4i
Sonic & Keenan

Délaissant mon ordinateur je m'éloigne pour arrêter de me torturer l'esprit, enfilant un tee-shirt et une chemise en jeans par dessus je me sers un café. Le téléphone sonne et passant une main dans mes cheveux pas coiffé je décroche voyant le numéro de Cléo s'afficher. Sans avoir le temps de prononcer quoi que se soit, la voix essoufflé de ma meilleure amie se fait entendre. Je pose ma tasse de café sur mon bureau de travail regardant la maquette du magasine, elle m'apprend le retard de son arrivé à SF car elle a un shoot photo à Rio... Regardant le magasine comme si je n'y prêtais pas attention, je soupire. En fait... je crois que San Fransisco n'était pas une bonne idée Cléo... on devrait peut-être rep... Sa voix me hurlant que je ravale mes propos et que sa garde robe est à moitié déjà dans les cartons m'empêche de terminer. Je l'entend alors s'énerver contre un assistant, son ton sec me fait sourire, elle me manque. On en discutera plus tard je crois... embrasses ta mère de ma part, elle doit être dans les parages je présume... Entendant Cléo rire je sourie mélancolique à tout cela... Continuant de tourner les pages. Pourquoi ne plus vouloir de San Fransisco ? Quelques images, quelques photos révéatrice, où l'impression que je n'ai plus de place ici, même pour une vie éloigné et tranquille...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 15:47

La vérité c'est que je n'aimais pas qu'on me dise non. En particulier quand c'était Keenan qui me refusé quelque chose. J'avais alors automatiquement l'envie de faire le contraire de ce qu'il m'avait dis. Difficile à croire mais depuis que j'l'avais revu j'étais passé par tous les stades, de la dépression profonde, à la euphorisante. J'étais d'ailleurs toujours dans ce dernier état. A croire que la simple présence de ce mec en ville pouvait me faire devenir un autre homme. Grimpant au deuxième étage d'un immeuble huppé d'Alamo Square j'entre par une fenêtre ouverte, non sans mal, faut dire que mon bras dans le plâtre et le sac de sport que j'trimballe m'aide pas beaucoup. Sans un bruit, j'entre dans le loft de mon ex amant... Il avait pas tord, c'est immense. Sa voix arrive soudainement à mes oreilles. Cléo. Grr. J'me faufile jusqu'au salon, il me tourne le dos. Ce mec est décidément pas possible. N'importe qui pouvait entrer dans son appart, lui piquer des trucs et repartir que je suis sure qu'il aurait rien remarqué. Avant qu'il ne se retourne je l'apostrophe en commentant ces phrases.

    « Quoi ? Tu lui demandes d'embrasser sa mère et y'a même pas de bisous chérie je t'aime ? Je savais bien que tu t'en tapé une autre mais sa mère D8 ! Enfin c'est bien tu t'es rendu compte qu'SF était pas une bonne idée. »


Grand sourire de gamin. Ah Keep.. Si tu savais comme toi et ton style purement british m'avait manqué.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 16:05


Quoi ? Tu lui demandes d'embrasser sa mère et y'a même pas de bisous chérie je t'aime ? Je savais bien que tu t'en tapé une autre mais sa mère D8 ! Enfin c'est bien tu t'es rendu compte qu'SF était pas une bonne idée. Je sursaute et me retourne brusquement en entendant la voix de Sonic derrière moi. Hallucination ? Le voyant debout dans mon loft, souriant et fier de son entré j'en déduis que non. Mon cœur s'accélère, d'abord à cause de la frayeur et puis par sa présence. La voix de Cléo me demandant qui est-ce me fait légèrement réagir. Personne ! Appelles moi quand tu as finit tout ça. Je t'aime. Je l'entend sourire et me répondre la même chose. Son " Je t'aime" étant par la présence de sa mère tout près. Comme toujours. Raccrochant je repose mon attention sur Sonic. Qu'est-ce qu'il fout là ? comment est-il entré ? Son sourire pourtant me fait craquer et je me masse la nuque décontenancé. J'attrape ma tasse de café. Comment es-tu rentré ?! qu'est-ce que tu viens faire là , chez moi ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 16:21

Je t'aime. Tss. Genre tiens. Je lèves les yeux au ciel quand j'l'entend dire ça tout en me délectant de son air surpris. Et ouais c'est mon tour maintenant de débarqué à la l'improviste. Il raccroche et me lance un regard, mon sourire ne m'a toujours pas quitté. Il a vraiment des réactions étrange. A sa place j'aurais déjà sauté sur l'intrus pour le mettre hors d'état de nuire. Sa confiance envers le monde entier le perdra. Il prend sa tasse de café, je tique. Comment es-tu rentré ?! qu'est-ce que tu viens faire là , chez moi ? Je fais la moue, tout en penchant ma tête sur le coté visiblement contrarié.
    « Tu bois même plus de thé ? Ça y est t'es complétement américaniser. »
Posant le sac de sport par terre, je répond à ces questions en me dirigeant vers la cuisine d'un pas tranquille.
    « Par la fenêtre, et comme promis je suis venu te rendre tes fringues. Juste tu me laisses la chemise la ? J'l'aime bien. »
. Je me retourne alors vers lui pour tirer sur le col de la chemise que je suis en train de porter.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 16:32


Je le regarde pencher la tête sur le côté et me détailler. Quoi ? Son regard me gêne autant que me plait, non il ne doit plus me plaire ! Je détourne le regard vers la porte fermée. Comment a-t-il fait ? Tu bois même plus de thé ? Ça y est t'es complétement américaniser. Je relève la tête surprit de sa question. Mon café ? Je le regard sans savoir quoi répondre sur le coup. ... Je n'ai plus de thé et la femme qui doit faire mes course en a oublié... tu es venu pour me dire que je suis devenu un pur américain ?! Je le regard poser un sac fronçant le nez. Qu'est-ce qu'il fiche ici. J'ouvre la bouche mais le laisse se diriger vers la cuisine, de toute manière il le ferait quand même. Par la fenêtre, et comme promis je suis venu te rendre tes fringues. Juste tu me laisses la chemise la ? J'l'aime bien.

Je tourne mon regard vers les fenêtres. Il a ... il est passé par les fenêtres ?! Je tourne le regard et le voit tirer sur le col d'une de mes anciennes chemises, il arrive à rentrer dedans ? Je reconnais alors une chemise que j'avais voulus lui offrir mais que finalement j'avais gardé pour moi car en sortant du lit où le matin c'était pratique. Étonné qu'il la porte je bois une gorgée de mon café pour dissimulé mon trouble. Puis je me dirige vers le sac de sport le prenant et le posant sur la table du salon pour voir ce que j'avais oublié. tu me vires en me disant de dégager, et quand je te dis de pas venir... tu fais le contraire, tu voudrais bien m'expliquer ? tu aurais pu te faire mal par la fenêtre... J'ouvre la fermeture pour regarder à l'intérieur.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 16:56

Un rire passe la barrière de mes lèvres quand il me parle de la femme qui doit faire ces courses. J'lui lance un regard en coin, haussant un sourcil.
    « La femme qui doit faire mes courses ? C'est qu'on se refuse plus rien dis moi. »
Arriver dans sa cuisine, j'la détaille et cherche après quelque chose à manger. Non pas que j'avais faim, c'était juste pour voir si mon ancien compagnon avait toujours des goûts étrange. Cela dit visiblement c'était pas lui qui faisait ces courses. J'allais donc être déçu. J'l'écoute distraitement tout en ouvrant son frigo. tu me vires en me disant de dégager, et quand je te dis de pas venir... tu fais le contraire, tu voudrais bien m'expliquer ? tu aurais pu te faire mal par la fenêtre... Hum. Sortant un yahourt au fruit, je vais chercher une petite cuillère après avoir déduit que le tiroir le plus adéquat pour les couverts devait se trouver sur ma droite ni trop près ni trop loin. Je retourne au salon avec ma trouvaille, m'assoit à coté de lui et lui répond en ouvrant mon trésor lacté.
    « Ton immeuble est fait pour les cambrioleurs, y'a trop de prises, impossible de tomber ou presque. Et si j'suis venu c'est parce que j'avais envie. Et j'aime bien te contrarier. Et puis, j'voulais voir ta tête de nostalgique quand tu ressortiras toutes ces vieilles conneries. »
Je commence alors à manger le dessert. Tranquillement.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 17:13


La femme qui doit faire mes courses ? C'est qu'on se refuse plus rien dis moi. Je sourie légèrement face à sa remarque qui provient de la cuisine. Oui on se refuse rien... Sauf que je n'aime pas ça moi... J'étais censé ne pas avoir le temps de les faire... mais je tourne en rond. J'avoue cela au bout de quelques secondes. J'entends la porte du frigo s'ouvrir, évidement le connaissant il ne se gêne pas du tout. Du moment qu'il ne me prend pas ma crème/confiture de citron, d'Angleterre, je peux le laisser faire. De toute manière si je me rappelle bien il en mangeais pas il y a neuf ans, il disait que ça avait un aspect hideux et qu'il faudrait le payer pour gouter ce truc anglais ignoble.
Il revient et s'assoit près de moi, le regardant un instant je finis par détourner les yeux pour retourner sur le sac. Ton immeuble est fait pour les cambrioleurs, y'a trop de prises, impossible de tomber ou presque. Et si j'suis venu c'est parce que j'avais envie. Et j'aime bien te contrarier. Et puis, j'voulais voir ta tête de nostalgique quand tu ressortiras toutes ces vieilles conneries.

Je sourie sans pouvoir me retenir. Je devrais le détester pour ce qu'il est entrain de faire, mais non je n'y arrive pas. Cambrioleur ne veut pas dire violeur d'intimité. Je vais mettre des barreau à mes fenêtres si tu continues... ou au moins les fermer. Ouai bonne idée parce qu'en faite je ferme jamais mes fenêtres je les pousse qui donne l'impression d'être fermée, mais jamais réellement. Regardant le sac je sors d'abord des fringues que j'avais laissé, jeans, tee-shirt. Des vieux marques... Je sors aussi des photos de mes parents, un livre abimé. Je me souvenais pas l'avoir autant abimé d'ailleurs. Un autre tee-shirt, une bouteille de parfum. Une photo de Robbyn et moi. Le gardant en main je me rappelle l'après-midi où elle avait été prise... ayant le vague souvenirs d'en avoir prise d'autre, je prend celle qui est derrière découvrant le doigt de Robbyn sur un coin de la photo et dessus moi et Sonic, enfin Sonic fixant l'objectif avec mauvaise grâce... tu te souviens de cette après-midi ? fixant la photo je l'interroge. Je devrais pas y repenser je sais, mais...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 18:09

Ouais censé hein. Je lève les yeux au ciel à sa réponse. Du Keep tout craché ça. J'suis sur qu'en faite on lui a collé cette femme dans les pattes et qu'il ose pas la virer parce qu'il la prise en pitié et veux pas qu'elle se retrouve au chômage même si elle lui sert à rien. Assis à coté de lui je l'entend me parler de barreau aux fenêtres … Ouais ça doit être sympa l'ambiance prison. Mais ouais les fermer c'est peut être bien aussi. J'le regarde déballer ces affaires, j'aurais bien fait la comparaison avec un enfant ouvrant ces jouets à noël … Sauf que y'avait vraiment que le coté je déballe le truc parce que pour le reste Keep restait de marbre, ou presque. Toujours discret ce mec. Quand il sort les photos je redouble d'attention allez vas y fait moi ta petite moue attendri … Même pas. Tu te souviens de cette après-midi ? J'regarde la photo, hausse les épaules en avalant une autre cuillère du yahourt.
    « Difficile de pas s'en rappeler, Robbyn avait emmerder les oies qui lui avait couru après, tu t'étais du coup retrouver dans la marre avec lui pour leur échapper, ce qui, évidement, était très stupide vu que c'est des oies ça nagent plus vite que vous, mais anyway, Robbyn avait fini sur tes épaules, tu t'étais fait pincer et c'est pour ça que t'es complétement trempé sur cette photo et que ton t-shirt est troué. C'était le 7 juillet 2001. »
Mémoire eidétique. Je me souvenais de tout. D'ailleurs je me redresse sur le fauteuil en disant.
    « C'est aussi ce jour là qu'au soir tu nous avais fait un diner anglais absolument infect. J'ai vu que tu avais encore ton … Truc au citron là. Tu devrais vraiment penser à le jeter, j'suis sur que c'est toxic. »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 18:19


Je sens son regard sur moi, ça me perturbe, mais c'est moi le regard que ça proximité. Le fait qu'il soit si proche de moi, pour une fois calme et non en colère. J'ai du mal à me concentré. Néanmoins voir ces objets ma distrait assez bien, et assez pour que je garde néanmoins le contrôle de mes émotions. Fixant la photo j'attends une réponse de sa part. Un petit rien. Difficile de pas s'en rappeler, Robbyn avait emmerder les oies qui lui avait couru après, tu t'étais du coup retrouver dans la marre avec lui pour leur échapper, ce qui, évidement, était très stupide vu que c'est des oies ça nagent plus vite que vous, mais anyway, Robbyn avait fini sur tes épaules, tu t'étais fait pincer et c'est pour ça que t'es complétement trempé sur cette photo et que ton t-shirt est troué. C'était le 7 juillet 2001. Je relève la tête estomaqué de sa réponse, de ses souvenirs. J'essaye de me reprendre un peu; mais au fond je doute est-ce sa mémoire qui lui permet cela, où que cet après-midi l'a marqué ? Et toi tu n'avais rien faire... hormis sourire moqueur. Je me souviens son sourire amusé, sans qu'il est bougé pour venir aider son fils. Énervé j'avais légèrement fait la tête avant de finalement lâché prise et de venir le tremper me glissant trempé dans ses bras.

C'est aussi ce jour là qu'au soir tu nous avais fait un diner anglais absolument infect. J'ai vu que tu avais encore ton … Truc au citron là. Tu devrais vraiment penser à le jeter, j'suis sur que c'est toxic. Ce détails je l'avais oublié... Le regardant encore chamboulé par le rappelle de ces souvenirs je me reprend. tu n'y a jamais goûté... je suis sur que c'est Robbyn qui a du finir le pot que ... qui était resté dans ton frigo quand... je suis parti . Je me passe une mains dans la nuque, il mange son yaourt comme si de rien était. Alors qu'en moi il y a une espèce de tempête qui fait rage, quoi penser, que ressentir, ce que je dois faire... et surtout ce que je dois pas ressentir en le voyant si près... Il est marié, il va avoir un bébé, son bébé. Je ne cesse de me le répété, tandis qu'un coup je me sens abattue et que pourtant mon cœur ne cesse de battre par sa présence.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 19:57

Et toi tu n'avais rien faire... hormis sourire moqueur. Je souris à sa phrase tout en touillant mon yaourt – enfin ce qu'il en reste – avec la cuillère. Puis j'lui répond, sur un ton à demi amusé.
    « Ouais c'est à peu près ça. Enfin j'vous avez quand même hurler qu'aller dans la mare était une idée stupide. Anyway. »
J'le fixe alors de nouveau en reprenant une cuillère de mon yaourt. Son expression, quand je lui parle du repas, avait quelque chose de fun mais en même temps de dérangeant. Il avait quand même pas oublié que j'me souvenais toujours de tout ? Visiblement. Il est chou quand il a l'air choqué. tu n'y a jamais goûté... je suis sur que c'est Robbyn qui a du finir le pot que ... qui était resté dans ton frigo quand... je suis parti Soudainement mon regard retrouve le fond de mon pot de yaourt, vide d'ailleurs. Shit. J'le sens s'agiter à coté de moi. Un soupire traverse mes lèvres, j'me lève pour me diriger vers la poubelle, jeter mon déchet, et balancer ma cuillère dans l'évier. Je reste debout, cherche mes mots, j'me souvenais de tout bien entendu et en particulier du sort de ce … pot. Essayant de parler d'une voix neutre et plate, je ne peux empêcher à quelques accents coupable d'attacher mon laïus.
    « En quelque sorte oui, il a voulu te le ramener à l'hôpital. Il était persuadé que ça te réveillerais. Bien sur, les médecins l'en ont empêcher, t'aurais du le voir hurler. C'était .. Enfin bref. Il a jamais touché à ton pot. On l'a jamais réouvert. J'crois même qu'il est toujours dans mon frigo. J'me suis jamais résolu à le jeter. »
Comme si c'était en quelque sorte un souvenir. Comme tous ces trucs que j'lui ramener aujourd'hui. C'est bien parce que j'avais pas eu la force de tout foutre à la poubelle. J'avais peut-être peur de l'oublier. J'en sais rien. Passant à mon tour une main sur ma nuque j'fini par essayer l'humour.
    « Enfin, maintenant après 10 ans, il doit vraiment être toxic. »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 20:44


Ouais c'est à peu près ça. Enfin j'vous avez quand même hurler qu'aller dans la mare était une idée stupide. Anyway. Son ton à demi amusé me fait tourner le visage vers lui, ce visage que j'avais presque finit par oublié, il y a dix ans les dernières images de lui que j'ai vu c'était son air haineux, en colère et la dernière fois idem. Je le contemple un moment , puis détourne le regard...

Il se lève et va foutre son pot de yaourt à la poubelle, éloigné de moi au moins il ne m'impose plus ce trouble. Je reprend mes esprits. En quelque sorte oui, il a voulu te le ramener à l'hôpital. Il était persuadé que ça te réveillerais. Bien sur, les médecins l'en ont empêcher, t'aurais du le voir hurler. C'était .. Enfin bref. Il a jamais touché à ton pot. On l'a jamais réouvert. J'crois même qu'il est toujours dans mon frigo. J'me suis jamais résolu à le jeter... Enfin, maintenant après 10 ans, il doit vraiment être toxic. Sa voix me fait tourner le visage vers lui, je le regarde un instant. " J'me suis jamais résolu à le jeter ". Mon coeur s'accélère et se serre. Je repose les photos sur le sac. Marchant pour me donner une contenance et pour réfléchir, j'appuie sur l'écran de mon ordinateur pour le fermer. Facebook en page... Pourquoi tu fais ça Sonic ? Pourquoi t'es là ? ... pourquoi t'es ici, alors que tu vas encore me virer, pourquoi tu... D'accord j'aurais pas du revenir à San Fransisco, je l'ai compris... je t'ai dis que je viendrais pas trainer près de chez toi. Ton poing me l'a fait comprendre l'autre jour... pourquoi tu viens alors ? Exiber ta nouvelle vie, nouvelle copine... et tu me parles de souvenirs... si tu veux plus de moi alors arrêtes ça. .. je voulais dire que... j'ai compris, je me contenterais de rattraper le temps perdu avec Robbyn... mais s'il te plait arrêtes. Je le regarde m'appuyant sur le bureau, j'aime pas être mature et réfléchie c'est simple, j'ai l'impression que je dis les paroles d'un autre. Pourtant c'est vrai, même si sa présence me fait du bien... à force ça me tuera, tout ça.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 23:02

Il se lève. Ferme son ordi. J'arrive pas à le regarder. J'écoute. Juste. J'écoute. Pourquoi tu fais ça Sonic ? Pourquoi t'es là ? ... pourquoi t'es ici, alors que tu vas encore me virer, pourquoi tu... D'accord j'aurais pas du revenir à San Fransisco, je l'ai compris... je t'ai dis que je viendrais pas trainer près de chez toi. Ton poing me l'a fait comprendre l'autre jour... pourquoi tu viens alors ? Exiber ta nouvelle vie, nouvelle copine... et tu me parles de souvenirs... si tu veux plus de moi alors arrêtes ça. .. je voulais dire que... j'ai compris, je me contenterais de rattraper le temps perdu avec Robbyn... mais s'il te plait arrêtes. J'avale difficilement ma salive. Je sais pas quoi lui répondre. Je sais pas quoi lui dire. J'sais pas s'il se rend compte que tout ce qui se passe sur FB c'est des conneries. Mon couple ne vaut rien. Putain. J'suis décidément trop con. Je soupire tout en lui lançant un regard. Étonnement calme malgré la contrariété. J'avais juste la boule au ventre.
    « J'sais pas pourquoi j'suis là. J'sais pas ce que je veux. »
J'tente de faire un pas vers lui. J'y arrive pas. Tout mon corps m'interdis de le faire. Tu l'as entendu. Arrête. Fait lui pas plus de mal que tu lui as déjà fait. Il mérite pas ça. Les yeux dans le vague, j'humidifie mes lèvres, croise son regard, et laisse les mots s'échapper.
    « T'as raison vaut mieux s'arrêter là. »
A ces mots, je tourne les talons, me dirige vers la porte, la déverrouille, l'ouvre. Je reste quelques secondes dans l'ouverture. J'arrive pas à quitter son loft. J'ai envie de rester. J'ai pas envie de le laisser encore disparaître de ma vie. Je pose ma main sur l'embrasure. Ferme les yeux. Soupire. J'ai envie de me retourner vers lui, de lui sauter dessus, de l'embrasser, de m'excuser, d'lui avouer mes sentiments pour lui, mais j'pouvais pas. J'devais pas. Parce qu'au final je ferais que le détruire encore plus. Au point que j'pourrais même le tuer cette fois. Alors j'avance et referme la porte. Sans regard derrière moi. Tout ce que j'avais à faire maintenant, c'est juste penser que tout n'était qu'illusion.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 26 Avr - 23:14


Il me fixe, et relève le regard vers moi, mon souffle se bloque. Je voudrais tellement qu'il me dise non, qu'il me dise qu'il ne veut pas prêter. Qu'il m'aime, qu'il va quitter sa femme, son gosse, qu'il fait tout ça pour s'éloigner. Je chercher ma respiration, mais sous son regard j'y arrive pas. J'aimerais qu'il ouvre la bouche... Mais les mots qui sortent de sa bouche ne sont pas ce que je veux entendre, comme toujours. J'sais pas pourquoi j'suis là. J'sais pas ce que je veux. Je baisse les yeux, je fixe le sol. Je sais bien, tu ne sais jamais ce que tu veux il me semble... Moi pourtant j'ai toujours su que je voulais être avec toi, mais je peux pas le faire pour deux...
T'as raison vaut mieux s'arrêter là. Je relève la tête. Quoi ? Il tourne les talons et je sens ma respiration arriver d'un seul coup et briser toute joie qu'avait provoqué son arrivé. La porte se déverrouille et s'ouvre, je le fixe de dos, ne franchit pas cette porte. S'il te plait, par pas, pour une fois justement je veux bien que tu fasse le contraire de ce que je dis... Il sort et la porte se referme sans un regard vers moi. Le silence, l'effroi. Il est parti, il s'en fout il part. Sans un regard, il capitule, non il capitule pas il se rend à l'évidence. Il s'en fout alors il se casse. Je glisse mes mains dans mes cheveux et sur mon visage. Je veux pas qu'il parte, mais si c'est moi qui le retient, même si il s'énerve contre moi, même si il s'en fout, moi je m'en fiche du moment qu'il est là...
Contournant la porte je l'ouvre à la volé. Faut croire que mes pensées ont été plus rapide que je le pensais, il n'est même pas au bout du couloir. Sonic pars pas ! Attends tu... Tu quoi ? Tu peux pas partir ? Tu dois rester avec moi ? ... J'avale ma salive m'éloignant de la porte en la laissant ouverte. Tu as oublié ton sac... c'est pas le mien celui-ci... Excuse bidon, je me giflerais...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 0:06

5. 4. 3. 2. 1. Sonic pars pas ! Attends tu... Sourire. Il a pas changé. Je me stoppe dans le couloir. L'entend s'approcher de moi. Tu as oublié ton sac... c'est pas le mien celui-ci... Un léger rire franchi mes lèvres. N'importe quoi. Mais pas mal. Je me retourne vers lui. Il a l'air à la fois paniqué et rassuré. Ce mec est un paradoxe. C'est peut être pour ça que j'pouvais pas le laisser. Ces grand yeux bleu de mec battu, nan décidément j'pouvais pas m'en passer. J'hésite entre lui sauter dessus et l'embrasser ou le frapper et le traiter de con. Prenant la troisième option, j'me contente de le contourner pour retourner dans l'appartement. Sans un mot. J'attend qu'il me suive. Une fois à l'intérieur, je prend le sac, et retourne vers la porte. Sauf qu'avant de la passer, je m'approche de lui, pour lui souffler.
    « Et maintenant si j'm'en vais tu vas trouver quoi comme excuse de merde ? Faut savoir ce que tu veux Keep. »
C'est assez ironique que se soit moi qui dise ça.. Sachant que je dois sans doute être le mec le plus indécis qui existe sur cette planète. J'me mordille la lèvres inférieur et me recule. Allez vas y Keep'. Montre moi ce que t'as dans le ventre. Étonne moi.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 0:19


Il se retourne et un léger sourire passe sur ses lèvres, je serre le poing. Il le savait pertinemment, il savait que j'allais venir, il sait toujours ce que je vais. Je le déteste pour ça, pour savoir comment je réagis et en rire, et en jouer. Pourquoi pour une fois il ne changerait pas ? Pourquoi rien qu'une seule fois il agirait pour pas que j'ai toujours à le rattraper ? Il entre dans l'appartement et je ferme les yeux avec colère quelques instants, avant de le suivre. Je pousse la porte derrière moi sans l'entendre claquer, il prend le sac. Évidement il le fait exprès, je le vois dans son regard. Il se rapproche néanmoins et j'ai une seconde l'espoir qu'il m'embrasse. Non il se contente que de paroles comme toujours... Et maintenant si j'm'en vais tu vas trouver quoi comme excuse de merde ? Faut savoir ce que tu veux Keep.

Je serre les dents, le fixant un instant. J'aimerais le frapper, lui faire mal, qui réagisse pour une fois,qu'il comprenne ce que ça fait. Mais ressent-il quelque chose de normal ? Il le fait exprès, et j'ai envie de lui rétorqué qu'il ne devrait pas donner de leçon... Mais non, je tend la main vers ma chemise, et l'attrape facilement pour le tirer ver moi, ou me rapprocher de lui je m'en fou, avant de plaquer mes lèvres sur les siennes. Moi je sais ce que je veux... même si c'est pas possible à faire, je sais au moins ce que je veux...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 1:03


Je le regarde, un sourire au lèvre. Alors Keep ? Tu vas faire quoi ? J'vois dans son regard qu'il est en colère. J'le sens. Allez pète un câble ! Vas y fait moi voir ce que t'as ! Il sert les dents, je souris un peu plus. REAGIS ! J'me sens tiré vers lui. Tiens donc. C'est comme ça que tu réagis. Pas mal. J'me mordille la lèvre. Vas y embrasse moi ! J'attends que ça ! Répondant à mes prières silencieuse le blond plaque ces lèvres contre les miennes. Bordel ce que ça m'avait manquer. Je ferme les yeux, lâche le sac qui décidément n'aura servi à rien et me colle un peu plus contre lui en maudissant nos tenu vestimentaire respective. C'était parfait. Juste parfait. Ma main, non plâtré, passe sous son t-shirt, mes doigts frôlent sa peau, toujours aussi douce. C'était bien l'anglais ça. Prendre soin de lui à l'extrême. J'allais pas m'en plaindre. J'intensifie le baiser, avance pour le plaquer contre un mur. Fallait pas provoquer ne serais-ce qu'une étincelle avec moi. J'étais du genre à vite m'enflammer. Surtout. SURTOUT. Avec lui. J'avais plus qu'une envie maintenant. Allez plus loin.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 1:31


Tu vas me taper ? Me frapper et me dire de reculer ? Pitié je t'en supplie non, pour une fois merde laisses moi un peu rêver. Ses lèvres me ramènent en arrière, dix ans de manque, d'absence. J'entends le sac de sport tomber mais j'y fais pas attention par le fait que je sens Sonic se coller plus à moi. Je soupire légèrement, soulagement, contentement. Je sens alors sa main sous mon tee-shirt, un léger frisson contracte mon ventre; en redécouvrant cette sensation. Je l'attrape derrière la nuque mes lèvres ne voulant plus se décoller des siennes, non plus du tout. Il me fait reculer et j'émets aucune résistance, la porte rencontre mon dos et elle se ferme en claquant tandis qu'il me plaque contre celle-ci. Je tire sa chemise pour le virer de son pantalon, travail facile il la rentre quasiment pas dedans. Putain il peut pas porter des tee-shirt ? Bien trop occupé à l'embrasser, je galère à faire sauter un à un les boutons de cette maudite chemise, moi quand je l'a portais je la fermais pas autant. Mais ses lèvres et mon cœur qui s'emballe à une vitesse impensable m'empêche de m'énerver contre cette pauvre chemise, qui au final cède peu à peu à mes doigts...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 2:37

Grisant. C'était GRISANT. Je sens l'adrénaline qui inonde mes veines. Tout mon corps réclame qu'une chose, son épiderme. Je sens ces mains qui s'agitent contre ma chemise. J'ai envie de lui dire que franchement se prendre la tête à ouvrir les boutons un par un c'n'importe quoi. Si lui en avait une. Ca fait longtemps que j'l'aurais genre déchiré. Mais j'suis brute c'est vrai. Ma main parcours son torse et son t-shirt m'emmerde mais d'une force. Je détache mes lèvres des siennes un instant. J'ai le souffle court. Je pose mon front contre le sien. Un sourire aux lèvres. Ouvrant les yeux sur la putain de réalité. Je reste ainsi quelque secondes à me perdre dans son regard colbat. Putain ce qu'il m'avait manqué. J'vais le détruire. Encore. Mais pour l'instant j'm'en fou. J'oublis tout ça, mon caractère de merde, son caractère trop optimiste. J'oublie. Y'a juste lui et moi. Rien d'autre. J'me décolle simplement pour enlever son t-shirt et sans autre forme de procès je tire sur ma chemise pour faire sauter les derniers boutons. Tout mon corps frissonne et quand mon épiderme rencontre le siens, j'ai une putain de décharge électrique qui me parcoure des pieds à la tête. J'me raccroche de nouveau à ces lèvres pour étouffer un soupire de plaisir. Ma main va par la suite se poster sur le fessier de mon compagnon. Maintenant que j'avais le droit de toucher j'allais pas m'en priver.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 2:54


Je continue de m'acharner sur ces boutons, merde on a pas idée d'en faire des si petits sur une chemise qu'on a juste envie d'ôter. Sa main sur ma peau, ses lèvres, sa langue, son corps contre le mien, et comment me concentrer sur des boutons quand autant de chose arrivent en même temps me désorientant complétement. J'en ai le souffle coupé, je manque presque d'air, et lorsque ses lèvres se détachent des mienne je reprend l'idée de respirer. Sonic à lui aussi l'air de prendre son souffle et son front contre le mien je l'observe un moment, j'observe son sourire, réel. Ses yeux dans les miens, ma main se perd des ses cheveux un instant. Léger répit, je redécouvre ses traits que je connaissais par cœur, de si près. Il s'éloigne de quelques centimètre et je le sens saisir mon tee-shirt , je lève les bras pour le faire passer au dessus de ma tête, tandis que je le vois tirer sur sa chemise, voyant la bouton virer et les entendant tomber plus bas. Rien a changer il peut pas attendre, comme toujours. Je lui fait glisser sa chemise qui rejoint mon tee-shirt, qu'importe. Tu pouvais pas t'en empêcher ?... Constatation plus que question... Un long frisson me parcourt quand je sens son torse contre moi, tandis que je retrouve d'un seul coup son parfum, son odeur qui m'avait tant manquée. Ses lèvres reviennent aux miennes, geste retrouvé, ses lèvres son corps, ses mains. Je sens sa main sur mon fessier, je sourie intérieurement, ce genre de geste qui m'avait manqué... Je glisse une main entre nous deux, attrapant sa ceinture et la défaisant avec brio... comme quoi on devient pro à force de pratiquer, je défais son pantalon. Mes lèvres ne quittent pas les siennes pour autant, bien trop longtemps séparées. Oui je connais la réalité, je sais qu'il aurait du partir, que j'aurais pas du le retenir avec cette histoire de sac. Qu'importe, pour le moment qu'on me laisse m'enfoncer dans cette stupidité, qu'importe.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 3:35

Tu pouvais pas t'en empêcher ?... Hin hin. Nan. C'était juste comme ça avec moi. Fallait que tout aille vite. Enfin.. Surtout que CE moment passe vite. J'comptais pas le tripoter des heures par dessus ces vêtements. Et puis il peut parler. 10 secondes plus tard, les doigts habiles de mon anglais viennent détacher ma ceinture et déboutonner mon pantalon. Ce dernier finit sur mes chevilles moins d'une seconde plus tard. Tant mieux, c'est pas que j'commencais à me sentir à l'étroit là dedans .. Mais presque (a). De mon coté, j'lui rend la pareil, même si avec mon poignet non fonctionnel c'était légèrement plus compliquer. Une fois le jean de me compagnon descendu, un sourire s'étire sur mes lèvres alors que j'continus à l'embrasser. La température était monté d'un cran. Je savais pas si j'avais envie d'avancer jusqu'à sa chambre, la porte me semblait terriblement adéquate, cela dit me connaissant et connaissant mes pulsions il valait mieux pour … Reprendre (a), que l'endroit soit un peu plus douillet . J'interromps à nouveau le baiser, passe ma main valide sous son boxer, hésite un instant à l'enlever, et lui murmure.
    « Hum.. Tu me montres où est ta chambre ? »
Sourire. Nouveau baiser. J'me rappelle aussi pourquoi j'avais toujours le besoin d'éloigner de moi à certain moment. Il était BEAUCOUP trop addictif comme mec. Pire qu'une drogue. Cela dit, j'm'en fiche, j'suis prêt à rechuter. Profiter de l'instant présent tant qu'il en est encore temps.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 27 Avr - 3:55


Habilement je lui fais descendre son pantalon, sans interrompre nos baisers. Ses lèvres qui me font oublié toute réalité, juste son odeur, sa peau, ses gestes qui m'ont rendu tant accro. Je devrais le détester mais je crois que depuis mes treize ans j'en suis réellement incapable. Mon jean descend le long de mes cuisses et je ris légèrement, adossé contre la porte d'entrée, on redécouvre chacun l'autre. P*tain dix ans et rien à changé ni son odeur ni ce besoin d'être avec lui, contre lui, de le toucher. Sa main glisse dans mon boxer je me mors la lèvre, image de flash back sur d'anciens ébats, un autre appart'... Hum.. Tu me montres où est ta chambre ? Son sourire interromps mes pensées, parce qu'il a beau être violent, être méchant être le dernier des c**, quand il me sourit comme ça je m'en fou, parce que tout ces défauts valent bien ce sourire qui me rend accro.
L'attrapant par l'élastique de son caleçon, je dégage mon jean qui avait stagné à mes pieds, je glisse sur le côté pour m'éloigner de la porte, sans quitter sa peau, une main glisser dans son dos, qui descend lentement vers son caleçon et glisse à l'intérieur sur ses fesses. Je recule l'amenant avec moi. Je sourie, ses caresse, ses mains, sa peau tout éloigne la réalité de nous. Juste pour un moment. Mon dos rencontre le contact d'une autre porte et de ma main libre j'essaye d'actionner la poignée. Trop occupé à l'embrasser, je dois m'y prendre à deux reprises avant de pouvoir enfin pénétrer dans ma chambre avec Sonic. Le lit doit même pas être fait, ça faisait pas si longtemps que j'étais levé quand il est arrivé... Son arrivé, j'ai l'impression que c'était il y a une éternité, et que nos baisers passionnels appartiennent à un autre monde. Monde que j'aimerais ne pas quitter pas maintenant.
Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

KEEP & SONIC Ϟ dans "non" quel mot tu ne comprend pas ? /hot\

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» I'll always be here for your kid... ft Sonic
» It's over ft Sonic
» ★ Quel âge avez-vous ?
» Mr Wind, quel casse pied alors !
» "Quel début de journée désastreux" ft Calvin M. Sullivan [terminé]

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.1 ::  :: RPs autres.-