| Mar 3 Jan - 11:17 | |
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Samuel J. Winters “ there's nothing you can say nothing you can do there's no other way when it comes to the truth ”
ft. Cory Monteith
Je m'appelle Samuel Jeremiah Winters, appelez moi Sam si vous préférez, et j'ai 24 ans. Je suis hétérosexuel, célibataire et né à Los Angeles aux USA, le 12 mars 1987.
franc ★ sur de lui ★ sportif ★ responsable ambitieux ★ généreux ★ chaleureux ★ drôle sérieux ★ réfléchi ★ ouvert d'esprit ★ curieux rancunier ★ perfectionniste ★ trop énergique routinier ★ impatient ★ charmeur
| pseudo : Amaryllis / Pauline âge : majeure et vaccinée sexe : fille nationalité : française activité : 5/7
| | commentaire : avatar : Cory Monteith groupe : Friendship (parce qu'il ne correspond à rien en fait :gla:) scénario ou PI : Scénario code du règlement : code okay by Marie |
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[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]Cory Monteith[/font] | [/size] [font=arial][size=9]Samuel J. Winters[/size][/font] |
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| Mar 3 Jan - 11:18 | |
| My StoryParfois, je me dit que ma vie aurait pu être tout à fait différente si j’avais eu une famille classique. Comme ces modèles de familles classiques dont la télé parle sans cesse, un père banquier, une mère institutrice, des enfants simples, heureux. Je ne dis pas que je n’ai pas eu une enfance heureux, mais avoir un père absent les trois quart de l’année fait parfait grandir un peu trop vite. Ma mère est bien institutrice, en primaire, mais mon père n’a rien d’un banquier dans un costume trop classique. Il est médecin et travaille dans un grand hôpital à San Francisco. 3 semaines sans nouvelles de lui, où il travaillait sans s'arrêter, sauvant des vies, et sans moyen de le joindre, sauf urgence, suivies de deux semaines qu’il passait à nos côtés et où il avait tout d’un papa poule. Quand il n’était pas là, j’étais le seul homme de la maison, entouré par ma mère et mes deux sœurs cadettes. Et j’en étais fier. Je m’asseyais à sa place en tête de table, je lisais les histoires du soir, et je m’occupais de tondre le gazon en été. Toutes ces choses qui me rendaient important selon moi. En grandissant, je suis encore devenu plus protecteur avec mes deux sœurs, du genre à menacer les garçons qui s’approchaient trop d’elles, en les surveillant, en les couvant un peu trop. Puis à 15 ans, au temps du lycée, au temps des premiers amours, je les ai un peu abandonnées, ces femmes de ma vie, pour d’autres, que je convoitais. Mais qui ne le savaient pas encore. J’ai eu de la chance d’avoir été rapidement classé dans les garçons « populaires », parce que j’appartenais à l’équipe de football américain. Parfois je me suis dit que cette histoire de popularité était vraiment quelque chose d’immature. Mais je ne pourrais jamais nier que ça m’a été très utile pendant cette période de mon adolescence.
Beaucoup de filles se sont intéressées à moi, beaucoup de filles ont eu envie d’être avec moi, et moi, je n’ai eu que l’embarras du choix. Parce que je ne voulais pas d’une fille futile, avec la tête creuse, je voulais être avec quelqu’un d’intéressant. Et forcément, la perle rare était moins facile à trouver. Sur ce point-là, je ressemble un peu à ma plus jeune sœur, qui est toujours à la recherche du prince charmant. Disons qu’à cette époque, je voulais quelqu’un qui me ressemblait, pour une vraie histoire. Je n’avais pas envie de commencer une histoire avec quelqu’un, pour la finir deux semaines plus tard. J’ai mis plus de six mois à trouver LA fille. Mais je n’ai pas regretté cette attente. Elle s’appelait Peneloppe. Etait brune, mignonne, adorable, souriante, intelligente, une vraie perle. On avait 17 ans, on était jeunes, on était insouciants. On était dans notre monde. On a passé notre diplôme de fin de lycée à deux tables l’un de l’autre. On a eu notre première fois le soir du bal de promo, quand j’ai été élu roi du bal. On avait choisit de s’inscrire dans la même université de Los Angeles, mais dans des cursus différents, elle en économie, moi en littérature et communication, je voulais devenir journaliste. On s’est même installés ensemble dans un petit studio à deux pas de l’université. Comme un petit couple. J’avais prévu de lui demander sa main lorsqu’on serait tous les deux diplômes. Plus que trois ans à attendre. Un vrai conte de fée. J’aurai du me méfier. Quelques mois avant ses 21 ans, avant qu’elle soit diplômée, elle a été renversée par un voiture sur le chemin de retour à notre appartement. Par un chauffard qui ne s’est pas arrêté. Un chauffard qui ne s’est rendu compte de rien. Pendant deux semaine, elle était pendue entre la vie et la mort, sans que personne ne sache si elle allait un jour rouvrir les yeux. Avant d’arrêter de se battre, et de s’en aller. Les premières heures, je n’y ai pas cru. J’ai tourné en rond dans sa chambre. Avant de réaliser qu’elle était partie, pour de bon, et qu’elle ne reviendrait pas. J’étais dévasté. Je m’étais imaginé ma vie entière avec elle à mes côtés, et d’un coup, il y avait un vide immense. J’ai passé un mois, sans sortir de chez mes parents, où j’avais regagné ma chambre d’adolescent, passant mes journées devant la télévision amorphe. Avant de me reprendre en main, juste à temps pour mes derniers partiels. Que j’ai réussi de justesse. J’avais 21 ans, j’étais majeur, officiellement célibataire, mais veuf dans ma tête.
J’ai passé un mois, sans sortir de chez mes parents, où j’avais regagné ma chambre d’adolescent, passant mes journées devant la télévision amorphe. Avant de me reprendre en main, juste à temps pour mes derniers partiels. Que j’ai réussi de justesse. J’avais 21 ans, j’étais majeur, officiellement célibataire, mais veuf dans ma tête. J’avais besoin de changer d’air. Sur un coup de tête, j’ai décidé de faire le tour du monde avec juste un sac à dos, sans but, sans durée donnée. J’ai commencé à descendre vers le Mexique, en faisant du stop. J’étais en Amérique du Sud, Colombie, Brésil, Bolivie, Chili. Puis j’ai pris un vol pour Sydney, Australie. Je suis passé au Japon, en Chine, en Inde, au Laos, en Russie, en Egypte. J’ai fini par un petit tour d’Europe avant de revenir à mon point de départ, à Los Angeles. Un an et demi plus tard. Et je me sentais bien. Merveilleusement bien et épanoui. Mais impossible de m’imaginer en journaliste coincé pour une petit journal de la ville, j’avais envie d’écrire pour moi, envie de raconter les histoires de tous les gens que j’avais croisé pendant ce tour du monde. Pour entièrement m’affranchir du passé, j’ai même quitté ma ville natale pour déménager à San Francisco, où l’une de ses sœurs était partie étudier depuis quelques mois. La cadette m'a suivie, et j'ai pu recommencer à les surveiller de plus ou moins loin. J’ai trouvé un appartement, non loin du sien, et je me suis mis à écrire. Un heure par jour, puis deux, puis cinq puis dix. En cinq mois, j’avais entre les mains un manuscrit conséquent. Mais j’ai dû en démarcher des éditeurs pour qu’enfin quelqu’un me fasse confiance et accepte de me publier, et que j’accède au stade d’écrivain. Que j’ai un contrat. Un travail.
Que dire de moi actuellement ? Je passe huit heures par jour à écrire, chez moi, dans un café, à la bibliothèque ou en plein air si le temps le permettait. Je cours une heure tous les deux jours, pour me maintenir en forme essentiellement, et pour m’aérer, me faire lever le nez de mon clavier. Les filles ? j’ai eu quelques aventures pendant mon voyage, mais rien de sérieux, forcément, puisque je pouvais changer de ville d’un jour à l’autre sur un coup de tête. Et moi le jeune adolescent qui ne cherchait que des histoires sérieuses me contentait de ces jeunes filles de passage. J’avais changé, j’avais grandit, j’étais devenu un homme. Qui essayait de ne pas se poser de questions, qui essaye de vivre aux jour le jour. Tout simplement.
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Mia E. Parkerall i care about is family ✱ QUARTIER : Alamo Square
✱ COLOCATAIRES : Amélia & Lenny - mes enfants
| Mar 3 Jan - 19:51 | |
| Cory Rebienvenue si mes souvenirs sont bons |
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| Mar 3 Jan - 20:59 | |
| Merci tout le monde, un tel accueil fait chaud au coeur - Mary Jude Winters a écrit:
- T'es pas celle qui faisait Peneloppe (Lea Michele) avant ? XD
Bien deviné J'étais Penny, ça m'avait un peu fait chier de partir à l'époque, vu que j'étais sur POH depuis son début, et je me tâtais à revenir depuis quelques semaines ... |
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| Mar 3 Jan - 21:15 | |
| Merci Tamara :djlasdas: Je ne pensais pas qu'on se souviendrait d'elle ... j'ai hésité à la reprendre au début, mais bon, changer fait aussi du bien parfois |
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| Mar 3 Jan - 21:33 | |
| - Samuel J. Winters a écrit:
- Merci tout le monde, un tel accueil fait chaud au coeur
- Mary Jude Winters a écrit:
- T'es pas celle qui faisait Peneloppe (Lea Michele) avant ? XD
Bien deviné J'étais Penny, ça m'avait un peu fait chier de partir à l'époque, vu que j'étais sur POH depuis son début, et je me tâtais à revenir depuis quelques semaines ... Ooh *O* Bah ravis de te ravoir parmi nous & en tant que frère en plus *.* ! Et si t'as hésité à reprendre Penny, bah, peut-être qu'un jour t'en fera un DC, quoi ! |
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| Mar 3 Jan - 21:51 | |
| En tout cas, rebienvenue, c'est drôle que tu reviennes pour l'anniversaire de poh alors que tu t'y étais inscrite au début :p |
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