| Dim 2 Jan - 22:34 | |
| WELCOME TO SAN FRANCISCO ! Owens-Tomas ; Sohfyièn Hernando Sohfyièn peut être considéré comme le gros connard de service de San Francisco. En effet, il n'est pas connu pour être accueillant et gentil. Bien au contraire, il fait souvent parler de lui par son impulsivité et son caractère bagarreur. Il n'a peur de rien, et est toujours le premier à faire marcher ses poings, étant ceinture noir de karaté et de taekwondo, et s'adonnant à des combats de rue. C'est un gros curieux qui aime foutre son nez partout et donner son avis même quand on ne le lui demande pas. Il a tendance à s'imposer de partout, et à s'inviter quand il voit ou entend des plans. Mais c'est celui qui crée les meilleurs plans dans la ville, organisant des grosses soirées chaque moi chez lui, qui sont très réputées chez les jeunes. Gros fêtard, il boit comme un trou et est imbattable aux concours de shooters. C'est aussi un gros dragueur et profiteur, qui n'hésite pas à s'attaquer aux demoiselles bourrées tant qu'il peut tirer son coup. Menteur, bon acteur, il s'invente souvent des vies pour brancher les filles. Malgré ça, il peut être attachant et amusant, et surtout, fidèle en amitié.
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| ft. Michael Trevino |
Histoire SOHFYIÈN : « Nous y voilà. » J’affichai aussitôt un grand sourire sur mon visage, tout en m’arrêtant de monter les marches qui menaient à la grande bâtisse familiale. Une seconde plus tard, la jolie blonde qui m’avait ramené se plaçait en face de moi, son air gaga planté sur sa gueule. Elle était exaspérante, rien qu’à son attitude. Mais bonne. Cheveux blonds, yeux bleus, taille fine. Et une paire de nibards à étouffer un môme si on le place entre ses seins. Sérieux, c’est pas croyable comment ses machins sont imposants ! J’en avais même du mal à la regarder dans les yeux tellement ses nichons prenaient tout mon champ de vision. Et pourtant, je m’efforçais d’avoir mes yeux rivés dans les siens pour ne pas me faire griller. Surtout que je me pelais les couilles à l’extérieur, et que j’aurais préféré me réchauffer avec elle que d’attendre patiemment devant cette porte. SOHFYIÈN : « Merci de m’avoir ramené, je sais pas ce que j’aurais fait sans toi. », dis-je, mon sourire toujours planté sur mon visage tel une marque indélébile. JENNA : « C’était avec plaisir, tu n’allais pas rester toute la nuit à côté de ta voiture juste parce qu’elle est tombée en panne. » What the fuck ? Ca a pas de sens ta phrase ma grande, va apprendre à parler l’anglais sérieux. T’as de la chance d’être baisable, sinon, t’aurais rien eu pour toi. Non mais, il fallait le dire, cette nana, c’était des formes sans cerveau. Elle n’avait pas deux trous, mais trois, le troisième étant l’espace vide à la place de la cervelle qu’elle devait avoir perdu depuis un bail. SOHFYIÈN : « Hey, t’as l’air de grelotter, tu veux rentrer pour boire un truc chaud ? » JENNA : « Haaaaaaan. C’est troooooop mignon.» Qu’est-ce qu’elle pouvait être conne sérieux. Je pouvais presque lui dire que j’étais le fils de Britney Spears qu’elle m’aurait demandé un autographe. Ca, c’est les américaines. Vraiment. Au Portugal, elles sont connes et manipulables, mais là, à l’université, c’est vraiment le summum. Quand je regardais les films, genre American Pie et tout, je me disais que c’était parodié, obligatoirement. C’était scientifiquement impossible qu’une fille soit aussi débile que ça. Et pourtant, l’université me prouvait le contraire. Et je peux vous l’avouer, c’est bien plaisant, et beaucoup moins galère à jouer les Fornicators. Quoi que, le challenge européen me manquait un peu, à vrai dire, même si je le retrouve les étés. Pour en revenir à l’abrutie, je lui lançai un clin d’œil, alors que j’ouvrais la porte de la maison. Mes parents étaient encore absents. Cela devait faire bien une semaine et demie que je ne les avais pas vu, et ça ne me déplaisait guère. Bien au contraire, ça me permettait de ramener qui je veux : que ce soit des jambes écartables ou des penses à bières ambulantes, tout dépend ce que je voulais faire de ma soirée. Le must restait quand même de mélanger les deux pour faire une soirée énorme ! Quant à mon demi-frère Noham, il devait être dehors, je n’sais où. Le chemin étant libre, je l’attrapai doucement par la main, l’amenant petit à petit vers ma chambre. Celle-ci atteinte, je la fis entrer la première, tel un vrai gentleman que je ne suis pas du tout. Heureusement pour moi, la femme de ménage avait fait son boulot, et je passais pour le gars soigneux. Et comme une vraie gonzesse, elle s’aventurait à faire le tour de la pièce, avant de tomber sur une photo de mon frère et moi posée sur le bureau. Et merde, il manquait plus que ça. JENNA : « La personne sur la photo te ressemble troooooooooop ! » SOHFYIÈN : « Hein ? » Seriously ? Peut être parce que c’est moi sur la photo, tout simplement, non ? JENNA : « AAAAAH ! Zut, je suis bête ! Vraiment. C’est toi ! C’est ton frère à côté ? » SOHFYIÈN : « Euh … ouais. », dis-je doucement en me tournant directement, m’approchant de mon lit pour m’y asseoir. JENNA : « J’ai dit quelque chose de mal ? » SOHFYIÈN : « Il … il est mort. » Je baissais la tête, alors qu’elle s’approchait précipitamment de moi pour s’asseoir juste à côté. Très vite, une larme coula sur ma joue, je fixais toujours le sol. Oui, je fais du théâtre depuis que je suis gamin, et je sais pleurer sur commande et raconter un tas de conneries en étant crédible, et alors ? Tant que je peux m’introduire dans sa petite culotte, j’m’en fou royalement sérieux. De toute manière, c’est pas comme si j’allais la revoir un jour. Je l’attendris, je la baise, et je la vire, point. Ca marche toujours, de toute manière. Je fais ça depuis que je suis adolescent, et mon frère ne m’en a jamais voulu. De toute manière, les coups de gueule entre lui et moi sont rares. On peut toujours compter l’un sur l’autre, et on avait fait un pacte là dessus. Mes parents, eux, sont trop occupés avec leur vie personnelle, ou leur boulot. Mon père est avocat et on ne le voit jamais. Il est toujours en déplacement. C’est pareil pour ma mère, qui elle, est productrice de films. Du coup, je suis habitué à vivre seul depuis tout petit, et à en profiter pour faire des méchantes soirées tout le temps. Et pour combler l’absence de mes parents, j’ai Noham, un peu comme un jumeau quoi. Puis j’ai le sport à l’université. Grand admirateur de football américain depuis les premiers jours, j’en joue depuis des années, et je compte bien y faire carrière. Joueur de l’équipe de l’université de San Francisco, on me connait pas mal là bas grâce à ma rapidité sur le terrain et dans la descente d’alcool. Ou pour mon jeu sur scène, adorant être sur les planches à jouer des rôles, comme dans la vraie vie. JENNA : « Excuse moi, je suis désolée, je voulais pas te faire de la peine... » Elle était gênée, mais aussi attendrit par un homme qui pleure sans se cacher. Au même moment, elle posait sa main sur ma cuisse, la caressant doucement, tout en continuant à s’excuser. Moi, je continuais à la feinter, les larmes coulant toujours sur mon visage de façon très naturelle. J’entrepris de relever ma tête vers elle, lui lançant un sourire plutôt rassurant. SOHFYIÈN : « Ne t’inquiète pas, ça va, j’ai juste un peu de mal à parler de tout ça, c’est assez récent. On peut changer de sujet ? Je peux aller te faire ton chocolat chaud si tu veux, il fait pas chaud. » J’essayais de me lever, mais sa main força sur ma cuisse, m’indiquant qu’elle ne voulait pas que je bouge. Un air complètement innocent sur le visage, imitant au plus un coincé et son air de débile quand il ne sait pas quoi faire avec les gonzesses. Pour le coup, ça allait marcher. Disons que depuis le temps, je savais comment y faire avec les femmes, et là, c’était l’attitude à avoir, maintenant que j’avais cerné la gonzesse. Et là, je savais exactement ce qu’elle voulait. JENNA : « Et si tu me réchauffais d’une autre manière ? » Un grand sourire plutôt coquin sur le visage, elle voulait que je la prenne ici, maintenant, et c’était le signal qu’elle m’envoyait pour me le faire comprendre. Ca, et sa main qui était remontée de ma cuisse à mon entre-jambe. Ni une, ni deux, j’allais exaucer son souhait. Enfin, j’aurais pu. En tout cas, j’avais commencé. Tous les deux nus sur le lit, moi derrière elle, mes mains lui massant la poitrine pendant que ma langue parcourait son cou et que je lui donnais quelques coups de reins, ses cris furent coupés quand la porte de la chambre s’ouvrit. Deux personnes entrèrent, et à partir de cet instant, ce ne fût plus les mêmes cris qui résonnèrent dans la pièce. La gonzesse criait parce qu’on s’était fait surprendre, mon frère était dégouté de me voir dans une telle position, même si ce n’était pas la première fois qu’il me surprenait en pleine baise. Sa pote, elle, se cachait les yeux. JENNA : « Espèce de salaud ! » Ouais, bah, maintenant que mon abruti de frère était dans la pièce, j’étais complètement grillé, et elle avait comprit que je m’étais royalement foutu de sa gueule. Elle rassembla ses affaires avant de quitter la pièce, en marmonnant contre moi. Noham, lui, m’envoya un drap dessus, histoire de cacher mon entre-jambe. NOHAM : « Préviens la prochaine fois s’il te plait, ça me rend vraiment mal à l’aise ce genre de situation. » SOHFYIÈN : « Oh, arrête, tu devrais prendre exemple. Si vous étiez pas arrivés, je l’aurais baisé, deux fois. Et toi, tu fais toujours ton timide. » LIBBY : « Peut être parce qu’il a plus de respect envers les filles, et que c’est pas un demeuré. » SOHFYIÈN : « Hey Libby, ça faisait longtemps. Et d’ailleurs, j’me disais, vu que tu viens d’me casser mon coup, et que je bande toujours comme un chien, tu pourrais prendre sa place ! » LIBBY : « Dans tes rêves Sohfyièn ! » SOHFYIÈN : « Coincés du cul … » Mon frère attrapa ce qu’il avait à prendre, puis partit, me laissant en rut dans la chambre, sans rien à lever. Enfin, pour l’instant. Je me frayai un chemin vers mon portable, et après quelques secondes à chercher un numéro, je posai mon portable à mon oreille. SOHFYIÈN : « Ouais Heaven, c’est Soh. Tu fais quelque chose ? |…| Tu sors avec ce tocard ? Lâche le, j’suis chez moi, j’t’attends. |…| Mais nan, c’est pas pour la baise, ça fait longtemps que j’t’ai pas vu. |…| 10 minutes ? Ok. A tout de suite. » Ce soir là ? Je l’ai baisé. Deux fois. Aucune conviction, aucune retenue, les femmes de nos jours. Tant mieux pour moi.
SURNOM: Soh ; Nando pour Joyce. ÂGE: 22 ans DATE DE NAISSANCE: 24 février NATIONALITÉ: Américaine, origine portugaise.
| GROUPE: Génération Lost ORIENTATION: Hétérosexuel SITUATION AMOUREUSE: Célibataire | QUALITÉS: Fêtard ; Imaginatif ; Joueur ; Drôle DÉFAUTS: Curieux ; Violent ; Grande Gueule ; Lourd |
IN REAL LIFE ON JOUE A UN JEU ? | |
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