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Anonymous
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Dim 25 Mai - 19:56

Mes rétines s’accrochent dans le vortex du néant, celui du ciel à travers le halo, les nuages, se flux cotonneux à perte de vue qui parfois disparait pour laisser place à la densité bleuté, c’est un spectacle magnifique dont je n’arriverai sans doute jamais à me lasser. Cette densité devenait rosé au fur et à mesure de mon voyage, pour s’éteindre progressivement a son tour.  Je me suis tellement dépêché quand Svetlana m’a dit que je devais y aller que j’ai laissé presque la totalité de mes affaires là-bas. Le brésil m’avait permis de me rapprocher de mes cousines mais aussi de Svetlana, ensemble nous avions passé de bon moments comme des plus sombres a tirailler nos cerveaux. Je me sentais très emphatique à ses émotions. On se contaminaient mutuellement dans des acrobaties chiffonnées. Mes psychés s’envolaient vers elle et puis l’excitation me gagnait facilement. Les heures se sont allongées mais qu’importe, je m’étais plongé dans mon livre, love is a dog from hell, j’essayais a ma façon d’améliorer mon anglais, plus tard sa sera mon espagnol car ce sont des langues qui me tiennent à coeur et puis mes paupières se sont alourdies à force.

Il y a eu l’atterrissage, la descente d’avion à Amsterdam à trois heures du matin parce que oui il y avait pas de direct, j’ai mis ma veste en cuire et puis dans la hall de l’aéroport, j’ai senti des mains s’attacher contre moi et mes pieds quitter le sol. « AAAANGST  » il a gueulé. «  SKAAAANS ». On s’est traité pendant environs dix bonnes minutes.  Saul ne savait pas que Léo aller venir, en fait je lui avais dis que je passais à Amsterdam et forcément dans sa tête, Amsterdam allié à Rome découlé des choses qui étaient très loin de ça. Je lui ai laissé croire que oui. Ma surprise c’était Léo. J’avais une théorie foireuse comme quoi la composition de Léo n’était pas de soixante pour-cent d’eau mais de quarante-deux litres de red bull à l’état pure. Avant de prendre la route de nuit on s’est arrêté dans les rues d’Amsterdam, été dans quelques shops, on a visité la rue rouge. Ma couleur favorite, les néons éclatés littéralement mes rétines la luxure qui s’attachait dans la lascivité de la nuit. J’étais fasciné. On a couru un peu partout, prit un verre et puis il a conduit direction Londres. J’ai jamais compris pourquoi on avait donné le permis à Léo. On aurait simplement pas du lui donner, je lui ai jouer de l’harmonica pour pas qu’ils s’endorment, on a pris le ferry aussi et puis on est arrivé à Londres, on s’est étalé dans son lit pour se reposer et puis j’ai pris ma douche. J’ai mis ma longue robe à la couleur du sable et mit sur le front le bijou de tête que ma cousine m’avait offert. J’avais l’impression d’être encore au brésil. J’ai envoyé un message a Mieszko. J’étais contente qu’il ait répondu présent quand je lui avais demander d’aller avec moi à l’exposition de Gaïa et quand je lui avais dis que je ne pouvais pas y aller, il m’a dit qu’il irait jeter un coup d’oeil quand même. Le présenté a Gaïa me fessait plaisir car je savais qu’il pouvait l’aider dans son évolution artistique et lui ouvrir des portes. C’était un de ses hommes particuliers de ma vie qui m’a fait évolué. Il nous a rejoins et on a pris l’avion ensemble jusqu’à Glasgow.

On est arrivé en début d’après-midi sur le sol écossais, on a pris un taxi direction l’hôtel. Les écrins suspendus de mes émotions étaient en ébullitions, j’avais hâte. J’essayais de me contrôler entre les discussions très sérieuses qui devenait philosophique entre nous trois. Les idées allumées de Léo, la sagesse et l’expérience de Mieszko et moi entre les deux qui avaient envie d’hurler comme une cinglé parce que j’étais qu’une excitée et que Léo jouait avec mes nerfs à taper sur ma veste en cuire avec son doigt que j’allais lui faire bouffer mais je prenais  un malin plaisir a resté impassible et à participé aux conversations mélangés. Il y allait avoir plein de monde, Gaïa, Lili et les garçons. Gaïa nous attendait devant l’hotel, je suis sorti de la voiture avec un grand sourire et je l’ai prise dans mes bras en la serrant. « BONJOUUUR » je reprend mon souffle je me décale un peu. «  Alors l’homme que voici, c’est Mieszko. L’ami dont je t’avais parlé et ça…ça c’est Léo. C’est comme un frère pour Saul. » Forcément Léo me passe devant, il la serre dans ses bras aussi, oui parce qu’il est comme ça il a aucun complexe «  Salut, moi c’est léo, enchanté, t’es cool a ce qu’on m’a dit, on se voit après mademoiselle j’ai un truc urgent a faire » puis il a filé en direction de l’intérieur de l’hôtel comme une fusé sa m’a fait rire.    
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Anonymous
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Dim 25 Mai - 22:22

Cette feuille d'une pure blancheur se faisant presque agresser par mon feutre noir, puis un stylo. Je me perdais dans ces lignes, suivant mon instinct, les courbant, les maniant à ma guise, je n'avais pas autant d'outils que dans mon atelier à San Francisco, mais c'était suffisant pour moi. Pour laisser mon esprit s'évader, dans ce monde irréel que je me hâte à imaginer lorsque je suis seule. Cette impressionnante boîte noire qu'est mon cerveau, regorge d'images de femmes, de leurs formes majestueuses, si envoûtantes, si lumineuses dans ma tête, je pourrais m'y perdre encore longtemps, être une solitaire ou être en compagnie de plusieurs personnes, un grand tiraillement à mes yeux. La solitude provoquait une douleur intense et insoutenable, je ne me sentais pas non plus à l'aise en compagnie de trop de personnes. Seulement, après ces journées passées avec Saul et les membres de son groupe, j'ai pu m'y habituer. Ce train de vie qu'ils possèdent me faisait rêver, leur façon d'être, de raisonner, m'apaise énormément. Atlanta, puis ensuite Glasgow. Je n'avais pas l'impression de voyager avec eux, je me sentais en famille, ils sont devenus en si peu de temps, un repère pour moi. Alors j'appréhendais déjà mon départ, ou plutôt mon retour à San Francisco. Mes iris dirigés vers ce dessin inachevé, j'ai décidé de tout interrompre pour descendre et accueillir Rome. Simplement vêtue de ma veste en cuir, un short en jean délavé taille haute et des baskets noirs.

« BONJOUUUR » Je me suis rapidement retrouvée dans les bras de Rome,  un peu étonnée de voir des gens avec elle. Je la serrai à mon tour, avant de la lâcher pour les présentations. «  Alors l’homme que voici, c’est Mieszko. L’ami dont je t’avais parlé et ça…ça c’est Léo. C’est comme un frère pour Saul. » Je déglutis. Ce Mieszko est.. impressionnant. L'autre, Léo m'a rapidement câliné, j'ai fais pareil. «  Salut, moi c’est léo, enchanté, t’es cool a ce qu’on m’a dit, on se voit après mademoiselle j’ai un truc urgent a faire » J'ai acquiescé, le laissant filer, avant de reporter mon attention vers le Monsieur. J'ai tendu ma main pour le saluer convenablement. « Enchantée. C'est Gaïa, je n'ai pas pu vous parler durant l'exposition, mais merci d'être venue. Vraiment.. » Je me suis ensuite mise à ranger quelques mèches derrière mes cheveux, visiblement stressée par cette rencontre inattendue. « Donc.. hm.. vous êtes aussi l'oncle de Saul?  »
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Anonymous
Invité
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Lun 26 Mai - 0:08

Les turbulences bohèmes s’attachent a mes omoplates, les régles de bienséances m’ont été apprissent  mais euphorie nerveuse a gagné l’hymne de mes muscles trop rapidement. J’espère mettre Gaïa à l’aise, Miezsko est serte un peu plus âgé que nous mais c’est un homme avec une palette impressionnante d’intelligence, d’humour et surtout de courage. Il avait réussi a me mettre à l’aise dès les premières paroles qui sont sorti de sa bouche, il donnait confiance d’un regard.  Il la fixait se regard qui criait ne soit pas stressé Gaia, détend toi, je ne mord pas. Elle n’avait surement pas assez confiance en son travail mais si il s’était déplacé c’était qu’il avait été troublé, intéressé et qu’il comptait bien apporter ce qu’il pouvait a Gaïa. J’espérais bien qu’il l’inviterait à exposer dans ses galeries ou alors qu’il allait faire bouger son carnet d'adresse car je savais que les collections qu’il prenait sous son aile allé dans de nombreux musées. Souvent, ensemble on parlait d’art alors j’imaginais qu’avec Gaïa ça allait être quelques choses de bénéfique.


Mes abysses sont atomiques, remplie d’une certaine ombre qui se déchaine en flocon de cendre. Ce qui me touchait le plus était remplie d’empreinte désordonné, les atomes de la distorsion mental et anatomique, les nuances des erreurs et des blessures. Mon esprit était profondément terrassé par les dogmes de l’esthétique commun, c’était peut-être ce que je détestais le plus quand on voulait que je frôle la symétrie dans mon travail, bien sur que ça m’était arrivé de le faire pour le travail mais sa enlevé à mon simple avis toute mon humanité en me donnant un air plastique. L’imperfection c’était ce qui m’hypnotiser le plus c’était ce que je recherchais même dans les peintres classique. C’était sans doute pour ça que j’étais profondément attaché a certaine oeuvre. Pour moi l’art était remplie de provocation violante ou douce et c’était la procuration d’une expérience. Un photographe m’avait dit qu’il ne tenait compte des réactions des autres, qu’il ne fessait pas sa pour plaire. Il sortait juste ses tripes sur ce qu’il avait envie d’exprimer.

Un des tableaux que j’avais vu sur Facebook m’avait fait spécialement intercepté celui d’une femme nue, caché d’un voile inspiré par Svetlana. Ce tableau criait beaucoup de choses surement inconsciemment. Il m’avait fait pensé à  un mot que j’avais entendu durant une visite dans un musée avec mon père : Alètheia.   Dans la symbolique la vérité est représenté par une femme nue, la vérité est translucide sans mensonge elle ne se cache pas mais ce mot  "vérité" en grecque signifie dévoilement ou la révélation.  C’était un paradoxe de la langue car la vérité se voit d’elle même, elle est lumineuse immédiate alors que la construction de se mot est négative Alètheia est composé de a-lèthè qui veut dire un non-oublie. Mes pensées déraillaient vite toutes seules mais j’avais la conviction que la vérité se cachée sous le voile, sous danse illusoire des événements de sa vie, sous les doux mensonges rassurant mais mon avis n’avait pas d’importance en soit.  Miezsko lui répondit «  Enchanté de même. Je suis ravi de te rencontrer, Rome m'a beaucoup parlé de toi et j'ai beaucoup aimé ton art. J'ai voulu te féliciter mais tu me semblais déjà beaucoup trop entourée alors mes félicitations ! » il marque une courte pause « Et oui, je suis l'oncle de Saul, en effet. » Sa me fait toujours étrange quand il dit je suis l'oncle de Saul. Je peux pas m'en empêcher de trouver ça étrange car je savais pas que c'était son oncle quand je l'avais rencontré. Je leurs souris et je lève mon pouce à Gaïa. «  Moi je suis curieuse car je n’ai vu que quelques travaux sur facebook, parle moi un peu de ton expo ! »
 
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 26 Mai - 20:00

L'amalgame de mes racines régnait sur mon existence, dirigeait la plupart de mes choix et colorait les nuances de mon caractère. Vivre comme je vis, sans endroit fixe, me poussait à me rappeler. Ma nostalgie fonctionnait à tout va, incessamment et souvent inconsciemment. L’Angleterre a façonné mon squelette et même  mon accent si prononcé ne me permettait pas d'oublier le pays dans lequel j'ai grandi. La fraîcheur de l'Écosse contrastait violemment avec le climat chaud des dernières villes dans lesquelles nous avons joué. Elle s'incrustait dans les pores de ma peau, dessinait des frissons le long de mon épine dorsale et j'aimais cette sensation car j'en avais manqué. Peut-être sûrement plus que ce que je ne me l'étais imaginé. Gaïa nous a suivi depuis Atlanta. Sa présence avait un effet positif sur mon comportement et notre proximité me rassurait énormément. Les gars s'étaient très vite attachés à elle et la considéraient déjà comme l'une des nôtres. Je parlais beaucoup de Gaïa à mon entourage car elle était spéciale à mes yeux et que je l'ai toujours considéré comme la sœur que je n'ai jamais eu. Lili nous avait rejoint en Écosse. L'air me semblait moins tendu entre nous mais une distance horrifique s'obstinait à nous éloigner l'un de l'autre. J'avais peut-être trop déconné avec elle. Peut-être.

Aujourd'hui était un de mes rares jours libres. J'en profitais pour ne rien faire, discuter avec les garçons, taquiner Lili et profiter de la présence de Gaïa au maximum. Les mouvements désordonnés qui flottaient autour de moi m'irritaient au plus au point. Vidé, complètement aspiré par la foule qui hurle et demande toujours plus. Je ressentais un besoin abstrait de solitude, d'évasion et d'intimité. Je voulais simplement récupérer une certaine stabilité, la même exactement que Sierra arrivait à me faire ressentir lorsque j'étais avec elle. D'ailleurs, mon inquiétude rongeait doucement mon intérieur. Avec tout ce que j'ai appris, je me rendais compte à quel point elle n'était pas aussi forte qu'elle le prétendait, en faisant de grands sourires et de grands gestes comme une enfant heureuse. C'était une femme, avec un passé chargé et des déchirements puissants. J'étais calé dans un fauteuil, n'écoutant qu'à moitié ce que racontait Ross. Je me sentais ailleurs, un peu usé par les concerts à répétition. Bien sûr, j'étais reconnaissant de pouvoir vivre de ma passion mais je sentais que je ne suivais plus physiquement et que je devais ralentir. Du moins, un minimum. Gaïa s'était un peu isolée afin de dessiner. Je savais qu'elle aimait être seule elle aussi, tout comme moi alors je respectais ses moments d'évasion qui n'étaient jamais très longs. J'aurais voulu qu'elle reste avec nous constamment mais des gens l'attendaient à San Francisco et je ne voulais pas les priver de ce que la brune pouvait leur apporter.

Mes pensées s'entassaient alors que je restais silencieux, coincé dans la tendre torpeur de mes ressentiments par rapport aux mélanges divers qui consumaient ma chair. Je fixe un point qui n'existe pas et Lili s'assoie sur l'accoudoir du fauteuil en me regardant. Elle avait sûrement capté que je n'étais pas réellement présent. Je lève un peu mon visage vers le sien en lui souriant pour la rassurer. C'est à cet instant précis que quelqu'un entre brusquement dans la chambre d'hôtel, en faisant beaucoup de bruit et en sautant un peu partout. Mon cerveau crisse légèrement lorsqu'il saute sur moi. C'est Leo, ce qui veut dire que Rome est sûrement présente avec mon oncle qui devait rencontrer Gaïa pour parler entre professionnels. Il crie que c'est lui la surprise et je rigole un peu en le serrant dans mes bras. Je suis content de le voir, même si je suis claqué comme personne. Je comprends mieux ! T'es beau avec tes cheveux courts, tu me ferais presque de l'effet. On ne se voyait pas souvent ces derniers temps alors j'essayais de profiter au maximum de sa présence. Il était aussi important que Luke à mes yeux. Le nombre impossible de conneries que l'on a fait ensemble me dépasse littéralement. J'attends les autres, en riant un peu avec lui. Il était toujours surexcité. D'habitude, je le suis aussi quand il est là mais sincèrement, j'ai juste envie de dormir.
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