B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Dim 6 Avr - 18:04 | |
| Tu la fixes sans une once d'hésitation, trop tard fallait pas t'embrasser, fallait pas refaire renaître cette pseudo confiance que tu as en vous.Alors tu la fixes oui, et tu vois bein qu'elle essaye de remettre ses pensées en ordre. Ça se voit, c'est comme si tu voyais des petits rouages fonctionner à fond dans ses yeux pour essayer de reprendre le rythme normal. Non, pas possible de tout remettre en ordre... Tu la vois baisser les yeux, tu les baisses sur tes doigts plier sur son chemisier un peu salit aussi. Oups, pas grave. tu me lâches ? Tu relèves la tête vers elle observant ses yeux posé sur ta main, tu restes un instant silencieux, juste un instant. Non... Tu laisses ta voix diminuer un peu, lui faire comprendre très bien se que tu veux dire, insinuer, que oui elle peut se casser si elle le veut, mais non tu vas pas la lâcher... pas le moins du monde. Tu retrouves son regard dans le tien et tes doigts bouges légèrement sans se détacher de son haut, juste le froisser plus entre tes doigts se qui a pour conséquence de le remonter le long de son ventre peu à peu...
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| Dim 6 Avr - 18:21 | |
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tu sais pas trop dans quoi vous embarquez. t’as bien l’impression que c’est quelque chose qui te dépasse. qui vous dépasse tous les deux. tu sais pas trop à quoi t’attendre. demain ? la semaine prochaine ? t’arrives même pas à réfléchir à ça pour le moment. en fait, tu peux réfléchir à rien du tout. « non... » quelle était la question déjà ? en tout cas, la réponse est négative. ça t’avance pas tellement. les doigts de camil serrent toujours ton tshirt, plus fort, le faisant frotter contre ta peau qui frissonne. tu perds le contrôle. tu sais que c’est une question de minutes avant que tu te jettes sur lui et tu sais aussi que c’est pas une bonne idée du tout. pas maintenant. pas ici. pas ce soir. pas alors que ton cerveau est complètement en vrac. tes yeux naviguent entre les siens et ses lèvres. « on va s’occuper de vous maintenant. » dit une voix, alors que le médecin est de retour, accompagné de deux internes. tu secoues la tête pour remettre tes idées en place.
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B. Camil Marshalli'm a motherfucking admin ✱ COLOCATAIRES : Son fils et sa... "femme" imposée.
| Dim 6 Avr - 18:30 | |
| Tu la fixes toujours, tu sais pas vraiment se que tu veux, tu jouespas vraiment. Mais c'est toujours ça, tu t'embarques toujours dans des trucs pas possible avec elle. Des trucs comme ça, alors que toi même tu sais pas, quoi faire, se qui va arriver. " on va s’occuper de vous maintenant." T'as pas entendu la porte s'ouvrir, tu te mors la lèvres tes doigts relachant le tee-shirt de la jeune femme devant toi alors que tu finis lentement par tourner le regard vers le médecin. Tu le buterais presque mais non. Tu hoches la tête en signe d'approbation alors que ton regard se pose sur Magda un long moment. Partie remise? T'en sais rien c'est bien ça le pire, tu sais pas, et ça te frustre, oh oui tu sens que ce soir ça va être pire que dur. Tu peux y aller, je me débrouillerais. Vaut mieux qu'elle file oui, sinon quand les médecins auront finit tu promets absolument rien, et tu sais même pas si ça sera encore d'actualité donc... tant pis. Tu les laisses approcher du lit, grimaçant quand il retire la compresse de ta tempe. Et puis vaut mieux qu'elle se tire parce que... on va dire que t'es... disons plus que phobique des piqures. T'as fait un malaise juste pour une prise de sang un jour alors bon. T'as pas trop envie de perdre le peu de fierté qu'il te reste.
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| Dim 6 Avr - 18:45 | |
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camil lâche finalement ton tshirt qui se remet vaguement en place tout seul. tu recule d’un pas, laissant la place aux médecins. camil te regarde et tu lui sourit. genre secret commun, conversation télépathique et tout. « tu peux y aller, je me débrouillerais. » tu hoches la tête de haut en bas. tu réajustes ton sac sur ton épaule. tu commences à quitter la chambre et puis tu reviens une dernière fois sur tes pas et tu déposes tes lèvres sur les siennes, peu importe qu’il y ait des gens autour de vous ou pas, que tu déranges, tu t’en fous complètement. « oublie pas de m’appeler. » tu dis en le regardant, avant de partir.
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