Trois ans, trois ans que vous étiez marié et plus ou moins sept ans que vous vous connaissiez . Au début, rien ne présageais un avenir de la sorte pour vous deux, c'était juste une femme que tu voyais pour occuper le temps, comme beaucoup d'autres, aucune n'était parvenus à devenir importantes à tes yeux, il n'y avait toujours qu'une seule et unique femme capable de faire battre ton cœur, cette petite blonde qui t'avais bouleversé il y à plusieurs année de ça. Circé t'avais aussi touché à sa façons, elle comprenait parfaitement ton mal être et cet amour que tu portais toujours autant pour Wino sûrement parce qu'elle aussi avais laissé son cœur ailleurs. Ta femme étais exceptionnelle et tu en avais conscience, tu regrettais souvent de pas pouvoir l'aimer autant que possible, de l'aimer comme il se doit, parce que oui tu l'aimais, tu avais énormément d'affection pour elle car sans le vouloir elle avait réussis à te faire avancer à ne pas t’apitoyer sur ton sort. Chaque jour tu essayais de lui prouver qu'elle était importante à tes yeux, mais cela ne serais jamais suffisant au vu de tous ce que tu faisais à coté, tu étais un véritable salop sans cesse en train d'user et d'abuser de tes charmes envers la gentes féminine, mais elle n'était pas dupe loin de là.
Cela faisais plusieurs semaine que tu lui cachais quelques chose de beaucoup plus grave que tes infidélité. La femme qui étais dans ton cœur depuis pas mal de temps, mais qui se trouvais dans le comas depuis dix ans c'était réveillé il y à de ça plusieurs semaine, tu l'avais vu quelques fois depuis son réveille cela avais du se remarquer, tu avais sûrement changé de comportement, d'attitude, tu étais plus heureux. Une partie de ton cœur c'était remis à battre depuis que tu savais que Winona n'allait pas mourir. Tu quittais ton bureau assez tard, comme tous les soirs sur la routes entre ton lieu de travail et ta maison tu réfléchissais à comment tu allais dire la vérité à Circé et surtout comment elle allait le prendre. Tu te tiras de tes pensées en te garant dans l'aller de ton garage, tu franchis le pas de la porte, Ivy devais probablement être enfermé dans sa chambre ou en vadrouille avec tu ne sais qui, ce qui t’exaspérais. Tu déposas tes affaires dans l'entrée et te dirigeais vers le séjours plus précisément vers le canapé où ta femme étais installé, tu lui souris, et déposas un rapide baisé sur ces lèvres avant de t'installer à ces coté.
Benjamin ; Tu as passé une bonne journée ? Demandas-tu en passant une de tes mains dans ces cheveux.