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Brooke Jessie McMyler i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Mar 28 Mai - 14:49 | |
| BROOKE MCMYLER“ Espérer, c'est pouvoir survivre ! ”
FICHE D'IDENTITÉ 23 ans Δ Etudiante (stylisme) Δ Hétérosexuelle Δ Célibataire Mon nom complet est Brooke Jessie McMyler et j'habite à San Francisco depuis environ 1 jours. Je suis né(e) le 16 Mars 1990 à Washington et j'entretiens des souvenirs plutôt agréable concernant mes jeunes années. Pour moi, le bonheur se résume en un mot: Friendship. Pourquoi ? Eh bien... parce que j'ai jamais laisser tomber mes ami(e)s et qu'ils comptent pour moi, mais vous comprendrez mieux cela en lisant mon histoire. ❝ La rencontre de mes parents devait se faire, d'une façon ou d'une autre. Ils étaient tout simplement faits pour vivre ensemble, pour être heureux ensemble, et pour mourir ensemble. Tous les deux sont originaire du Mexique : mon père vient de Ensenada, alors que ma mère vient de Tijuana, deux ville très proche. Ils se sont rencontrés pourtant à l'autre bout du monde, en Croatie : plus précisément, à Dubrovnik. Cette petite ville fortifiée les a réuni dans un café, alors que ma mère ne savait pas parler croate. Un homme (mon père aujourd'hui) est venu à sa rescousse et ce fut, pour ainsi dire, le coup de foudre. Ils décidèrent de prolonger leur séjour de quelques mois (disons plutôt 5 années), lorsqu'ils apprirent que ma mère était enceinte. Je vécu donc une partie de mon enfance en Croatie. Nous quittâmes Dubrovnik lorsque ma mère appris que son frère jumeau venait de décéder d'un cancer. Puisqu'il s'occupait de ma grand-mère, mes parents ont décidé de prendre la relève et de revenir dans leur pays natal. Je vécu donc ma petite enfance sur un continent, et je vivrai le reste de ma vie sur un autre..
Je ne suis pas de nature sociale. Certains diront que je suis hautaine, quant à moi et mon entourage, nous disons plutôt que je suis réservée et rêveuse. Je n'aime pas les grandes conversations ni les systèmes compliqués. Alors lorsqu'il est question de discuter avec quelqu'un... je me renferme. C'est probablement la raison pour laquelle je n'ai pas vraiment eu d'amie avant l'âge de 10 ans. Je me rendais à l'école le matin, revenais le soir, aidait ma grand-mère et mes parents, faisait mes devoirs et puis allait me coucher. Même très jeune, j'étais du genre autonome. Toutefois, je fis la connaissance de ma voisine (qui pourtant, avait été là bien avant mon arrivée) un matin de novembre. En me levant cette journée là, je me rendis compte qu'un chat avait réussi à entrer dans notre maison. Je le reconnu immédiatement : il n'y avait qu'une seule famille, dans notre rue du moins, assez riche pour pouvoir entretenir des chats. Je le pris donc dans mes bras et me rendit chez cette dite voisine. On peut dire qu'elle était totalement mon opposée. Elle m'invita chez elle et commença a me parler de tout et de rien. Lorsque enfin je réussis à fuir sa maison, elle me fit promettre de revenir le lendemain... ce que je fis.
Encore aujourd'hui, je ne sais pas quelles raisons m'ont poussé à me rendre de nouveau chez elle. Elle était beaucoup trop bavarde et compliquée à mon goût, et même si elle avait onze ans, elle s'attirait déjà la grâce de ceux qui l'entouraient. Quant à moi... je m'attirais plutôt des ennuis. Je volais par ci, flanait par là. Mes parents étaient désespérés, surtout que je n'avais que dix ans. Toutefois, la rencontre de cette amie (qui, au fait, s'appelle Maria-Lucia) me fit découvrir une nouvelle facette de ma personnalité. Je me découvris féminine. Nous nous complétions. Et puis, il arriva... Malgré mon côté dur, distant, calculateur et parfois même... tomboy, je commença à intéresser le frère de Maria-Lucia, Galen, lorsque j’atteins ma 16e année d'âge. Nous nous connaissions depuis quelques années déjà, mais je l'avais toujours vu comme étant le frère de mon amie, et pour lui, j'étais l'amie de sa soeur. Bref, jamais nous avions envisagé ce qui s'est produit. Il était de 6 ans plus âgé que moi, et avait un garage à lui. Il entretenait des motos et des véhicules quels qu'ils soient. Mais ce qui le différenciait de tous les autres garages de la ville, c'était que Galen régnait dans les rues de la ville, à la nuit tombée. Il symbolise la passion, le goût du risque et la figure de chef de son groupe d'amis. Malgré que la police sache qu'il commet parfois des actes criminels, jamais encore des preuves ont été suffisantes pour l'arrêter. La nuit, il se plait à faire des courses automobiles, et personne encore ne l'a battu sur ce terrain.
J'avais 16 ans lorsqu'il me regarda pour la première fois en tant que fille, et non en tant que "amie de sa soeur". «Je cogna contre la porte pour la deuxième fois, attendant que mon amie vienne m'ouvrir pour que nous puissions, comme promis, monter sur le toit de sa maison et se cacher, afin d'observer les amis de son frère, torse nu, discuter et réparer les véhicules. Mais nous savions toutes les deux que c'était une façade, et que nous cherchions chacune quelque chose de plus que de voir des hommes en sueur. Elle, elle souhaitait en apprendre un peu plus sur la vie que menait son frère, et était accro aux potins de la nuit qui venait de se terminer, alors que moi... je n'avais de yeux que pour les véhicules. Moi qui m'étais toujours décrite comme étant une personne simple, je m'étais surprise à apprécier la mécanique et la complexité des véhicules. Leur esthétique... Je cognai une troisième fois, attendit quelques secondes et puis décida de laisser tomber. Je fis le tour de la maison et me rendit au garage de son frère. Comme toujours, la porte était grande ouverte. J'entrai donc à l'intérieur et m'apprêta à entrer par la porte qui débouchait dans la maison lorsque je la vis... la voiture de mes rêves. Mes yeux ne purent se détacher d'elle, cette Mustang 69, et j'osai même la toucher, afin de m'assurer qu'elle était réelle. Jamais encore je ne l'avais vu, dans le garage. Je m'approchai capot afin d'en observer le mécanisme lorsque la voit de Galen me fit sursauter."Elle te plait?, me demanda t-il ?" Il jeta le linge avec lequel il était en train d'essuyer l'huile sur ses mains puis ouvra le capot à ma place. Nous nous mirent à discuter, et il m'expliqua qu'il l'avait gagné durant la nuit : que c'était le butin de sa course. "Elle est trop sombre, dis-je alors. "Il manque d'attrait. Et puis c'est à ce moment qu'il y eu le déclic. Il me regarda droit dans les yeux, durant un moment qui me parut interminable. Il me scruta, me jaugea. Il semblait me voir pour la première fois, tandis que moi, je me sentis étrange, presque mal à l'aise. "Tu saurais l'arranger,me demanda t-il ?" Je hochai la tête et c'est à ce moment que Maria décida d'ouvrir la porte, me demandant pourquoi je n'étais toujours pas entrée. La seconde suivant, la bande de Galen entra dans le garage, hurlant leur joie de le voir et commençant déjà à raconter les exploits divers de la veille. Je rejoignit prestemment Maria dans la maison et ferma la porte derrière moi.»
Depuis ce jour-là, quelque chose changea entre Galen et moi. Lorsque certains matins j'arrivais chez eux et que je voyais une fille sortir de leur maison, Galen torse nu lui faisant un signe de la main, j'en éprouvais un pincement au coeur, sachant ce qu'ils avaient fait la veille. Je passai un mois durant à peinturer sa voiture, en sa présence, en discutant et en riant avec lui. Une nuit, vers 3 heure du matin, des personnes se mirent à entrer dans la maison comme à l'habitude. Leurs parents étant décédés il y a plusieurs années, Galen était en charge de s'occuper de sa petite soeur. Il était très protecteur vis-à-vis d'elle, et lorsqu'elle avait eu une relation avec un de ses amis et que celui-ci l'avait trompée, il n'avait pas hésité à le frapper et à le sortir du groupe sous l'assaut de menaces. Depuis, Maria et moi avons décidé que les amis de Galen n'étaient pas faites pour elles, même si elles les appréciaient comme amis. Tous les voyaient comme leurs petites soeurs inséparables et riaient avec elles. C'était parfois étrange de voir des brutes s'adoucir à leur contact. Bref, cette nuit-là, comme à notre habitude, nous nous dépêchâmes de monter à l'étage lorsque les amis de Galen arrivèrent pour boire, discuter et s'amuser. Dominic, le meilleur ami de Galen, se plaignit qu'encore une fois, il ne faisait qu'entrevoir ses princesses. Maria rigola et se jeta sur lui en lui assenant des coups de poing, lui spécifiant qu'elles étaient trop âgées maintenant pour être appelées des princesses. Quant à moi, je vis Galen, une bière à la main, la mine sombre, monter à l'étage. Chaque membre du groupe était dans cette maison comme chez eux, et je comprenais qu'il n'ait pas à s'occuper de ses invités, toutefois, c'était la première fois que je le voyais ainsi, si triste.
M'assurant que Maria était occupé avec Dominic, je montai à l'étage et me rendit jusque devant la porte de la chambre de Galen. J'attendis quelques secondes, avant d'avoir le courage de l'ouvrir et de la refermer derrière moi. La pièce baignait dans l'obscurité, mais je le vis, assis sur son lit, la tête dans ses mains. Lui qui se montrait toujours si fort, si fier; lui qui était le leader et remontait le moral de chacun, je le voyais pour la première fois en détresse. Il était humain, finalement, me dis-je... Je m'approchai lentement et déposa ma main sur son épaule. Il leva alors son visage vers moi et je vis ses yeux baignés de larmes. Les mots ne furent pas nécessaire : debout devant lui, je serrai sa tête contre moi et il laissa tomber sa bouteille vide contre le sol pour m'enserrer la taille de ses bras. Nous restâmes ainsi durant quelques minutes, puis lentement, il se détacha de moi. Ses yeux se posèrent sur ma poitrine, et ses mains vinrent ouvrir le devant de ma chemise. Moi qui avait toujours repoussé tous les hommes, je ne compris pas, sur le coup, pour quelles raisons je n'avais pas repoussé Galen. Mais ce fut lorsque j'étais serré dans ses bras, nue contre son corps, pour la première fois, que je sus : je l'aimais. Les 3 semaines qui suivirent furent étranges. Depuis que je m'étais levé, le matin, et étais sortie de sa chambre pour aller rejoindre Maria, je me souvins de son regard chargé de curiosité, demandant silencieusement des détails de ce que j'avais fait. Je fus surprise de voir qu'elle ne me reprochait pas ce que je venais de faire avec son frère, et qu'en fait, elle souhaitait simplement avoir d'autres potins. Entre Maria et moi, rien ne changea, mais tout fut différent avec Galen. Je ne le vit que très rarement, et lorsque je peinturais dans son garage, nous ne discutions plus comme avant. Trois semaines plus tard, alors que j'ouvrais la porte du garage qui menait à la maison, je tombai sur Galen qui lui, voulait sortir. Il s'excusa en marmonnant et ne posa même pas les yeux sur moi. Cette fois, ce fut trop...
«"Qu'est-ce qu'il se passe, Galen," dis-je durement, avec fureur ! Il sembla surpris puis ses yeux s'assombrirent. "Je ne vois pas de quoi tu parles,", marmonna t-il. Puis il continua sa marche et ferma la porte derrière lui. Il n'y eu qu'un bref moment d'hésitation avant que je ne me décide à réouvrir la porte avec rage et à crier un Hey ! pour attirer son attention. Il se retourna, surpris que je l'ais suivit, et mon poing parti, venant se fracasser contre le visage du frère de ma meilleure amie. Pourtant, je n'eus aucun remord. Il posa un doigt contre sa lèvre et regarda le sang qui s'y était déposé. Ma force dut le surprendre, car il y eu un moment de silence entre eux deux. Mais ce fut à mon tour d'être surprise lorsqu'il se retourna et me poussa rudement, me faisant tomber sur le sol, tout en criant Dégage, gamine!". "Alors c'est ça, dis-je en me relevant et en marchant vers la porte ?! Moi, l'amie de ta soeur, je suis trop jeune pour toi ? Je continuai de marmonner ainsi tout en marchant vers la porte. Je ne le vis donc pas, son visage affichant le combat intérieur qu'il menait à mon égard et jurant avant de s'approcher de moi, de me plaquai contre le mur et de mettre ses bras de chaque côté de moi, m'emprisonnant du même coup. Non mais t'as vraiment rien compris toi, siffla t-il ? Je tentai de le repousser mais il ne bougea pas d'un centimètre. Je levai mes yeux pour le regarder, lui qui était plus grand que moi, et planta mon regard dans le sien, en disant, pleine de rage : Non, justement ! Je comprends que je ne suis pas assez bien pour toi, mais pourquoi est-ce qu'il faut qu'on arrête de se parler. Vas-y Galen, explique-moi ! J'avais terminé en hurlant presque. Il me regarda, regarda mes lèvres, et je le vis tenter de dire quelque chose sans y parvenir, avant qu'il ne prenne ma bouche avec avidité. Au début, je le repoussa brusquement et le gifla, mais il ne s'en soucia pas et recommença. Alors, je laissai tombe toute ma haine à son égard. Mes mains s'accrochèrent à son chandail comme à une bouée de sauvetage, ses mains à lui vinrent se déposer sur mes fesses, les serrant et me soulevant du même coup, comme si je ne pesais qu'une plume. J'enroulai instinctivement mes jambes autour de sa taille, sans cesser de l'embrasser puis il fit demi-tour et vint me déposer contre le capot de l'une de ses voitures. Il souleva ma robe et sans plus de préliminaire, me fit atteindre l'extase. Haletants, nos deux corps toujours collés l'un contre l'autre, il me fit promettre de ne plus jamais dire que je n'étais pas assez bien pour lui.»
Depuis, tout changea entre nous. Les membres du groupe ne me voyaient plus comme faisant partie de l'une des princesses inséparables, mais plutôt comme la fille qui appartenait à Galen. Je l'achalai durant plusieurs semaines pour qu'il m'emmène à l'une de ses courses automobiles, mais jamais il n'accepta. Il m'en fit plutôt la surprise la nuit de mes 17 ans, et accepta de m'emmener avec Maria. Je coursai pour la première fois, Maria aussi, et Galen fut surpris de voir à quel point nous étions douée. Nous avons ris, sans lui avouer que nous nous pratiquions depuis un moment déjà, à son insu. Galen ou un membre de la bande était toujours avec nous, pour veiller sur nous, et nous n'en prirent pas ombrages. Il n'y eu qu'un moment, un cinq minutes, où je fus seule. Un homme s'approcha alors de moi et me félicita pour la course que j'avais gagnée. Il me parla, se fit insistant, et lorsqu'il posa la main sur moi, je lui envoyai mon poing en pleine figure. Il était saoul, et se fut presque instinctivement qu'il me gifla. Je n'étais pas du genre à me laisser faire, alors je lui flanquai un coup de genoux bien placé, ce qui le fit tomber sur le sol. Il n'eut pas le temps de se relever que Galen s'approcha d'un pas décidé, les yeux lançant des éclairs, prit l'homme par le collet, le souleva de terre et l'envoya valser contre un véhicule. L'inconnu tenta de se justifier, disant qu'il ne savait pas que j'étais à lui, avec lui, et qu'il n'avait pas cru qu'il puisse, lui, le roi de la nuit, se contenter que d'une femme. Galen le frappa au visage, encore et encore, et je dus m'interposer entre eux d'eux pour qu'il se décide à arrêter. Lorsque Galen me vit, il prit mon menton dans sa main et regarda ma lèvre ensanglanté. Nous retournâmes directement au fort (comme la bande se plaisait à l'appeler) et il me traina de force dans sa chambre. Là, je lui guéri la main, riant lorsqu'il embrassait ma blessure et me jurant que plus jamais ça n'arriverait. C'est à ce moment que je sus qu'il m'aimait, à son tour. Au cours de ma 18e année, ma grand-mère mourut et ma famille (la bande) fut présente pour moi plus que mes parents. Chacun me respectait, et petit à petit, j'appris à devenir plus endurante. Les nuits, j'accompagnais, avec Maria, la bande pour faire des courses automobiles et puis lorsque je me ramassais seule, et que Galen était en pleine course, je réussissais aisément, grace à des répliques acerbes ou à mes poings, à me faire respecter. Certains s'esseyent encore et le feront probablement toujours, mais Maria et moi rions souvent de la situation. Maria avait fini par bâtir une relation avec Dominic, même si elle nous avait juré, à tous, qu'elle n'approcherait plus un ami de son frère.
J'avais 20 ans lorsque le drame se produisit. Galen, Dominic et 3 autres membres de la bande se rendirent à Ensenada pour un "règlement de compte". Maria dormit chez moi cette nuit là. Il était 6 heure du matin lorsqu'on cogna brutalement à la porte de ma maison. Mon père alla ouvrir la porte et tenta de la refermer sur Galen en voyant que c'était lui (ils ne s'aimaient pas vraiment, tous les deux), mais Galen le repoussa brutalement et monta les marches quatre à quatre jusqu'à ma chambre. Il entre et se rendit directement à moi, de manière brutale. J'eus peur qu'il me fasse mal avec sa rudesse, mais il cueillit mon visage dans ses mains d'une manière douce et protectrice. Il posa son front contre le mien en murmurant des mots d'amour en espagnol. Je le sentais tendu, haletant. Maria nous regardait tous les deux, se demande qu'est-ce qu'il se passait. Alors Galen avoua : Dominic est mort. Nous devons partir. Maria ne réagit pas tout de suite. Les secondes passèrent, auxquelles ont attendit qu'elle encaisse le choc. Moi, j'eus l'impression que mon grand frère venait de mourir. Maria se leva et marcha, presque sans vie. Elle sortit de la maison et se fut seulement lorsqu'elle arriva à l'extérieur qu'on entendit son cri de détresse. Elle claqua la porte de la voiture, et je sus qu'elle était en larme, déchirée, brisée. Galen me regarda dans les yeux. Mi amor, j'ai fait quelque chose de mal cette nuit, et on quitte la ville... On doit passer la frontière, s'en aller d'ici. Je... / Je pars avec toi. C'est vous ma famille. Je vis alors dans ses yeux qu'il avait craint que je ne les accompagnes pas. Il m'embrassa et me dit qu'il m'attendrait chez eux ; que je devais me dépêcher. Je pris un sac, m'excusa auprès de mon père et de ma mère, sortit dans la nuit, alors que le soleil commençait à apparaitre et courut jusque chez Maria. Là, je les vis. Toute la bande était là. Chacun au volant d'une voiture. Galen me fit un signe et la montra. Enfin, il me laissait la conduire. Mon rêve. Ma mustang 69. Nous prirent chacun le volant, et ce fut sous le bruit des sirènes de police que plus d'une quinzaine de véhicules parti, droit vers le soleil levant. Galen avait tué. Je le savais criminel, mais là, il avait franchit une limite, en tuant l'assassin de son frère : Dominic. Enfin, la police avait une bonne raison de l'arrêter, et elle parti immédiatement à ses trousses. La bande alla beaucoup plus vite qu'eux, mais bien vite, il y eut un avis de recherche et la poursuite commença. L'adrénaline monta en moi : le goût du risque, je l'avais aussi. 20% ange, 80% démon. C'est comme ça qu'il les aimait, et c'est comme ça que j'étais. Galen avait prévu le coup, il y avait quelques temps, et il y eut un passage pour nous dans la montage. Nous purent alors traverser la frontière sans que les policiers du mexique ne nous suivent. Et nous étions déjà loin lorsque ceux du bas de la Californie se lança à nos trousses.
Nous nous installâmes tout près de l'Université de Berkeley, dans l'état de la Californie. Nous commençâmes tous une nouvelle vie, en sachant pourtant qu'un membre de la famille manquerait toujours à notre table : Dominic. Durant 2 ans, je travailla comme serveuse dans le fast food au coin de la rue où se situait le garage que Galen avait construit. Petit à petit, il instaura de nouveau son règne de la nuit. Après 2 années, toutefois, Marie et moi nous fatiguèrent. Maria dit qu'elle était fatiguée de cotoyer des gens qui la faisaient penser à son défunt amant, et décida de s'inscrire à l'Université. Sachant que je serais séparée de Galen, je décida toutefois de la suivre, afin de veiller sur elle. Malgré le fait que Maria était la soeur d'un être respecté, elle restait vulnérable et perdue. Elle était la douce de la famille, la princesse. Tandis que moi, j'étais, et resterai toujours, la rebelle.
[/b] DOSSIER MÉDICAL Physique Δ Poids: 55 kg Taille: 1m65 Vue: Okay sans lunettes Tatouages: oui/non Maladie: oui*/non
| Habitudes Δ Tabac: Aucune Alcool: Aucune Drogue: Aucune Sexe: fréquence Activité physique: ++
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*Donner des précisions sur la maladie ici Pseudo | Pseudo: Lu' Nationalité: Française Âge: 22 ans Comment as-tu connu POH ? Pub rpg design S'agit-il d'un scénario? Non Multicompte? Non Personnalité sur l'avatar: Sophia Bush Code du règlement: OK par june Un dernier mot? Magnifique votre forum
| | - Code:
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[size=10]► <span class="pris">SOPHIA BUSH</span> ✱ brooke jessie mcmyler[/size] |
| | | Julie R. Evansi'm a motherfucking admin ✱ QUARTIER : crocker amazon.
✱ COLOCATAIRES : Dom sometimes.
| Mar 28 Mai - 14:57 | |
| BIENVENUUUE ! Sofia Bonne chance pour ta ficheeee Si tu as besoin de quoi que ce soit ou si tu as des questions, n'hésite pas (: |
| | | | | | | | Mar 28 Mai - 15:03 | |
| Bienvenue mademoiselle |
| | | | Mar 28 Mai - 15:05 | |
| SOPHIA GODDESS BUSH. Welcoooome here Je crois que tu as un petit problème au niveau des codes avec ta fiche...tu pourrais vérifier s'il-te plait ? |
| | | | Mar 28 Mai - 15:10 | |
| bienvenue parmi nous bonne chance avec ta fiche ! |
| | | | Mar 28 Mai - 15:19 | |
| Merci à tout le monde.
Ma fiche se met comme sur le model, j'ai pas de soucis de mon côté :) |
| | | Ciara A. Halvarezall i care about is success ✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
| Mar 28 Mai - 15:21 | |
| BIENVENUE ! SOPHIA. Super choix ! **: Bon courage pour la suite ! |
| | | | Mar 28 Mai - 15:25 | |
| Merci, j'ai fini ma fiche de présentation :D |
| | | | Mar 28 Mai - 15:25 | |
| Bienvenue ♥
Ark... oui, c'est un bug que je dois corriger de mon côté pour la prochaine version, navrée =/ |
| | | | Mar 28 Mai - 15:31 | |
| Il y a pas de soucis :D Merci à tous pour vos bienvenue en tout cas ♥ |
| | | | Mar 28 Mai - 16:30 | |
| ton code n'est pas le bon, relis bien le règlement ensuite, je pourrai m'occuper de ta fiche. |
| | | | | | | | Mar 28 Mai - 17:52 | |
| Bienvenue sur POH Je valide ton code, et je laisserais Frankie s'occuper de ta fiche |
| | | | Mar 28 Mai - 20:57 | |
| Okay, merci c'est cool :) |
| | | Mia E. Parkerall i care about is family ✱ QUARTIER : Alamo Square
✱ COLOCATAIRES : Amélia & Lenny - mes enfants
| Mar 28 Mai - 22:08 | |
| Sophiaaaaaaaa :6789: Bon choix d'avatar ! Bienvenue parmi nous |
| | | | | | | | Mar 28 Mai - 23:52 | |
| Oh Sophia Bush **. Bienvenue parmi nous ! . |
| | | | | | | | | | | | Mer 29 Mai - 11:23 | |
| perfect, babe !“ tu es validé[e] ”
Bienvenue, nouveau POHien !
Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.
Avant de commencer à rp, nous t’invitons à venir nous rejoindre sur le réseau social facebook; nous te conseillons vivement de le faire, car cela aide beaucoup à l'intégration de ton personnage, mais aussi, de toi, joueur, dans notre grande famille ! Ensuite tu devras aussi créer un formspring, un téléphone et éventuellement un e-mail à ton personnage dans la partie communication.
N'oublie pas de te faire une fiche de liens/rps.
Pense aussi à passer sur la chatbox de temps en temps, tu y trouveras une ambiance de fous :3
La dernière chose très importante qu'il te faut retenir est que nous avons une "gossip girl" sur le forum, tenue par un petit groupe de membres motivés. Ta contribution à GG est très importante pour l'avancée du jeu, et voici comment t'y prendre: lorsque tu fais un sujet de rp, envoie un message à Gossip Girl pour les prévenir de ce qui s'est passé dans le sujet, ou ce qui va se passer... idem pour les appels ou les mails importants. Lorsque tu contacte les gossips, n'oublie pas d'indiquer la date à laquelle se situe le jeu, c'est trop important pour la cohérence des articles. Merci d'avance pour ta participation!
Nous espérons vivement que tu te plairas dans cette folle aventure parmi nous
Nat William & Shawn Fondatrice, JuneJules & Sierra Admin, RomyFrankie, Jim & Charlotte Admin, SteeveDomenico Modérateur, GabyCiara, Cameron & Phoenix Modératrice, MayakuLera-Ann, Elyes & Plum Modératrice & MelJulie & Keith Modératrice
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