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Anonymous
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Mar 7 Mai - 19:52



gareth & charlotte, le 10 mai.



Je regardais autour de moi… J’étais de plus en plus fatiguée par le boulot… par tout en fait. J’avais mis du temps à me remettre de mon retour à San Francisco, heureusement pour moi, j’avais été aidée par Camil, Nikita, Sierra beaucoup d’autre. Une fois que j’avais réussi à me réconcilier avec Khris, j’avais un peu un l’impression de sortir la tête de l’eau. Mais tout ça n’avait été qu’un leurre finalement. Et peut-être que je n’aurais pas du revenir. Rester à Paris n’aurait pas été une si mauvaise chose. J’étais de plus en plus perdue et complètement noyée sous la pression.
Je travaillais pratiquement sept jours sur sept ces derniers temps, je n’avais presque plus de temps pour voir Camil… Je devais reconnaitre qu’il me manquait. Camil était adorable avec moi et je m’attachais toujours un peu plus à lui. mais je restais perdue dans tout ce qu’il se passait à l’intérieur de moi.
Eliott restait une plaie à vif qui me brulait chaque jour un peu plus… Sa relation avec Ambre n’avait fait que me pousser encore un peu plus vers le fond. Je n’arrivais pas à accepter cette relation, j’avais essayé de me convaincre que c’était parce qu’elle était ma (demi)soeur, mais je savais au fond qu’il y avait plus que ça. C’était Eliott qui tournait la page, notre page. Egoistement, si moi j’avais trouvé quelqu’un d’autre, comment pouvais lui interdire de faire la même chose ?

Je laissais un mot sur la table basse du salon, pour Camil ou Nikita, le premier des deux qui rentrerait. Il était près de 23 heures. Je me rendais dans le bar le plus proche. Mon regard cerné, mes yeux tristes, le sourire disparu… J’avais perdu près de 5 kilos à force de travailler et de manger sur le pouce, je ressemblais certainement à un zombie. La vérité, c’est que je m’en fichais éperdument. Je commandais une vodka, puis deux, puis trois, puis quatre, puis j’arrêtais de compter. Quand je sortis du bar, ma tête tapait tellement fort que je n’arrivais plus à penser. J’arrivais à regarder l’heure : deux heures quartante trois. Je titubais sur le trottoir, j’avais conscience de ressembler à un de ces pochtrons qu’on pouvait croiser la nuit. Je m’en fichais.
Sans savoir pourquoi, des larmes commencèrent à coller sur mes joues, j’étais incapable de les arrêter et je ne savais pas pourquoi elles étaient là. J’étais à bout de force. J’en avais marre, marre de ne plus avoir de vie sociale, marre de ne plus savoir aimer, marre de plus savoir choisir, marre de faire du mal aux gens, marre d’être moi. Marre de tout. Marre d’être un poids.
Les phares des voitures qui arrivaient en contre sens m’arrachaient les yeux. Et puis je m’arrêtais sur le trottoir. Je restais sans bouger quelques secondes. Je regardais à droite puis à gauche. Lors que je vis une voiture assez proche de moi, je m’élançais sur la route.
Celle-ci me heurta malgré qu’elle ait commencé de freiner. Ma tête me fit très mal. Je sentis le choc de la voiture contre moi. J’eus un dernier sourire : j’avais fini de déranger…


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Mer 8 Mai - 11:53

[quote="C. Jaxton Hellwood"]
charlotte & gareth


Je venais d’arriver il y a quelques semaines à peine. J’étais venu pour quelque chose de bien précis, une personne bien précise à vrai dire. Depuis des années et des années même si je fuyais tous me rapportais à elle à chaque fois. On me connaissait manipulateur, égoïste, sans scrupule, mais amoureux ça personne n’y avait jamais crus, même pas moi à vrai dire. Au final, je me demandais si une personne sur cette terre me connaissais vraiment en dehors de Lera peut être. Perdus dans mes pensée je pris la routes pour faire un peu le tour de la ville, insomnie quand tu nous tien ! Je ne regardais pas spécialement ou j’allais ce qui était plutôt une mauvaise idée car je n’allais pas retrouver mon chemin. J’allumais une cigarette et reportais mon regard sur la route. La rue étais bondé, sortie de boite oblige je baissais les yeux un quart de seconde, mais quand je relevais une silhouette se jetas littéralement sous mes roues j’écrasais le frein à peine trop tard car le devant de la voiture vint frapper un peu trop violemment la jeune fille je sortie de la voiture en trombe pour aller voir la jeune fille, aucune réaction de celle-ci je ne réfléchit pas la portais et la mise allongée dans ma voiture, appeler une ambulance aurais été bien trop rapide à attendre et je n’étais pas d’un naturel patient. Je redémarrais la voiture en trombe direction l’hôpital qui par chance étais bien indiqué, en à peine cinq minute je me retrouvais devant les urgences, je ne cherchais pas à me garer ni quoi que ce soit je pris la place du camion d’ambulance, quelque infirmier qui se trouvait dehors commencèrent à me faire des reproches, mais il se tut immédiatement lorsque je sortais un peu paniqué la jeune femme de ma voiture.

Immédiatement je la posais sur un brancard, les médecins me posèrent milles et une question auquel je n’avais aucune réponse, je leur expliquais la scène ils ne cherchèrent pas à en savoir plus, mais m’ordonna de rester dans le coin histoire qu’elle ne soit pas seule et qu’au vu de la situation j’étais dorénavant responsable d’elle jusqu’à ce qu’il trouve son identité. Je tournais en rond dans les couloirs en attendant d’avoir des nouvelles des médecins, l’attente me parut interminable ! Je n’étais pas du genre à m’inquiéter pour quoique ce soit, surtout pour une inconnue suicidaire néanmoins une partie de moi se sentais coupable et responsable de cette jeune femme.

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Mer 8 Mai - 21:47



gareth & charlotte, le 10 mai.



Flottante. Je me sentais flottante. Tous mes problèmes semblaient soudain disparaitre. C’était aussi facile alors ? Rien qu’un petit pas sur la chaussé pouvait résoudre tous mes problèmes ? Je me sentais comme enveloppée dans un nuage de coton, j’étais tellement bien. Je n’avais plus peur de rien, je n’avais plus d’angoisse, plus de nausées ; je n’avais plus peur de rien. Je savais que désormais, tout était fini. Je n’avais même pas mal. Pourtant je savais que j’avais heurté une voiture de plein fouet. Je le savais puisque je m’étais jetée dessous volontairement.
J’oubliais Eliott, le fait que je l’aimais. Le fait que je les aimais, lui et Camil. J’oubliais le désastre que je faisais de ma vie. J’étais consumée, inexistante. J’étais bien. J’étais morte.

Soudain, ma tête commença à taper. J’avais l’impression que mon cerveau cherchait à sortir à tout prix de ma tête. Qu’il voulait s’échapper. Comme je le comprenais, moi aussi je voulais m’échapper et disparaitre. J’étais presque sure d’y être arrivée pourtant. Mes yeux toujours clos, je savais que de l’autre coté des mes paupières une lumière vive semblait se tenir. Mes yeux restaient plus ou moins collés mais je finis par les ouvrir. Je voulais pleurer. Ce que je voyais ne me permettais pas du tout de penser que j’étais morte. Au contraire, j’étais bien vivante. Aussi vivante que pouvait l’être quelqu’un qui c’était fait renverser par une voiture. Des larmes commençaient à perler aux coins de mes yeux, avec elles revenaient toutes mes angoisses, toutes mes peurs. Ma vie.

Je commençais à suffoquer, mon coeur s’emballait, j’essayais d’arracher les tubes accrochés à mes bras, un « bip bip » sonnait. Quelques secondes plus tard apparaissaient des infirmières qui m’ordonnait de me calmer. Un médecin entrait, suivit d’un homme qui n’avait aucunement l’air d’être médecin. « Mademoiselle, vous savez votre nom ? » lança le médecin. « Qu’est ce que je fais ici, laissez moi ! Je veux pas être là ! Je veux plus… » Je pleurais. « Comment vous vous appelez, vous le savez ? » Je hochais la tête. « Charlotte Marchand… » Je perdis connaissance. Quand je rouvris les yeux, il ne restait plus que cet homme qui était entré avec le médecin. Il avait l’air d’avoir passé la nuit à mes cotés, qui était-il ? « Vous être qui ? Qu’est-ce que vous faites ici ? »


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Sam 11 Mai - 16:13

charlotte & gareth


Après plusieurs minutes d’attente un médecin vint à ta rencontre, tu t’étais finalement assis dans la salle d’attente comme une infirmière te l’avais conseillé excéder de tes va et viens dans le couloir. Il t’informa que la jeune femme allais s’en tiré, qu’elle avait eu énormément de chance, mais qu’au vu de sa situation il fallait qu’elle soit bien entouré. Tu soupiras, soulagé d’un coter qu’elle ne soit pas morte, mais accablé par le fait d’ignorer ce qui avais bien pu la pousser à faire ça. Un de ces bip inquiétant se fit entendre dans les couloirs quelques minutes après que le médecin soit partit, instinctivement tu suivais les infirmières qui se précipitais dans la chambre de l’inconnue. Tu regardais la scène du fond de la chambre et n’en perdais pas une miette, elle prononça son prénom et s’évanouie. Le médecin te dit de ne t’inquiéter en aucun cas que c’était tout à fait normal, la chambre se vidas et tu restas seule avec Charlotte, parce que maintenant tu pouvais mettre un prénom sur son visage. Tu la regardas pendant de longue minutes et finis par tourner la tête vers la fenêtre et regarder dans le vide le temps qu’elle se réveille une nouvelle fois. Elle ouvrit les yeux une nouvelle fois et t'agressas directement, tu tournais la tête vers elle et souris plus pour énerver que pour être agréable « Disons que je n’aime pas trop les jeunes demoiselles qui se jette sous les roues de ma voiture et sincèrement j’aimerais être ailleurs qu’ici à cette instant même, néanmoins ce n’ai pas dans mon habitude de me mêler de la vie des gens habituellement je m’en fou royalement, mais je me suis demandé ce qui avais pu te pousser à faire ça ? Puis en plus je n’ai pas tellement envie que tu me poursuives en justice si ton idée principale étais de me sous tiré une quelconque sommes d’argent, les tenues de prison me vont pas trop au teint » Tu t’approchas un peu plus du lit, mais pas trop pour ne pas l’effrayer. « Blague à part, je suis Gareth et aussi fou que cela puisse paraître je m’inquiète pour une parfaite inconnue ce qui dans mon cas est exceptionnelle »

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Lun 13 Mai - 11:59



gareth & charlotte, le 10 mai.



J’avais un peu de mal à admettre que j’étais en vie. J’avais loupé mon coup. Finalement, c’était Ambre qui avait raison : sauter dans le vide restait la meilleure option. Je n’avais pas eu l’idée. Elle oui, d’un autre coté, elle aussi avait survécu. Sauvée in-extremis. Comme moi… Je n’avais pas demandé d’aide, mais je l’avais reçue et j’étais maintenant dans ce lit d’hôpital, à attendre qu’on me laisse sortir.
Laissait-on sortir les suicidaires aussi facilement que je le croyais ? Rien n’était moins sur…

Après ma perte de connaissance, je découvris un homme dans ma chambre. Il semblait plus âgé que moi et aussi loin que je me souvienne, je ne l’avais jamais vu de ma vie. Même si j’imaginais que le choc avait pu me causer quelques troubles, j’étais sure de n’avoir jamais vu cet homme qui était assis à mes cotés dans cette chambre…
« Disons que je n’aime pas trop les jeunes demoiselles qui se jette sous les roues de ma voiture et sincèrement j’aimerais être ailleurs qu’ici à cette instant même, néanmoins ce n’ai pas dans mon habitude de me mêler de la vie des gens habituellement je m’en fou royalement, mais je me suis demandé ce qui avais pu te pousser à faire ça ? Puis en plus je n’ai pas tellement envie que tu me poursuives en justice si ton idée principale étais de me sous tiré une quelconque sommes d’argent, les tenues de prison me vont pas trop au teint » Un petit rictus se dessina sur mes lèvres. C’était donc vrai : quand quelqu’un tentait de se suicider, tout le monde cherchait absolument à connaitre le pourquoi du comment. Pourquoi ne pouvait-on juste pas admettre que cette personne était fatiguée. Voila ce que j’étais : fatiguée d’être moi, fatiguée d’être là… Fatiguée de tout ça. Rien de plus. « Blague à part, je suis Gareth et aussi fou que cela puisse paraître je m’inquiète pour une parfaite inconnue ce qui dans mon cas est exceptionnelle » Je relevais la tête vers Gareth. J’avais la vague impression qu’il était sincère et qu’il semblait vraiment s’inquiéter pour moi, qu’il ne connaissait pas. J’avais plus l’impression qu’il voulait juste s’assurer que je n’allais pas porter plainte contre lui. Je ne l’aurait pas fait, mon acte avait été volontaire, et il n’avait rien à voir là-dedans, il avait juste été là au mauvais moment… « Je dois me sentir flattée de toute cette attention, c’est ça ? » lâchais-je, sur mes gardes. Je soupirais avant de le regarder une nouvelle fois. « Ecoutez, je suis désolée de vous avoir impliqué la-dedans. Pas de soucis, je porterais pas plainte, vous y êtes pour rien. Maintenant, je pense que vous pouvez y aller. » m’expliquais-je.


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Lun 13 Mai - 15:21

charlotte & gareth


Il est vrai que tu n’avais absolument rien d’autre que d’être ici, alors ici ou ailleurs qu’est-ce que ça changeait ? Et la laisser seule alors qu’elle avait tenté de mettre fin à ses jours deux heures plus tôt ce n’était pas très intelligent. Peut-être que tu restais là par pitié, mais au fond tu savais que c’est juste parce que t’en avais envie et pas envie de l’abandonner, probablement que suffisamment de personne l’avais déjà trop fait. Evidement elle te repoussa toi et ton aide ce qui étais tout à fait normal, tu souris malgré tout à l’absurdité de la situation « Tu sais que même si tu le faisais porter plainte je veux dire je trouverais une entourloupe pour me tirer de la situation et je partirais sans aucun dommage, donc ma principal motivation n’est pas de me tirer indemne de tout ça » Tu t’approchas du lit et te mit au bout face à elle les deux mains sur les barreaux du lit. « Malheureusement pour toi j’ai tendance à être coriace quand je veux et je ne te vais pas te lâcher comme ça » rajouta tu avec un sourire. Le silence s’installa pendant quelques instants. Tu le brisas. « Flattée probablement pas, j’ai bien conscience de te souler plus qu’autre chose » dis-tu avec un nouveau sourire « Ecoute tu ne me doit rien et t’a pas à me dire le pourquoi du comment ça ne me regarde pas, promet moi de ne pas refaire une nouvelle connerie ce soir ni même jamais d’ailleurs ? et de me contacter si jamais t’a envie de parler ou te changer les idée avec un inconnu » et pour joindre le geste à la parole tu lui tendit ta carte ou ton numéro de mobile étais inscrit.

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Mer 15 Mai - 15:46



gareth & charlotte, le 10 mai.



Je comprenais petit à petit que ce type assis à coté de moi était victime de malchance. Il n’avait rien demandé à personne et maintenant il se retrouvait là à l’hôpital. Mais ce que je me demandais vraiment, c’était pourquoi il restait. Est-ce qu’il avait pitié de moi ? Après tout, tout le monde semblait comprendre que j’avais voulu mettre fin à mes jours et donc la pitié restait ce qui semblait le plus approprié à mon égard. Merde.
« Tu sais que même si tu le faisais porter plainte je veux dire je trouverais une entourloupe pour me tirer de la situation et je partirais sans aucun dommage, donc ma principal motivation n’est pas de me tirer indemne de tout ça » lança Gareth. Je ne pus m’empêcher de sourire sur le moment. Non, il n’avait pas pitié de moi, dieu merci. Aucune pitié, j’en avais aucunement besoin. Oui j’avais voulu mettre fin à mes jours mais après tout, c’était mon choix non ? « Malheureusement pour toi j’ai tendance à être coriace quand je veux et je ne te vais pas te lâcher comme ça » Je ne répondis rien. S’il voulait s’acharner sur un cas aussi désespéré que moi, c’était son problème. Il ne savait pas qui j’étais et tout ce que j’avais fait, je méritais le mal que je m’étais fait, j’en étais convaincue et je méritais surement d’être aussi seule que je l’étais en ce moment, puisque la seule compagnie que je pouvais espérer était celle de celui qui avait failli me tuer (aussi involontairement que cela puisse être). « Ecoute tu ne me doit rien et t’a pas à me dire le pourquoi du comment ça ne me regarde pas, promet moi de ne pas refaire une nouvelle connerie ce soir ni même jamais d’ailleurs ? et de me contacter si jamais t’a envie de parler ou te changer les idée avec un inconnu » Oh oui bien sur, mon grand sauveur. « Qu’est-ce que ça peut bien te faire que je sois en vie ou pas ? » demandais-je en regardant sa carte avec ses coordonnées. « On se connait pas, j’te jure t’as pas à t’occuper de moi. Je suis pas quelqu’un avec qui on doit bien s ‘entendre. Dès… dès que quelqu’un s’approche de moi, c’est comme une malédiction, je détruis tout. Alors honnêtement, on se connait pas et je pense pour toi que c’est mieux comme ça… » déclarais-je, en serrant sa carte entre mes doigts. Je n’arrivais vraiment pas à comprendre ses intentions, mais il semblait qu’il était sincère et que même si je lui avais pourri sa soirée, il s’inquiétait pour moi. Je me rendais compte que ça me faisait du bien que quelqu’un s’intéresse à moi de cette manière. Ca me rassurait…


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Anonymous
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Jeu 16 Mai - 15:12

charlotte & gareth


Chaque personne avait ses droits et ses raisons surtout, le droit de continuer à se battre pour prouver au monde entier que peu importe ce qu'ils pensent cela n'a pas d'importance ou le droit d'abandonner d'envoyer ce même monde se faire foutre profondément, de leur dire bravo c'est grâce à vous que j'en suis là je ne vous remercie pas. On avais tous nos raisons et rien ni personne n'étais en mesure de nous juger si il ne vivait pas notre vie. Tu comprenais parfaitement Charlotte, qu'après ça la seule chose dont on avais envie c'est d'être seul et de ne voir personne. Tu te sentais proche d'elle sans vraiment savoir pourquoi, il étais rare que tu es ce genre de sensation, avoir le besoin de t'occuper de quelqu'un même en tant qu'éducateur en centre, tu le faisais par obligation et non parce que tu en avais envie, des gamins qui avais envie de se suicider tu en avais vu à la pelle de vrai suicidaire ou juste des appel au secours ou simplement des conneries d'ado qui voulait voir ce que ça faisais, tu avais les bon mots parce qu'on te les avais appris et que tu connaissais le discours sur le bout des doigts, même si certaines histoires à cet époque t'avais toucher tu n'avais pas ressentis le besoin de les suivre jusqu'au bout, pour ça y avait d'autre éducateurs bien plus efficace. « Je me sens concerné maintenant, t'avais qu'à choisir un connard qui allait prendre la fuite, tu aurais été tranquille, mais tu es tomber sur moi » tu souriais, histoire de détendre un peu l'atmosphère. « Je sais ce que sais, de détruire tout ceux qu'on approche et tout ceux qu'on touche, de ne pas pouvoir sans s'en rendre compte les obligé à nous fuir ou fuir nous même loin de ces personne qui pourrais un peu trop ... » ton regard étais perdus dans le vide. Tu t'arrêtais là. « Bref et si moi je ne m'en soucie pas, si je suis ton raisonnement, qui le fera ?  Et je te répète je ne me suis jamais sentis obliger de rien et surtout pas de me soucier de toi à cet instant »

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