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 You got me right where you want me | Narcissa
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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
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Dim 10 Fév - 21:55


Because I love you so.





La nuit avait été si agitée. Pas dans le mauvais sens du terme, non, au contraire, elle fut si bénéfique. Retrouver ma Narcy était une chose que j'attendais depuis un certain moment maintenant. J'avais déjà rêvé de l'avoir à mes côtés chaque jour, à chacun de mes réveils, de vivre sous le même toit qu'elle, construire véritablement une vie à deux... Et à présent, c'était chose faite. Elle venait de me proposer d'emménager avec elle. Il était impensable que je puisse refuser. J'étais même tellement heureux de pouvoir habiter avec elle. De plus, il s'agissait de la villa que je lui avais trouvée quelques mois plus tôt. C'était juste une merveilleuse initiative, j'étais si réjoui à l'idée de vivre chaque jour à ses côtés. Je venais de poser mes bagages depuis une semaine environ. Je m'installai chez elle dès son retour de l'hôpital. Ma belle avait du passer quelques jours à l'hôpital, affaiblie par les événements de ces derniers jours. En effet, de drôles de choses se déroulèrent, comme une mystérieuse personne connue sous le nom de "Gossip Girl" qui vint embêter Narcissa. Cette dernière avait été contrainte de devoir rompre avec moi sous des prétextes absolument loufoques afin de ne pas révéler ses secrets à tout le monde. Elle essaya alors au début, puis échoua sa mission, n'ayant pu me briser le cœur. J'avais apprécié qu'elle ait pris le risque de me confier qu'elle m'aimait le soir où elle devait rompre avec moi, qu'elle n'ait pas atteint son objectif pour moi, pour me garder. Malheureusement, ses secrets allaient être révélés et je me sentais mal pour elle, coupable. Elle pouvait compter sur moi par contre, dorénavant, je serai présent pour elle, pour le meilleur et pour le pire.

Ainsi, vers 9h du matin, je fus réveillé par les quelques rayons de soleil qui traversaient la vitre. Je regardai à côté de moi et je découvris une Narcissa encore toute endormie, paisiblement. Elle était craquante, avec seulement une partie du drap recouvrant ses parties intimes. Son dos, quant à lui, était nu, et je ne pus m'empêcher d'y déposer un baiser. Je caressai par la suite ses cheveux durant quelques secondes pour ensuite me lever. Je ne voulais pas la réveiller, pas sans lui avoir au préalable préparer un bon petit-déjeuner. Avec Narcy, une toute nouvelle facette de ma personnalité se dévoilait. Je devenais un homme tendre, attentionné, romantique et même cuisiner. Ce changement ne me déplaisait pas, au contraire. J'appréciais les effets positifs que la blonde m'apportait. D'abord, je me rendis dans la salle de bain accolée à la chambre pour faire ma toilette et me mettre un pantalon. Puis, en arrivant dans la grande cuisine de l'immense demeure, je commençais à tout préparer. Je fis bouillir l'eau, mis à toaster le pain, pressais des oranges et sortis quelques petits gâteaux. Je disposai le tout sur un plateau. A l'observer attentivement durant une poignée de seconde, je constatai qu'il manquait quelque chose. Il manquait cette touche de romantisme que je ne pouvais oublier ! Je sortis alors dehors, dans le jardin pour aller couper une rose. Elle était essentielle pour la composition du petit-déjeuner même s'il ne s'agissait que d'un détail de la présentation. Je la mis donc dans un petit vase, spécialement adapté pour ce type de fleur, à côté de sa tasse de café. Tout était enfin prêt. J'avais ajouté du beurre et de la confiture ainsi que du miel. J'espérai qu'elle allait apprécier mon plateau surprise. Je pris le tout pour la rejoindre dans la chambre. Elle dormait encore, toutefois, je pensais qu'avec le petit-déjeuner servis au lit, elle ne serait pas d'humeur grincheuse. Je déposai le plateau sur la table de chevet puis m'approchai d'elle pour venir lui chuchoter à l'oreille. « Ma douce, il est l'heure de se réveiller. » Je joins à ces paroles un petit baiser sur le front. Elle ouvrit alors les yeux, avec un peu de mal, encore un peu endormie. « Je sais que tu es fatiguée mais je t'ai préparé un petit quelque chose pour bien démarrer cette journée, ça a été fait avec tout mon amour. » Je lui montrai le plateau à la fin de ma phrase pour appuyer mes paroles.

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Anonymous
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Lun 11 Fév - 1:49



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Je venais de passer une nuit magique auprès de l’homme que j’aimais, je n’ai pas eu à boire de l’alcool et me saouler pour coucher avec le ou la première venue et me battre pour oublier son souvenir, parce qu’il était là désormais là, je n’avais plus à faire toutes ces bêtises, à m’oublier, à oublier qui j’étais réellement, parce qu’avec lui je me retrouvais enfin. Nos deux corps s’étaient d’ailleurs bien retrouvés, et je me demandais si tout ceci était réel. Cela fait maintenant une semaine que je suis sortie de l’hôpital, et une semaine depuis cette tentative horrible de rupture avec Keith, que j’ai lamentablement échoué bien sûr. Je ne pouvais me résoudre à vraiment me séparer de lui, même si cela voulait dire que ma vie professionnelle allait être ruinée. J’avais couru un risque à cause de mon murmure « ne me crois pas.. je t’aime. » mais je ne le regrettais absolument pas, car le perdre aurait été une plus grosse perte, et je n’aurais jamais pu y survivre finalement. Il s’est d’ailleurs extrêmement bien occupé de moi à l’hôpital, alors je lui ai spontanément proposé de venir s’installer avec moi, j’en avais besoin. J’allais le lui proposer bien avant de toute façon. Je voulais qu’il vive avec moi, pour être sûre qu’il serait là, qu’il ne me quitterait pas, comme il l’avait fait auparavant à cause de son travail. D’ailleurs, en parlant de boulot, j’étais complètement fichue. Mon manager m’a appelé il y’a quelque jours pour m’annoncer que la chaîne avait trouvé une remplaçante pour mon émission et qu’ils n’avaient désormais plus besoin de moi, que je pouvais me ‘reposer ‘. J’ai été anéantie en apprenant cette nouvelle, il a essayé de me contacter plusieurs fois après, mais je ne répondais plus. Keith était là, et c’est tout ce qui importe après tout. J’ai donc passé la semaine, sans travail, à me préoccuper de mon corps, je passais mes journées au spa ou à rester chez moi seule avec mon amoureux. J’ai aussi eu l’énorme chance d’assister à l’accouchement de Mia, j’étais ravie d’avoir pu être là pour elle, je n’avais plus de travail, alors autant être là pour mes amis, peut-être qu’elle témoignera un jour de mon incroyable gentillesse si jamais Elyes me poursuit en justice. D’ailleurs je redoutais le pire avec lui, mais je me sentais en quelque sorte invincible avec ma femme Lera et Keith à mes côtés. C’est vrai que je ne parle pas beaucoup d’elle, mais celle avec qui je m’étais mariée était tout aussi importante dans ma vie, je savais qu’elle serait toujours là pour moi, quoiqu’il arrive, ainsi que Keith, et je me sentais déjà chanceuse pour cela, mais il fallait que je me batte, car je n’étais absolument pas du genre à me reposer sur les autres, je n’ai sûrement pas réussi dans ma carrière en faisant ça.

Après avoir pleinement profité de nos activités nocturnes, je m’étais endormie sans m’en rendre compte, il faut croire que j’étais fatiguée, même si je ne travaillais plus. D’ailleurs niveau santé, je ne me sentais pas vraiment au top, mais c’est normal après tout avec tous ces problèmes. Je n’aurais jamais dû jouer à ce jeu avec un mafieux, c’était bien trop dangereux, mais je ne regrette aucun des choix que j’ai pu faire, les regrets ne sont pas pour moi. Je dois avouer que jouer à la garce superficielle me manquait un peu, mais avec Keith j’oubliais complètement ce côté de ma personnalité. « Ma douce, il est l'heure de se réveiller. » Durant mon sommeil, j’entendis la voix de mon chéri résonner dans mes oreilles, puis je sentis un doux baiser se poser sur mon front, un léger sourire se dessina alors sur mes lèvres sans que je ne m’en rende réellement compte. J’ouvris ensuite avec difficulté mes yeux, pour apercevoir un peu de lumière, car les volets étaient légèrement ouverts. « Je sais que tu es fatiguée mais je t'ai préparé un petit quelque chose pour bien démarrer cette journée, ça a été fait avec tout mon amour. » Je fus agréablement surprise de découvrir un plateau, contenant un beau petit déjeuner. Mon sourire s’était élargi, jamais je n’ai été autant dorlotée par quelqu’un. Il y’avait même une jolie rose posée dans un petit vase en verre. « Tu es.. parfait. » Je m’approchais ensuite de lui pour l’embrasser. Je me levais alors, pour être en position de déguster ce qu’il venait de me préparer, je l’invitais à venir près de moi. Je buvais une gorgée de mon café, puis pris un gâteau pour le lui tendre afin qu’il puisse le manger de mes propres mains. Mon téléphone portable finit par sonner ensuite, je pensais qu’il s’agissait de mon manager encore, mais je fus surprise de voir le numéro de l’hôpital. Je répondis, une jeune femme était au bout du téléphone, me demandant de venir d’urgence à l’hôpital, parce que le médecin désirait me parler. Je raccrochais à la suite de cette conversation. Je regardais alors Keith, qui semblait curieux de savoir ce qui se passait. « C’est l’hôpital, le médecin demande à me voir apparemment. »



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Caleb A. Keynes
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Mer 13 Fév - 22:49


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C'était absolument merveilleux d'être de retour, vivre dans la même maison que Narcissa et partager chacune de mes journées avec elle. Je n'avais jamais imaginé être autant épris d'une personne auparavant. Je ne m'y attachais que très peu. Dans toutes mes croyances et à ce que je m'attendais, je découvris que Narcissa était l'unique exception. L'exception qui prouvait que j'étais capable de m'attacher à quelqu'un, de tenir à elle plus qu'à ma propre vie, d'aimer une personne... J'étais le genre d'individu qui restait sur ses principes et ses bonnes vieilles habitudes. Toutefois, la blondinette surgit dans ma vie, pour tout y chambouler, à mon plus grand plaisir. Je n'étais pas du tout effrayé par ce changement et cette nouvelle perspective des choses, au contraire, j'en étais plus qu'excité. Et elle n'était pas apeurée non plus. Narcissa semblait toute aussi motivée et engagée dans notre relation, ce qui me confortait dans mes pensées. A présent que je vivais chez elle, je voulais faire en sorte qu'elle ne regrette pas sa proposition et qu'elle soit complètement heureuse par ma présence. C'est pourquoi, j'eus l'idée de lui concocter un bon petit-déjeuner, directement servi au lit. Je l'avais réellement fait avec amour. Tout ce qui faisait plaisir à ma petite-amie me faisait plaisir aussi, me comblait de joie. Et l'on dit souvent que le bonheur se trouve dans les petites choses, les choses simples. Je pouvais le confirmer. Ce petit instant passé avec elle au lit, pour prendre le petit déjeuner était juste parfait. Elle s'amusait même à me donner des gâteaux, pour que je les mange. C'était mignon. Je me sentais bien, heureux. Et je voyais qu'elle l'était aussi. Je souris en la regardant se nourrir, assis à côté d'elle. Puis, soudain, le téléphone de Narcissa sonna. C'était sans doute pour le boulot qu'on l'appelait. J'espérais qu'elle allait retrouver sa place de présentatrice télé, je savais que cela comptait beaucoup pour elle, et donc pour moi. Malheureusement, avec tous les derniers problèmes du moment, ce n'était pas vraiment la joie côté professionnel. Mais ça allait revenir, je croyais en elle. Intrigué par la conversation échangée par Narcissa avec son interlocuteur, je la regardais, dès qu'elle raccrocha, avec étonnement. Immédiatement, elle comprit ma curiosité et me répondit que l'hôpital voulait la voir. Sa phrase me fit un choc, je ne pressentais rien de bon. Effrayé intérieurement, je me contentais de regarder ailleurs, détournant mon regard du sien. Je m'inquiétais. Que se passait-il ? Je sentais qu'elle était confuse aussi, s'interrogeant sur l'objet de cette convocation. Je me décidai par la suite à enfin prendre la parole, au bout d'une minute de réflexion personnelle. « Tu dois le voir quand ? C'est urgent ? T'ont-ils donné de plus amples informations ? » Je ne voulais pas que ce soit grave, évidemment, et j'aurais aimé qu'elle ait plus de détails pour que je sois plus rassuré, tout de suite, pourtant, je m'attendais à être déçu.
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Anonymous
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Jeu 14 Fév - 23:32



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« Tu dois le voir quand ? C'est urgent ? T'ont-ils donné de plus amples informations ? » Je plongeais mon regard dans le sien, et me voilà perdue dans ses yeux bleus qui arrivaient à me percer de l'intérieur, parce que je savais que quelque chose clochait dans mon corps. Je ne m'évanouie jamais généralement, même avec tous les problèmes du monde, et je ne comprenais pas trop pourquoi ni comment c'est arrivé. Je voyais tout flou, mon crâne me faisait affreusement mal et c'était comme si l'on avait ôté toute énergie de mon corps pour que je m'écroule de cette façon. Cet appel m'avait faite penser à ce soir là. Ce soir maudit où j'étais contrainte de faire face à mes problèmes. A faire d'horribles choses, comme rompre avec mon petit ami. Seulement, je voulais m'obstiner à penser que c'était à cause de la pression que j'avais ressenti. Je ne voulais pas m'inquiéter ou imaginer le pire. J'embrassais donc mon petit ami avant de me lever, j'étais toute nue et je m'en fichais complètement, Keith connaît bien mon corps, et je n'ai jamais vraiment été quelqu'un de pudique de toute façon. Je me dirigeais rapidement vers la salle de bain pour prendre une bonne douche. « J'en ai pour un quart d'heure mon chéri! Après on ira à l'hôpital pour voir. Je suis sûre que ce n'est rien. » J'activais donc le jet d'eau chaude, pour nettoyer tranquillement mon corps, je n'avais pas pris beaucoup de temps cette fois-ci, parce que cette histoire d'hôpital me tracassait. Le ton qu'avait utilisé cette infirmière pour me demander de venir, ne présageait rien de bon, alors oui j'étais inquiète mais je ne voulais rien montrer à Keith. Je sortais de ma douche, je fixais un instant mon reflet embrumé dans le miroir et je me demandais s'il fallait que j'aille à l'hôpital finalement.. Je me ressaisis ensuite pour sécher mes cheveux et les arranger à ma guise. Je les laissais détachés avec quelques légères ondulations, je mis un peu de mascara, du gloss et du blush. Je finis par sortir de la salle de bain, mon chéri était entrain de se préparer aussi. Je ne portais qu'une serviette, direction le dressing. Après mûre réflexion, je portais une jolie robe Marc Jacobs et des ballerines. On était enfin prêt tous les deux, même si j'avais mis largement plus de temps que lui pour ça.

A la sortie de la demeure, je descendis tranquillement les marches des escaliers tenant la main de mon petit ami. Ayant déjà prévenu mon chauffeur, je ne fus pas surprise de le voir à l'entrée. On entrait dans le véhicule, pour arriver à destination une demie heure plus tard. On était désormais, devant l'hôpital. Je regardais Keith avec appréhension, puis je finis par lui sourire nerveusement, bizarrement avec lui, j'avais du mal à faire semblant. J'entrais donc dans l'établissement, demandant si mon docteur était bel est bien présent à cette heure-ci. Elle me montra le chemin pour son cabinet. Arrivée devant la porte, je me tournais vers Keith pour m'adresser à lui. « J'en ai pour quelques minutes. Tu verras, tout se passera bien. » Je toquais donc à la porte, le médecin l'ouvrit pour m'accueillir. Après avoir discuté brièvement avec lui de mon état de santé actuel et de mes antécédents médicaux, il me montra enfin les résultat de l'analyse que j'avais faite, pour finalement m'annoncer une nouvelle assez choquante. « Tous les résultats de l'analyse montre que vous avez un cancer de l'utérus. C'est pour cette raison, qu'on vous a demandé d'en refaire une nouvelle fois pour être sûre. Il n'y a plus aucun doute. Il ne faut tout de même pas vous inquiéter, cela ne veut pas dire que vous êtes condamnée à mourir, il existe plusieurs traitements pour votre cas.. » Il continuait ensuite à parler durant de longues minutes. Je restais là, bouche bée, ne savant plus vraiment comment digérer cette nouvelle. Je sortais de la salle, légèrement secouée, avant d'annoncer à mon petit ami « Je.. j'ai un cancer. » Je ne pleurais pas, on ne pouvait voir aucune expression sur mon visage, j'étais juste choquée.


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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
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Sam 16 Fév - 20:24


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A chaque fois que Narcissa me souriait, j'étais aux anges. J'adorais cette façon qu'elle avait de me regarder, de rire, d'être amoureuse. Tout ça lui allait si bien. C'était pourtant dommage qu'elle cachait l'aspect plus tendre de sa personnalité aux autres, car ils l'apprécieraient davantage, comme moi. Mais en même temps, je devais avouer que je me sentais privilégié d'être la seule personne qui pouvait la voir sous une autre facette. J'étais heureux qu'elle ne se privait pas de moi, elle était elle, elle ne se cachait pas ou ne jouait pas. Ca me plaisait d'être également son unique exception. Nous étions finalement très similaires. Nous n'étions que nous-mêmes face à la personne qui comptait le plus pour nous, en somme, nous étions sincère l'un envers l'autre. Et, maintenant que je l'avais enfin retrouvée et que je m'étais installé chez elle, je revivais. Actuellement, ma vie était juste parfaite. Côté boulot, j'étais tranquille dans mes deux activités. Tout allait merveilleusement bien. Jusqu'à ce qu'un élément inattendu vint perturber notre quiétude. Alors que nous étions paisiblement en train de passer un bon moment à manger notre petit-déjeuner, un coup de fil de l'hôpital survint. Les médecins de Narcissa souhaitaient la voir. Forcément, il devait être question d'un problème. Je semblais tout à coup si inquiet, je redoutais sa rencontre avec le médecin. Que se passait-il ? Je lui demandai quand elle devait rejoindre son docteur, espérant que ce serait bientôt pour être le plus tôt fixé, ça me travaillait déjà bien assez. Elle me répondit alors qu'elle allait se préparer puis filer à l'hôpital. Bien entendu, j'allai l'accompagner, elle-même le savait. Alors je me levai avec elle pour me changer et me rendre dans une autre salle de bain de l'étage. Elle avait l'air si calme, sereine. Je ne comprenais pas. Comment parvenait-elle à ne pas être inquiète ? Elle devait sans doute l'être, sauf qu'elle préférait garder ça pour elle, pour pas que ça ait un impact sur moi. Cependant, c'était trop tard. J'étais déjà terrorisé à l'annonce de son rendez-vous avec le médecin. Il se pouvait qu'il ne s'agisse de rien de grave, néanmoins, je n'arrivais pas à penser au pire. Je m'étais toujours préparé à penser au pire, depuis l'accident dont mes parents furent victimes. Rapidement, je sortais de la salle de bain pour descendre dans le salon au rez-de-chaussée. Je me posai sur le canapé, en attendant ma petite-amie. Elle ne tarda pas à me rejoindre. Toujours sublimement bien habillée. « Enfin prête ? » Ensemble, nous sortîmes, main dans la main, pour nous glisser dans la voiture, direction l'hôpital.

Le trajet jusqu'à l'hôpital fut très silencieux. Etant donné que je ne savais pas de quoi il s'agissait, je n'osais me prononcer. Je préférais en savoir plus afin de la rassurer par la suite, si c'était nécessaire. Pour le moment, je ne savais pas et j'avais peur. Je me sentais bête de ne pas pouvoir la rassurer, toutefois, il fallait mieux pour nous deux de ne rien dire et d'attendre. Je continuais malgré tout à lui sourire et à la prendre dans mes bras dans la voiture. Une fois arrivés à l'hôpital, mon coeur battait de plus ne plus fort. Devant la porte du bureau du médecin, Narcy me rassura une dernière fois et me prévint que le rendez-vous ne durerait pas longtemps. J'acquiesçais, me dirigeant vers la salle d'attente. L'attendre parut durer des heures, j'étais anxieux et pensais à tout et à n'importe quoi. Malgré tous ses efforts, Narcissa ne réussit absolument pas à me rassurer, bien qu'elle n'avait pas tort à essayer. A sa sortie, je la rejoignis immédiatement et ne parvint pas à lire sur son visage. Elle était impassible mais cela se voyait que la nouvelle l'avait ébranlée. « Alors, qu'est-ce qu'il y a ? » Lorsqu'elle m'annonça avoir un cancer, je fus tellement stupéfait que je ne réagis pas tout de suite. Elle-même était choquée, paralysée. Une certaine rage s'empara de mon corps, je fronçais les sourcils, passant ma main sur mon visage. Je réfléchissais, réfléchissais à ce qui se passait. Narcissa était atteinte d'un cancer de l'utérus. C'était donc une horrible nouvelle que le médecin voulait lui annoncer. J'avais senti que quelque chose n'allait pas, cependant, j'espérais que rien de ce que je m'imaginais n'allait être vrai. Je me sentais si mal, mal pour elle. Je la pris alors dans les bras. Retenant mes larmes, je la serrais fort contre moi, pour apaiser mon chagrin et le sien aussi. Je ne dis rien pendant un temps, me contentant de la câliner. « Et, il t'a dit quoi d'autre ? Je veux dire, le traitement etc. comment ça se passe ? » J'étais une nouvelle fois désireux d'en savoir un peu plus avant de me prononcer sur quoi que ce soit, même si cette fois, je voulais la rassurer, elle pouvait vaincre la maladie, elle était forte et surtout, je ne l'abandonnerai pas, beaucoup de personne seront aussi là pour elle. Sans attendre sa réponse, je pris à nouveau la parole, la tenant pas sa tête, mes deux mains posées sur ses joues. « Ca ira bien. Je suis là. On est là et on vaincra ça, d'accord ? Tu peux le faire, tu seras guérie ma puce. » J'étais encore sous le choc, et elle l'était également. C'était affreux. Pourquoi cela devait-il nous toucher, nous ? J'étais furieux, furieux contre la vie, le destin. C'est pourquoi je ressentais de la rage depuis son annonce. Narcissa ne méritait pas ça, absolument pas. De plus, il y a quelques heures, tout allait bien, je me sentais si bien et elle aussi, puis, en quelques instants, toute ce bonheur disparut pour faire place à la tristesse, la frustration et la colère.
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Anonymous
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Sam 23 Fév - 1:45



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Je n'arrivais pas à y croire, j'étais secouée par cette nouvelle. Je me suis toujours sentie invincible, un peu comme si rien ne pouvait m'atteindre, j'ai toujours pensé que je pouvais arriver à bout de n'importe qui et n'importe quoi. J'ai réussi à grimper les échelons très facilement durant ma carrière, et peu importe le problème auquel j'étais confrontée, j'ai toujours su trouver la solution adéquate pour m'en sortir. Même lorsque je suis tombée amoureuse de Keith, j'ai réussi à avoir le courage de l'attendre jusqu'à ce qu'il revienne, de survivre sans présence et même si j'ai été virée de la chaîne, je n'ai pas perdu espoir parce que j'étais sûre de trouver du travail, d'utiliser mes talents de manipulatrice pour y arriver, même si Elyes était désormais contre moi. Seulement.. cette chose.. ce cancer. Je n'étais pas sûre de pouvoir le vaincre. C'est pour cette raison que j'avais eu tant de mal à réaliser que j'étais vraiment malade. Lorsque Keith me pris dans ses bras, je sentis ma gorge se nouer et des larmes brûlantes monter pour finalement couler le long de mes joues. Je ne pouvais prononcer aucun mot, je ne savais pas vraiment quoi dire de toute façon. Je n'avais aucune maîtrise sur ce qui m'arrivait à présent, tous ces malheurs se sont abattus sur moi d'un seul coup, et il était hors de question que je me montre faible devant qui que ce soit à part Keith. Je séchais donc rapidement mes joues, afin de paraître forte, j'étais dans un lieu public, et je ne tenais pas à ce que les autres sachent que j'étais malade. La seule personne qui peut voir ma vulnérabilité est Keith, parce que je l'étais déjà avec lui. Ses deux mains se sont ensuite posées sur ma joue, je devais à présent affronter son regard, j'avais une terrible envie d'exploser, de pleurer mais je suis arrivée à me retenir, au moins jusqu'à ce qu'on soit seules. « Et, il t'a dit quoi d'autre ? Je veux dire, le traitement etc. comment ça se passe ? » Je regardais un instant ses yeux, il semblait tout aussi chamboulé que moi, un peu comme s'il contenait ses larmes, j'avais beaucoup de peine à le voir ainsi. Je regardais donc ailleurs, histoire de repenser à ce que le médecin m'avait dis. « Il a dit qu'il s'agissait d'un cancer de l'utérus et qu'il existait plusieurs traitements.. mais.. mais je n'en sais rien Keith. Je n'ai plus le courage à rien. J'ai arrêté de l'écouter après. » Certains penseront que je mérite bien ce qui m'est arrivé, vu le nombre de personne que j'ai blessé, dupé ou trahi. Je ne suis pas la personne la plus honnête au monde, c'est vrai. Je suis même prête à tout pour réussir, mais avec Keith, j'étais moi même, et je pouvais enfin savoir que j'étais capable d'être une bonne personne. A cet instant précis, j'étais juste heureuse de l'avoir auprès de moi. « Ca ira bien. Je suis là. On est là et on vaincra ça, d'accord ? Tu peux le faire, tu seras guérie ma puce. » Je plongeais ma tête sur son torse un petit moment, sentant son odeur. J'avais besoin de ça, je fermais mes yeux un instant, avant de les rouvrir lentement et m'adresser à lui. « Rentrons juste chez nous.. je ne veux pas rester ici, cet endroit sent la mort. » Je n'ai jamais aimé les hôpitaux, et j'avais là pour une bonne raison pour ça. Je finis par lui prendre la main, pour qu'on puisse quitter tous les deux cet endroit. Nous entrâmes ensuite dans la voiture, j'ordonnais à mon chauffeur de nous emmener à la maison. Je posais ma tête sur ses genoux, je ne parlais pas, je ne faisais que pleurer silencieusement durant tout le trajet, j'étais pensive. Je réfléchissais à tout ce qui allait nous arriver désormais, avec tous les problèmes que j'avais déjà. En arrivant, nous sommes rapidement sorti de la voiture, pour entrer dans notre demeure. Je ne voulais pas que mon chauffeur voit mes larmes, il ne les avait jamais vu et ça n'allait jamais arriver. « Je.. je vais aller dormir un peu. » Je venais de mentir à Keith, parce que je n'avais aucune envie de dormir et je ne le pouvais pas de toute façon. Je me contentais donc de m'allonger sur le lit, perdue dans mes pensées.

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Caleb A. Keynes
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Ven 8 Mar - 21:09


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J'avais mal. Mal au crâne, mal au ventre, mal au coeur, mal pour elle... Pour ma moitié. Elle venait d'apprendre qu'elle était malade, qu'elle était atteinte d'un cancer. Quelle horrible chose. Je ne souhaitais ça à personne et encore moins aux personnes à qui je tenais. C'était dur pour moi de sourire à nouveau, j'étais crispé et j'avais bien du mal à cacher ma tristesse. En fait, malgré mon air calme et posé, je brûlais au fond de moi-même, rageant comme jamais, dénonçant une profonde injustice et m'en prenant à la vie et à ses aléas. J'étais dépité et j'avais hâte que Narcissa puisse guérir de cette maladie pour obtenir une revanche sur la vie, être fière d'elle-même et revenir plus forte que jamais. C'était ainsi qu'il allait que nous voyons les choses. Il était primordial d'être avant tout optimiste. Le moral jouait beaucoup sur la guérison d'une maladie du type cancérologique. J'avais pris la blonde dans mes bras en guise de réconfort, je la serrais si fort, avec tellement d'amour. J'espérais que cela puisse lui donner un peu d'énergie, de confiance en elle et surtout du courage, pour se battre. J'avais confiance en ma Narcy, elle était très forte en soi, cependant, nous avons tous des faiblesses, et le fait se savoir que l'on risque de mourir prochainement, s'avère en être une.

En regardant ailleurs, puis plongeant son regard dans le mien, Narcissa évoqua les dires du médecin au sujet du traitement et de la maladie en elle-même. Elle avait un cancer de l'utérus et il existait des traitements. Encore heureux. Je sentais que s'il n'en existait pas, j'aurais été capable d'aller voir le médecin pour lui crier dessus, pour qu'il trouve un traitement et bien entendu, j'aurais mis sens dessus-dessous son bureau, sous un excès de colère. M'enfin, je devais contenir toute cette rage pour transmettre à ma belle de biens meilleurs sentiments, tels que mon affection et mon optimisme. Je l'avais encouragée puis pris dans mes bras, à nouveau. La malheureuse paraissait si calme mais si perturbée et chagrinée. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, d'ailleurs moi non plus, j'avais encore du mal à réaliser l'ampleur de cette annonce. Soudain, Narcy me proposa de rentrer chez nous. C'était absolument une bonne idée. Nous serions plus à l'aise chez nous, rien que nous deux et éloignés de cet endroit qui me donnait la chair de poule, tout comme Narcy qui n'aimait pas ce lieu. Elle me prit la main pour nous emmener dehors, à l'air frais. Cela faisait du bien, ça permettait de me remettre de mes émotions, bien que je fusse encore abasourdi pour ce qui venait de se produire.

Une fois de retour à la villa, la blondinette me confia qu'elle voulait aller dormir un peu. Bien évidemment, c'était normal, elle avait beaucoup pleuré dans la voiture et toute cette histoire de cancer l'avait affaiblie. J'étais tellement mal de la voir ainsi. Je ne savais pas quoi faire pour l'aider, mis à part tenter de lui remonter le moral et l'assister, j'ignorais quoi faire... Je la laissais alors partir se coucher dans notre lit après lui avoir déposé un baiser sur le front. Quant à moi, je me réfugiais d'abord dans la salle de bain, histoire de me mettre un peu d'eau sur le visage. Ce petit rafraichissement me fit beaucoup de bien. Je posais mes deux mains sur le bord de l'évier tout en me contemplant dans le miroir, d'un air complètement dégouté. Je repensais à cette maladie. Elle commençait déjà à me hanter, c'était pénible à supporter, mais ça allait être dorénavant ainsi, tous les jours, toutes les nuits, je ne parviendrai pas à chasser ce cancer de mes pensées. Je me sentais à mon tour si faible, misérable. Je hochais la tête, pour personne, seulement pour moi, en signe de dénégation, pour rejeter toutes ces pensées qui persistaient à me bousiller le moral. Au bout d'une quinzaine de minutes, je rejoins la chambre où ma petite-amie était allongée sur le lit, paisiblement, comme s'il n'avait jamais été question d'un petit passage à l'hôpital ou d'un cancer. C'était si agréable de voir ça. Elle semblait sereine, posée ainsi. Je m'approchais d'elle pour découvrir son visage endormie. Je ne savais pas si elle était réellement endormie ou non, mais je ne voulais absolument pas la réveiller, elle devait se reposer. J'allais alors fouiller dans un des tiroirs dans le dressing pour y retrouver des chaussettes que je désirais porter pour faire un peu de sport. J'avais grand besoin de me défouler, il fallait que je sorte m'aérer, courir. En ouvrant un des tiroirs, je me mis à fouiller de fond en comble celui-ci pour trouver la paire dont j'avais besoin. Cependant, étrangement, ma main effleura une enveloppe. Pourquoi une enveloppe se trouvait ici, dans un tiroir pour chaussettes ? Intrigué, je pris la grande enveloppe brune pour l'analyser. Rien n'était inscrit dessus. Elle n'était plus fermée, quelqu'un l'avait déjà ouverte. Ca devait appartenir à Narcy. Mais pas totalement persuadé que cela pouvait lui appartenir et même plutôt effrayé que ce soit un inconnu qui ait mis ça ici, je me permis de l'ouvrir pour en découvrir le contenu. Des photos d'un style paparazzi apparurent sous mes yeux. Une seule personne revint sur toutes, Narcissa. Elle était dehors, chez elle, au travail, partout... Rien n'avait échappé à ce détraqué. Qui avait bien pu faire ça ? Quand et pourquoi ? Animé par une certaine haine et une colère incontrôlable, je retournai dans la chambre retrouver ma petite-amie. Bien qu'elle était endormie, je ne pouvais pas attendre son réveil, sans rien faire alors qu'elle était devenue la proie de quelqu'un. Cette idée me fit frissonner. Non, il n'était pas question que l'on s'en prenne à ma copine. Je décidai quand même de la réveiller en douceur, usant d'une voix calme. « Narcy ? Chérie, désolée mais... Je dois te parler. Ca urge. » Je m'étais assis près d'elle, du côté opposé du lit, soit, le mien. Elle ouvrit les yeux rapidement et me regardait d'un air interrogateur. J'étais navré de perturber son sommeil toutefois, ces photos me travaillaient beaucoup trop l'esprit. « Tu as vu ces photos ? De qui les as-tu eues ? » Je lui transmis l'enveloppe avec les photos déjà sorties.

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Anonymous
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Sam 16 Mar - 14:16



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J'avais les yeux fermés, je tentais de joindre mon inconscient, de tomber dans un sommeil profond, mais je n'y parvenais pas. Comment pourrais-je m'endormir tranquillement après avoir appris une telle nouvelle? Le cancer est généralement synonyme de mort. Est ce que cela signifiait pour autant que je n'allais pas m'en sortir ? Que j'allais tout simplement m'éteindre alors que j'étais au plus bas dans ma carrière. Je ne me suis jamais permise d'échouer dans mon travail, et ce n'est pas parce que je suis malade que je me laisserai faire. Gossip girl, Elyes, et maintenant cette maladie. J'étais à bout mais je ne pouvais malgré tout pas me le permettre. Il fallait que mon image soit parfaite, non pas parce que je me préoccupais de l'avis des autres ou de ce qu'ils pouvaient penser de moi. Seulement duper les autres reste la seule chose que je sache faire, et puis le fait d'avoir une excellente réputation allait avoir des répercussions très positives sur moi et sur mon entourage dont ma chère maman. Je sentais ma paupière se chauffer, je ne pu me retenir une seconde fois, je laissais donc mes larmes couler à leur guise. Jusqu'à ce que je commence à m'endormir.

Je sentais les pas de Keith venir vers moi, je me réveillais donc un peu de ma léthargie mais en gardant mes yeux fermés. Il répliqua soudainement d'un ton assez préoccupant. « Narcy ? Chérie, désolée mais... Je dois te parler. Ca urge. » J'ouvris rapidement mes yeux, me demandant ce qui pouvait être si grave au point qu'il veuille m'en parler de façon aussi urgente. J'arquais un sourcil, puis je me relevais un peu ensuite, attendant qu'il me dise de quoi il s'agissait, il avait donc toute mon attention. Il m'adressa la parole une nouvelle fois. « Tu as vu ces photos ? De qui les as-tu eues ? » Je pris l'enveloppe qu'il venait de me tendre, je savais exactement ce qu'elle contenait,c'est moi qui l'avait prise pour y mettre des photos qui m'avaient été envoyées il y'a longtemps par un inconnu. Je ne fus donc pas surprise de découvrir son contenu. Plein de photos de moi dans différents endroits, je devais sûrement être traquée par quelqu'un sauf qu'après avoir appris que j'avais un cancer, tout ceci me paraissait sans importance. « Oui je les ai vu, elles m'ont été envoyées il y'a plus de deux semaines par un inconnu. » Je lui pris la main pour l'entraîner doucement dans le lit avec moi. « Ne fais pas cette tête, peut-être que c'est juste un fan.. De toute façon, je n'ai plus envie de m'inquiéter pour ce genre de choses. Ce qui arrivera, arrivera. » Je me contentais ensuite de poser ma tête sur son épaule, le regard absent.



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Caleb A. Keynes
Caleb A. Keynes
i'm a motherfucking admin
AVATAR : vinnie sexy woolston
✱ ÂGE : 36
✱ QUARTIER : sunset District.
✱ COLOCATAIRES : none.
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Jeu 21 Mar - 21:19


Because I love you so.






La découverte des photos volées de ma copine me mit dans un état second, j'étais tellement énervé au fond de moi, mais je tentais de me maitriser au mieux. J'étais conscient qu'étant donné mes mauvaises habitudes et le fait que je baignais dans un univers bien sombre faisaient de ma petite-amie une cible potentielle de mes détracteurs. Je suspectais donc mes ennemis ou toutes autres personnes qui me voulaient du mal de s'en être prises à Narcissa. Et ces photos, ne serait qu'un message de prévention. Cependant, j'espérais que cette hypothèse s'avérait être fausse et pour cela, je demandais des explications à la principale concernée. Elle devait peut-être avoir une idée de l'identité de l'expéditeur, elle aussi pouvait avoir des gens qui ne voulaient que son mal. D'ailleurs, elle voulait me rassurer en me demandant de ne pas m'inquiéter, qu'il s'agissait probablement d'un fan. D'un inconnu. Cela ne parvenait guère à me rassurer. Bien au contraire, je bouillonnais toujours de rage et le manque total de réaction de la part de la blonde m'interpela. Elle semblait si passive. C'était étonnant. Je mettais ça sur le compte du cancer, cette nouvelle l'avait ébranlée et naturellement, ça l'avait tellement atteinte qu'elle préférait se concentrer sur autre chose que des soucis ou des inquiétudes. Narcissa me prit la main pour m'attirer près d'elle et j'en profitai alors pour m'installer à ses côtés. Alors qu'elle posa sa tête sur mon épaule, je regardais encore les photos, pour essayer de comprendre, trouver une explication. Si c'était ma faute que Narcissa se faisait suivre, je ne pourrais jamais me le pardonner. Toutefois, je n'arrivais pas à trouver un responsable. Ce n'était finalement qu'un fan au final ? « Si c'était un fan, il t'aurait déposé un petit mot avec cette lettre, pour attirer l'attention sur lui. Surtout s'il t'idolâtre. Je pense que c'est bien plus grave que ça. » J'employais un ton sérieux et grave à la fois. J'allais mener ma propre enquête, c'était certain. « Je sais que ce genre de problème parait moins grave qu'être atteinte d'un cancer mais imagine que la personne qui t'a envoyé cette lettre veuille te faire du mal ? Je ne le supporterai pas. Je ne peux pas ne rien faire et attendre que ça se passe. » Je posais alors mon regard sur le sien, remarquant que la demoiselle paraissait distraite par autre chose. « Tu n'as aucune idée de qui peut provenir cette enveloppe ?»

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Anonymous
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Mer 3 Avr - 18:31



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« Si c'était un fan, il t'aurait déposé un petit mot avec cette lettre, pour attirer l'attention sur lui. Surtout s'il t'idolâtre. Je pense que c'est bien plus grave que ça. » Il semblait bien trop inquiet par cette histoire, c'est vrai que je l'étais aussi lorsque j'avais découvert ces photos, j'étais même horrifiée à l'idée que ce soit un détraqué mental qui me veuille du mal, ou que ce soit quelqu'un de la mafia qui travaille avec Elyes, ou alors un ennemi de Keith.. ou juste un fan. Je n'en savais rien, et je ne voulais peut-être pas le savoir, parce qu'à ce moment là, la seule chose qui me préoccupait était mon cancer. Surtout mes cheveux, les traitements auxquels j'allais devoir faire face, peut-être de la chimio? Je devrais alors être chauve, et je ne pouvais concevoir une telle chose et puis si je ne m'en sortais pas vivante? Si même après tous les traitements, je finissais par.. mourir? M'éteindre complètement? si j'allais perdre la vie après, je préférais que le médecin me prévienne à l'avance, je ne voulais après tout pas risquer de paraître chauve et malade juste avant ma mort. Mon aspect physique est et restera une priorité absolue. Mourir belle, est toujours mieux que rester en vie en étant chauve et donc probablement moche. Je ne le supporterais pas. Pourtant.. j'avais peur d'y passer. « Je sais que ce genre de problème parait moins grave qu'être atteinte d'un cancer mais imagine que la personne qui t'a envoyé cette lettre veuille te faire du mal ? Je ne le supporterai pas. Je ne peux pas ne rien faire et attendre que ça se passe. » Je n'arrivais à l'écouter qu'à moitié, j'étais bien trop submergée par mes pensées qui n'arrêtaient pas de s'obscurcir, je me devais d'arrêter. Je reportais donc toute mon attention vers Keith. Je relevais ma tête et l'éloignait donc de son épaule, pour pouvoir mieux le contempler. « Tu n'as aucune idée de qui peut provenir cette enveloppe ?» Je finis par lui tenir la main, souriant mélancoliquement et essayant d'être un peu rassurante. « Non je ne sais pas et puis ça ne servirait à rien que j'y réfléchisse autant. Je veux juste profiter de ces moments avec toi. » Il semblait toujours inquiet, mais je voulais qu'il oublie, même si je savais que c'était impossible. Je le pris dans mes bras, posant à nouveau ma tête sur son épaule et fermant paisiblement mes yeux, je voulais juste m'endormir près de lui et oublier ces soucis pour..quelques heures. J'y réfléchirai après, pour l'instant je voulais juste le sentir près de moi et me laisser tout simplement aller. « Oublions toutes ces histoires maintenant. Je veux juste me reposer. » J'en profitais donc aussi pour éteindre mes deux téléphones, j'avais besoin de faire ça. J'aurai tout le temps nécessaire pour penser à tous ces tracas lorsque je me réveillerai. Keith était là, je me sentais en sécurité, et c'est ce qui comptais.


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