Je n’avais plus le temps pour rien, entre le ruby et mon manager je ne touchais plus terre. En ce moment c’était la guerre dans ma vie, je me prenais sans cesse la tête avec Ciara à cause de son nouveau mec, jaloux vous allez me dire, mais ce n’était absolument pas le problème j’avais du mal à croire qu’Harvey étais devenus sincère du jour au lendemain, je me méfiais de lui parce que je ne supportais pas que quelqu’un puisse lui faire du mal, je la protégeais surement un peu trop j’en étais conscient et cela me jouais pas mal de tour. Néanmoins ce n’étais pas les embrouilles avec Ciara qui me ruminais le plus ces temps-ci, Ambre ma colocataire et amie jouait aussi pas mal avec mes nerfs sa tentative de suicide en début de semaine me restais en travers de la gorge je lui en voulais tellement que j’étais hyper froid avec elle et que les seules fois que je lui adressais la parole c’était soit pour lui ordonné un truc ou savoir ce qu’elle faisait. Je lui envoyais d’ailleurs un sms à l’instant même où on frappait à la porte de mon bureau, une de mes serveuse étais venus m’informer qu’une demoiselle blonde me cherchais, je lui demandais gentiment de la faire entrer.
Capucine, cette blonde avec qui j’avais passé une seule et unique nuit sans jamais avoir de nouvelle par la suite, elle ne m’avait jamais rappelé et évitais soigneusement de répondre à mes message. J’ignorais moi-même pourquoi tout ça me touchait tant, peut-être par fierté parce que des demoiselles qui traçais leur routes après une nuit dans mes bras j’en connaissais pas mal et je m’en foutais royal de plus avoir de leur nouvelle, mais en général ces filles étais pour la plupart des nanas qui ne valait pas la peine d’être connus… alors que Capucine était loin d’être de ce genre-là bien au contraire. Je lui avais demandé de venir, pour avoir des explications et surtout pour la revoir même si mon égo de macho me criait de jouer avec elle, de me venger, mais au final je n’avais pas envie de tout ça.
Je me levais de mon bureau et me dirigeais vers mon mini bar personnelle – avantage d’être le boss – je me servais un verre de whisky, oui vous savez comme c’est mafieux qu’on voit à la télé. Je me retournais et m’appuyais contre le meuble en attendant perdus dans mes pensés..
Tu n'avais jamais été une fille qui aimer sortir en boîte. Tu étais plus de celle qui aller dans des bars toute la nuit et qui rentrer à sa fermeture. Mais ce soir, tu te devais de te rendre au ruby skye pour la simple et bonne raison que tu y avais rendez-vous. Rendez-vous avec Jaxton, ce garçon avec qui tu avais passé une nuit il y a un an de ça. Tu ne lui avais plus jamais donné de nouvelle, pas de sms, rien. Mais ce n'était pas de ta faute. Tu étais rentré en cure de désintoxication juste après, la drogue avait eu raison de toi. Tu n'avais jamais pensé à lui envoyer un message en sortant. Tu pensais qu'il t'avait surement déjà oublié. La preuve que tu as eue tord. Il avait prétendu vouloir avoir une discussion avec toi. Enfin, il voulait surtout des explications, ce que tu comprenais. C'était le minimum après tout.
Il était exactement vingt-trois heures cinquante-huit lorsque tu entras à l'intérieur de la boîte de nuit. Habillé d'une courte robe noire simple, ainsi que de hauts talons, noirs eux aussi. Si tu ne t'étais pas habillé de la sorte, tu n'aurais certainement pas passé la porte d'entrer avec leurs critères vestimentaire. Une fois à l'intérieur, tu déposes ta veste au vestiaire alors que tu cherches Jaxton du regard, ce qui n'allait pas être facile vue la foule qu'il y avait. Tu rejoins avec beaucoup de mal le bar, appelant une femme avec ta main. « Vous voulez boire quelque chose ? », « Non, j'ai rendez-vous avec le directeur. Savez-vous où il est ? ». Elle te regarde un instant sans rien dire avant d'aller parler à une autre personne un court instant et de sortir du bar. Elle te fait signe de la suivre, ce que tu ne tardas pas à faire.
Arrivé devant un bureau, à l'abri de la foule, la femme te demande d'attendre un instant devant la porte alors qu'elle part prévenir Jaxton de ton arrivée. Lorsqu'elle sort du bureau, tu t'apprêtes à entrer à ton tour, fermant la porte derrière toi pour ne plus entendre la musique qui te faisait déjà mal au crâne. Tu te mets dos à la porte, posant ton regard sur le jeune homme qui avait l'air pensif. Après un moment d'hésitation, tu prends décide de prendre enfin la parole. « Tu voulais me voir ? »
L’espace d’un instant j’oubliais tous mes problèmes, j’oubliais Ciara, Ambre et tout le reste. La seule chose qui tournait en boucle dans ma tête à l’heure actuelle c’était Capucine. J’ignorais pourquoi j’avais cette fille en tête depuis qu’elle était revenue en ville, mais je dois bien dire que j’y pensais très souvent et que j’avais mis un moment à ravaler ma fierté pour lui demander de passer me voir, sur le coup j’avais eu peur de prendre de nouveau un vent, mais elle avait heureusement répondu positivement à ma demande. Je me demandais ce que j’allais bien pouvoir faire, histoire de me jouer un peu d’elle c’est vrai que j’avais une facilité déconcertante avec les filles qui les faisais craquer immédiatement. La porte s’ouvrit je ne levais pas les yeux immédiatement trop perdue dans mes pensées pour avoir remarqué que quelqu’un étais là, je levais les yeux sur une magnifique blonde, je la détaillais de haut en bas sans vraiment m’en rendre compte j’avais oublié à quel point elle avait un charme fou et à quel point elle m’avait rendue barjot le soir ou je l’es rencontré. Ces courbes étaient juste parfaites, elle avait un visage plus que magnifique et la robe qu’elle portait mettait vraiment son corps en valeur. Je devais bien l’avouer de toutes les filles que je connaissais Capucine étais l’une des plus belle et elle me faisait complétement craquer.
Je repris mes esprits et lui souriais, je fis un signe vers le divan en cuir qui se trouvait dans un coin de la pièce « Assis toi si tu veux, je te sers quelque chose à boire ? ». Je finissais mon verre et le posais, j’attendais un peu avant de me resservir. Je cherchais comment tourner la chose, on aurait limite dit un lion en cage, mais pourquoi je stressais de la sorte ? « Je suis ravie que t’es accepter de passer, je ne pensais sincèrement pas que t’allait accepter » Je lançais une première perche à la belle, en espérant que je n’ai pas besoin d’en faire plus pour qu’elle m’explique pourquoi elle avait disparus du jour au lendemain.
« Assis toi si tu veux, je te sers quelque chose à boire ? », tu ne te fais pas prier pour t'asseoir, tes chaussures commençant déjà à te faire mal. Quelle idée avais-tu eu pour mettre ce genre de choses. Tu pouvais déjà voir son magnifique sourire accroché sur ses lèvres et prise de culpabilité, tu ne pouvais que détourner le regard. Tu t'étais trompé sur Jaxton, juger les gens trop rapidement t'auras servi de leçon. A présent, il devait certainement penser que tu étais une fille que tu n'étais pas. Ce genre de fille qui rencontre des garçons et qui ne donne plus de nouvelle une fois après avoir eu ce qu'elles voulaient. Mais cela n'étais absolument pas ta faute et tu tenais à t'expliquer ce soir.
« Je veux bien, oui. », n'osant toujours pas le regarder par peur de croiser son regard, certainement. Tu glisses tes mains l'une dans l'autre, faisant par la suite jouer tes doigts entre eux, tentant de se détendre, tentant de rester le plus calme possible. Mais ce n'était pas facile, tu stressais tellement à sa réaction une fois que tu te seras expliquer. Tu ne savais pas pourquoi. Tu avais peut-être simplement peur qu'il ne te croit pas, après tout, qui n'a jamais essayé de mentir pour s'en sortir. Il pensera peut-être que tu mens toi aussi pour qu'il te laisse tranquille par la suite.
Tu respiras un grand coup alors que tu l'entendais resservir un verre d'une boisson alcoolisé, surement. « Je suis ravie que t’es accepter de passer, je ne pensais sincèrement pas que t’allait accepter », tu relevas ton regard en sa direction suite à ses mots. Explorant son visage dans les moindre recoin, remarquant alors qu'il n'avait pas changé depuis un an. Il était toujours aussi charmant, dans ses gestes comme dans sa façon de se tenir, de s'habiller. « Je suis désolé. », lâchas-tu dans un souffle. Tu l'avais dis si doucement que tu te demandais s'il l'avait entendu. « Je suis vraiment désolé de ne pas t'avoir donné de nouvelle pendant tout ce temps Jaxton. J'ai eu.. des empêchements et puis, je pensais que tu.. », tu t'arrêtas, hésitante. Tu t'apprêtais à lui dire que tu pensais qu'il s'en fichait. Mais tu redoutais encore plus sa réaction en ce moment même. Tu ne voulais pas qu'il pense que tu l'aies mal jugé.
La demoiselle s’installas, je lui servais un verre que je lui tendais avec un sourire. Je retournais ensuite vers le mini bar pour prendre mon verre que j’avais préalablement remplis. Je restais à une distance raisonnable debout devant elle, je n’osais pas trop m’assoir près de la belle et de toute façon je ne tenais pas du tout en place. J’entendis un petit désolé quasiment inaudible je ne réagissais pas dans l’immédiat et j’avais bien fait, une seconde phrases d’excuse sortis de sa bouche. « Je suis vraiment désolé de ne pas t'avoir donné de nouvelle pendant tout ce temps Jaxton. J'ai eu... des empêchements... » Des excuses qui me laissais perplexes, des empêchements de quel genre ? Je sentais ma fierté de mâle vexé monter d’un cran j’évitais tant bien que mal de m’emporter ou de lui parler méchamment cela ne servirais à rien du tout. « … et puis, je pensais que tu… » Tout s’expliquais, un sourire s’affichais sur mon visage tandis que je bu une gorgé de ma boisson. C’est vrai que j’avais cette réputation de dragueur invétéré qui se foutait complétement de la fille qu’il avait baisé la veille, je ne cache pas que j’ai souvent – très souvent- étais à la hauteur de ma réputation. Néanmoins avec certaine demoiselle j’ai été plus que convenable à mes risques et périls.
« Tu pensais que je m’en foutais, que j’étais du genre à ne jamais rechercher à te revoir n’est-ce pas ? » Je posais mon verre et m’approchais un peu plus d’elle, je la voyais gêner par tout ça, d’avoir pensé ça de moi. Je m’asseyais sur la petite table, juste en face d’elle et la regardais dans les yeux en souriant « Tu sais, tu n’as pas tords de penser ça, t’es pas la première et tu ne seras peut être pas la dernière. Pour tous te dire la première fois que je t’es vu je pensais sincèrement jouer avec toi comme je l’es fait avec pas mal de fille, mais après la soirée et la nuit qu’on avait passé je me suis surpris à changer d’avis … et ma belle si je m’en foutais de toi jamais je t’aurais demandé de passer me voir » Je restais silencieux un moment, je l’admirais, cette fille étais juste sublime et à cet instant précis je ne me reconnaissais pas. N’osans faire aucun geste envers elle je pris une nouvelle fois la parole « Dis-moi ce qui t’es arrivés .. ? »
Tu le vois alors sourire suite à tes mots. C'était aussi drôle que ça ce que tu venais de dire ? Où est-ce qu'il se foutait tout simplement de toi ? Tu fronces alors légèrement les sourcils, prenant le verre qu'il t'avait servi quelques minutes plus tôt, le buvant assez rapidement jusqu'à le vider, comme s'il allait calmer ton angoisse. L'acidité du contenu te fis plisser les yeux quelques instants, « Tu pensais que je m'en foutais, que j'étais du genre à ne jamais rechercher à te revoir n'est-ce pas ? ». Tu poses ton regard sur Jaxton, hésitant à nouveau pour lui répondre. Devrais-tu lui dire que oui ? Après tout, il s'en doutait, alors pourquoi mentir ? « Non, enfin, si.. », tu n'ajoutas rien, le regardant poser son verre et se diriger vers toi. Tu lui fis alors de la place à tes côtés sur le canapé, mais il préféra s'asseoir face à toi, sur la table basse. « Tu sais, tu n'as pas tords de penser ça, t'es pas la première et tu ne seras peut être pas la dernière. », ce début de phrase te fit froncer à nouveau des sourcils, mais tu ne dis rien, le laissant finir. « Pour tous te dire la première fois que je t'es vu je pensais sincèrement jouer avec toi comme je l'es fait avec pas mal de fille, mais après la soirée et la nuit qu'on avait passé je me suis surpris à changer d'avis ... et ma belle si je m'en foutais de toi jamais je t'aurais demandé de passer me voir. »
Tu savais très bien qu'il ne s'en foutait pas de toi, depuis très longtemps même. Depuis que tu avais reçu tous ses messages et puis, le fait qu'il te contacte en premier t'avait encore plus convaincue à ce sujet là. Tu baisses le regard, cherchant à dire quelque chose. Il ne te laissa pas le temps de dire quoi que ce soit avant de reprendre la parole, « Dis-moi ce qui t'es arrivés .. ? ». Tu le regardes un long moment, cherchant quelque chose à dire. Tu finis par te relever, ne te sentant plus très à l'aide suite à sa question. Tu avais l'impression d'être une enfant qui avait fait une connerie et qui n'osais pas le dire. Oui, c'était exactement ce que tu ressentais en cet instant précis. Tu marches jusqu'à son mini bar et, sans rien demander, tu te sers un verre, le buvant alors aussi rapidement que le précédent. Puis, tu te tournes face à lui avant de prendre la parole. « Des problèmes, rien de très grave. », tu forces un sourire avant de repartir t'asseoir, mais cette fois-ci, à ses côtés sur la petite table. Tu poses tes mains sur celle-ci, avant d'ajouter en cherchant à changer de sujet. « Alors, c'est à toi maintenant, cet endroit ? », espérant qu'il n'insiste pas plus sur ce qui t'étais arrivé, tu lui souris avant de détourner ton regard sur le mur face à vous. Tu étais si près de lui à cet instant précis, que tu pouvais entre sa respiration. Tu sentais son parfum et presque le contacte de son bras contre le tien. Et étrangement, ça te troubler plus qu'autre chose. Il fallait dire que Jaxton était très troublant comme garçon et il ne manquait pas de le savoir, il devait même en jouer. Tu n'essayas de ne pas tarder sur ça, chassant de ta tête la vision de ce qu'il c'était déroulé la dernière fois que vous aviez étiez aussi proche.
Je la voyais gêné par certains de mes propos et un peu en colère par la même occasion. Je ne perdis pas mon sourire pour autant, j’étais franc avec elle et je n’allais pas mentir sur ce que j’étais non plus. Elle bue son verre à une vitesse éclair, cela me fis sourire et me fis penser à notre première nuit, je me souviens avoir été aussi surpris qu’une tel jeune femme puisse boire aussi rapidement. Elle se leva pour aller se resservir, toujours assis je me retournais vers elle afin de la voir, elle bue son second verre aussi rapidement que le premier et je compris qu’il ne fallait pas que j’insiste un peu plus sur ce sujet, le message été assez clair. Elle vint se rasseoir à coter de moi, assez proche de moi, peut-être un peu trop risqué comme distance… Après tout elle était déjà magnifique, mais ce soir encore plus, j’ignorais si c’était le fait que cela faisais un moment que je ne l’avais pas vu ou juste ma tête qui faisais abstraction de toutes les autres femmes et la trouvais juste plus magnifique que toutes les autres, je chassais ces pensée de ma tête ce n’était pas trop le moment quoique… Je tournais la tête vers elle afin de pouvoir la regarder, elle était concentré sur le mur d’en face fuyant à tout prix mon regards, peut-être n’avais t’elle juste pas envie d’être là à coter de moi ? Enfin…si c’était vraiment le cas elle ne se serait pas mise aussi proche de moi. Je devenais dingue, cette femme me rendais dingue dans tous les sens du terme je crois bien. Elle changea rapidement sujet, à mon avis plus pour que j’évite de poser des questions sur son silence durant un an qu’autre chose, je regardais tout autour de moi « En grande partie oui, mais j’ai un investisseur principale qui as quelques part du Ruby, mais c’est moi le boss » répondais-je avec un sourire. Je baissais les yeux vers nos deux mains qui se touchais quasiment, je relevais progressivement mon regards vers celui de Capucine, je ne disais rien je la regardais intensément, j’avais juste envie de l’embrasser seulement pour une raisons que j’ignorais je ne le fis pas, je me levais précipitamment, tellement précipitamment qu’elle avait remarqué que ce n’étais pas naturelle. Je m’approchais du minibar avec mon verre et pris un peu trop de temps pour me servir un troisième verre.
Tu sentais son regard sur toi, tu baisses alors ton regard au sol, pour éviter de finir par le regarder à ton tour. Tu ne savais pourquoi tu ne voulais à tout prit pas croiser son regard, tu te sentais si petite, si fragile contrairement à lui. Il t'intimidait énormément, voilà la raison. « En grande partie oui, mais j’ai un investisseur principale qui as quelques part du Ruby, mais c’est moi le boss. », tu poses alors ton regard sur lui, souriant doucement lorsqu'un sourire se dessina sur ses lèvres. Tu ne le quittas pas des yeux alors qu'il baissait son regard sur vos mains, côte à côté l'une de l'autre. « Oh, tant mieux.. », tu gardas un sourire au coin de tes lèvres alors qu'il releva son regard sur toi. Ton regard dans le tiens, tu te demandais bien ce qu'il se passait en toi juste à cet instant. Tu étais tiraillé par l'envie soudaine de l'embrasser et pas ta raison qui te supplier de te retenir. Tu écoutas ta raison, après tout, il t'avait demandé de venir ici pour pouvoir te parler, discuter de la raison de ton silence. C'est ce que vous avez fait, tu devrais normalement partir. Mais tu n'en avais pas vraiment envie, tu te sentais bien ici. Malgré tes angoisses et le fait que tu avais l'impression que Jaxton prenait un malin plaisir à te perturber.
Tu fus sorti de tes pensées lorsqu'il se leva rapidement, trop rapidement. A-t-elle point que tu venais à pensé que tu avais fait une connerie. Même s'il n'y avait aucune raison que tu es fait une connerie. Tu laissas s'échapper d'entre tes lèvres un soupire à peine audible alors que tu te levas à ton tour, les mains posés sur tes hanches. Tu le regardes alors se préparant à se servir un nouveau verre, beaucoup trop lentement contrairement à la première fois ou tu l'avais vue faire. Après une courte hésitation, tu te diriges à ton tour jusqu'au mini bar, lui prenant la bouteille des mains avant de le servir rapidement. Son verre en main, tu le lui tends tout en le regardant dans les yeux. « Arrête de bouger toutes les deux secondes, je vais finir par penser que t'aimes pas être en ma compagnie. », tu avais dis ça si calmement que tu venais à t'étonner, toi qui ne cesser d'être perturber par l'homme face à toi.
Je prenais une bouteille au hasard, perdus dans mes pensées je mis un temps fou à ne serais ce que verser une goutte dans mon verre vide. Tellement perturbé que je ne remarquais même pas que cette dernière c’était levée et se trouvait dorénavant à coter de moi, elle saisit la bouteille et je sursautais quelques peu quand je la sentais proche de moi. Elle prit mon verre des mains et le servit avant de me le tendre avec un sourire juste magnifique, j’hésitais quelques seconde avant de le prendre perdus dans son regards. Je le saisi et ma main effleuras la sienne, je restais ainsi juste en la regardant dans les yeux. Bon sang Jax qu’est ce qui te prenait sérieusement ? Sa réflexion me fit rire, je bu le verre d’une traite et le reposas aussitôt « Je serais bien le dernier des imbéciles si je refusais ta compagnie princesse » dis-je avec un sourire charmeurs.
Je ne la quittais plus des yeux, c’était plus fort que moi. Dans la boîte la musique battais son plein et les hurlements joyeux des clubbers qui étais présent ce soir se fit clairement entendre, mais à cette instant, plongés dans son regard j’avais juste l’impression qu’on était seule au monde et que rien n’aurais pu nous sortir de ce moment si précieux à mes yeux. Je passais délicatement une de mes mains sur sa joue, je repensais à notre rencontre, à notre nuit, à tous ces messages que j’avais envoyé à comment je m’en sentais quand je pensais qu’elle se foutait de moi, à comment je me sentais à cette instant précis. Sans crier gare je me lançais, je m’approchais d’elle, relevas sa tête en posant deux doigt sous son menton et l’embrassas de la façons la plus délicate possible inutile de vous cacher que je calmais clairement mes ardeurs à ce moment précis, sa serais une autre fille on serais déjà en tenus d’Adam et Eve sur le canapé.
Entendant Jaxton rire, te ne pouvais que te sentir mieux à cet instant présent. Tu te sentais si bien que l'espace d'un instant, tu avais oublié que tu étais dans une boîte de nuit. Son verre ne fit pas long feu avant d'être vide. Ne savant quoi faire pendant quelques secondes, tu claquais doucement tes doigts sur le mini bar, « Je serais bien le dernier des imbéciles si je refusais ta compagnie princesse ». Un large sourire ce dessina alors sur tes lèvres alors que tu levais ton regard sur Jaxton, il savait toujours quoi répondre et puis, son sourire.. Tu restas face à lui sans bouger, sans rien dire encore longtemps, ton sourire collé à tes lèvres. Puis, sa main caressa ta joue et ton corps fut rapidement pris de nombreux frissons. Sans doute le froid pensas-tu, enfin, non. Tu essayais tout simplement de trouver une raison à ce qui se passer en toi. A cette chose inexpliqué qu'il se passait à cet instant. Et puis, à ta plus grande surprise, il s'approcha assez rapidement de toi avant de relever ton menton à l'aide de ses doigts pour venir t'embrasser délicatement, comme s'il cherchait à avoir ta permission.
Pendant de longue secondes, tu ne réagis pas, te demandant ce que tu pouvais bien faire et surtout, un peu sonné tout de même de ce qu'il se passait actuellement dans ce bureau. Enfin, ce n'était pas grand-chose, juste un baiser qui commencer. Tu te demandais bien s'il faisait ça sous l'effet de l'alcool ou s'il en avait vraiment envie. Du moins, toi, tu en avais envie depuis quelques minutes maintenant. Alors sans réfléchir plus longtemps, tu fermas tes paupières, accrochant tes doigts au bas de sa chemise tout en collant ton dos au mini bar. Tu prolongeas le baiser de la même façon qu'il l'avait commencé, l'intensifiant au fur et à mesure, collant Jaxton contre ton être comme pour l'empêcher de fuir, ce qu'il n'aurait pas lieu de faire, mais ça te rassurer. Tu restas alors accrocher à ses lèvres pendant un instant qui te parut cours, mais ayant besoin de reprendre ta respiration, tu te retrouvas obligé de mettre fin à ce baiser. Décalant alors tes lèvres des siennes tout en reprenant un rythme de respiration normale, tu rouvris les yeux pour le regarder, te rappelant par la même occasion que vous n'étiez pas dans un lien tranquille. « On ne devrait pas faire ça.. », lâchas-tu dans un souffle avant de reprendre. « Je veux dire, on aura l'air bien bête à être.. collé si quelqu'un entre. », tu lui souris alors tendrement, posant tes mains à plat sur son torse en le reculant légèrement de toi.
Sur le coup, un peu surprise je suppose elle ne répondit pas à mon baiser dans l’immédiat. Durant de longue secondes j’avais juste l’impression qu’elle allait me repoussé et me dire qu’elle n’était pas venu pour ça. Cependant, elle ne fit rien de tout ça, bien au contraire ! Je sentis notre baiser s’intensifier, nos corps se rapprocher et la chaleur monter d’un cran. Une de mes main glissas le long de sa cuisse, mais je ne m’aventurais pas en dessous la robe laissant ma main juste en contact avec sa peau cela me suffisais amplement. Ce baiser n’étais pas comme les autres, cette filles ne faisais pas partit de toutes celle que j’avais connus et dont j’avais oublié le prénom, au fond de moi j’avais envie qu’elle soit beaucoup plus que ça et cela me faisais abominablement peur, me dire que je pourrais m’attacher à elle et qu’elle aurait pu m’échapper en un claquement de doigt …
Elle stoppa cette instant et la seule chose que j’avais envie de faire c’est de le continuer encore et encore. La belle repris sa respiration et moi avec. Ces paroles me laissais un peu perplexe, je ne montrais rien, elle me poussa légèrement et je pris la parole « C’est vraiment l’endroit qui te dérange et le fait que quelqu’un pourrais rentrer à tous moment qui te dérange ? Ou c’est juste le fait que tu n’as juste pas envie que je sois comme ça avec toi ? » J’avais légèrement été froid dans mes paroles, malgré moi alors pour adoucie le tout j’affichais un sourire histoire qu’elle ne croit pas que j’allais lui en vouloirs.
Tu frissonnais encore du contacte de ses mains sur ta cuisse, tes mains à plat contre son torse alors que tu examinais son visage du regard. Souriant en coin alors qu'il prit la parole, « C'est vraiment l'endroit qui te dérange et le fait que quelqu'un pourrais rentrer à tous moment qui te dérange ? Ou c'est juste le fait que tu n'as juste pas envie que je sois comme ça avec toi ? ». A la froideur de ses mots, ton sourire disparut de tes lèvres, tes sourcils se froncèrent alors que tu retiras tes mains de son torse et que tu baissas le regard. Tu étais légèrement vexé qu'il comprenne ce que tu n'avais pas dit, après tout, si tu n'aurais pas voulu qu'il soit comme ça avec toi, tu l'aurais tout simplement repoussé lorsqu'il avait commencé. Tu relevas ton regard sur Jaxton, le voyant alors sourire, comme s'il c'était rendu compte du tons qu'il avait employé.
« Non, ne dis pas n'importe quoi. », tu forces un sourire face au sien, alors que, cherchant à t'occuper, tu remets correctement le col de sa chemise avant de te retirer de son étreinte, te dirigeant vers la porte avant de fermer celle-ci à verrou. Te mettant ensuite face à Jaxton, « Je voulais juste dire que je préférais que la porte soit fermé. », lâchas-tu doucement. Tu marches tranquillement jusqu'à lui, reprenant la place que tu occupais quelques minutes plus tôt. Un sourire se dessina sur tes lèvres lorsque tu croisas le regard de l'homme que tu avais évité pendant une longue année. Peut-être que si vous auriez gardé contacte, tu ne serais pas aussi perturbé par lui, peut-être même qu'il ne te ferait pas l'effet qu'il te fait actuellement. Tu cessas de trop réfléchir, glissant un de tes mains sur la nuque de Jaxton, que tu caressas alors du bout des doigts, venant effleurer tes lèvres des siennes, un léger sourire dessiné sur tes lèvres.
Sur le coup je me sentais con, c’était le cas de le dire. Je voyais bien à son visage que cela l’avais blessés. Heureusement pour moi elle comprit rapidement que le but n’étais pas de la vexé loin de là ! Je restais un peu perplexe en la voyant se diriger vers la portes de sortit, je voulus dire quelques chose néanmoins rien ne parvenais à sortir de ma bouche alors je la suivais du regard crédule. Un large sourire s’affichais sur mon visage lorsque j’entendis le verrou de la porte se fermer, décidément j’adorais cette fille. Elle revint vers moi fière de son effet, je ne dis rien me contentant de rires un peu. Elle revint à sa place, je souriais, j’avais juste l’impression d’être un adolescent de quinze ans intérieurement et sincèrement j’adorais cette sensations. Je me collais un peu plus à elle, replaçant délicatement ma main droite sur sa cuisse et avec mon autre main je passais mes doigts sur sa joue « J’espère que tu n’as rien prévus d’autre ce soir, parce qu’il est hors de questions que je te laisse t’enfuir cette fois ci » elle vint jouer un peu plus avec mes lèvres, mais n’y tenant plus j’emprisonnais sa bouche avec la mienne, dans un baiser des plus langoureux.
Je n’avais pas prévus ça du tout, à vrai dire je pensais ne pas croire une seule seconde à son explication et de juste être déçu de voir que mon attirance pour elle n’était pas réciproque. J’étais satisfais de m’être tromper sur toutes la ligne. Alors que nos baisers étais de plus en plus sensuel, ma main droite s’aventurais un peu plus sur la cuisse de la demoiselle, je fis remonter ma main par-dessus le tissus jusqu’à la taille de la belle, ma seconde main vint se poser à l’opposer afin de pouvoir soulever la jolie blonde et la déposer assise sur la place libre du meuble derrière qui étais pile à la bonne hauteur..
« J'espère que tu n'as rien prévus d'autre ce soir, parce qu'il est hors de questions que je te laisse t'enfuir cette fois-ci », tu ris légèrement suite à sa remarque. Continuant d'effleurer tes lèvres des siennes, tu murmuras contre ses lèvres, « Je n'avais pas l'intention de m'enfuir. ». Tu souris tendrement, ton sourire ne quittant plus tes lèvres, alors qu'il prit possession de celle-ci, entreprenant un baiser langoureux que tu ne tardas pas à prolonger. Tu ne savais qui d'entre vous deux dominer la situation car, à en juger la situation, tu avais l'impression de lui faire autant d'effet qu'il t'en faisait, ce qui ne te contrarier pas, loin de là. Alors que vos baisers devenaient de plus en plus sensuel, tu pouvais sentir sa main se glisser sous ta robe, ce qui déclencha chez toi un bon nombre de frissons. Tu fermas alors les yeux pour pouvoir profiter au maximum de ce moment.
Sans t'y attendre, il te souleva pour pouvoir te poser sur le meuble qui était juste derrière toi. Tu posas tes mains quelques instant sur le meuble pour pouvoir t'installer convenablement sur celui-ci puis, tu colles Jaxton contre ton être. Tu desserres légèrement tes lèvres des siennes, reprenant ta respiration alors que tu prends un instant ta lèvre inférieur entre tes lèvres. Tu avais l'impression que la chaleur était monté d'un cran dans la pièce, tu étouffais presque. Mais ce n'était rien d'autre que Jaxton et l'effet qu'il te faisait. Tu lui retires rapidement sa veste, que tu laisses tomber au sol avant de glisser tes mains sous sa chemise, caressant son torse de tes mains tout en nichant ton visage au creux de son cou, avant d'y déposer des baisers.
Le jeu continuais ainsi pendant quelques instant, je laissais faire la demoiselle à sa guise, il est vrai qu’elle savait parfaitement s’y prendre avec moi et pour rien cacher j’adorais ça. Alors qu’elle s’amusait à déposer plusieurs baiser dans le cou, je descendais la fermeture de sa robe et ne m’y pas longtemps à lui enlever afin qu’elle se retrouve en sous vêtement devant moi, en la voyant ainsi j’eu un léger sourire malgré moi, qu’elle remarqua forcément. Je ne lui laissais pas le temps de répliquer quoique ce soit que je l’embrassais de nouveau sans attendre. Je laissais remonter mes mains jusqu’à son buste, ces dernière allant délicatement caresser sa poitrine. La situation devenait de plus en plus chaude, qu’on en oubliait qu’on se trouvait dans une boite de nuit, que je me trouvais sur mon lieu de travail. La réalité vint nous rappeler à la raisons quand le haut-parleur de mon bureau se mis en marche, la voix de l’un de mes videurs se fit entendre « Boss on a un problème à l’entrée faudrait venir voir » Je laissais échappé un long soupir de colère, je me détachais un peu de la blonde je lui signifiais un regard qui voulais simplement dire désolé et m’approchais de mon bureau. Tout en ne lâchant pas Capucine du regard j’appuyais sur le bouton du haut-parleur et après quelques secondes dit simplement « J’arrive Cal’ ».
Je retournais vers la belle blonde qui avais elle aussi été freiner dans son élan, un peu dégouté que ça se termine de la sortes je ramassais sa robe et lui rendais. « Je suis vraiment désolé, mais le devoir m’appelle et je suis obligé d’y répondre … » Je me sentais un peu con alors que la soirée s’annonçait vraiment bien … Je reboutonnais ma chemise assez lentement « J’ignore pour combien de temps je vais en avoir … »
Accueil
Je n’avais plus le temps pour rien, entre le ruby et mon manager je ne touchais plus terre. En ce moment c’était la guerre dans ma vie, je me prenais sans cesse la tête avec Ciara à cause de son nouveau mec, jaloux vous allez me dire, mais ce n’était absolument pas le problème j’avais du mal à croire qu’Harvey étais devenus sincère du jour au lendemain, je me méfiais de lui parce que je ne supportais pas que quelqu’un puisse lui faire du mal, je la protégeais surement un peu trop j’en étais conscient et cela me jouais pas mal de tour. Néanmoins ce n’étais pas les embrouilles avec Ciara qui me ruminais le plus ces temps-ci, Ambre ma colocataire et amie jouait aussi pas mal avec mes nerfs sa tentative de suicide en début de semaine me restais en travers de la gorge je lui en voulais tellement que j’étais hyper froid avec elle et que les seules fois que je lui adressais la parole c’était soit pour lui ordonné un truc ou savoir ce qu’elle faisait. Je lui envoyais d’ailleurs un sms à l’instant même où on frappait à la porte de mon bureau, une de mes serveuse étais venus m’informer qu’une demoiselle blonde me cherchais, je lui demandais gentiment de la faire entrer.
