Je rentrais tranquillement après une journée bien chargée. C'était le week-end, mais étant tout simplement incapable de rester chez moi à rien faire, je m'étais planifier une petite journée Shopping avec miss Jenkins. Cette fille avait fait bonne impression lors de mon enterrement de jeune fille et suite à cela, nous sommes restées en contact. La journée défila à une vitesse folle et bientôt il fût l'heure pour nous de nous séparer. Après avoir quitté le centre commercial, je me suis diriger à l'écurie pour aller voir mon petit bébé afin de lui lui faire faire sa promenade quotidienne avant de rentrer chez moi pour rejoindre mon mari que j'avais gentiment prévenu de mon arrivé.
À mon arrivé, la maison sembla vide, comme toujours. En même temps, un manoir comme le notre, habité par seulement deux personne ne pouvait pas débordé de vie. Mon mari recevait quelques un de ses amis de temps à autre et la plupart du temps ils s'enfermaient dans le bureau. Je suis donc monté à l'étage pour aller déposer mes achats sur le lit et me suis changer pour me mettre à mon aise.
clickclickclickclick J'aimais bien porter ce genre de tenue lorsque j'étais seule avec Viktor. De un je savais que ça lui plaisais et de deux, je me sentais à l'aise et en confiance dans ce genre de vêtement.
Après avoir prit le temps de défaire mes cheveux pour les laisser retombés en cascade sur mes épaules, je me saisis du cadeau que j'avais acheter pour mon époux et suis aller le rejoindre discrètement dans son bureau. Visiblement, il était plongé dans sa lecture et ne se rendit pas compte de ma présence, ce qui me fit sourire. J'avançai donc vers lui et lui retira son livre des mains afin de venir m'asseoir sur ses genoux. J'étais plus qu'heureuse de le retrouvé. Plus le temps passait, plus j'avais du mal à me séparer de lui. J'avais continuellement besoin de sa présence, de savoir qu'il veillait sur moi, si bien que je n'arrivais plus à dormir ailleurs que dans ses bras. «
Qu'est- ce qui te captivais au point de ne pas entendre ta femme entrer très cher? » Dis-je sur le ton de la plaisanterie avant de l'enlacer tendrement, venant ensuite déposer mes lèvres sur les siennes. «
Je t'ai pris un petit quelque chose cette après midi, j'espère que ça te plaira! » À ces mots, je lui tendis la petite boîte, impatiente qu'il l'ouvre pour voir sa réaction. Je m'étais arrêter dans une bijouterie, histoire de me trouver un pendentif auquel je pourrais ajouter les breloques que ma mère m'avait offerte avant mon départ, mais plutôt que de regarder pour cela, je me suis tourner vers les montres pour homme. Dans mon souvenir, celle de Viktor était sur le point de mourir et je la trouvais franchement horrible. Je lui en ai donc prit une toute neuve.
clickclickclickclick En cuire comme il les aimes.
Pendant qu'il défaisait l'emballage, mon regard se leva sur lui. Je devais absolument lui parler de quelque chose de très important qui me mettait un peu mal à l'aise en même temps de me tomber sur les nerfs. Je l'avais prévenu que nous allions devoir parler et le moment était venu. Du coup, avant qu'il n'ouvre le boîtier, je mis ma main dessus afin de l'empêcher de l'ouvrir et plongea ensuite mon regard dans le sien, l'air un peu plus sérieux. «
Après, j'aimerais qu'on parle s'il te plaît. » Je lui souris tout en relevant ma main de sur la petite boîte, retrouvant mon impatience face à la surprise qu'il aurait.