Atmosphère chaude, embrumé. Odeurs de corps de corps qui s'activent un peu trop. Odeur de sexe, de luxure à l'état pur. Voilà ce qui entouré le soit disant psychologue responsable et père sans histoire que j'étais. Tout le monde à des secrets pas vrai ? Pourquoi devrais-je faire exception à cette règle ? Hein ? Je sais, vous vous demandait qu'est ce que je fou ici ? Et moi c'est simple. Je laisse mes pulsions pendre le contrôle sur moi, comme avec Sergej, et encore même lui n'était pas u courant de toute ma perversion, de jusqu'où je pouvais aller. A vrai dire, personne ne le savait. Absolument personne et voilà que cette no life/bitch de GG vient mettre tout ça, toute ma vie en danger en menaçant de tout révéler ? Je ferme les yeux, allongé sur un lit quelconque, en sueur, reprenant mes esprits après le sexe. Je relis son texto mentalement. Comment je vais pouvoir arriver à faire ce qu'elle me demande pour garder tout ça secret ? Rien que de m'imaginer le faire, j'en frissonnais. J'étais pervertis, ça oui, je ne pouvais pas le nié, mais de là à trahir mes amies, à leur faire du mal. Est ce que cela en valait vraiment le coup de perdre deux de mes meilleures amies pour un foutu secret un peu salace ? Par ce que je pense qu'elles pourraient me pardonner d'avoir une sexualité différente, débridé et étrange, mais pas de leur faire du mal, tant physiquement que moralement. Et pour un psy, c'était vraiment une chose horrible. J'en avais vu des patient s'étant fait agressés en consultation. Je frissonnais. Je n'y arriverais pas, c'était certain. En tout cas, je n'étais pas sur de m'en remettre si c'était le cas. Je devais me faire violence, et je sais que le retour ne serait pas des plus facile. Je fermais les yeux et je sentis une main glisser sur mon torse. J'ouvre les yeux, tourne légèrement la tête avant de soupirer. J'enlevais la main baladeuse avant de me redresser et de m'asseoir sur le bord du lit. « La fête est fini. » J'attrapais mon portable et écrivais un message, dans mes pensées. '' Passe chez moi vers 14h30, il faut que je te parle. C'est important. '' Je l'envoyais en message groupés à Leonie et Narcy. Je me levais et enfilais mon caleçon, attrapant mes affaires en passant avant de les enfiler. J'étais plus dans l'ambiance et puis j'en avais pas grand chose à faire de celui qui partager mon lit. Une fois habillé, je quittais l'endroit sans plus de cérémonie.
Une demi heure plus tard, j'étais chez moi. Je posais mes affaires et allais directement dans la case douche. Pour me laver de mes pêcher. Ahh, que je suis drôle. Sous l'eau, je réfléchissais à ce que je m'apprêtais à faire. Je ne pouvais pas prendre le risque de perdre mon fils si on apprenait mon mode de vie. Je refusais de le perdre. Tout simplement. Et ça j'étais sur qu'elles le comprendraient ça au moins. Andy était chez ses grands-parents pour quelques jours. Et soudain, je me sentis un moins que rien. Je détestais la situation dans laquelle j'étais. En sortant de la douche, c'était comme si j'avais éteins mon coeur, et mes émotions, car sinon, je n'y arriverais pas, c'était certain. Je m'habillais et allais attendre les filles en prenant quelque chose pour me remplir l'estomac, assis sur le canapé, une mine sombre.
j'étais chez moi avec Anaé qui habitais avec moi depuis la mort de Lenny, elle ne voulais pas que je sois seule , sa compagnie me faisait du bien, j'allais mieux depuis qu'elle étais la. Elle étais la seule à me comprendre mais vraiment la seule , soudain je reçus un message de Cameron , mon psy enfin on était amis mais entre lui et moi y'avais eu une comment dire ambiguité. A une époque , je venais le voir dans son cabinet à cause de l'accident que j'avais eu et qu'il as couté la vie de ma mere à croire que j'étais maudis pour ne pas etre heureuse , j'étais attiré par ce jeune homme et on va dire qu'on n'a dépassé les limites alors qu'on aurait pas du. il me disait de venir chez lui, c'étais bizarre peut etre avez-t-il quelque chose à me dire? bref je lui répondit " J'arrive toute de suite" et je prévenais Anaé que je partais mais que j'allais revenir trés vite. Arrivé chez lui , je sonnais et j'attendais qu'il m'ouvre et la il m'ouvre , je voyais cameron mais il était si ennervé , ce n'étais pas lui sa .
Ce matin là, je n'étais pas vraiment de très bonne humeur. J'étais juste fatiguée, j'avais une folle envie de rester accrochée à mon lit, dormant paisiblement toute la journée. Seulement, il fallait que je me bouge pour mon travail, que je fasse quelque chose pour changer ma situation. Ma réputation était désormais au plus bas, tout comme ma santé d'ailleurs. Je venais d'apprendre récemment que j'étais atteinte d'un cancer. Keith s'était réveillé plus tôt que moi, je ne l'avais d'ailleurs pas trouvé à mes côtés. Je me dirigeait alors vers la salle de bain pour glisser mon corps sous le jet d'eau chaude de la douche. Je fermais les yeux un instant pour me détendre, puis je me lavais. Je séchais ensuite mon corps avec une serviette, portant après mon peignoir et me dirigeant vers la cuisine. Mon petit ami venait de me préparer un beau plateau et avait pris soin de m'écrire un petit mot. Mon humeur avait tout de suite changé, j'étais désormais contente. Je mangeais tranquillement assise sur le sofa entrain de regarder la télé. Analysant les faits et gestes de la présentatrice télé qui venait de me remplacer pour mon émission. Je la trouvais tellement nulle, et ça me rassurait. Je passais un coup de fil à mon agent pour voir mon planning de la semaine. Il fallait qu'on se prépare pour que j'améliore mon image, c'est triste mais mon cancer allait beaucoup m'aider. C'était d'ailleurs moi qui avait proposé à mon agent de profiter de ma maladie pour avoir une bien meilleure réputation. Jouer à la cancéreuse qui regrette ces erreurs passées et qui souffre, ça marche à tous les coups. Après avoir terminé mon coup de téléphone et mon petit déjeuner, je quittais le salon, pour mon dressing, je portais donc une jolie robe noire serrée, un veste bien cintrée bleu et des talons jimmy choo noires. J'arrangeais ensuite mes cheveux, je les laissais détachés. Mon téléphone fit ensuite un petit bruit, m'annonçant que j'avais un nouveau message. Je checkais donc rapidement. C'était Cameron, il demandait à me voir d'urgence vers 14h30, seulement ce n'était pas vraiment possible que je vienne précisément à cette heure là. J'avais un rendez-vous important pour négocier un interview. Je sortis donc rapidement de ma demeure, pour aller au restaurant où avait lieu l'entrevue. Tout s'était déroulé parfaitement bien. J'avais bien joué la comédie, comme d'habitude. Il était désormais presque quinze heure. Je montais donc dans la voiture ordonnant à mon chauffeur de me déposer chez Cameron. Quelques longues minutes après, j'étais enfin arrivée. Je sonnais donc à sa porte attendant qu'il m'ouvre.