HISTOIRE !
« J'aurais peut – être voulue que ma vie sois banal. Encore plus banal qu'une jeune fille qui va à l'école la journée, qui rentré fais ses devoirs, se lave, mange et va se couché. J'aurais tout donné pour être encore plus banal que cette fille ci. Exactement tout. Au début de mon histoire j'étais une jeune française née en 1989 en Amérique, évidement. Je vivais avec mes deux parents tout allait parfaitement bien. Je me levais le matin pour aller en cours, je rentré le soir en voiture avec ma mère qui rentré du travail, elle aussi. L'Amérique étais en magnifique pays, vraiment. Les gens y étaient très agréable et surtout, sociable. Ils aimaient être en contact avec les gens de dehors. Les français ne sont pas associable, du moins, je ne pense pas. Mes parents et moi – même étions très proches les uns des autres. Je ne voyais jamais mon père et ma mère se disputés, leurs amis(es) les qualifier souvent du couple parfait. Je ne manquais de rien, vraiment. C'était la vie dont tout le monde rêve. Vraiment, tout ça me manque atrocement.

Mais tout bonheur à une fin. D'une manière ou d'une autre tout ce finie un jour, sans faire signe de son arrivé. Et bascule votre vie du tout au tout. Je sais de quoi je parle vous savez. Ce que je dis, ce n'est pas des paroles en l'air, ce que je dis, ce n'est pas des histoires pour que vous ayez pitié de moi. Loin de la, je ne suis pas comme ça. C'était en hiver je m'en souviens très bien, j'en rêve chaque nuit depuis cette tragédies ci. Je n'était alors âgée que de sept ans, c'est jeune très jeune, sept ans. Nous étions tout le trois dans la voiture, et malheureusement il neigé. Je n'aime pas la neige, c'est froid et en plus, c'est quand on y pense très dangereux. Vous avez quand période hivernale, les entrées à l'hôpital sont presque triplé ? C'est dangereux, on quand y pense. Je suis la première à dire que c'est n'importe quoi, la neige. Alors donc, que nous roulions à une vitesse bien raisonnable, alors que mes parents et moi – même rions ensemble de nos fêtes de fin d'années. La voiture se mit sans que mon père n'ai changé sa conduite, à zigzagué sur la route verglacer. Il est normal que la peur m'envahisse à ce moment la. Ma mère aussi, elle avait peur. Comment je ne savais ? Nous étions sur une autoroute pas saler. Les voitures glissés elles aussi. Mais moi j'aurais voulue que jamais mon père freine comme un fou la voiture. Nous n'aurions pas eux à faire plusieurs tonneaux sur la route. La voiture glissée encore et encore sur la route. J'avais mal à la tête, c'était affreux. Et puis mes cries, ceux de mes parents .. je vous souhaite de ne jamais vivre quelque chose comme ça. Trois, voir quatre heures plus tard, je me suis réveiller dans un hôpital, seule, dans une chambre. Loin de tous le vacarmes du couloir. Je déteste le bruit, j'aime pas le bruit. J'aurais bien voulue me lever pour demander ou se trouvez mes parents, mais ma jambe étais bloqué. La douleur était – elle que je compris assez vite qu'un des os devait être brisé. Alors je cria. Oui je cria dans un hôpital en larme, je voulais les voir sur le champ, maintenant, sans attendre. Et tant que je ne les verrais pas, je continuerais de crié autant que je peux. Toujours plus fort, toujours .. Puis, une femme et un homme qui n'étaient pas mes parents, avancèrent vers moi d'un air apitoyé. J'avais peut – être sept ans, mais je n'étais pas pour autant stupide. Je savais .. j'ai sus rien qu'à leurs regards désolés posé sur moi. Pas très futés ces gens. Évidement qu'ils m'ont annoncé la mort de mes parents, ces imbéciles la me prenait vraiment pour une gamine qui croyais encore aux père noël.

Vous savez ce que c'est de perdre un être qui vous est cher ? Oui. Bien, multiplié la douleur part deux, puis .. faites vous revivre l'incident comme moi je le fais chaque nuit. Dans mes rêves. C'est horrible. Ça vous pourrie le cœur et tout ce qui s'y trouve. Ça vous fais mal, extrêmement mal. Ça vous fais pleuré et vous faire des choses particulière mal et inutile. C'est chiant de ce dire que sous vos yeux, les deux personnes qui comptaient le plus pour vous, vous ont quitté sans même vous dire au revoir. Qu'elles vous on quittés, et que plus jamais vous ne pourrez sentir leurs bras vous serrez contre eux, entendre leurs voix vous dires à quel point ils vous aiment. Tout ça, c'est finie. Pour de bon. Plusieurs mois après le drame, on vient me cherché pour m'envoyer dans une famille, que je ne connaissait mais alors pas du tout. Les Winsted. Ils sont vraiment adorable, vraiment. Je me sens plutôt bien à leurs côtés. Malgré tout l'amour qu'ils me donnent. Je me sens toujours très mal. Des parents, ça ne ce remplacera jamais. C'est pas possible de remplaçait de êtres aussi proches de vous, comme ça. J'ai fais des choses pas cool dans ma vie, du genre me drogué. C'était bien au début, genre avec les amis et tout, pour faire classe du refuse pas. Tu tombes dedans, puis à la fin, tu te dis que tu as fait une putain d'erreur et que c'est difficile d'en sortir. C'est en tout cas, plus facile de rentré dans la drogue, que d'en sortir, croyais moi. Genre au début c'est des trucs comme « Whaaa c'est trop Fooort !» Et puis vers la fin. « Plutpot crever que de re - prendre ce truc .. pourrit là ! » Enfin moi je dis ça, je rien rien. Hein.