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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH AIDAN MORTON ✱ T'es suicidaire ? ; Seulement le matin.  79124 AIDAN MORTON ✱ T'es suicidaire ? ; Seulement le matin.  79124

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 AIDAN MORTON ✱ T'es suicidaire ? ; Seulement le matin.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
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Lun 21 Jan - 21:06


Aidan Uriel
Morton


✱ JOB/ÉTUDES : barman
✱ SITUATION : célibataire
✱ ORIENTATION : hétéro
✱ ÂGE : 25 ans
✱ ORIGINE : New York, Etats-Unis
✱ AVATAR : Tobias Sorensen
✱ GROUPE : sex


facebook
« enlève ton masque d'anonymous è.é »

✱ NOM/PSEUDO : NarcissismNumb
✱ ÂGE : 20ans
✱ J'HABITE : Dans un endroit, dans une ville, au sud d'un pays.
✱ PERSONNAGE : inventé
✱ CODE : OK par Romy
✱ TON AVATAR :
Code:
[size=10]► <span class="pris">Tobias Sorensen</span> ✱ Aidan U. Morton[/size]
✱ UN PTIT MOT? Je crois qu'il y en a assez sur le forum bande de gourmands (a)

JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
NarcissismNumb


copyright N-Dia & NarcissismNumb
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:06



this is my story
« I want love to murder my own mother »


Un verre. Puis deux, puis trois. La main est tremblante et le geste est hésitant. Pourtant, l'homme ne manque pas de terminer son verre, une fois de plus. Un râlement se fait entendre lorsque, vide, la bouteille teinte durement contre le sol, manquant de se renverser contre le parquet sombre de la pièce. La voix rauque, et enraillée par l'alcool, il se tourne. « Saleté de ... » Un léger murmure qu'il retient aussitôt, ses yeux se posant sur moi. C'est alors que j'aperçois son visage, marqué par des années qu'il n'avait pourtant pas vécu. Le teint ciré et les cernes noires, il me regarde. Il esquisse un sourire, du moins, je crois qu'il essaye. Ses lèvres frémissent mais il n'y arrive pas, il n'y arrive plus, et je le vois bien. Dépité, je sors du salon sans un mot. Moi non plus, je n'y arrive pas. Au fond de moi, je sais que lui tourner le dos dans ces simples moments ne l'aide pas, mais je ne fais jamais demi-tour ne serait-ce que pour lui parler. Mon père est la simple et cruelle image du passé et du présent qui ronge notre famille depuis environ huit mois, depuis le départ de ma mère. Il avait passé près d'un mois à nier, à passer ses soirées devant la télévision sans manger, en attendant qu'une femme qui ne reviendrait plus rentre dans un appartement New Yorkais au côté d'un mari et d'une vie monotone qu'elle n'avait pas supporté plus longtemps. J'avais toujours eu cette image valorisante du couple que formait autrefois mes parents, ainsi que du mariage qui les avait réunis. Puis, j'avais grandis, et étais devenu témoin du recul que ma mère prenait de plus en plus. Leur quotidien rendait ses yeux ternes, sans une once d'étincelles, et ses traits tirés, comme fatigués d'une vie qu'elle avait du mal à supporter. Mon père s'en était toujours rendu compte, mais avait feinté l'ignorance, continuant une existence lasse et dénuée de sens. Il avait sûrement dû croire que cela allait passé. Ce qui ne se produisit pas. Imbécile. Il avait passé des semaines, des mois, des années, à m'avouer qu'il regrettait, et qu'il aimerait la récupérer. Mais à quoi bon ? Les paroles ne remplacent jamais les actes. A croire qu'il ne l'avait pas comprit, ou bien qu'il n'en avait ni la force, ni le courage. J'ai toujours été persuadé que s'il y avait mit du sien, elle serait revenue. Elle n'était pas le genre à tout quitter pour rien, elle était lucide, honnête et franche, et n'a jamais envisagé de quitter mon père pour quelqu'un d'autre. Lâche. Essuyer un échec supplémentaire devait l'effrayer. Tout ce qu'il a gagné en suivant sa peur n'est autre que la solitude elle-même, et il en est sûrement conscient.

En ce qui me concerne, je le prenais pour responsable, montrant du doigt ses peurs et ses doutes au monde entier pour le lui faire comprendre. Il ne s'en est jamais réellement remit. L'incertitude lui avait fait tout perdre, et le manque de confiance en lui l'avait tout simplement achevé et réduit à une pauvre vie mené par l'attente et la monotonie incessante des mêmes faits et gestes. Je me suis juré maintes fois de ne pas devenir comme lui. A l'époque, je fuyais l'appartement familial autant de fois qu'il m'était possible de le faire. Le palier à peine franchis, je perdais mon sourire et mon enthousiasme, observant un père ayant sombré dans l'alcool, prostré dans un canapé à l'odeur similaire des bouteilles qu'il s'enfilait, n'ayant que pour source de lumière la télévision. J'avais honte. C'était le mot, j'avais honte de tout ça, j'avais honte de lui. Jamais je n'invitais qui que ce soit chez moi, jamais je ne parlais de mon père. Bien sûr, la moitié de mes camarades étaient au courant de la situation dépressive de mon père. Que voulez-vous, même à New York, les gens parlent. Quitté par sa femme, abandonné par ses fils, et renvoyé de son travail, dans lequel il n'avait plus fait aucun effort. Il était un sujet à lui tout seul, animant rumeurs et discussions endiablées sur les hypothèses probables de son avenir. Il me faisait penser à ces personnages de dessins-animés, que tout le monde méprise, sombre personnage sujet aux moqueries. Méprisant. J'avais finis par le haïr, lui et ses peurs ridicules qui me faisait froid dans le dos. A avoir peur de tout, on finit par avoir peur de la vie, et on ne vit plus que pour attendre la mort. J'avais l'impression qu'il était bon à envoyer à la casse, qu'il ressemblait à un objet usé et démodé que personne ne voulait, mais qui continuait à encombrer un placard. Je l'avais méprisé, haïs, détesté, et je ne l'avais aucunement caché. Je suis conscient que je n'avais fais qu'aggraver son cas. Et pourtant, quoi faire d'autre ? Je ne ressentais plus une once de respect pour cet homme qui se laissait abattre par les obstacles.

Absent. Il l'était devenu. Plus les mois passaient, plus ma haine se transformait en ignorance totale. Comme si son existence ne pouvait plus atteindre la mienne, détachée l'une de l'autre. Je suis sûr que si on lui demandait, là tout de suite, ce que j'ai fais durant ma jeunesse, ce que j'ai voulu suivre comme étude et ce que j'ai eu comme ambition, il hausserait tout simplement les épaules. Que pourrait répondre un père absent de la vie de son fils à ce genre de réponse ?
Je me suis longuement demandé pourquoi ma mère ne revenait pas, ne serait-ce que pour nous chercher. J'avais essayé de la joindre, de lui envoyer une lettre, de lui téléphoner. Elle n'a jamais répondu. Je devais sûrement lui rappeler que trop bien la vie désastreuse qu'elle avait mené. Je devrais lui en vouloir, à elle aussi, mais je n'y arrive pas. Elle a eu la force de prendre un nouveau départ, au contraire de mon père, et je la respectais uniquement pour cela. Uniquement parce que je rêvais faire de même. Jeune, trop jeune pour suivre une route sans image pour me guider, mon frère m'avait prit sous son aile, parfois à contre coeur. Néanmoins résigné, j'avais pu le suivre partout où il allait, même aux soirées étudiantes, dans lesquelles je n'avais normalement pas le droit d'entrer, buvant de l'alcool en n'étant pas majeur ou bien couchant pour la première fois de ma vie avec une fille plus âgée. J'avais appris à connaître ses fréquentations, et suivait le mouvement, ne me rendant absolument pas compte de ce qu'ils pouvaient bien faire d'illégal. A peine majeur, j'entrais pourtant dans une bande bien différente des groupes d'amis que tout le monde peut connaître. Aux activités illicites et aux grandes paroles. La mafia. Oui, mon frère était un mafieux, et assez reconnu pour son jeune âge. Il connaissait tout le monde, était à l'aise avec tout le monde, et pouvait discuter avec tout le monde. Il était bien aimé dans le milieu, c'est pourquoi j'avais rapidement été accueilli à bras ouverts. La plupart des personnes que j'avais connu à mon arrivée étaient devenues des personnages importants pour mon histoire dans la mafia, que cela ait été positifs ou négatifs. J'oubliais. A côté de tout ce beau monde, j'oubliais mon père attendant notre retour devant la télévision, j'oubliais ma peur de devenir un jour comme lui, j'oubliais mon envie de m'évader, j'oubliais tout. Je me sentais une autre personne, mieux encore, je me sentais un homme.

Ridicule, ça pouvait le paraître, oui. Pourtant, loin de ces moqueries d'adolescents et de ce père alcoolique aux répliques absentes, je me sentais enfin respecter comme une véritable personne. On ne me regardait plus comme étant le fils de Mr Morton, ce pochtron de première qui avait tout perdu, mais bel et bien comme Aidan, le nom ou le passé n'ayant aucune importance. Je m'y sentais à ma place, enfin. Bien plus qu'à mon propre appartement, que j'avais quitté pour aller vivre avec mon frère, dans un quartier loin de celui de mon père. Définitivement seul, je n'avais même pas prit la peine de prendre de ses nouvelles durant les premiers mois passés loin de lui, et lorsque j'avais enfin essayé pour me donner bonne conscience, il avait filtré mon coup de fil. Je crois que c'était pour mon bien, il savait que plus j'étais loin de lui, mieux j'allais, même si le dire ainsi pourrait sembler bien triste. Malgré cela, je vivais une vie digne de ce nom, loin des personnes ayant eu vent du passé de ma famille. Malheureusement, les bonnes choses ont toujours une fin, et ça, j'aurais dû m'en souvenir.
« Il est ou ton frangin ?!
- Qu.. Quoi ?
- Ton putain de frangin, il est ou ! Merde, joue pas avec mes nerfs gamin ! »
Perdu et surprit de voir l'homme que je côtoyais pratiquement tout les jours me soulever par le col de la chemise, j'écarquillais les yeux.
« Tu vas répondre oui ! Ou j'te descends ici et jette ton putain de cadavre dans la benne à ordures !
- Mais de quoi tu parles bon sang !
- Joue pas les malins avec moi compris ? Tu vas tout de suite me dire où est cette enflure ! »

Bien évidemment, je n'arrivais pas à croire que mon frère ai des ennuis, surtout pas avec un homme qui passait autant de temps à discuter avec lui. Pourtant, lorsque l'homme, plus âgé et bien plus costaud que moi, me lâcha enfin pour me hurler de courir jusque chez moi pour aller chercher mon frère, j'avais pu constater qu'il avait raison. L'appartement était sans dessus dessous, des affaires manquant à l'appel. Affaires qui appartenaient à mon frère, absent. Effrayé de ce qu'il avait bien pu faire, je n'avais pas mis les pieds dehors de toute la journée, attendant son retour, qui ne se fit pas. J'avais bien pensé à la solution de disparaître également, mais je savais que cela bien trop suspect, trop gros, et que je finirais par être retrouvé tôt ou tard. Tout comme mon frère, que j'aurais cru mort quelques semaines plus tard, ce qui ne fut pas le cas. Introuvable et absent au nom qui lui était connu, on en avait tous déduit qu'il avait changé d'identité. Complètement abasourdi face à ce qu'il avait pu faire, je m'étais naturellement inquiété pour lui et aux problèmes qu'il s'attirait inexorablement. Pourtant, j'aurais du m'en abstenir, oh oui. Mon frangin, aussi sympa qu'il avait pu être à mon égard, me laissait derrière lui face à une bande de mafieux tous plus dangereux les uns que les autres, suspectant désormais ma propre personne vis à vis de la mascarade qu'il avait pu faire. En effet, ayant arnaqué la plupart d'entre eux pour s'envoler aussi vite que possible suite à cela, je devenais le suspect numéro un, celui à surveiller, celui à suivre et pourquoi pas celui à menacer si jamais il le fallait. Grinçant les dents chaque fois que je les croisais, j'avais néanmoins opter pour la solution la plus compliqué mais également la plus juste : rester.

Convaincre. Voilà ce que je devais faire, gagner leur confiance coûte que coûte. Ma vie en dépendait, ni plus ni moins. Un geste ou bien une parole suspecte et j'étais cuit. Jeune aux idées parfois trop ambitieuses, j'étais parti en quête d'une chose bien difficile à acquérir. Assez maladroit et allant même de gaffe en gaffe à l'époque, je n'étais pas le genre à réussir ce genre d'objectif. Pourtant, par le plus heureux des hasards, j'avais finis par rencontrer la bonne personne, celle qui allait me permettre de me blanchir. Côtoyant cet homme d'influence par pur intérêt au départ, j'avais finis par le considérer comme plus que cela, comme un ami, mais également la seule personne en qui je pouvais faire véritablement confiance. Comme prévu, il m'avait permit de m'intégrer considérablement, redevenant le simple Aidan, et non le frère de celui qui les avait tous dupés. Des étiquettes, j'en avais eu. Principalement grâce à ma chère famille, il fallait bien le dire. Je m'étais souvent battu pour n'être que Aidan, simplement Aidan. Le Aidan qui faisait des mauvais coups, le Aidan qui ne se souciait que d'une chose, faire ce qui lui plaisait, conséquence ou non, malgré des moments plus sages. Celui qui pouvait rentrer dans un bar et se friter avec le premier mec venu, celui qui ne s'attachait à rien ni personne, hormis la fille de son ami. Ah, je ne vous en ai pas encore parlé ? Lizzie... La fille de Walton. Qui, au passage, m'aurait sûrement étranglé de ses propres mains s'il avait apprit que je fréquentais sa fille. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle et moi nous étions mit d'accord pour taire notre relation. A vrai dire, je n'ai jamais été le genre sérieux, à aimer les relations amoureuses durables, dans lesquelles on retrouve ces couples sans intérêts à dormir debout, non. Mes relations pouvaient largement se résumer à des trophées de chasses. Ni plus, ni moins. Ce n'était que des filles parmi tant d'autres, bien que j'ai toujours eu la fâcheuse manie de chercher le compliqué, l'inaccessible, les défis en somme. Et c'était précisément ce que j'avais trouvé chez Lizzie. Jolie jeune femme que je ne pouvais visiblement pas atteindre, j'avais commencé à m'intéresser à elle de plus en plus près. Des petits clins d'oeils par-ci, des sourires par-là. Puis, lorsque je l'avais connu d'avantage, je n'avais pas hésité un seul instant. Me ressemblant étrangement, j'avais étonnement trouver en elle quelque chose que je n'espérais pas, mais surtout, que je ne désirais pas. L'affection.

Oui, l'affection ! Je m'étais attaché à quelqu'un, moi. Qui plus est, la fille de mon ami mafieux aux influences nombreuses. Le goût du risque rendait la chose encore plus palpitante, et je n'en devenais que plus attaché à la jeune femme. Je crois, que si je devais désigner une personne pour qui j'ai eu de réels sentiments, je la désignerais elle. Je n'ai jamais rien ressenti de plus proche de ce que les gens expliquent et nomment amour que lorsque j'étais avec elle, et cela ne faisait aucun doute. Malheureusement, notre relation arrivée à terme, nous avions tout deux jouer aux ignorants. Tout d'abord pour énerver l'autre puis petit à petit, je m'étais rapidement rendu compte qu'elle n'avait sûrement rien éprouvé pour moi, si ce n'est de la sympathie. Et encore, je n'en serais pas persuadé bien que notre amitié brève ait été des plus amusantes à vivre. Agacé, j'avais joué la carte du parfait inconnu qui ne la connaissait que de nom, de visage, la saluant parfois lorsque j'allais voir Walton ou lorsque celui-ci m'invitait. J'avais continué à taire notre relation jusqu'au bout, et pourtant, elle commençait à me peser vis à vis de l'homme qui me faisait confiance plus que n'importe qui aurait pu le faire. C'est pourquoi, un soir, j'avais décidé de tout lui dire. Tout. Ou presque. Et ce fut le début d'un délicieux cauchemar... Sous mes yeux, n'ayant pu dire un mot, je voyais mon ami se faire tuer, assassiné de sang froid, d'une main de maître. Les yeux hagards et le teint blafard, j'avais lentement observé le meurtrier se tourner vers moi. Un seul regard m'avait suffit. Un seul sourire m'avait fait comprendre ce que je pouvais risquer si je n'ouvrais ne serait-ce que la bouche. « Inutile de te dire que tu as intérêt à fermer ta gueule » Influent, puissant, dangereux. Je n'avais rien fais, je n'avais rien pu faire. Surveillé en permanence, en ligne de mir d'une personne qu'il ne fallait pas se mettre à dos, je n'avais même pas pu me rendre à l'enterrement de mon ami, ni même épauler Liz dans tout ceci. Liz, que je n'avais pas revu depuis. Cet homme, le coupable, savait bien trop de chose à mon sujet, et ne m'avait jamais fait confiance suite au sale coup qu'avait commit mon frère. Alors, lorsque j'avais vaguement entendu qu'une personne, autre que le coupable, était suspecté du meurtre, j'avais saisit l'occasion. J'avais alimenté les rumeurs.
San Francisco, une ville que je ne connaissais que très peu, et pourtant, je m'y étais rapidement rendu suite à toute cette histoire. L'ampleur des rumeurs avait été bien trop grande, et je me devais de faire profil bas envers chaque visage familier, chaque nom connu. Sachant pertinemment que celui que j'accusais du meurtre s'y trouvait pourtant, je n'avais néanmoins pas hésité. Je me devais de fuir, New York était bien trop dangereux désormais. Le ventre noué, j'avais pris cette destination un peu au hasard, un soir sur un coup de tête. Je ne me sentais plus du tout en sécurité, même à l'intérieur de mon propre appartement. Il me fallait quitter la ville. Attrapant un train une demi-heure après mon arrivée à la gare, j'avais rapidement jeté un oeil sur les arrêts de ce dernier. Ne descendant qu'au terminus, j'avais continué mon périple ainsi de suite, train sur train, n'ayant pas de voiture. Ce n'est qu'à l'autre bout du pays, me sentant à l'écart du passé, que j'avais réussi à poser pied.
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:15

aaaah ! (a) trop contente !
la bienvenue officielle ! si tu as des questions n'hésite pas ! 34242
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:26

Héhé, merci ! debile
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:31

Bienvenue sur le forum debile
Comme dit Romy, n'hésites pas si tu as besoin de quelque chose !
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:45

    Bienvenue à toi!
    Cool
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 21:58

BIENVENUUUUUUUUUUUUE !! 3425

Bonne chance pour ta fiche ! r3456
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
i'm a motherfucking admin
AVATAR : Rosie.
✱ ÂGE : 35
✱ QUARTIER : Richmond.
i'm a motherfucking admin
Lun 21 Jan - 22:19

WELCOME HERE MON BEAU. Nice choice le Sorensen. bave
Comme ça été dit plus haut, si tu as besoin de quoi que ce soit, n'hésites sur tout pas.
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Anonymous
Invité
Invité
Lun 21 Jan - 22:43

SORENSEN. bave

Bienvenue parmi nous ! 34242
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 22 Jan - 17:50

OMG debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile debile yipiii yipiii yipiii yipiii yipiii yipiii yipiii

Je veut un lien dès ta validation O-BLI-GER !!!! Un lien de la mort qui déchire tout sa race !!

heu ... Bienvenue quand même AIDAN MORTON ✱ T'es suicidaire ? ; Seulement le matin.  67201
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 22 Jan - 18:03

bienvenue !
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Julie R. Evans
Julie R. Evans
i'm a motherfucking admin
AVATAR : K.STEW
✱ ÂGE : 32
✱ QUARTIER : crocker amazon.
✱ COLOCATAIRES : Dom sometimes.
i'm a motherfucking admin
Mar 22 Jan - 19:06

Bienvenue beau garçon pervvert Bonne chance pour ta fiche 34242
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 22 Jan - 22:03

Merci à tous ! frsfds
Anaes, mais avec plaisir, avec Portman en plus *-*
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Mia E. Parker
Mia E. Parker
all i care about is family
AVATAR : Ashley Benson
✱ ÂGE : 33
✱ QUARTIER : Alamo Square
✱ COLOCATAIRES : Amélia & Lenny - mes enfants
all i care about is family
Mar 22 Jan - 22:42

Sorensen :+18:
Bienvenue parmi nous love
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Anonymous
Invité
Invité
Mer 23 Jan - 10:51

welcomeeee ! :D Si t'a un soucis, h
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Denver Hopkins
Denver Hopkins
all i care about is friendship
AVATAR : Jana
✱ ÂGE : 35
✱ QUARTIER : Sunset
✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
all i care about is friendship
Ven 25 Jan - 16:16

Bienvenuuuuue! r3456
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 26 Jan - 13:20

Bienvenue sur POH ! Eclate toi bien ici 34242
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Anonymous
Invité
Invité
Mar 29 Jan - 23:47


Parfait, t'es validé[e], babe!

Bienvenue, nouveau POHien !

Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.

Avant de commencer à rp, nous t’invitons à venir nous rejoindre sur le réseau social facebook; nous te conseillons vivement de le faire, car cela aide beaucoup à l'intégration de ton personnage, mais aussi, de toi, joueur, dans notre grande famille ! Ensuite tu devras aussi créer un formspring, un téléphone et éventuellement un e-mail à ton personnage dans la partie communication.

N'oublie pas de te faire une fiche de liens/rps.

Pense aussi à passer sur la chatbox de temps en temps, tu y trouveras une ambiance de fous :3

La dernière chose très importante qu'il te faut retenir est que nous avons une "gossip girl" sur le forum, tenue par un petit groupe de membres motivés. Ta contribution à GG est très importante pour l'avancée du jeu, et voici comment t'y prendre: lorsque tu fais un sujet de rp, envoie un message à Gossip Girl pour les prévenir de ce qui s'est passé dans le sujet, ou ce qui va se passer... idem pour les appels ou les mails importants. Lorsque tu contacte les gossips, n'oublie pas d'indiquer la date à laquelle se situe le jeu, c'est trop important pour la cohérence des articles. Merci d'avance pour ta participation!

Nous espérons vivement que tu te plairas dans cette folle aventure parmi nous r3456

JuneJules & Sierra
Admin
, RomyFrankie & Lizzie
Admin
, SteeveDomenico
Modérateur
, GabyCiara, Cameron & Eanna
Modératrice
, MayakuLera-Ann, Elyes & Sergej
Modératrice
, & MelJulie
Modératrice


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