| Sam 22 Jan - 14:23 | |
| WELCOME TO SAN FRANCISCO ! MUSE LORELEÏ ELYCOE I WAS BORN TO BE SEXY. Si nous devions décrire mademoiselle Elycoe en quelques mots, ça donnerait : Fresh, sexy, young, attractive, fierce, bref CANON ! Draguée par beaucoup d'hommes et de femmes, cela ne cesse de flatter son égo. Loreleï n'est pas seulement une bimbo, elle a un fort caractère et adore remballer les autres, c'est dans sa nature. Exemple ; « Hé la miss aux cheveux lisses, ça te dit un petit kiss ? » « Hé le blaireau, t'es pas beau, ça te dit un râteau ? ». Toujours entourée de beaucoup d'amis, la miss a toujours été une grande sociable, d'ailleurs elle a fait plusieurs stage durant sa scolarité dans la communication. Surnommée "miss potin" par ses anciens camarades, 'Leï était la première a raconter les commérages sur les autres élèves, des fois lançant des rumeurs pour foutre la merde, elle a toujours voulu se faire remarquer grâce à ses mensonges. La plus populaire du lycée avec sa bande de pouffiasse et sa meilleure amie, elles étaient les incontournables, les détestable, les intestables : la bande la plus fidèle. Niveau amitié, elle n'a jamais menti, du moins à ses amies de toujours. Elle n'a jamais hésité à traîner avec quelqu'un par pur intérêt. BREFOUILLE, la miss était une vraie garce et la vie s'est vengée. En grandissant, elle n'a pas murit, continuant ses conneries de lycéenne. Elle n'a jamais été heureuse dans sa vie, sauf quand elle passait des soirées entières avec sa meilleure amie qui est sa double parfaite : niveau physique ou mental. Battue par sa tante, elle ne s'est jamais livrée, racontant des conneries sur son enfance inventant un père et une mère. Menteuse, hypocrite et mystérieuse, elle est forte malgré tout. L'amour ? Elle ne connait pas, elle ne donne pas son cœur mais son corps ce qui explique son job actuel d'ailleurs. Passionnée par la photographie, pas exactement, elle adore se faire prendre en photo en petite tenue plutôt, elle a tout d'un mannequin mais n'a jamais eu sa chance dans ce monde. |
| ft. adriana lima |
Histoire « - Bon cap ou pas cap de montrer ton zizi ?- Cap... - Mouaiiis... - Quoi mouais ? - C’est juste à cause de çà qu’les hommes sont mieux payés qu’les femmes ? - Aux bons ouvriers les bons outils !... À mon tour... montres-moi ta zizette ! - C’est pas du jeu c’est MON gage t’as pas l’droit d’copier... - Cap ou pas cap ? - Cap ! - C’est tout ?! Mais on voit rien du tout ! - Tu vois qu’les femmes sont plus malignes que les hommes ! »Muse Loreleï Elycoe-Hedia. La signification de mon nom ? Aucune idée. Je sais que ma mère s'appelait Muse et que Loreleï est le prénom de sa dernière chienne qui est décédée en même temps qu'elle. Elycoe est le patronyme de ma tante qui m'a élevé et Hedia celui de ma mère, mais je ne le porte pas. En résumé ma vie a été étrange, dure et d'une tristesse absolue. La vie est dure, mais c'est comme ça. Née dans la magnifique ville de Rio de Janeiro au Brésil, mes parents étaient deux pauvres qui vivaient ensemble depuis qu'ils avaient 16 ans, un amour passionnel ? Mouais, en tout cas un sur-plus d'amour pour la petite fille qui vint au monde dans ce bidonville. Loreleï, moi quoi. Je n'ai pas de souvenir de cet endroit où je suis née, je l'imagine parfois, je n'ai même pas de souvenir de mes parents. Ma mère m'a "donné" à la sœur de mon père qui habitait à San Fransisco. Comment ce fait-il que son frère vive dans un bidonville au Brésil ? Parce qu'ils se sont embrouillés plus jeunes, il avait épousé une pauvre et sa famille lui en voulait, coupant tous les liens avec lui. Si la soeur de mon père a accepté de m'aider et de les soulager, ce n'est pas pour eux, mais pour moi. Enfin, c'est ce qu'elle m'a raconté une fois que j'avais l'âge de comprendre. Mon enfance a été lourde et sévère. Je vivais avec mon cousin qui me détestait d'une force : il disait que j'étais venu dans sa famille pour lui voler sa mère. Je n'avais rien demandé moi, donc par jalousie il s'en ai pris à moi, montant des histoires à sa mère pour qu'elle me punisse des actes que je n'ai pas fait. Un jour, celui-ci (de trois ans mon ainé) a crée un plan machiavélique qui était pour but de me punir, sachant que sa mère tenait dur comme fer à un tableau que son père lui avait laissé lors de sa mort et très cher, il décrocha ce tableau de dessus la cheminée pour dessiner dessus. Rapidement, il cria dans la maison et alla chercher ma tante pour lui dire que j'avais dessiner sur ce beau tableau. C'est dans une colère noir qu'elle entra, colérique elle décida de me punir correctement en me battant durant cinq longues minutes, les pires minutes de ma vie. Humiliée, anéanti et triste, j'ai commencé une adolescence précoce, je n'avais que 10 ans à cette époque. « T'aime ma robe ? J’ai hésité. J’l’ai chipé à ma sœur, y’en avait une autre : rouge, genre bombe thermonucléaire, tu vois ? Je sais que c’est celle là que j’aurai dû mettre mais j’ai peut-être passé, j’sais pas moi... Trois heures devant mon miroir. Mais j’y suis arrivée tu vois. J’suis jolie. Et alors là j’espère que ça te plait sinon j’te colle un de ces raclées. Attend... J’en étais où ? »On dit que l'adolescence est une période difficile pour les parents, mais on oublie les enfants. 13 ans et ma vie d'adolescente à commencé, peut-être un peu avant les autres, mais j'ai toujours été plus rapide. Le collège, je n'ai jamais été très doué en cours, il faut dire que je ne suis pas une fille de super motivée pour passer 7h pendant toute une semaine assise sur une chaise à écouter parler un professeur, qu'elle chianterie. Moi, pendant les cours je rêvais, je pensais plus aux garçons qu'aux maths, je l'avoue mais que voulez vous ? Les amis, dès ma première année je me suis analysée à quelques filles carrément comme moi niveau caractère, le seul hic elles étaient toutes blondes pratiquement, donc j'ai toujours été mise en avant grâce à ma couleur de cheveux. Beaucoup de garçon préfèrent les brunes aux blondes (brunes powa) et donc dès cette époque je me suis faite draguée, recevant des avances que la plupart du temps je repoussais. Les gamins ce n'était pas mon truc, les gens de mon âge ne sont pas très évolué, non, moi celui qui me faisait fantasmer c'était un professeur de langues. Sexy ce bonhomme, comme personne. Évidemment, je le voulais durant mes années de lycée, c'était le garçon le plus inaccessible, même pour moi. Je suis déçue de ne pas avoir pu tenter ma chance, mais il était marié de toute manière -quoique ce n'est pas ça qui allait m'arrêter-. Je passais de moins en moins de temps à la maison surtout quand mon cousin est partit pour prendre un appartement, celui-là il n'allait pas me manquer. Tous ces bleus à cause de lui... Je le déteste ! La jeunesse synonyme des premières fois dans tous les domaines : surtout celui des conneries. Mon premier plan cul, c'était un délire et un défi en même temps et c'était un plan à quatre avec ma meilleure amie et deux types, une soirée mémorable et c'est sur un bar que j'ai perdu ma virginité. Ma première cigarette, j'en suis maintenant accroc, mais je ne suis pas une grosse fumeuse. Par contre, la drogue est mon élément. « Du bonheur à l’état pur, brut, natif, volcanique, quel pied ! C’était mieux que tout, mieux que la drogue, mieux que l’héro, mieux que la dope, coke, crack, fitj, joint, shit, shoot, snif, pét’, ganja, marie-jeanne, cannabis, beuh, péyotl, buvard, acide, LSD, extasy. Mieux que le sexe, mieux que la fellation, soixante-neuf, partouze, masturbation, tantrisme, kama-sutra, brouette thaïlandaise. Mieux que le Nutella au beurre de cacahuète et le milk-shake banane. Mieux que toutes les trilogies de George Lucas, l’intégrale des muppets-show, la fin de 2001. Mieux que le déhanché d’Emma Peel, Marilyn, la schtroumpfette, Lara Croft, Naomi Campbell et le grain de beauté de Cindy Crawford. Mieux que la face B d’Abbey Road, les CD d’Hendrix, qu’le p’tit pas de Neil Armstrong sur la lune. Le Space-Mountain, la ronde du Père-Noël, la fortune de Bill Gates, les transes du Dalaï-Lama, les NDE, la résurrection de Lazare, toutes les piquouzes de testostérone de Schwarzy, le collagène dans les lèvres de Pamela Anderson. Mieux que Woodstock et les rave-party les plus orgasmiques. Mieux que la défonce de Sade, Rimbaud, Morisson et Castaneda. Mieux que la liberté. Mieux que la vie... »18 ans et les problèmes ont continués. Plus de lycée, maintenant il faut que je gagne ma vie avec mes propres moyens et sans diplôme. Une galère, virée de la maison familiale, je me suis trouvée un appartement en colocation il y a quelques jours, je suis bien contente. Je travaille entant que prostituée, je n'en suis pas fière et beaucoup de femmes me montre du doigt parce que je suis payée à faire du bien aux hommes qui ont en besoin, je ne suis là que pour rendre un service voyons. Ma vie n'est pas celle que je désire et non elle ne ressemble pas à un film de cul où les adolescents et les vieux en manquent se branle devant, mais je n'ai pas les moyens de tout plaquer bien que je souhaiterais devenir mannequin parce que j'adore me faire prendre en photo, d'ailleurs pour toute proposition, je ne refuse rien... A suivre.
SURNOM: 'Leï ou miss potin (a) ÂGE: 21 ans DATE DE NAISSANCE: 10 mai 1989 NATIONALITÉ: Américaine
| GROUPE: Lady, you drive me crazy ORIENTATION: bisexuelle SITUATION AMOUREUSE: célibataire | QUALITÉS: Marrante, sociable, populaire, fêtarde, ouverte d'esprit, souriante, séduisante, dragueuse. DÉFAUTS: Menteuse, hypocrite, déjantée, droguée, détestée, peste, dévergondée. |
IN REAL LIFE < |
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