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Anonymous
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Ven 24 Aoû - 17:23

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LorenzoandKacey

Nous étions samedi après-midi il était dans les alentours de quatorze heures. J'avais passé ma matinée à bosser avec un créateur, la boîte dans laquelle mon père m'a aidé à entrer était une très très bonne boîte. J'avais en quelques sortes de la chance d'avoir une famille assez respecter et surtout assez aisée. C'est grâce à elle, si aujourd'hui je peux continuer mes études de mode ainsi que travailler avec les plus grand. Je me rendais bien compte que jamais j'aurais pu en arriver là sans mes parents. Je n'avais jamais cessé de dire que la mode m'aider à tout les niveaux. Quand je voulais décompresser, ou quand j'étais dans une mauvaise passade. Même dans les bons moments la mode m'amener encore plus haut.
Cette après-midi, je n'avais absolument rien à faire. Je ne travaillé pas, et je n'avais aucun travail à finir. Il y a quelques jours Lorenzo m'avait proposé qu'on se voit, et c'était une très bonne idée. Je lui avait alors proposer de se voir ce samedi après-midi. Il avait évidemment répondu positivement à ma demande. Il faut dire que nous étions très proche lui et moi. Et il y avait de quoi.
Lorenzo était la personne qui m'avait sauver, sauver de mon ancienne vie, de mon ex-petit ami, de cette vie qui me bouffer petit à petit. Sans lui, je pense qu'aujourd'hui je serais dans un état critique ou peut-être bien morte. Il m'a sauvé de Jason et jamais je ne le remercierais assez pour ça. Grâce à lui j'avais repris une vie normal. Bien que l'avoir rencontré dans ses conditions- il dealait et moi je venais chercher la dose quotidienne de mon petit ami- pouvait être légèrement étrange, j'étais confiante et je savais que je pouvais dire qu'il était l'une des personnes les plus importantes pour moi. Je n'arrivais pas à avoir confiance, et pourtant je savais que à Lorenzo je pouvais absolument tout dire, peut-être parce qu'il m'avait vu dans le pire moment de ma vie, et sachant que c'était le seul à m'avoir connu ainsi. Enfin bref, en gros Lorenzo était le seul homme en qui j'accordais toute confiance et il avait largement gagner cette confiance.
Nous nous étions donner rendez-vous au Golden Gate Park, nous avions prévu de se rejoindre à l'entrée à fin de ne pas passer la moitié de la journée à nous chercher dans ce fichu parc. J'avais pris ma voiture et je m'étais garer sur le parking dans les alentours de quatorze heures trente, je savais que j'allais attendre un petit moment sachant que Lorenzo n'était jamais vraiment à l'heure, c'est pour cela que je pris le temps d'aller m'acheter un café au strabuck qui se situer pas très loin. C'est dix minutes plus tard que j'arriva à l'entrée du parc avec ma boisson à la main. Et j'avais bien raison Lorenzo n'était toujours pas là. C'est une demi heure après que je le vis. Je m'approcha de lui tout en me mettant derrière lui je lâcha: «Heureusement que ce n'est pas un rencard, sinon tu aurais droit à une jolie gifle .» j'avais dis ça en plaisantant évidemment. Et puis j'étais incapable d'en vouloir à Lorenzo, quoi qu'il puisse faire. Il se retourna à fin de me faire face, et je lui lâcha un sourire tout en le prenant légèrement dans mes bras, pour lui dire bonjour. « Racontes moi encore qu'es-ce qu'y t'es arrivé pour ne pas arriver à l'heure? ». J'entama alors une marche, nous rentrions dans cette immense parc, qui à chaque fois m’impressionner. J'étais contente de voir à quel point ma vie avait changé grâce à mon ami, et à quel point j'étais heureuse à présent. San Francisco m'avait manqué, mes parents m'avaient manqué, et retrouver la personne que j'étais peu à peu, me faisait du bien. Bien sûr certaines cicatrices resteront toujours présentes, mais à présent j'étais optimiste. Et je savais qu'au côté de Lorenzo je ne risquais plus rien.
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Anonymous
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Mar 28 Aoû - 0:46


KACEY & LORENZO

Samedi. Je devais me lever tôt. Du moins, plus tôt que d'habitude, sauf que, quand mon réveil avait sonné. Il était onze heures. Trop tôt pour un samedi matin. Il sonnait une seconde fois. Je l'avais alors attrapé, et l'avais jeté contre le mur. Mauvaise idée. Résultat, je m'étais réveillé deux heures et demie plus tard. Je me levais, et flânais. Le week-end, c'est fait pour se reposer non ? C'est ce que je pensais, jusqu'à ce que je reçoive un message de Kacey qui me demandait si s'était toujours ok pour quatorze heure. Quatorze heures. Je regarde alors l'heure qu'affiche mon portable. Treize heures trente. Ok, je vais être en retard. J'avais complètement oublié. Hier j'étais sorti, et là, j'avais oublié que je devais la voir. Quel con. Je répondais à son message, comme quoi je serai là à l'heure. Mytho. Elle n'avait pas besoin de le savoir, elle se foutrait encore de moi. Moqueuse qu'elle était. Je prenais un rapide petit déjeuner, et sautais dans la douche. Je me dépêchais tnat bien que mal, mais bon... Quatorze heure, c'était infaisable. C'était l'heure à laquelle je sortais de la douche, autant vous dire que je m'attendais déjà à une réflexion de sa part. Je commence à la connaître la petite Kacey.
Une fois prêt. Et pensant qu'elle serait en retard. Je ne lui envoyais aucuns messages pour la prévenir de mon retard. Généralement, les filles sont toujours en retard, j'espérais qu'elle ne soit pas l'exception qui confirme la règle. Vêtu d'un petit bermuda, et d'un tee-shirt plutôt sympa, je quittais mon logement, pour me rendre jusqu'au parc à la marche, ce dernier n'étant qu'à quelques minutes de chez moi. Ray-ban sur le nez, je déambulais tranquillement sur le chemin qui me mènerait à l'endroit où nous devions nous retrouver. J'entendais déjà Kacey au loin me faire une remarque sur mon retard. Cette pensée me fis alors sourire bêtement. Je connaissais Kacey depuis un bon bout de temps maintenant. Je l'avais connu sous ses mauvais jours. Lorsqu'elle était avec un drogué, alcoolique mais surtout violent. Je m'étais même battu avec ce mec. Je ne pouvais pas concevoir que l'on puisse s'en prendre à une femme. C'était vraiment pathétique comme attitude. Disons que depuis cette altercation, nous nous étions rapprochés. Pendant un certain temps, nous nous étions perdus de vue, mais c'est à San Francisco que nous nous étions retrouvés. Et j'étais plutôt content, car cette fille était une personne que j'appréciais beaucoup et avec qui j'étais sûr qu'à chaque fois je passerais de bon moment.
Pas manqué, lorsque j'arrivais tout prêt de la jeune fille, cette dernière s'empressait de me faire une remarque sur ma demie-heure de retard. Bouh la vilaine, mais ça ne m'étonnais pas d'elle, puisque je m'y attendais. Je me contentais alors de rigoler. « T'es vraiment une bitch en fait ! » lâchais-je en rigolant. C'est vrai quoi, pour une petite demie-heure de retard, elle aurait été prête à gifler son potentiel futur petit ami, je vous jure, cette fille me fera toujours rire. Pour me saluer, la demoiselle me prit dans ses bras, j'en fis de même, lui embrassant gentiment la joue. « J'ai eu une soirée hier, et j'avais mis mon réveil, sauf que ce matin, quand il a sonné, je l'ai envoyé valsé, pensant que je n'avais rien de prévu, et c'est quand je me suis réveillé à une heure et demie et que j'ai vu ton message que j'ai réalisé que j'avais quelque chose » lui expliquais-je alors en rigolant. « Je me passerais de tes commentaires » repris-je avant qu'elle n'ait eu le temps de dire quoi que ce soit, je la connais la petite, je la vois se foutre de ma gueule, mais bien comme il faut. Ayant l'envie de l'embêter, je saisi rapidement son gobelet dans lequel se trouvait son café, et buvais quelques gorgées. « Délicieux » dis-je en lui lançant un sourire amusé.
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Anonymous
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Dim 2 Sep - 18:57

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LorenzoandKacey
Je m'étais habitué à ce que Lorenzo soit en retard, je n'avais donc pas été surprise et j'avais même pris l'initiative d'aller chercher un café pour faire passer le temps. Il savait d'avance que j'allais le taquiner encore une fois sur ce retard qui avait été tout à fait prévisible. Trente minutes plus tard je le vis, et le voir me faisait bizarre. Car pendant un long moment nous nous étions pas revu, et c'est en revenant à San Francisco que j'avais retrouvé mon cher Lorenzo. Il ne ressemblait en rien à mes autres amis, j'avais l'habitude de traîner avec des personnes ''cleans'', ils étaient toujours habiller en costard cravate, et n'avait en aucun cas des Ray-ban sur le nez. Enfin bref, tout ça pour dire que Lorenzo était différent de tout, et pourtant si important. Je ne concevais plus ma vie sans lui, je ressentais comme une sortes de protection à ses côtés. C'était psychologique, je pensais que comme il m'avait sauvé de toute les manières dont ont pouvait être sauvé, j'étais en sécurité. Mais au fond je savais que c'était faux. Lorenzo ne sera pas toujours derrière moi, l'avoir rencontrer à ce moment précis avait juste était un coup de chance, ou le destin. Mais je me doutais bien que la chance aller tourner, ou que le destin aller changer. J'essayais juste de me convaincre moi même, qu'au côté de mon ami, je ne risquais plus rien. C'était stupide, c'est vrai.
Je m'étais approcher de lui tout en le prenant dans mes bras pour le saluer je lui confia qu'il avait de la chance, beaucoup de chance même, parce que si ce rendez-vous avait été un rencard il se serait malheureusement reçu un jolie gifle. Apparemment ça l'avait amusé puisqu'il avait lâcher un léger rire tout en me disant que j'étais qu'une sale bitch. J'avais à mon tour lâcher un léger rire, car Lorenzo avait toujours ce mot coller à la bouche ''bitch''. Je me sépara doucement de lui, avant qu'il dépose un léger baiser contre ma joue. Je démarra alors une marche , tout en lui demandant de me raconter ce qu'il lui était encore une fois arriver.
Citation :
« J'ai eu une soirée hier, et j'avais mis mon réveil, sauf que ce matin, quand il a sonné, je l'ai envoyé valsé, pensant que je n'avais rien de prévu, et c'est quand je me suis réveillé à une heure et demie et que j'ai vu ton message que j'ai réalisé que j'avais quelque chose » lui expliquais-je alors en rigolant. « Je me passerais de tes commentaires »
Bizarrement cela ne m'étonner vraiment pas, il avait toujours été le genre de garçon à tout oublier, mais bon m'oublier moi c'était fort quand même. J'allais faire une petite remarque comme toujours, rien de bien méchant juste un commentaire vite fait bien fait, mais apparemment Lorenzo commencer à me connaître un peu trop. Puisqu'il me demanda de ne faire aucun commentaire, je fus quand même obligé de lâcher: « En gros, tu m'as oublié comme une vulgaire chose, je te retiens Bradford » avais-je dis avant de boire une gorgée de mon café. A peine celle-ci terminée Lorenzo prit mon gobelet avant d'y boire dedans, je le regarda exaspéré en l'entendant dire ''délicieux''. Je ria légèrement avant d'ajouter: «Alors tu es en retard, tu m'oublis et tu me prend de mon café. A part ça tu le vis bien?» souriais-je malicieusement avant de
reprendre le gobelet.
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Anonymous
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Sam 15 Sep - 19:36


KACEY & LORENZO

Il était convenu, que cet après-midi même, je passe la journée avec Kacey. Kacey était une jeune fille que j'avais rencontré lorsque j'étais à New-York. A ce moment là, j'étais dealer et son petit ami, devenu ex, était l'un de mes clients. C'est donc grâce à lui que j'ai rencontré cette jeune fille. Seulement, un jour, en la rattrapant, j'avais remarqué des hématomes violacés sur l'un de ses bras. Je lui avais demandé ce que c'était, ayant déjà une petite idée en tête, mais elle avait fuit. Et lorsque je l'avais revu, en compagnie de son copain, ce dernier s'était montré plutôt brusque avec elle. Je ne pouvais pas concevoir qu'un homme puisse se montrer violent avec une fille. Pour moi, c'était un acte de supériorité, et je ne pouvais pas le laisser faire ça devant moi. Etant de nature impulsif, je m'étais alors jeté sur lui pour le ruer de coups. Une fois à terre, j'avais pris la jeune fille sous mon aile, et l'avait entraîné avec moi. Depuis, une certaine complicité c'était installée entre nous. Il n'y avait rien de particulièrement ambigu. Nous étions très proches. Je sentais qu'elle avait confiance en moi, et j'étais plutôt surpris avec tout ce qu'elle avait pu vivre avec cet homme effroyable, mais j'étais également enchanté qu'elle ait confiance en moi.
Aujourd'hui, nous avions d'ailleurs rendez-vous, car cela faisait un petit moment que nous ne nous étions pas vus, seulement, j'avais un peu de retard. En effet, hier soir, j'avais fêté l'anniversaire d'un ami, résultat, lorsque le réveil avait sonné ce matin, je l'avais envoyé valsé contre le mur d'en face. En me réveillant, je recevais un message qui m'alertais. Kacey me demandait si c'était toujours d'accord pour passer l'après-midi ensembles. Miséricorde, j'avais oublié, non pas volontairement, car j'étais enthousiaste à l'idée de passer l'après-midi avec elle. Sans plus attendre, je déjeunais un morceau rapide, prenais ma douche pour la rejoindre au parc. Être au parc pour quatorze heure, sachant que lorsque j'avais reçu son message il était treize heure trente était une mission impossible. Bon.. j'avais quelques minutes de retard, mais bon, c'était pour les fois où s'était elle, car ça lui était déjà arrivé. Dès mon arrivée à ses côtés, je ne pus me retenir de rire face à sa remarque. En vue de ce qu'elle venait de dire, je plaignais le prochain mec avec qui elle aurait un rencard et qui arriverait malencontreusement en retard. Heureusement, je n'étais pas le mec en question, puis elle m'épargnait gentiment (a). Etant en retard, la demoiselle exigeait quelques explications, j'hésitais au début, connaissant cette dernière, mais je fini par lui avouer l'histoire de la fête, et tout le tralala. Evidemment, sa réaction était loin de m'étonnais. Je riais alors légèrement. « De suite les grands mots ! » m'exclamais-je en riant de plus belle. Etant munie d'un café entre les mains, je me saisi de ce dernier pour boire une gorgée avant de déclarer que ce dernier était délicieux dans l'unique but de la taquiner un peu. « ouais je le vis bien ouais ! » lâchais-je naturellement, avant de rigoler. Elle reprit alors son gobelet de café acheté au Starbucks d'à côté du parc. « Tu viens avec moi vite fait, je vais aller me prendre un café également » En fait ce n'était pas une question, c'était une obligation, car je passais mon bras autour de son cou et l'entraînais avec moi, je ne comptais tout de même pas m'y rendre seul, alors qu'elle se trouvait à quelques mètres de moi. « Sinon, tu vas bien, toi ? » lui demandais-je curieusement pour avoir de ses nouvelles, même si je pense qu'elle devait bien aller, sinon, elle m'en aurait parlé, et ça se verrait sur son visage. Je connaissais désormais assez bien Kacey pour déceler lorsque ça allait, et au contraire lorsque ça n'allait pas.
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