✱ JOB/ÉTUDES : Ecrivain, Mannequin et tueuse à gage. ✱ SITUATION : Célibataire. ✱ ORIENTATION : Hétérosexuelle. ✱ ÂGE : 21 ans. ✱ ORIGINE : Franco-Russe. De Moscou, Russie. ✱ AVATAR : Barbara Palvin ✱ GROUPE : Money
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
✱ Surnoms/Pseudo : Loly ✱ ÂGE : 17 et demi. ✱ J'HABITE : Dans une ville avec des arbres où une certaine Constance va passer deux semaines. ✱ PERSONNAGE : Inventé. ✱ CODE : OK par Romy ✱ UN PTIT MOT? VOUS M’AVEZ MANQUEZ ! [From POH V.1]
JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
Loly
this is my story
« I want love to murder my own mother »
J'aime tuer. Sans même avoir eu cette longue carrière. Je me serai tôt ou tard retrouvée avec un couteau dans la main et du sang plein les fringues. Il y en a bien qui aiment manger ou vivre. C'est la même chose. C'est un besoin, un instinct naturel chez moi. Quand je ne tue pas depuis un certain temps ou quand j'échoue à une mission. Il ne faut en aucun cas m'approcher. La seule personne qui ne risque rien c'est Constance.
Moscou. Ma ville natale. Le début et la fin de ma première vie. Mes souvenirs sont flous mais j'ai pu accéder à des informations qui se ne plaisent guère d'ailleurs.
MEURTRE DU GEANT ANDREI POPOV
Le directeur de la 2nd scierie la plus importante du monde à était retrouvé assassiné à son domicile de Moscou. L'après midi du 12 Janvier 1997, le géant de l'industrie « Andropov » qui a implanté ses usines en Amazonie est mort de 17 coups de couteau et de 3 balles dans la tête. Devant autant d'acharnement les enquêteurs sont perplexes. Ce millionnaire, à l'étonnement général n'a pas été volé. Son appartement est ordonné, la police nous raconte...
Avait je eus le goût du meurtre génétiquement ? Peut être oui. Mais moi je l'aurais dépouillé ensuite. Ils ont du faire ça par idéologie écologiste. Bon, je ne suis pas complètement insensible mais j'ai des principes. Et je préfère rester de marbre que de laisser écouler un flot de sentiments aussi puéril. Pourquoi pleurer pour eux alors que je ne les connais pas.
« Maman... Maman ? Pourquoi tu dors ? Il est midi. Attend moi, je vais chercher papa... Il dort aussi. »
Innocence enfantine, je n'avais que 6 ans. J'avais alors cru à ce moment là à une bataille de ketchup. Ahaha... Je pris donc le grand couteau qui baignait dans l'hémoglobine et le lécha avec délectation. Ca a assurément meilleur goût que le ketchup. C'est à se moment là que la police fit son apparition.
Pauvre petite princesse de Russie qui passa quatre années à récurer les sols de l'Orphelinat des Docks. Ne soyez pas étonnés de comprendre pourquoi je me suis enfuie. Le souvenir encore brûlant (c'est le cas de le dire) des seaux d'eau glacés jeté sur mes frêles épaules par mes consoeurs, aigries par une décennies de mauvais traitements, attisait en moi les premières pulsions meurtrière de mon existence. Mon seul plaisir là bas était le son et la sensation du fouet claquant sur mon dos et sur les leurs. Ce fut la fin de ma première existence. Celle d'une victime.
L'orphelinat des Docks est intéressant pour sa situation géographique. A cinq kilomètres des Docks, comme son nom l'indique. Poissons puants et algues en putréfaction, ce lieu qui autrefois avait était une fierté, (j'en doute), était désormais un amas de container à l'abandon. Une destination de rêve pour une fugueuse de 10 ans ayant un minimum de cervelle. J'entrepris alors de me cacher dans le container le plus discret. Son contenu ? Des armes à feu. Rassurant ! Je m'endormis alors le soir contre un M4 rêvant des passages les plus noirs de ma vie. Début de ma seconde vie.
Le réveil le plus étrange de ma vie. Une terrible secousse. Toujours le M4 à la main, je vis la porte du container s'ouvrir. Deux hommes et un entrepôt. Le pire étant le manque total de peur. Arme à la main, je tenais en joue le plus costaud des deux, qui, amusé deux minutes, ne rigolait plus du tout. Il entreprit une fois de me crier dessus. Pas deux. Mon tir frôla son visage, il fit dans son pantalon. (Un miracle que je n'ai pas touché sa tête !) Son collègue me parlait et essayer de me convaincre mais je ne comprenais rien à sa langue. «La Ferme !» Ca en devenait risible. C'est moi qui contrôlait la situation à présent. Je laissa alors parler l'autre type dans un anglais basique. Il me dit qu'ils étaient là pour les armes. Quoi d'autre, je ne suis pas aveugle. Je lui demanda dans qu'elle ville j'étais. Il me répondit Miami en Amérique. Ok; là j'avais les boules car les seules notions d'anglais que j'avais, je venais de les utiliser. Les deux types venaient de comprendre. Moi qui croyait qu'ils n'avaient pas un brin de jugeote. C'est là que le gros, qui a vu que je réfléchissais, m'a attrapé à bras le corps. Enfermée dans le coffre d'une voiture dès le matin. Ma chance était légendaire. J'entendais à travers la paroi le gros qui parlait dans une langue latine. Il devait être au téléphone car son acolyte ne lui répondit pas. La voiture démarra enfin, je commençais à m'impatienter. Où vais-je crever ? Je voulais savoir, je voulais savoir ! En fait, ils avaient l'air sympa. Syndrome de Stokholm ?! Malgré les cris dans la voiture je me sentais bien et puis c'était confortable.
Une journée enfermée dans une cave ? J'avais connu pire. Ils ne savaient pas quoi faire de moi où quoi ? Je m'impatientais. Ils arrivaient enfin... Comme c'était excitant ! On me banda les yeux et on m'assis devant quelqu'un. Ses postillons m'insupportaient. Etait-ce mon jugement ? Je m'en balançais. Je ne comprenais rien à l'anglais ni à l'espagnol ou l'italien d'ailleurs. On me débanda les yeux. Un homme rond, vêtue d'un costard à rayure, un cigare dans le bec. Cliché du parrain. Pathétique.
5 ans maintenant. Mes cours d'anglais n'étaient pas passés dans l'oreille d'une sourde. Moi et le Parrain ont s'entendaient bien. J'était comme sa fille. Il m'avais appris à tuer, à chasser, à traquer. 15 ans, ma première mission. On m'appelait Ariadna, glacier de Russie. Il n'y avait pas de glacier en Russie mais ce n'était pas grave, j'appréciais ce surnom. J'étais dans l'avion de retour d'Autriche. Ca faisait maintenant 3 semaines que j'était une membre active de la Mafia de Miami. J'avais tué un baron... je ne savais pas pourquoi. C'était tellement bien. Surtout que Parrain avait dit que pour les "affaires" à l'étranger j'étais mieux qualifié que les autres gus de la bande. Il était si fier de moi. Plusieurs "agences" ont tentées de me recruter mais jamais je ne me serais séparée de mon sauveur. Il était le seul en qui j'avais confiance. Ma vie ces derniers temps fut rythmée de cours de tir et de cours d'anglais. Je connaissais aussi l'Italien couramment. J'avais accepté d'être cette éponge à connaissances juste pour lui. Un jour, je serai sa numéro 1.
La mission la plus importante de ma carrière fut la Libye. J'avais 18 ans. C'était le 14 juin 2008. J'y étais dans le but de tuer le dictateur Kahder Trabelsi pour non paiement de centaines de kilos de cannabis et non pour aider ce pays qui ne m'intéressait nullement. Habillée en garde du palais royal j'avais rejoins les rangs depuis 1 mois au moins. J'avais des affaires à traiter en ville de la part du dictateur. Vérifier le taux d'alcool dans tout les bars de Tripoli. Après 7 bars au moins, je m'arrêta pour traiter le 8ème, un petit bar du littoral. Je m'apprêtais à prendre un échantillon de porto sur l'étalage derrière le bar, quand une jeune femme de mon age commanda une boisson. Elle paraissait intriguée par mon uniforme quand tout à coup, les fondations du bar se sont mises à s'effondrer. Réflexe tout à fait anormal de ma part, je sauva la jeune femme avant de penser à me sauver moi. Je sentis alors la bouteille de Whisky exploser contre mon crâne. Le sang perla sur mon front et je me sentie revivre. Enfin de l'action. Les cadavres sanguinolents des clients du bar gisaient sur le sol. Je trouvais cela assez dramatique mais je ne pouvez m'empêcher de regarder fascinée. A ce moment là, je regarda la fille blonde que j'avais sauvé. Elle n'était pas libyenne, j'en étais sur. Je me leva alors vivement pressée. Je savais que la guerre urbaine venait d'éclater et c'était le meilleur moment d'aller tuer ce cher Kahder Trabelsi. Elle me dit « Merci » Alors moi vite fait un «Pas d'quoi. » J'aurais voulu ne pas lui avoir répondu à ce moment là, car elle me suivait désormais dans les rues de Tripoli. Direction le palais. « Hé ! » s'écria-t-elle. «Où tu vas comme ça ? ». Non mais elle était flic où quoi cette fille ? « ça ne te regarde pas » Et vlan. Elle n'était pas obligée de me suivre comme ça, mais bon ça rassure de ne pas être seule d'un coté je la comprenais. Un déploiement militaire dans la rue principale de Tripoli nous obligea à rebrousser chemin, la poisse. Là une voix, la fille semblait connaître l'homme qui s'avançait vers nous en tenue de militaire, c'était pas bon ça. La blonde s'approcha de lui mais il la repoussa violemment et s'avança vers moi. Son arme était pointée en ma direction. «Dépose ton arme » Il croyait que c'était noël où quoi ? J'entendis alors la jeune dire : « Mais elle m'a sauvé la vie ! » « Tu es beaucoup trop naïve, comme ta mère. » Cette fois, il allait tirer. Je le regarda d'un air de défi. Quand tout à coup, il s'écroula. La fille avait tué cet homme comme ça ! La classe, mais je crois qu'elle n'a pas tenue le choc. Je la regarda alors navrée et elle tourna le dos et prit la fuite en me laissant seule avec cet homme probablement mort.
Je rentrais sans avoir réussi à tuer le dictateur. Trop de militaires... Le Parrain allait me tuer. Sauf que j'appris quelque chose de dramatique. Le Parrain était mort désormais, un règlement de compte qui avait mal tourné. Je me vengerai... Les gars étaient dépités depuis une semaine. Alors, Raphaello le gros me dit « Tu sais ma ptite Ariadna, prend des vacances et vie ta vie, tu as toujours bien servie. Le Parrain t'a toujours adoré. » C'est ce que j'avais décidé de faire. Et j'avais alors commencé ma carrière de mannequin. Fin de ma seconde vie. Celle de privilégiée. Et début de ma troisième vie.
J'aimais le mois de Juillet, me balader en bikini et me faire prendre en photo par les magasines les plus prestigieux du monde dans des petites tenues. Un an pour montrer à Miami mon potentiel de top model et un an pour monter égérie du monde de la mode. Nous étions le 4 juillet 2010 et j'étais sur cette plage huppée de Miami en Victoria Secret. Il faisait chaud et mon photographe me faisait tourner en rond depuis deux heures. Mes « copines », me regardaient méchamment, normal. Je ne savais pas que je pouvais être aussi belle. Personne ne me l'avait dit et j'ai du faire certains sacrifices pour monter jusque là. Bon, il devait être 17 heures et ce photographe remballait enfin ses objectifs. « Nooon ! » La brune ! Celle de Tripoli ! Que faisait elle là à me regarder l'air perdue ? Comme la première fois que je l'ai vue. J'allais donc la voir un peu anxieuse. Peut être était elle vraiment flic. « Salut... Euh c'est quoi ton nom déjà ? » « Constance. » « Eh bien enchantée Constance moi c'est Ariadna » Et on est parties prendre un verre. J'ai appris qu'elle n'était pas flic mais qu'elle débarquait de Libye pour une chose dont je la jalousait un peu au début. Elle avait tué Trabelsi. Respect. Par contre elle n'avait nulle part où aller. Emménager dans une nouvelle ville ? Avec une parfaite inconnue ? J'aimais les défis et j'étais persuadée qu'elle ne refuserait pas.
Une année d'extase. La meilleure amie que j'avais connue. Des âmes soeurs qui se sont trouvées sur cette Terre. Cette année s'était terminée sur une lettre épineuse.
« Ariadna tu es convoquée à l'entrepôt le 1 Aout. P.S : Avec Constance. De qui tu sais. »
Un nouveau parrain ? Le cauchemar de ma nouvelle vie. Marre de toutes ces vies enfaite. Pourquoi étais-je si imbécile pour ne pas m'être rendue compte que le passé finirait par me rattraper. Je m'tait donc rendue à Miami avec une Constance paniquée. Je détestais la voir comme ça. Un speech ? Ouai. Une taupe nous avait retrouvées et le nouveau parrain me redemanda de lui rendre quelque services. Il avait enrôlé Constance pour je ne sais qu'elle raison. Ah si, elle connaissait mon secret. Et maintenant en plus d'être une mannequin, je (re)devenais tueuse à gage. Si je parvenais à mettre la main sur cette saloperie de taupe... Mais bon, ça me manquait le sang chaud... San Fransisco je reviens, et pour éliminer des gens avec une très grande ferveur.
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