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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124 « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124

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 « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Mer 19 Jan - 20:11

WELCOME TO SAN FRANCISCO !

Gabrieli, Enzo Julian

CARACTÈRE
« Si je connais Enzo ? Julian vous voulez dire. Oui oui, nous avons été amis durant quelques années de lycée. Pas grand-chose, juste une amitié fiable, ou bien plutôt, c’était lui qui était fiable. La première étiquette qu’on a envie de lui placarder dans le dos, ou pire, sur le front, c’est doux agneau. Il est gentil, si ce n’est trop. J’étais persuadé qu’un jour il aurait des ennuis à cause de ça. A être trop gentil, on risque de mettre en l’air sa vie et, si ce n’est pas le cas, les autres s’en chargent à notre place. Mais là n’est la question pour lui. Il était amusant, ou du moins, touchant par son naturel. Ce n’était pas le type qui courait après la célébrité, ou même après les filles, il était trop tendre et bien trop fidèle pour être volage. Impressionnant. Un peu fou, à croire qu’il aimait la discrétion, ou bien il n’en avait pas conscience. Un peu à côté de la plaque non ? Je crois qu’on aurait pu lui proposer un jeu comme cap ou pas cap, qu’il aurait marché dedans avec cette bonne humeur exaspérante les jours où vous en avez contre le monde entier ! Mais comme à chacun, et Dieu soit loué, il n’était pas parfaitement blanc notre agneau. Il avait cette tendance à être jaloux qui, auprès de certaines filles, avait un certain effet. Lui ne s’y fiait pas, mais dans son dos divers adjectifs courraient : chou, touchant, mignon et autre trucs baveux qu’on pouvait lui attribuer. Et gare à celui qui espérait le faire changer d’avis ! Plus bourrique que Julian, c’est impossible… Il n’y a pas longtemps, je l’ai recroisé. Toujours aussi susceptible, toujours aussi doux, c’est bien la preuve que personne ne change vraiment ! »


ft. Matthew Bomer
« Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  J0d45x


SURNOM:
Ju
ÂGE:
vingt-cinq ans
DATE DE NAISSANCE:
5 Mars 1985
NATIONALITÉ:
Italien

GROUPE:
Gentleman, yes you can !
ORIENTATION:
Hétérosexuel
SITUATION AMOUREUSE:
Célibataire
QUALITÉS:
doux ; amusant ; attentionné ; fidèle ; enfantin ; joviale ; patient
DÉFAUTS:
jaloux ; têtu ; susceptible ; boudeur ; tête en l'air


IN REAL LIFE


ON JOUE A UN JEU ?

♥️

● Plutôt ;
Noir
Blanc

● Si tu étais un smiley ?
« Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124

● Plutôt ;
Sciences
Littérature

● Chocolat....
Noir
Au lait
Blanc

● Plutôt ;
Matin
Après midi
Soir

● Plutôt ;
Semaine
Week end

● Trouves-tu toi aussi ce questionnaire inutile et sans intérêt ? :p
Oui
Non
INTRODUCING YOU


● Prénom ; Mon prénom est moche. Alors je donne le surnom. Elie.
● Âge ; Dix-huit en mars.
● Date de naissance ; Blehu bleuh bleuh je crois plus au père noël ! ...Onze mars :D
● Fréquence de connexion ; 6/7J
● Niveau en rp ? Environ 1000 mots
● Star de l'avatar : Matthew Bomer
● Votre personnage est un :
PI
Scénario
● Où avez vous découvert le forum ? PRD. Quelqu'un a très bien su me vendre le truc, à moi qui ne connaissait même pas Matt Bomer... Eh vous pouvez remercier cette personne car mince, je suis quand même pas facile à convaincre !
● Un commentaire ? J'ai l'impression d'être sous l'emprise de la drogue, tout est trop magnifique ici. J'aime ce nouveau délirium ! 34242
● Code du règlement ;
Spoiler:





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Anonymous
Invité
Invité
Mer 19 Jan - 20:12

Nous sommes les enfants du hasard !
HISTOIRE !
« Ca sera Enzo. » « Mais non ! Enzo ça fait clebs récupéré à la SPA… Julian c’est mieux. » « Tu rigoles j’espère ? Ca fait féminin. Je ne tiens pas à prédestiner mon fils à devenir homosexuel ! » « T’as raison, j’aurai du l’être avant lui, on n’aurait pas perdu notre temps pour des trucs pareils. » Mes parents n’ont jamais été fait pour être foncièrement d’accord, que ça soit sur le prénom de leur fils, la couleur du canapé ou la langue qu’allait devoir parler l’enfant. Manque de chance pour eux, l’enfant, c’était moi et le prénom Enzo ou Julian m’allait tout aussi bien, à six mois je me fichais de la couleur du canapé, et quand à la langue je n’en étais qu’à des babillages universaux. Mais déjà dans un inconscient profondément dissimulé je savais qu’il fallait être conciliant. Mon premier mot n’a ressemblé à rien qui n’existait, représentation modèle des disputes trop fréquentes de mes parents : Mumpà. A cheval entre maman et papa, à cheval entre l’anglais et l’italien, tout me prédestinait à être déchiré entre deux mondes violents.
Pour satisfaire les deux, j’ai toujours été l’enfant modèle qu’on promène de réunions de quartier en réunions de quartier, qu’on expose comme l’animal domestique dernier cri au bureau, chez les amis, chez les voisins, à la famille. J’étais le gosse qui sourit gentiment sans trop parler, qui ne dit pas non, commence toujours par s’il vous plait, et finit par merci, sans jamais paraître forcé par la politesse ou l’autorité parentale. Le gentil de nature. La crème à qui on avait déjà prédit un avenir catastrophique. Déceptions amoureuses multiples, parcours scolaire forcément loupé car écrasé par les autres, dans la précarité à cause d’une petite amie profondément vénale et sans cœur… Mais moi je n’en avais cure. A six ans, les histoires de prêts immobiliers sur quinze ans ne me parlaient pas. J’avais une amoureuse, et ça, c’était plus chouette qu’un tour de poney en été ! Je ne me roulais pas dans la boue, et jouer à la guerre ça me faisait peur. Je n’étais pas très grand, ni très lourd. Mais je savais courir, alors si quelqu’un m’embêtait je courrais. La fuite permet toujours plus de réflexion qui la bagarre. Taper pour survivre, ça n’aide en rien. Mais quand on court, on peut toujours chercher un plan B, un peu plus assuré que la fuite. J’aimais mes parents de façon raisonnable mais j’étais collant au possible, toujours à tirer sur les jupes de ma mère pour qu’elle daigne me montrer ce qu’elle faisait, ou bien à m’installer, tant bien que mal, sur les genoux de mon père récalcitrant qui avait pour habitude de hurler sur la télévision pendant les matchs de football. Et moi je faisais pareil en gesticulant comme lui, sans comprendre quelle équipe nous devions supporter.


« Pile ou face ? …Oh ! Julian ! Tu m’écoutes ? » « Hein ?...Euh. Pile ? » J’avais croisé son regard. Je ne connaissais rien d’elle, si ce n’est un regard, et le soubresaut dont avait souffert toute mon âme. La première année de lycée n’en était qu’à son milieu et pourtant j’étais déjà à moitié perdu inconnu. Si personne ne s’occupait de moi je finissais par errer, angoissé à l’idée de ne pas savoir où je devais aller, en quel étage, quelle salle et quelle heure. Mais heureusement j’avais quelques amis, attentifs à mes moments d’absence. Ils n’étaient pas du genre de ceux qu’on qualifie de « meilleurs amis », mais je les appréciais à mon échelle. Ils me supportaient et je leur rendais bien la pareille. Je ne faisais pas parti de l’élite dorée de la popularité empoisonnée. Je n’étais pas le mauvais garçon après qui tout le monde court. Le grand sportif de football Américain. Mes parents divorcés ne faisaient pas la une des journaux people et mon accent italien n’était pas suffisant pour être connu de tous, mais cela ne m’intéressait pas. « Perdu. Donc on va au bowling ce soir.» « …Quoi ? » Je ne le regardais plus et je ne comprenais rien à ce qu’il me racontait. Pile, face…Qu’avait-on parié déjà pour en arrivé là ? Et que venait faire le bowling au milieu de tout ça ? Je secouai la tête doucement puis refermai mon casier, convaincu d’avoir encore appartenu à un autre monde. « C’est d’accord pour le bowling mais je suis nul. Je…Je suis meilleur à la piscine. » « C’est ça petit mangeur de pâte et arrête de rêvasser, tu vas finir par faire tomber des filles. » « Hein ? Mais je ne bouge pas ! » « …Ouais. Avec toi la réputation des Italiens va en prendre un coup. »

J’ai commencé à la perfection humaine le jour où elle et moi nous nous sommes trouvés. Le jour où notre relation est passée d’inutile à vitale. Nous partagions la même classe, mais mon habitude constante à être perdu ne m’avait pas fais croisé son chemin, jusqu’à ce que le hasard s’en mêle. Dès le premier jour j’ai su que j’allais tenir à elle plus que ce que ne pouvait supporter la raison. Tout allait pour le mieux, et même si régulièrement l’angoisse que je sois ennuyeux pour elle me prenait, ça marchait bien. Elle m’entraînait partout où je n’osais pas aller seul, quasiment certain de me perdre moi qui ne connaissais pas grand-chose, et je pouvais passer des heures en contrepartie à parler avec elle de ce qu’elle voulait. J’aurai pu tout faire sans le moindre complexe, pourvu qu’elle me le demande. C’était l’harmonie parfaite. J’adorais courir après le temps avec elle. Et mieux valait courir vite, car nous passions énormément de temps ensemble. Une hémorragie de bonheur. Je l’aimais sans me poser la question de la connotation d’un tel sentiment, ne cherchant pas à savoir dans quel registre j’évoluais. Je me contentais d’être là pour elle. J’aurai pu vivre longtemps dans le monde de Oui-Oui. Très longtemps.

« He Julian ! T’es au courant pour Aaron et Calypso ? » Mon classeur tomba à terre alors je m’efforçais à paraître détendu. J’haussai doucement les épaules avant de me baisser pour ramasser la totalité des cours qui m’avait échappé. Je le savais. Je l’avais toujours su. Mais je n’avais pas voulu y croire. La perfection existe, mais elle n’appartient à personne et elle ne peut se satisfaire de ce qui n’est pas à son égal. « Ouais. C’est bien pour elle. » Je ne lui en voulais pas, étant de nature trop tendre pour nourrir un quelconque sentiment de haine. Je n’avais aucun droit de propriété sur elle, et si cette nouvelle situation pouvait la rendre heureuse, je pouvais me sentir léger. Mais il y avait un autre affect. Cette phrase, aussi perçante et dévastatrice venait d’ouvrir sur des nouvelles perspectives terriblement douloureuses : je me faisais lentement mais sûrement écarter. Ce garçon était, à coup sûr, la raison de son absence, de son manque d’attention quand je pouvais encore espérer lui parler. Il devait être l’origine de ses refus mal à l’aise à m’accorder encore du temps. Moi, je pouvais me terrer au fond d’un placard et attendre. Attendre d’être de nouveau assez bien pour quelqu’un. Cette pensée me rongeait comme un chien s’acharne sur un os pour en tirer la moelle. Elle avait planté ses griffes dans ma matière la plus fragile et m’élançait à chaque battement de cœur, à chaque bouffée d’air. Je n’étais pas digne de son temps. La jalousie m’étouffait sans que je ne consente à le reconnaître. Pourquoi. Je m’étais relevé doucement, dévisageant cette fille qui n’avait rien trouvé de mieux que de colporter les nouvelles. « En fait, je crois que je n’aime pas ce type. » Ça m’avait pris comme une nausée. Les mots avaient franchi ms lèvres avant même qu’ils n’apparaissent clairement dans ma tête. L’espace d’un instant, je parus terrifié par ma propre phrase, puis je me suis décidé à disparaître. Disparaître pour de bon. Je n’avais pas de trou dans lequel me terrer, mais je pouvais toujours courir jusqu’à chez moi. Je bousculai doucement la fille qui paraissait toute aussi surprise. « Désolé, je … je vais être en retard au cours. » Menteur.

Que cela ne tienne, elle est revenue un jour. Comme un électrochoc. Un coup de poing avant une caresse. Une douleur qui remonte sur un nerf. Un hoquet de surprise. Une tiédeur appréciable. Un coup de foudre délirant. Une sensation de rechute dans la drogue, une ancienne addiction. Mieux que courir au bord de l’autoroute, retenir sa respiration sous l’eau, avoir la meilleure note. Mieux que de désobéir, de boire son premier verre d’alcool. Une sensation neuve qui défonce les sens, et achève théâtralement notre inquiétude. Je n’étais pas rien. Je n’étais plus rien. J’étais de nouveau Julian, j’étais de nouveau pour elle et mon manque avait été si puissant que je ne trouvais pas de mots pour le lui décrire. J’avais eu mal, horriblement mal, et contrairement à ce que prêtant la sagesse populaire, cela ne m’avait pas rendu plus fort. Cela ne m’avait tué, mais cela avait bien essayé. J’avais été vidé. Vidé de sens. Éventré. Charcuté. Blessé, meurtris par le vide. Les garçons ne doivent pas pleurer, alors je ne l’avais pas fais, mais j’aurai pu trépigner comme un enfant libéré. J’avais envie de jouer, chahuter, perdre mon temps et courir à en perdre le souffle. J’avais envie de rester des nuits toutes entières éveillé à l’entendre parler pour rattraper le temps perdu. Pas de pardon, pas de larmes, pas de haine mais de l’amour.
J’allais foncièrement mieux. Je n’étais plus distrait en cours, je dormais mieux, et je laissais tomber moins souvent mes affaires. L’enfant n’était pas mort en moi, mais il était consolé. De fil en aiguille, sans que je ne comprenne ce qui nous arrivait, nous nous sommes retrouvés trop proches pour être de simples amis. Un premier amour. Inavoué mais puissant.

L’air était tiède en cette douce soirée d’été mais déjà nous étions couchés dans l’herbe, essoufflés de nos gamineries. Ou plutôt, vautrés. J’aimais souvent jouer, bien que le plus souvent cela se résumait à courir. Sans raison nous avions fais la course jusqu’à chez moi. Et l’ivresse de notre stupidité nous avait fais rire jusqu’à ce que nous n’en puissions plus. Je m’étais effondré alors dans l’herbe et elle avait suivit le mouvement. Nos respirations se calmaient progressivement alors que de temps à autres un éclat de rire m’échappait. « T’es mauvaise. T’es terriblement mauvaise ! Reconnais-le, je suis le meilleur. Dis-le, dis-le je veux l’entendre. Ça serait juste….mmmh parfait pour mon ego tu comprends ? » Je mis à nouveau à rire en la regardant avant de prendre appui sur mon bras pour mieux la voir. « Allez. La perdante doit reconnaître sa faute. » Je me suis jeté sur elle comme je le pouvais, glissant mes doigts sous son t-shirt pour la chatouiller. Je riais au moins autant qu’elle. Mon regard s’est confondu dans le sien et j’ai cessé de rire, affichant un doux sourire. Mon cerveau ne répondait plus à rien. Tous mes repères semblaient s’estomper, se perdant dans une masse sombre et inconnue. Je remis une mèche rebelle derrière son oreille, et sans réfléchir je me suis penché jusqu’à ce que nos fronts se touchent. Je lui ai à nouveau souris, n’éprouvant pas une once de timidité face à cette proximité. La suite m’échappa, j’oubliai l’herbe que nous avions dans nos cheveux et le comique de la scène, posant mes lèvres sur les siennes. Un premier baiser non sans témoin. Je n’ai su, que des années plus tard, que ma mère nous avait observé depuis la maison, assise sur la terrasse en train de boire son habituel café du soir.

Tout à une fin, l’amour et particulièrement la vie. A la fin du lycée je suis parti. Je suis retourné en Italie, auprès d’un membre de ma famille gravement malade mais ce départ a provoqué à nouveau une maladie en moi : la tristesse. La nouvelle vague m’a submergé alors qu’il me manquait l’essentiel de ma vie : mon premier amour. Elle a été la seule fille pour qui j’ai eu un amour aussi puissant et avec qui j’avais une confiance aveugle. Je n’ai jamais douté d’elle, mais toutes les autres m’ont laissé sceptique, redoutant toujours le manque d’honnêteté. Aujourd’hui, je reviens, sans me faire trop d’espoir. C’est un amour perdu dans la tourmente, qui n’aura de cesse de me torturer à chaque remémoration du bonheur que j’ai pu éprouver à cette époque dorée.
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Anonymous
Invité
Invité
Mer 19 Jan - 20:14

Bienvenue et bonne chance Wink
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Invité
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Mer 19 Jan - 20:17

    « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124
    Encore merci de prendre le scénario !
    Tu sais que je t'aime hein ? ♥️
    Et bienvenue, tout de même ! =D

    - les gentils garçons vaincront ! -
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 20:44

Han trop cool le scénario de mon amoureuse 34242

BIENVENUE ici jeune homme :)
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 20:47

Welcome!
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 21:04

E. Julian Gabrieli a écrit:
2+2=5

- réaction de Damon Sykes, 22 ans, Physicien -

:OMFG:





Bienvenueee xD
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 21:43

Biiienvenue a toi =D
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 21:45

Bienvenue chez toi « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 22:42

Eh merci tout le monde djsa
Et monsieur le physicien, je suis vraiment navré mais je suis littéraire jusque dans les délires psychédéliques... Alors 2+2=5 c'est George Orwell, dans 1984. *pas taper pas taper* Et puis les maths, elles ont jamais voulu de moi comme amant. fidsaj
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 22:50

Soit, soit! xd

Si les maths veulent pas de toi, moi j'veux bien ->[]
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 22:51

Bienvenuuuuuuuuuuue sur POH djsa
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 22:54

Apprends moi les maths ! 34242
Et merci Joyce !
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 22:56

  • bienvenue ! 3425
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Invité
Invité
Mer 19 Jan - 23:56

    Bienvenue parmi nous :) bonne chance pour ta fiche.
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Invité
Invité
Jeu 20 Jan - 9:34

Bienvenue à toi sur POH ! Razz
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Anonymous
Invité
Invité
Jeu 20 Jan - 13:55

Bienvenuuuuuuuuuue
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Invité
Invité
Jeu 20 Jan - 23:03

Bienvenuuuue sur POH!
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Invité
Invité
Ven 21 Jan - 13:34

Bienvenuuue russe
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Invité
Invité
Ven 21 Jan - 16:47

Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche djsa

Boomer « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou.» | Julian.  79124 il a des yeux magnifiques ♥️
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Invité
Invité
Ven 21 Jan - 17:48

    Bienvenue à toi :)
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 21 Jan - 17:48

Tu sais que t'es beau /SBAAF/
WELKOM
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 21 Jan - 19:35

Bienvenue! ^^
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Anonymous
Invité
Invité
Ven 21 Jan - 20:18

Bienvenuue 34242
&& J'adore les yeux du perso' ♥️.♥️
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 22 Jan - 20:17

Merci crazylove
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