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 Frigidité : sexe aphone. ft. CAMERON
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Anonymous
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Dim 1 Juil - 16:42


❝ CAMERON HOOVER & JULIET FITZGERALD ❞
« Il est faux que les femmes frigides vivent plus longtemps que les autres. Simplement, le temps leur semble plus long. » - François Cavanna

Le 7 juillet 2012, à 1 :50 pm - cabinet de C. Hoover

J’étais stressée comme une folle aujourd’hui. J’allais consulter pour la première fois un psychologue. Mais plus encore : un psychologue du sexe. J’avais finalement osé me lancer là-dedans, osé en parler. Enfin, je n’étais pas encore devant le psychologue en question pour lui expliquer mon souci. J’étais malheureusement frigide (je suppose que c’était ça l’appellation de mon problème sexuel). Mon dernier rapport sexuel remontait à environ deux ans. Je ne me le cachais pas, ça me manquait. Malgré mes tenues provocantes, je n’avais pas un passé de prédatrice sexuelle qui collectionnait les garçons toutes les semaines. Je consommais de temps en temps ce plaisir charnel comme monsieur et madame tout le monde. Qui n’aimait pas le sexe après tout ? Mon amie Lilladys n’avait pas l’air de connaitre ça, donc c’était différent. Je n’étais pas psychologue, mais je pensais connaître la raison du pourquoi du comment je ne ressentais plus de désir, plus de plaisir. Je n’avais plus de fantasmes, et j’avais l’impression d’être une bonne sœur qui se refusait tout ça. Sauf que moi je n’y pouvais rien, et je n’avais pas choisi de ne plus ressentir ces choses-là. Mon métier était en cause. La thanatopraxie. Je voyais des morts jours après jours, je voyais des familles en larmes, je voyais des cercueils, je voyais des tombes, je portais du noir. Tout cette ambiance macabre m'avait en quelque sorte l'envie (j'en étais presque sûr). Vous savez avoir des hommes et des femmes nus devant vous pour leur faire des soins contre la décomposition puis les habiller, n'a rien d’extraordinaire pour sa vie sexuelle. C'était même plutôt répugnant. Bien sûr, j'aimais mon métier et j'étais habituée à voir des morts et ça ne me dérangeait pas. Mais sans m'en rendre compte ça avait affecté ma libido de jeune femme ouverte. J'en avais honte. Ça me manquait. J'étais limite jalouse, lorsque j'occupai mon poste de strip-teaseuse au Sins et que je voyais les hommes limite bander en me voyant m'agiter alors que moi je ne pouvais PAS ressentir ce désir.

C'est pour cela qu'aujourd'hui j'étais dans cette foutue salle d'attente. J'attendais mon rendez-vous avec Monsieur Cameron Hoover, psychologue et aussi sexologue. Je n'étais pas du tout à l'aise. A la base, j'étais une femme plutôt réservée, donc je me voyais pas trop parler de la vie de mes fesses à un inconnu. Cependant il fallait que je me force. Je souhaitais qu'il m'aide à trouver une solution à mon problème.

La porte s'ouvrit et on appela mon nom. Sur mes talons hauts, je me dirigeai à petits pas jusqu'à l'antre de ce psychologue qui... Nom d'un chien, était particulièrement charmant à regarder. Je le saluai, il en fit de même. Une poignée de main, et il m'invita à m'asseoir face à son bureau (ce que je fis dans la seconde suivante). Je n'allais pas passer par quatre chemins quand il me demanda ce qui m'amena ici. J'avais toujours été franche bien que discrète alors je me lançai - je n'allais pas rester muette toute la séance. « ... Je suis frigide et ça m'horripile » La honte.
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Anonymous
Invité
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Sam 21 Juil - 14:40

7 juillet. J'entendais à peine le réveil sonnait que j'étais débout. C'était LE jour que j'avais tant attendu, Aeterna sortait de l'hôpital, qui commencer d'ailleurs à la rendre chèvre, ce que je peux comprendre tout à fait. J'étais je crois aussi heureux d'aller la chercher qu'elle de quitter enfin l'hôpital. Plus de deux semaines qu'elle y était quand même. Et tout irait encore mieux quand elle serait à la maison, avec Loisia. Je n'avais qu'un rendez-vous en fin d'après-midi et cela m'arranger comme ça je pouvais m'occuper d'elles toute la matinée et leur faire à manger aussi. Oui, je sais, je suis plutôt un bon petit ami mais cela ne me déranger pas d'être à leur petit soins, après tout, elles étaient ma famille maintenant. Je me levais et allais prendre ma douche, comme tout les matins pour bien me réveiller et commençais la journée de bon pied. Après 10 minutes d'une bonne douche, je ressortais de la salle de bain, la taille enroulé dans une serviette et allais prendre mes affaires avant de les enfilés. Je passais par la cuisine et enclenchais la cafetière avant d'aller dans la chambre de Loisia. La petit princesse dormait si paisiblement dans son lit que je n'osais pas aller la réveiller pour la préparer à aller chercher sa mère. Je refermais la porte et allais prendre mon café avant de grignoter un croisant. Je rangeais le tout car j'avais pas envie que Aeterna me pique une crise par ce que c'était pas ranger. Elles serait capable de tout faire elle-même alors qu'elle avait encore besoin de repos, mais au moins, elle serait à la maison, avec moi. J'allais à nouveau dans la chambre de Loisia et le vis gigoter dans son lit. Je souris en m'approchant du lit pour la prendre dans mes bras. Elle était vraiment belle, et j'espérais qu'elle serait comme sa mère. Je la considérais vraiment comme ma fille et j'étais fière de sa, tout comme j'étais fière de ce que moi et Aeterna avions tout fait pour que tout aille bien entre nous et pour notre famille. Une fois que la petite princesse fut prête, il fut plus que tant de partir, sachant que Aeterna devait déjà m'attendre depuis un moment tant elle avait envie de quitter l'hôpital.

Comme je m'en doutais,elle était là à nous attendre, assis sur son lit, son sac déjà fait. La ramener fut donc rapide et elle avait plutôt la pèche, et la voir sourie, jouer avec sa fille, c'était ce que je pouvais rêver de mieux au monde. Une fois arriver à la maison, je prenais son sac et lui ouvrais toute les portes jusqu'à l'appartement comme le gentleman que j'étais et une fois rentrer, je l'obligeais, malgré ses protestation à aller se coucher pendant que je m'occupais du reste. La matinée passa plutôt rapidement. Et je devais pas oublier que j'avais un rendez-vous cette après-midi. J'allais faire à manger pour mes deux princesses après que ma petite amie est mis la table. Rapidement, bien trop rapidement, je du aller me préparer et je voyais bien que cela n'enchantait pas ma belle, mais je n'avais pas le choix, et puis je serais vite de retour. Je mangeais et les quittais, à regrets. Un baiser sur les klèvre pinçaient de ma belle, un bisou sur le front de son petit ange, une caresse sur son ventre et me voilà partie. Je roulais peu pour aller jusqu'à mon bureau qui se trouver dans le même quartier que mon appartement. Je me garais tout près et allais ouvrir mon cabinet,allument la salle d'attente avant d'aller dans mon bureau à proprement dit. J'allumais l'ordi, ouvrais les store, sortais des dossiers, des feuille, tout çà pour attendre l'heure de mon rendez-vous. 13H50, heure de mon rendez-vous. J'ouvrais la porte. « Mademoiselle Fitzerald ? » Je regardais par la porte et une jeune femme aux cheveux violet se leva et approcha. Je lui souris en tendant la main avant de la faire entrer. Je voyais bien qu'elle était anxieuse et cela se comprenait. Je l'invitais à s'asseoir alors que je rejoignais mon fauteuil. « Alors, qu'est ce qui vous amène Mademoiselle ? » Lui demandais-je en la regardant, afin de voir son comportement. « ... Je suis frigide et ça m'horripile. ». Je la regardais, surpris mais sans le montrer. Ce genre de problème ne concerner généralement pas une femme ayant tout pour elle, et mon travail c'était justement de trouver pourquoi cela lui arrivait et si elle était venue, ce qu'elle n'était pas d'accord avec cette situation. Je la regardais, un petit sourie rassurant sur les lèvres. « Tout d'abord sachez que je suis heureux de ne pas perdre de temps à vous faire avouer le pourquoi de votre visite ! » J'étais sérieux, la plupart de mes patients mettait longtemps avant de se mettre a parler, des semaines même parfois ! « Rassurais-vous, vôtre problème n'est du qu'a un blocage qui s'est fait en vous à un moment donner, volontairement ou non. Il suffit de trouver ce qui a provoquer ce blocage et de voir ce qu'on peut faire pour vous aider. Et çà, c'est mon travail. » Dis-je en souriant,pour la mettre à l'aise. Parler de sa sexualité n'était jamais facile, et quand il y avait un problème, cela devenait encore plus problématique mais la plupart des problèmes se réglaient plutôt facilement. Cela me changer de mes autres patients même si j'aimais toute les facettes de mon job. «  Vous pouvez me parler un peu de vous mademoiselle ? Pour que vous connaisse mieux et que je puisse mieux vous aider. Essayer de me donner les détails des moments les plus important pour vous. » Je me calais sur le dossier de mon siège et me préparer à pendre des notes.
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