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 K a t n i s s || Merveilleux poisson d'avril... merveilleux
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William H. Weinmeister
William H. Weinmeister
all i care about is sex
AVATAR : Theo Hutchcraft
✱ QUARTIER : Richmond District
✱ COLOCATAIRES : Personne.
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Mar 29 Mai - 22:57

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J'AI TOUJOURS ÉTÉ CONVAINCU QUE CERTAINES PERSONNES MÉRITAIENT DE MOURIR... ET MON PÈRE VIENT DE DÉPASSER LA PREMIÈRE PLACE SUR MA LISTE NOIRE.
→ J’avais pris mon week-end pour aller faire un tour en Europe, ou plutôt en France. Oh, ne vous en faites pas, rien d’urgent… j’avais juste décidé d’aller passer une petite visite à mon père biologique qui me répugnait tellement que j’étais incapable de le regarder dans les yeux. Pourquoi continuais-je à lui rendre visite ? Cela me dépassait, je n’en savais rien moi-même, mais lorsque je me retrouvais face à face avec lui, ça devenait un vrai plaisir de me rendre compte que cet homme n’avait plus aucune notion de la réalité et de le cuisiner à feu doux. Il avait été transféré en service psychiatrique depuis bien des années maintenant, et il y mourrait. Oh oui, il n’y avait pas d’autres issues pour lui. Quand à la haine que je ressentais envers tout son être, elle était difficile à jauger tant je lui en voulais d’avoir fait ce qu’il avait fait. De ma mère, de moi, de ma vie. Les gardiens étaient sa seule barrière de protection lorsque je venais le voir et je pense qu’il en était parfaitement conscient. Sans eux, j’aurais déjà sauté au cou de cette ordure depuis bien longtemps, crevé ses yeux, ouvert son flanc et arraché tout ce qui me serait passé sous la main. Mais je le ferai un jour, je trouverai un moyen... j’étais plus intelligent que lui… je ne finirai pas enfermé pour mes méfaits. Méfaits que je commettais aujourd’hui parce ce qu’IL avait démoli mon mental. C’était à lui de payer. Il allait payer…

Après m’être présenté à l’accueil de l’asile, je signais les quelques papiers qu’on me demanda de remplir, puis suivis un guide jusqu’au parloir. Plus la pièce se rapprochait et plus mon rythme cardiaque augmentait. Je dû me retenir de serrer un poing pour contenir le flot d’émotions qui me traversait en ce moment, et lorsque le moment arriva, on m’annonça qu’il fallait que j’attende ici parce que Monsieur avait déjà de la visite.

Qu’est-ce que ça voulait dire, ça ? Cet homme ne voyait jamais personne à ma connaissance. J’ai eu beau poser des questions au gardien, ce dernier refusa de me répondre en prétendant qu’il n’avait pas le droit de me donner d’informations par mesure de sécurité. Quelles mesures de sécurité ?! De toute manière, je verrai bien qui était ce visiteur inconnu en temps voulu, ce qui ne tarda pas… et fut une grosse surprise puis-ce qu’une tête rousse qui m’était malheureusement familière entra dans mon champs de vision juste avant qu’on vienne me dire que « je pouvais y aller ». Attendez. Qu’est-ce que c’était censé vouloir dire ?

Je fronçais les sourcils et suivis la jeune femme des yeux tout en m’avançant, échangeant un regard électrique bien que confus avec elle avant de poursuivre mon chemin. Des tonnes de questions se posaient dans mon esprit, je ne savais pas par où commencer… mais j’avais un très mauvais pressentiment au sujet de cette histoire.

Passons.

Tout en rassemblant mes pensées, j’entrais finalement dans la pièce où m’attendait mon géniteur, pis m’arrêtais pour prendre une grande inspiration. Cet individu était sans doute la seule personne qui parvenait à me faire ressentir des choses, ça doit être pour ça que je venais à sa rencontre régulièrement… car sinon, j’oubliais. J’oubliais ce que ça faisait que d’être en colère, je ne parvenais pas à me souvenir que j’avais déjà aimé, il y a longtemps. Que j’avais été triste, découragé, joyeux, que j’avais un jour eu des réactions dites « normales », en somme. Aujourd’hui, je faisais juste semblant de tout ça, mais la seule chose qui me restait, c’était mes pulsions. Pulsions de mort d’une part, et pulsions libidinales d’autre part. Oh, Freud aurait été content de m’avoir comme patient… ça ne fait pas le moindre doute.

Je m’avançais, puis pris place. Un silence.

« Tu as des choses à m’apprendre, je me trompe? »



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Anonymous
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Mer 30 Mai - 22:14

Pourquoi venir voir ce monstre, se demandait-elle tandis qu’elle passait les contrôles du parloir pour rendre visite à son père biologique. Katniss avait eu vent de ses agissements, de son passé sanguinaire qui lui donnait encore et toujours la chair de poule. Cet homme ne serait jamais son père, pas plus que la pauvre folle qui l’avait mise au monde ne serait sa mère. Alors pourquoi continuait-elle de lui rendre visite ? De tenter de comprendre l’énigme qu’est cet homme ? Cela reste un mystère… Lui de son côté était intrigué par sa fille. Sa nouvelle conquête ne lui avait pas dit qu’elle était enceinte et même si elle lui avait dit, il ne l’aurait pas cru. Vingt-deux ans qu’il ne l’avait pas vu et il se demandait ce qu’elle était devenue. La réponse de sa fille fut sans appel. Elle était folle. Comme lui, comme presque tout le monde sur cette Terre. Abominable cruauté. Assis derrière la vitre, les mains jointes et l’air serein, il dévisagea la créature qui s’approchait de lui sans sourciller. Cette silhouette si fine, ses longs cheveux roux et ses yeux en amandes qui rappelaient ceux d’un chat ne firent venir qu’un mot à son cerveau : trainée. Ce sont toutes des trainées et vu cette créature, elle devait forcément en être une. Elle s’assit face à lui, le fixa longuement sans laisser transparaitre une émotion avant de décrocher le téléphone pour commencer par des banalités. « Pas du genre, salut papa, comment ça va ? » De son français médiocre, elle tentait de faire connaissance avec son géniteur tandis que lui riait intérieurement. Il sortirait et il lui ferait subir le même sort que méritaient toutes les femmes.
La mort.
Quand l’échange fut terminé, la jeune fille se leva pour raccrocher et partir sans jeter un regard à son paternel tandis que lui s’apprêtant à retourner dans sa cellule fut contraint de rester assis car il avait une autre visite. Après sa fille, voilà son fils qui arrive. Cette abomination. Ce fléau. William. Soupirant, il passait une main sur sa barbe naissante tandis qu’il fut témoin d’une scène qui faillit le faire éclater de rire. Au loin, l’immense rouquine croisait le regard de son fils et on peut dire que l’ambiance fut électrique comme si l’un allait se jeter à la gorge de l’autre. Ainsi donc, il se connaissait. Parfait. Admirant William qui prenait place face à lui, le détenu croisa les mains sur sa poitrine avant de prendre le petit combiné tandis que la chair de sa chair prenait la parole. Visiblement intrigué par la visite de Katniss. « Comme ? Ah tu parles de Katniss. J’aimerai que tu gardes un œil sur elle, je sais que vous êtes dans la même ville. Après tout c’est ta petite sœur et vu son acabit, je suis à peu près certain qu’elle se conduit comme toutes les femmes… » Un large sourire se dessina sur son visage alors amaigri et fatigué. « En trainée. Mon fils si tu voulais bien te charger d’elle, je t’en serai très reconnaissant. » Il se doutait que William n’en ferait rien bien sûr mais il aimait le torturer de la sorte. Lui annoncer qu’il comptait tuer sa petite sœur était une immense joie pour lui. C’est vrai que le monstre assis derrière cette vitre n’avait que peu de distractions. Mais qui est le monstre ?
William ou son père ?
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William H. Weinmeister
William H. Weinmeister
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Jeu 31 Mai - 10:50

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J'AI TOUJOURS ÉTÉ CONVAINCU QUE CERTAINES PERSONNES MÉRITAIENT DE MOURIR... ET MON PÈRE VIENT DE DÉPASSER LA PREMIÈRE PLACE SUR MA LISTE NOIRE.
→ Il me fixait, je le fixais, un échange visuel qui attisait le feu en moi parce que ces yeux là… c’est ceux que je voyais à chaque fois que je me regardais dans un miroir. Identiques, ou presque, avec cette même folie logée tout au fond des pupilles, sauf que la sienne était bien plus visible vu son état de fatigue. Cet endroit devait le pousser dans ses retranchements, sans doute. Lorsque Richard ouvrit la bouche pour parler, j’écoutais attentivement ses paroles, le téléphone collé à mon oreille et ma main de plus en plus crispée dessus au fur et à mesure que l’homme s’exprimait. Ma sœur. Pardon ?! Qu’est-ce que c’était encore que cette histoire ? Et pourquoi ne me l’apprendre que maintenant ? Par réflexe, je tournais brusquement la tête vers l’arrière comme pour vérifier si Katniss était là, mais ce n’était évidemment pas le cas, alors je reposais mon attention sur la personne face à moi, et ce qu’il me dit eut le don de me mettre hors de moi-même si mon corps ne bougea pas d’un millimètre. Une veine saillit près d’une de mes tempes et ma mâchoire se crispa, cependant.

« Je ne suis PAS ton fils! »

Il me fallut fermer les yeux ainsi qu’une grande inspiration pour reprendre ma contenance. Calme-toi William, tu sais très bien que cet énergumène est complètement fichu mentalement, ça ne vaut même pas la peine de s’énerver. À côté de lui, je me sentais tellement plus humain… après tout, ma mère était normale, elle, je n’avais pas que du mauvais sang en moi. Après une fraction de secondes, un sourire légèrement psychotique apparut sur mes lèvres. J’ouvris les paupières et me redressais dans mon siège en m’armant d’une attitude impérieuse.

« Ton fils serait déjà avec toi dans cette cage pour animaux en plexiglas, ce qui ne risque pas de m’arriver. Je suis beaucoup moins stupide que toi. »

Mon sourire s’étendit un peu alors que je balançais doucement ma tête de gauche à droite en observant mon géniteur avec une certaine affectuosité. Totale hypocrisie de ma part.

« J’ai tellement hâte de te voir passer les murs de l’enceinte de cet endroit et de passer un moment en famille… qu’est-ce que tu dirais de sortir d’ici à Noël ? »

Et je t’étriperais. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus la moindre goutte de sang et qu’on ne puisse plus me rattacher à toi. Je vais t’arracher la tête et tout ce que je pourrais, comme ça je me sentirais libéré d’un poids… et Katniss aussi. Elle n’a pas besoin d’un père pareil, ce serait mieux qu’il n’existe pas. Katniss…

Est-ce qu’elle aussi était souillée par ce fléau qui touchait notre famille? Pour la première fois depuis longtemps, je commençais à me poser des questions quand au bien-être d’une personne. Si nous partagions des gênes communs, alors il fallait que je m’assure que ces derniers étaient « propres », et que je la débarrasse du poids que représentait le psychopathe misogyne en face de moi. Il n’était pas question qu’il détruise autre chose autour de lui. Et s’il le fallait, je remplacerais cette figure paternelle qu’elle semblait tout de même intéressée à connaître en lui en donnant celle qu’elle méritait d’avoir.

« Mais tu as raison, je vais m’occuper de ma sœur, puis-ce que tu ne peux pas vraiment le faire toi-même. »



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Anonymous
Invité
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Ven 1 Juin - 19:31

Qu’avait-il bien pu faire pour mériter un enfant pareil ? Seigneur dieu, qu’avait-il fait pour avoir un lâche comme fils ? La question était là. William ne pouvait pas être de son sang. Richard a toujours soupçonné sa femme (enfin, sa défunte femme) de l’avoir trompé. Garce. Pute. Toutes les mêmes. « Tu es mon fils. Du moins, si les tests ADN prouvent le contraire, je pense que je serai enfin débarrassé d’une véritable corvée, ajouta-t-il dans un sourire avant de plonger son regard dans celui de sa progéniture. » Tant de déceptions. Il baissa le regard dégouté, se retenant de rendre son maigre déjeuné devant tout le monde pour s’épargner une humiliation de plus que d’être vu en compagnie d’un tel être que son fils. Que faire ? Que dire devant une telle abomination. Le vieil homme aurait dû le noyer quand il lui donnait son bain mais il avait tellement de projets pour William, il voulait que les choses se passent bien mais au final, rien n’avait de sens et il commençait à s’ennuyer. L’arrivée de Katniss aurait pu être une distraction dans sa vie mais il était à peu près certain qu’elle demeurait aussi décevante que son grand frère. Alors quel plaisir sadique prit Richard à annoncer qu’il y avait un membre de plus dans la fratrie. Peut-être arriverait-il à la même conclusion que lui ? Peut-être ferait-il ce qu’il faut pour une fois. « Tu es stupide et tu es un lâche, William. Fais ce que je te dis, un point c’est tout. » Le détenu le regarda sourire avant de hausser le sourcil. Mais quel abruti, il faisait. Pas possible que cela soit la chair de sa chair. « D’ici là, vous vous serez sans doute entretuer. Mon seul cadeau de Noël serait de vous voir morts tous les deux. Vous n’êtes que des déceptions l’un comme l’autre, lâcha-t-il sur un ton las avant de passer une main dans sa barbe naissante. » Lancer ça à son fils aurait pu paraitre cruel mais il savait qu’il n’était pas comme les autres. William. Médiocre, sans aucune ambition, il continuait de venir le voir pour toujours ressasser la même chose. ‘je ne suis pas ton fils, je ne le serai jamais’ et blablabla. Immonde et pitoyable créature. « Oh je suis ravi que tu prennes le temps de te soucier d’un autre être vivant que de toi-même, c’est merveilleux William. Je te souhaite bien du courage cependant. Katniss n’est pas comme toi et la vie lui a encore fait moins de cadeaux. J’ai hâte de voir quel instrument elle a choisi pour te… » Il imita le geste de quelqu’un qui venait de se faire couper la tête. Puis, enfin, Richard fit signe aux gardiens de venir le chercher et de l’emmener dans sa cellule, lançant bien entendu un sourire appuyé à Wiliam en pensant ‘fais de beaux rêves.’ Avant de disparaitre complètement de son sillage.

Katniss


Quelle idée d’avoir dit oui à cette ‘Constance’ je ne la connaissais même pas et je n’avais aucune envie de la connaitre. Sociabilise-toi avait dit mon psy. J’ai envie de le sociabiliser en lui mettant un coup de son presse-papier dans la tête. Mais rêver de sang et de morts n’était pas une bonne solution. Je soupirai alors, refermant ma valise avant de me dire que je revenais dimanche soir. Mais je ne retournerai pas voir cet homme. Il y avait quelque chose de malsain dans son regard. Pas comme si je me doutais qu’il soit sain d’esprit mais j’étais à peu près certaine qu’il n’avait pas toute sa tête. Il m’a regardé un peu avec trop d’insistance comme s’il me voyait baignant dans mon sang. Et bon dieu mais qu’est-ce que foutait ce sale con de chirurgien à la noix là-bas ? C’est un peu gros pour n’être qu’une coïncidence n’est-ce pas ? Mais je réfutais d’avance l’idée que cette sale chose partage les mêmes gênes que moi. Certainement pas. Je soupirai avant de mettre mes chaussures, nouant mes longs cheveux roux (qui m’avaient couté mon premier rôle au Lac des Cygnes) en chignon et mettant mes lunettes sur le nez avant de partir pour l’aéroport. Une voix me hurlait de rester ici, j’avais un mauvais pressentiment mais bon, il y aurait de l’alcool et apparemment des clichés de moi alors… Je ne suis pas narcissique mais disons que la curiosité l’emporte sur mon asociabilité. Je grinçais des dents en montant dans le taxi pour regarder le paysage défilant de Paris avant d’envoyer un message à Brooklyn en lui disant que je serai de retour plus tôt que prévu. Puis quand le véhicule se stoppa, j’en descendis avec nonchalance avant de partir enregistrer ma valise, m’acheter un livre avant de m’asseoir sur un siège avant de sortir mon bouquin et le lire comme pour me couper du monde.
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