Le réveil se mit a sonner, de sa sonnerie stridente que je déteste. J'allais me faire porter malade, pour ne pas aller bosser aujourd'hui, j'avais d'autres choses a faire, des choses plus intéressante. Accueillir les nouvelles voisines par exemple. C'est un peu comme un job quoi. Abattant mon poing sur mon réveil, j'attrapais mon téléphone et appelait le boulot. En 3 minutes, c'était bouclé j'avais 3 jours pour moi. Je me levais hâtivement, passais dans la douche et me rasé. Autant faire bonne impression non ? « Mon vieux c'est ton jour ! » Non mais ... Pourquoi je me parlais a moi-même, j'avais jamais fais sa avant. Je riais seul devant le miroir et optais pour un tee shirt près du corps, qui mettrait en avant mes abdominaux, un jean noir brut et ma veste en cuir. La tenue basique quoi. J'avalais un café rapide et pris les clés de ma voiture.

J'arrivais quelques secondes après devant la maison de la nouvelle, en même temps, elle habitait a quelques mètres de chez moi. Et pour crâner j'avais pris ma voiture « Tout à fait logique sa James » Oh ta gueule conscience. Faudrait vraiment que j'arrête a me parler tout seul. Ou je vais vraiment songé a consulter un psychiatre. Sale fou. La maison avait l'air vide, inhabitée. Mais je savais qu'elle était arrivée aujourd'hui, car j'avais vu les déménageurs apportés les cartons, les dizaine de cartons. De ma voiture, je regardais la porte de la maison, qui semblait en faites entrouverte, je m'approchais à pas de loup de la maison , pour n'effrayer personne.

Passant ma tête a travers l'entrebâillement de la porte, je vis une femme aux courbes somptueuse, s'admirait dans le miroir, je la dévisageais à la limite du raisonnable, mais pas de chance, elle me remarqua. « Oh! » Elle porta une main à sa bouche « Je viens d'eménager ici, je m'apelle Zoe Lily Pickup mais bon Zoe ça me va aussi. » Je lui souriais en coin, de ce sourire que j'avais l'habitude de faire aux belles femmes. « Bonjour moi c'est James Connor Miller, mais pour toi ce sera James mademoiselle. Je me permet d'entrer. » J'entrais en prononçant ces quelques mot, toujours aussi souriant. Elle, elle allait finir dans mon lit. Obligé. Le sourire ne me quittant pas, je lui proposais de l'aider. « Souhaitez-vous que je vous aide a défaire vos cartons? C'est toujours mieux a deux non? » Je lui fis un clin d'oeil. « Arrête de faire des sous-entendus mec, tu fais pitié. » Ah revoila ma conscience, faut peut-être que je songe a prendre rendez-vous chez le psy en faites.

"Tu es sûr?, c'est un vrai foutoir ici." Je voulais pas sa, mais j'étais bien obligée de dire oui, parce que, si je lui disais que j'étais venu ici pour voir a quoi elle ressemblait et si elle était baisable, elle allait me virer à coup de pied au cul. Super. Je me contentais juste d'hocher la tête et retirait ma veste. Je jetais des coups d'oeil a l'intérieur, c'était plein de cartons mais ca avait l'air raffiné. Un intérieur de nana quoi. Je la regardais de haut en bas, elle avait un de ces physiques, si je me la faisais pas aujourd'hui, j'allais bien me la faire un jour, personne ne résiste à mon charme.

Balançant ma veste sur le divan, je lui fis mon sourire en coin , elle me tendait un plat avec divers petits gâteaux, cela tombait bien, je n'avais pas eu le temps de déjeuner ce matin, étant trop pressé pour cela. Je pris un muffin au chocolat et croqua dedans, elle avait un physique de dingue, elle savait cuisiner. Si j'avais pas une réputation de dragueur, je l'épouserais sur le champ. Elle s'asseya à mes côtés. C'était trop silencieux, je ne savais pas quoi lui dire, puis elle, elle ... était orgasmique. « Ben tu m'étonnes mon pote ! » Oh tagueule conscience, je suis pas fou, je n'irais pas chez un psy. Je dépenserais pas de tunes la dedans, clair ? Je riais doucement au fait que je parlais tout seul.

Elle se leva d'un coup, je la regardais, les sourcils froncés, elle partit écrire sur son petit calepin qui se tenait sur le bureau, le seul truc déballait du carton. "J'suis désolée, c'est juste que j'suis tellement étourdie que j'oublie certaines choses..."Quelle chose ? Si elle croyait qu'elle allait s'en sortir comme sa, elle se trompait, je suis curieux. C'était maladif, mais il fallait bien que je renseigne non ? « Je peux voir ce que tu écris ? » Je tâtais le terrain, espérant qu'elle me montrait. « Et si tu me parlais de toi aussi ? Je ne sais presque rien de toi. » Souriant, je la regardais en replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille. Ca marche toujours !