✱ JOB/ÉTUDES : Etudiante en neuropsychologie -quand elle y va tout du moins. ✱ SITUATION : Célibataire ✱ ORIENTATION : Bisexuelle. ✱ ÂGE : 20. ✱ ORIGINE : Attilio, Regalia. ✱ AVATAR : Ginta Lapina. ✱ GROUPE : Love.
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« enlève ton masque d'anonymous è.é »
✱ NOM/PSEUDO : Mayaku. ✱ ÂGE : So young and so old at the same time. ✱ J'HABITE : Far from never. ✱ PERSONNAGE : P.I ✱ CODE : OK par Romy ✱ UN PTIT MOT? Panda.
JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
Voulez-vous que je vous raconte une histoire ? Non ? Ah, dommage car chez moi un « non » équivaut à un « oui ». En gros, vous n’avez pas le choix. Notre histoire se passe dans le royaume de Regalia, petite île perdue au milieu de la mer Adriatique, entre l’Italie et la Croatie. Cette île est tellement petite et fermée au monde extérieur, qu’elle demeure inconnue à la majorité de la population. Bon d’accord, j’arrête avec ces détails géographiques dont tout le monde se fiche. Le décor principal de la narration est le château royal où haine, ressentiments et jalousie cohabitent avec une aisance fascinante. Je vous assure que c’est très passionnant, mieux que les feux de l’amour et Dallas réunis, c’est pour dire !
Chapitre I : Life is much shorter than I imagined it to be.
Il était une fois un homme, un fils et un frère avide de pouvoir et aussi impatient qu’une bonne diarrhée –eh, mon lyrisme a ses limites- qui tua son père pour enfin jouir du trône qui, à ses yeux, lui revenait de droit. Mais –il y en a toujours un- le sort avait décidé de jouer un peu avec ses nerfs. En effet, ce fut son petit frère que la conseil des Anciens décida d’élire comme monarque. Colère et ressentiments. Il n’allait pas laisser les choses se passer ainsi ! Il attendit patiemment le jour où il prendrait sa revanche et ferait regretter à son frère de l’avoir trahi. Le pauvre petit n’avait pourtant rien demandé, lui qui n’aspirait qu’à vivre tranquillement, le voilà roi avec à son cul son frère qui s’était monté le bourrichon concernant sa prétendue trahison et n’avait qu’une envie, le détruire. Follement gai tout ça, non ?
L’histoire ne devient intéressante que sept ans plus tard donc petite ellipse temporelle les enfants.
C’était une de ces après-midi de juillet durant lesquelles, les familles, avides de profiter du beau temps et de passer du temps ensemble, décidaient d’aller pique-niquer dans la nature. La famille de la jeune Azaria ne dérogea pas à la règle, malgré sa position royale. En effet, son père, Rigardo, était le roi de Regalia, sa mère, Galatea, la reine, ce qui faisait d’elle la princesse légitime du trône. Les soucis administratifs qu’avait rencontrés le royaume ces derniers temps les avaient quelque peu éloignés, Rigardo étant constamment occupé avec ses conseillers. Cette après-midi était donc propice aux retrouvailles. C’était sans compter sur la malveillance et la jalouse maladive d’une certaine personne, précisément, du frère de Rigardo, Daelissio. Ce dernier avait énormément de mal à digérer son évincement du trône au profit de son petit frère et comptait bien le récupérer. Tout était prêt. Ses sombres desseins allaient enfin être menés à terme. De leur côté, la princesse qui venait tout juste d’avoir sept ans et ses parents réglaient les derniers détails et montèrent en voiture en direction des plaines ensoleillées de Regalia, ignorant que Daelissio le gros méchant tout pas beau les observait un sourire aux lèvres. Ce serait leur dernier voyage. Effectivement, alors qu’ils étaient sur le chemin du retour après avoir passé un merveilleux moment, Rigardo perdit le contrôle de la voiture, enfin pas exactement, disons que les freins, par la simple volonté du saint esprit, ont subitement lâché, Rigardo ne put donc pas éviter plus longtemps le précipice qui les attirait inexorablement vers la droite. Le choc fut si violent que le roi et la reine sombrèrent dans le néant et Azaria, elle, fut projeté à travers le pare-brise, tête la première, pour s’échouer mollement sur un rocher, inconsciente mais en bien en vie. Boom. Une explosion. Azaria était orpheline. Une demi-heure plus tard, les pompiers arrivèrent, croyant tout d’abord n’avoir qu’à faire à un feu de forêt, ils comprirent très vite que les choses étaient plus compliquées que cela. On amena Azaria à l’hôpital où elle fut placée dans un coma artificiel par un personnel soignant qui se demandait comment elle avait pu survivre à pareil accident et les risques qu’elle devienne un légume à son réveil était de l’ordre du quatre-vingt dix pourcent. Du moins si elle se réveillait un jour.
Chapitre II : Le secret de la Vie, c'est de "mourir avant de mourir" et de découvrir que la mort n'existe pas.
Le malheur des uns fait le bonheur des autres a-t-on coutume de dire et c’est vrai. Le peuple pleurait leur roi bien-aimé, dans l’ombre Daelissio se réjouissait. Il avait réussi. Il n’y avait plus aucun obstacle entre lui et le trône. Bon, certes sa nièce était encore en vie, ce qui l’avait d’ailleurs surpris, mais au vu de l’avenir ombrageux qui s’annonçait pour elle, il n’avait aucun souci à se faire. Il allait enfin obtenir ce pour quoi il avait tant travaillé. Tout était bien qui finissait bien. Non, non et non, cela n’aurait pas été drôle si tout se terminait ainsi, n’est-ce pas ? Azaria finit par sortir de son coma et à la grande surprise des médecins, elle n’était pas sur le point de perdre toute ses facultés mentales, elle semblait même en avoir gagné. Laissez-moi vous dire que lorsque Daelissio avait appris la nouvelle, il avait faillit tomber de sa chaise tellement il était abasourdi mais se devait de jouer la comédie devant tout ce beau monde, oui, il était censé être heureux que sa nièce adorée ne soit pas allée planter les pissenlits par la racine avec ses parents. Ce qui était loin d’être le cas, bien entendu. Dire qu’il ne s’attendait pas à son retour serait un euphémisme. Dix ans. Dix longues années venaient de s’écouler. Dix années durant lesquelles il songeait naïvement avoir tout acquis. Grossière erreur mon cher, on ne vend pas la peau de l’ours avant de l’avoir tué, voyons ! Il regretta soudain de ne pas l’avoir débranchée lorsque l’on le lui avait proposé, qu’importe il était trop tard maintenant et il se devait d’aviser. Aller à l’hôpital et profiter de l’absence des médecins pour injecter un truc néfaste dans la perfusion comme on voie dans les films ? Impossible, il n’était pas assez dégourdi pour savoir se servir d’une seringue, à tous les coups il finirait par se piquer lui-même, ce qui serait con. Envoyer des hommes de mains kidnapper sa nièce et aller la tuer dans un coin sombre ? Alléchant, mais il n’avait confiance en personne. Il décida donc d’aller lui rendre une petite visite afin de tâter le terrain et puis il n’avait guère le choix, c’était ce qu’il devait faire s’il voulait conserver une certaine crédibilité auprès de ses sujets. Les médecins en charge d’Azaria lui expliquèrent son état dans un charabia dont il ne retint que le mot « Amnésie ». Il se fichait bien qu’elle ait eu un traumatisme canin ou crânien, d’ailleurs il ne se souvenait même plus du mot exact. Ce qui comptait c’était que tout jouait en sa faveur, sa nièce avait beau s’être réveillée, elle n’en restait pas moins malléable. Quel sot de s’être inquiété pour si peu ! Sot, c’était le cas de le dire. S’il avait fait attention à ce que lui avaient dit les médecins, il saurait qu’Azaria n’allait pas rester dans cet état indéfiniment et que l’accident lui avait prodigué des capacités de réflexions incroyables. Bref, elle était devenue un génie. Cependant, il lui avait également bousillé une autre partie…enfin pas exactement, je ne saurais pas comment vous l’expliquer de façon à ce que ça paraisse intelligent, mais disons qu’elle ne sera plus jamais la même, qu’elle ne pourra plus jamais vivre comme un être humain normal. Qu’est-ce que la normalité ai-je envie de vous demander, réfléchissez-y et nous en discuterons plus tard.
Bref, revenons à nos moutons. Daelissio était rassuré et reprit le cours de sa vie tout en s’occupant d’Azaria pour laquelle il se prit d’affection…enfin autant que le pouvait un sociopathe de son calibre. Donc pas du tout. Lorsqu’une personne ne les connaissant pas, les croisait, elle pouvait aisément les prendre pour un père et sa fille. Azaria finit d’ailleurs par y croire. Quoique non. Je ne sais pas. Cette petite demeurait tellement indéchiffrable et énigmatique. Il y avait des moments où elle était tout sourire, courant, riant, chaleureuse et d’autres où son humeur était aussi sombre qu’un ciel de mauvais temps. Personne ne s’en souciait réellement, du moins pas encore, mettant cela sur le compte des dix années qu’elle se devait de rattraper. Après tout, elle n’était qu’une fille de sept ans prisonnière du corps d’une adolescente de dix-sept ans.
Chapitre III : I think I've discovered the secret of life - you just hang around until you get used to it.
Tout était mieux dans le meilleur des mondes, mieux que les contes de fée je vous jure mais bon, le destin est une belle garce et il faut dire qu’elle commençait à sérieusement s’ennuyer de voir que tout allait aussi bien. Et moi avec. Il fallait donc un peu d’action et celle-ci ne tarda pas. En effet, Azaria remettait peu à peu la parole de son oncle adoré en doute. Eh oui, toutes les bonnes choses ont une fin mais ne soyons pas triste, toute cette mascarade a quand même duré une année et demi. Cela aurait très bien pu continuer jusqu’à la fin des temps mais heureusement pour nous, la gouvernante chargée de s’occuper d’Azaria lui stimulait la mémoire en lui parlant de ses parents décédés. Ce qu’elle n’avait pas prévu c’était que plus Azaria retrouvait ses souvenirs, plus ses sautes d’humeur se feraient violentes et nettement plus régulières. Ce fut donc tout naturellement que l’on l’amena consulter des médecins qui n’arrivèrent pas à déterminer ce dont elle souffrait et la déclarèrent folle alors qu’elle n’était que cyclothymique. C’est ça d’habiter dans des coins paumés. Quand les gens n’ont pas l’habitude de quelque chose, ils choisissent la solution de facilité. Et puis on ne peut pas dire qu’ils se soient bougés pour en savoir plus sur son trouble. Bref, ils l’envoyèrent dans un hôpital psychiatrique, après tout c’était la place des dérangés mentaux. Daelissio était plus que ravi de ce revirement de situation, évidemment. Tout d’abord, il n’aurait plus à s’en occuper, on a beau dire mais une année et demie de mensonges et de manipulations, c’est long. Extrêmement long. Et épuisant aussi. Certains auraient pu se prendre d’affection pour cette jeune fille perdue et adorable, mais pas Daelissio. Elle lui rappelait bien trop son frère et la trahison de ce dernier. Il la méprisait cordialement derrière ce masque d’hypocrisie qu'ils plastronnait constamment et Azaria n’était pas dupe. Elle ressentait aisément le ressentiment dont son oncle était animé. La fausseté ambiante était d’ailleurs une cause de ses changements d’humeurs, en plus du reste. Ensuite, le conseil des Anciens songeait à former Azaria pour qu’elle puisse monter le trône, après tout c’était elle l’héritière légitime. Donc cette supposée folie tombait à point nommé. Un peu trop non ? Si je devais donner mon avis, je dirais que le méchant monarque tout pas beau avait prévu le coup, mais bon comme on ne me le demande pas, je ne dirais rien.
La jeune princesse resta près de deux ans dans cette clinique psychiatrique où elle était enfermée, épiée et assommée de médicaments. Il était rare qu’elle soit lucide tant le nombre de cachets qu’on lui faisait ingurgiter était énorme. Souvent même, elle était si faible qu’elle était incapable de bouger, restant toute la journée sur son lit, à fixer le mur. Ou au contraire, elle était prise de violente crise de colère, de rage ou bien encore de désespoir, prête à mettre fin à sa vie. Et évidemment, plus elle était dans cet état, plus elle était malade à leurs yeux et plus sa dose médicamenteuse augmentait. Cercle vicieux. Ce qu’ils n’avaient visiblement pas conscience c’était qu’ils lui bousillaient encore plus la santé -ou peut-être que si. En effet, elle passa d’une simple cyclothymie à un stade de bipolarité avancé. Elle n’était pour ces médecins qu’un cobaye sur qui faire des expériences en disant la soigner. Pas étonnant qu’elle soit devenue ce qu’elle est aujourd’hui. Bref pour faire court, Azaria a dégagé et Daelissio pouvait de continuer de mener l’existence paisible de monarque dont il avait toujours rêvé.
Chapitre IV : A man sooner or later discovers that he is the master-gardener of his soul, the director of his life.
Les choses auraient pu se terminer ainsi mais les dieux inexistants qui régissent le monde en avaient décidé autrement. Ils comptaient agir à travers Regate, la gouvernante au service de la famille Letta, qui était d’ailleurs l’une des rares personnes ayant la confiance de Daelissio. Je vous avouerais que j’ignore comment cela était possible mais qu’importe, je suis là pour vous raconter l’histoire et non pour me poser des questions. Donc, qu'est-ce que je disais déjà moi…Ah oui ! Regate réussit à convaincre Daelissio de permettre à Azaria de revenir au château les week-ends et à ma grande surprise il accepta. Là, c’est moi qui manquai de tomber de ma chaise invisible. Puis je compris, Daelissio était amoureux de Regate. Comme quoi tout pouvait arriver. Et cette dernière le savait pertinemment et en profitait. Ah, les femmes ! Ce qu’ignorait notre roi c’était que Regate avait d’autres projets pour celle qu’elle considérait comme sa fille. Il fallait qu’elle l’éloigne d’ici et très rapidement. Depuis qu'elle était allée lui rendre visite, l’état dans lequel elle l’avait trouvée, l’avait tellement horrifiée qu'elle était prête à tout pour la sortir de là. Ce n’était pas l’Azaria qu’elle avait connue. En fait, il n’y avait qu’une carcasse vide incapable d’aligner une phrase cohérente en face d’elle. C’était inhumain un tel traitement ! Elle demanda de l’aide à son frère, pilote d’une petite ligne et grand voyageur, il accepta. Il était l’un des rares du royaume à connaître le monde extérieur, à connaître les noms tel que Etats-Unis ou encore Angleterre qui restaient pour la plupart des mythes. Bref, ils quittèrent Regalia à l’insu de Daelissio qui ne mit pas longtemps à l’apprendre mais ceci est une autre histoire que j’aurais plaisir à vous narrer un jour. Ils partirent tout d’abord pour l’Angleterre où Ruel, le frère de Regate, vivait lors de ses voyages à l'étranger. Néanmoins, Azaria n’y demeura que six mois. Elle n’était pas idiote et elle savait bien que son oncle ne lui laisserait aucun répit. Elle décida donc de partir à San Francisco, non pas qu’elle connaissait cette ville mais entendre Ruel en parler avec tant de passion lui donna envie d’y aller. De nouvelles possibilités lui étaient offertes. Ils se marièrent et vécurent heureux jusqu'à la fin des temps. Amen.
mon petit bouchon, ton histoire est tiptopcool ! j'exige un lien, tu le sais, on s'aime d'amour.
Parfait, t'es validé[e], babe!
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