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pour toujours & à jamais - T&C i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | Mar 10 Avr - 18:45 | |
| Tamara Ҩ Clyde « Near, far, wherever you are I believe that the heart does go on Once more you open the door And you're here in my heart And my heart will go on and on » Le weekend à Vegas qui avaient plutôt bien commencé avait été un véritable désastre, je n’avais pas fermé l’œil du weekend après mon erreur, le samedi soir j’avais passé mon temps à supplié Tamara de me pardonner et de me laisser entrer dans la salle de bain là où elle était enfermé, mais rien n’y faisais. Elle était sortie au beau matin juste pour qu’on aille prendre le premier vol. Je ne l’avais pas vu depuis ce temps-là elle avait pris soin d’éviter mes appels, de ne pas m’ouvrir la porte ou même répondre à mes mails. Aujourd’hui, elle était venus m’insulter sur facebook cela me surprenais guère à vrai dire. Au bout de quelques minute de conversation elle m’a simplement sortit les trois mots que je redoutais le plus « Laisse-moi tranquille » j’avais beau protester rien n’y faisais et je la comprenais, je ne pouvais pas la blâmer de me détester pour ce que j’avais pu lui faire. Alors, j’avais juste obéis je l’es laissé tranquille je suis sortie de ma chambre d’hôtel en trombes je n’avais pas osé réintégrer l’appartement après cet histoire, j’avais enfilé mon casques et sauté sur ma moto. J’ignorais bien où je voulais aller, où je pouvais aller je conduisais. Ma vue se brouillais peu à peu, ouai a ce qu’il paraît c’était la honte pour un homme de pleurer, je m’en foutais. Je m’en voulais tellement d’avoir blessé Tamara à ce point, j’avais tellement peur de la perdre à cause d’une stupide erreur de ce genre. Mais pourquoi j’avais prononcé le prénom de Ciara au lieu du siens ? J’étais vraiment le dernier des imbéciles ! Je ne regardais même plus la routes, je voyais le visage de ma belle se dessiner devant mes yeux, c’est tous ce que je voulais voir elle ! C’est surement pour ça que je ne pris pas la peine de regardé autours de moi afin de faire un demi-tour en trombes sans prévenir personne. Sans que je ne puisse comprendre quoique ce soit, une camionnette me percuta de plein fouet.
Le jeune homme avais volé hors de sa moto, la scène c’était passé si rapidement que le conducteurs n’avais pas pu l’éviter. Les passant c’était retourné en entendant les bruit de taules froissés, certains c’était précipités immédiatement vers lui le téléphone déjà vissés à l’oreille expliquant les moindres détails, décrivant l’état du jeune homme. Dans la précipitation il n’avait pas pris la peine d’attacher son casques, cet oubli avais fait voler le casques lors du choc de ce dernier contre le macadam. Le coup à la tête avait été assez violent pour que le motard perdre connaissance et perde énormément de sang. Les secours été arrivés relativement vite aussi, l’accidenté avais été conduit en un temps records à l’hôpital de San Francisco, il avait été immédiatement été pris en charges car chaque minute, chaque secondes comptait à présent. Grâce au papier et au téléphone portable du tatoué il avait pu être identifié, ses proches avait pu être mis au courant de l’état de leurs ami. Il avait passé plusieurs heures au bloc sans que personnes ne sache quoique ce soit sur son état, l’opération fut délicates, mais par chance sa blessure au crâne n’étais pas très profonde. Sa main droite avais été touché, un plâtre avais été mis en place et sa colonne vertébrale avais été gravement touché et les médecins n’étais pas sûre à cent pour cent qu’il puisse récupérer toutes ces capacités. A la sortit du bloc, le patient avais été conduit dans une chambre et le médecin m’étais au courant les proches de la santé du jeune homme
« Bonjour, Docteur Stevens c’est moi qui me suis occupé de monsieur Iver. Monsieur Iver à perdus une grande quantité de sang dû à sa blessure crânienne forte heureusement la blessure n’étais pas trop profonde et n’a pas touché le cerveau. Cependant dû au choc il a subit une commotion cérébrale qu’il l’a plongé dans le coma. Nous ne pouvons vous dire quand il va se réveillé et … il est aussi possible qu’à son réveil il perde la mémoire. Le docteur marqua un temps de pause avant de reprendre. Il a aussi la main droite cassé, mais apparemment il avait d’ancienne blessures pas soigné qui ont peut-être endommagés sa main, sa colonne vertébrale a aussi été gravement touché. Mesdemoiselles, nous ne sommes pas sûrs qu’à son réveil il récupère toutes ses capacités mentales ou que ce soit pour utiliser sa main droite ou pour marcher …. Malgré les apparences, votre ami a eu énormément de chance. »
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| | | | Mer 11 Avr - 16:48 | |
| Chaque parole du médecin me percutait. C’était comme si un couteau me transperçait de partout à chaque fois qu’il parlait de l’état de santé de Clyde. Sang, perte de la mémoire, coma… Non. Je n’arrivais pas à croire que tout cela puisse être arrivé. Si seulement j’avais accepté ces excuses, si seulement je l’avais empêché de partir, si seulement je lui avais dit à quel point j’étais amoureuse de lui… Rien de tout ça ne serrait arrivé. Je revoyais Ciara qui me prenant la main, me disait que ce n’était pas de ma faute. Bien sûr que si c’était de ma faute. S’il n’était pas parti aussi dérouté, aussi énervé et aussi déprimé, jamais il n’aurait fait cet accident. J’en étais persuadée. Tout était de ma faute. Et juste pour une stupide histoire de prénom à la con. Oui, j’avais été blessée, oui je lui en voulais. Mais pas au point qu’il n’arrive à l’hôpital et qu’on me dise que son état est grave. Pas lui… J’avais l’impression de perdre un bon nombre de personnes depuis quelques temps. Je devais être maudite. Non pas lui… Pas Clyde, merde! Je crois que je n’avais jamais autant versé de larmes de ma vie. Je m’étais retenue longuement pendant que le médecin me donnait les explications, que j’en avais eu mal à la gorge. Mais quand Ciara me prit dans ses bras, je n’avais pu me retenir. J’avais ensuite demandé à une infirmière la chambre de Clyde. Elle me guida jusqu’à celle-ci et me laissa entrer seule. Il était là. Yeux clos, toutes sortes d’appareils autour qui se reliaient soit à sa bouche soit à son bras. Rien que de le voir comme ça… J’en tremblais. Je m’asseyais près de son lit, entremêlant mes doigts à ceux de sa main libre. Je savais qu’il ne pouvait pas me sentir, ne pas m’entendre… Mais je commençais à lui parler.
« Je suis là Clyde… N’abandonne pas. Ne me laisse pas, je t’en prie… »
Limite si je me croyais dans une de ces séries à l’eau de rose, où je pleurais machinalement en regardant la télévision. Sauf que là, ce n’était pas de la fiction. C’était la réalité. Et la réalité faisait une tonne de fois plus mal. Je pleurais en silence, le fixant derrière les larmes qui me brouillaient la vue. Je restais une nuit entière comme ça. Sans bouger, sans manger. Je m’étais couchée même près de lui un moment. Entendre son cœur battre me donnait de l’espoir. C’était con, mais c’était comme ça. Un minime détail pouvait tout basculer. Frankie passa le jour suivant, m’apportant un peu de quoi manger et restant une petite heure avec moi pour rendre visite à Clyde. Rien n’avait bougé. Le médecin rétorqua qu’il fallait être patient. Tellement j’étais désemparée, je crois que j’aurais pu le claquer. Mais je retournais mon attention sur Clyde qui demeurait comme endormi. Je ne pleurais plus. Mais le mal demeurait présent. Mes yeux ne se fatiguaient pas de l’observer. J’attendais le moindre signe, j’étais très attentive. Je caressais doucement sa main avec mon pouce et je patientais. Je patientais…
« Reviens moi… Je t’aime… » |
| | | | Mer 11 Avr - 18:03 | |
| Tamara Ҩ Clyde « Near, far, wherever you are I believe that the heart does go on Once more you open the door And you're here in my heart And my heart will go on and on » Le médecin s'excusas est pris congés auprès des deux jeunes femmes pour retourner à ses occupations respectives, durant les trois jours qui suivait il repassa régulièrement pour contrôler les moniteurs et surtout l’état du patient qui semblait être stabilisés, mais aucun signe ne semblais dire qu’il allait se réveillés dans quelques heures, quelques jours ou quelques semaines. Les infirmières passaient aussi régulièrement avec cette mine de tristesse lorsqu’elle regardait la jeune femme qui ne quittait pas les lieux depuis l’admission du patient. D’autres personnes passaient quelques fois, Ciara qui était là pour le premier soir, Frankie qui avais passé une après-midi complète avec la jeune femme et le malade et d’autres surement. Les bips incessant que provoquais les machines, ne rassurait en rien, bien au contraire. Les infirmières demandais souvent à la jeune femme si elle voulait rentrer chez elle afin de dormir un peu, prendre un peu l’air, elle lui promettait de l’appeler au moindre problème, au moindre changement, mais rien n’y faisait elle restait là sans émettre le moindre signes de faiblesse, l’espoir lui donnait surement de la force. Trois jours, trois long jours était passé depuis le drame et rien ne semblais s’améliorés ou bougé, l’attente devenais insupportable et cela pouvait durée encore des jours, des semaines voire même des années …
Tout étais flou, brouillés, je ne comprenais pas les mots et toutes cet agitations autours de moi. Tous ces gens c’était qui ? Qu’est-ce qu’ils me voulaient ? Pourquoi ne me laissaient-ils pas voir Tamara ? Elle était ou d’ailleurs ? Je ne comprenais plus rien, j’avais un mal de crâne horrible je ne pouvais plus bouger, je ne sentais plus ma main droite, je ne comprenais pas. Les heures passais, enfin je crois, je ne sais pas … des images brouillés dans ma tête me rappelait ce qu’il c’était passés, je me revoyais sur la moto, je me revoyais imprudent faire demi-tours, je voyais le camion et je ne voyais plus rien que du flou, des bribes d’images, des sons. Je pensais à Tamara, est ce qu’elle savait ? Est-ce qu’elle allait venir ? Non … elle était trop en colère et je n’avais surement rien, je devais juste me réveillés. J’étais surement dans mon lit en train de faire un mauvais rêves, je devais être encore à Las Vegas, juste avant que je prononce le mauvais prénom, dans mon rêve je ne faisais pas cette stupide erreur, non dans mon rêve je lui disais que je l’aimais plus que tout, que je ne m’imaginais plus sans elle que rien que cette pensée de la perdre me faisais terriblement mal, dans mon rêve je sortais sortait le cadeau que je lui avais acheté, un collier avec un pendentif en forme de cœur, dans mon rêve je lui demandais de faire une folie avec moi, je lui demandais de profiter de notre séjours et de nous marié juste pour le fun et qu’on était pas obligé de légalisés ca une fois rentrer à San Francisco. Dans mon rêve elle pleurait, mais elle ne pleurait pas parce que je l’avais fait souffrir, nan elle pleurait de joie. Les jours passé et des voix que je reconnaissais étais aussi présent en plus de celle de Tam, je sentais sa présence, je sentais sa main dans la tienne, j’avais envie de la serrer, j’avais envie de lui parler, de lui dire que je l’aimais aussi que je ne l’abandonnerais pas, mais je n’y arrivais pas. Je me disais que c’était la fin, que je ne la reverrais plus jamais et que je l’avais fait souffrir une ultime fois … Je sentais qu’elle se couchait à côté de moi, qu’elle me serrait encore la main plus fort, je sentais son souffle dans ma nuque … Un sourire se dessina sur mon visage, ma main serrais la sienne et quelques mot à peine audible sortait de ma bouche
« Pas ce soir chérie … J’ai mal à la … tête… »
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| | | | Ven 13 Avr - 18:04 | |
| Je n’allais pas abandonner. Je n’allais pas désespérer. C’était impossible qu’il puisse me laisser. Juste impensable. Je ne voulais pas non plus le laisser, je voulais être près de lui, quoi qu’il puisse se passer. Le sentiment de culpabilité m’avait envahit depuis bien longtemps. Si le pire venait à se produire, je ne m’en remettrais jamais. J’avais déjà tellement vu de personnes mourir ou s’en aller sous mes yeux, que je pense que je ne supporterai plus du tout. Je laisserai ma maladie me consumer. Je ne battrais plus, je la laisserai faire. Car là, la force de me battre venait de Clyde. S’il n’était pas là, j’aurais déjà flanché depuis longtemps. Les infirmières allaient et venaient, mais rien ne se produisait. J’avais tellement mal au ventre, comme si mon estomac s’entremêlait d’une force qu’il pourrait se briser en deux. Je n’avais jamais autant stressé de ma vie je crois. Mais je continuais d’espérer. Il le fallait.
Il devait être dans les 20h30. C’était le troisième jour, enfin la fin du troisième. Clyde n’avait toujours pas donné de signes. Le médecin venait de passer, ainsi qu’une infirmière pour vérifier que tout allait bien. Bien, tu m’étonnes, c’était vraiment une façon de parler. J’avais encore passé toute ma journée ici. En fait je n’étais même pas sortie de cette chambre depuis que j’y avais mis les pieds au début. C’était l’heure de me coucher à côté de lui. J’enlevais donc mes chaussures, et sans lâcher sa main, je me positionnais à ses côtés, laissant tomber ma tête contre son cou et là, je fermais les yeux. Mais je les rouvris aussitôt. Je sentais la main de Clyde serrer la mienne. Mon cœur rata un battement. Alors que j’allais me relever pour voir si je ne rêvais pas, j’entendis sa voix. Je détournais rapidement ma tête vers lui, me redressant pour mieux l’observer. Je terminais par étirer un grand sourire sur mes lèvres. C’était bien les répliques de Clyde ça.
« Clyde… »
Je me sentais tellement revivre, que je n’avais plus de mots. J’avais l’impression que mes yeux étaient à nouveau en train de se remplir de larmes. Mais cette fois de joie. J’approchais mes mains de son visage, les posant de chaque côté, en le caressant doucement.
« Je suis tellement désolée, je… »
Je n’eus pas le temps de terminer ce que j’avais à dire, que la porte de la chambre s’ouvrit et le médecin et une infirmière entrèrent. Ils me demandèrent de sortir du lit, ce que je fis à contre cœur, et je les laissais vaquer à leur travail. Au bout de cinq bonnes minutes, le médecin m’informa qu’il fallait laisser Clyde se réveiller tranquillement, mais qu’à priori, tout allait bien. Alors qu’ils quittaient la chambre, des larmes commencèrent à couler sous l’effet de la pression qui retombait. Je passais un revers de ma manche sur mes yeux pour ne pas que Clyde me voit comme ça, car il avait à présent les yeux ouverts. Je me rapprochais ensuite de lui, m’asseyant au bord du lit. J’avais une terrible envie de l’embrasser, mais le médecin avait dit qu’il fallait y aller doucement, donc je ne fis rien. Je repris sa main et je me contentais de sourire doucement avant d’engager une conversation sur un autre sujet :
« Comment tu te sens…? » |
| | | | Jeu 19 Avr - 14:22 | |
| Tamara Ҩ Clyde « Near, far, wherever you are I believe that the heart does go on Once more you open the door And you're here in my heart And my heart will go on and on » J’allais faire la chose la plus dur de toute ma vie, rien n’était comparable. Je sentais sa présence à mes coté chaque jours, chaque secondes depuis l’accident, je sentais sa présence, j’entendais ses pleure, mais je ne pouvais pas la réconforter lui dires que j’étais là que je n’avais pas l’intention de la laisser, elle me donnait une force incroyable ! C’est quand elle s’est couché à mes coté pour les énième fois, que j’ai sentis les battements de son cœur, son souffle dans ma nuque que de toute mes forces j’ai essayé de m’en sortir. Je ne sais pas comment c’est possible, comment c’est faisable où j’ai pu trouver toutes cette force, tout ce courage, mais j’avais réussis et les quelques mots que j’avais réussis à prononcer m’avais épuisés. J’avais envie d’une seule chose dormir encore et encore, mais avec la présence de Tam à mes coté je n’avais plus jamais envie de fermer les yeux, pour la regarder à n’en plus finir. Je n’eus pas le temps de dire quoique ce soit d’autre, que le médecin et deux ou trois infirmière débarquais pour enchainer les tests pour vérifier je ne sais quoi, je n’écoutais pas vraiment ce que ces dernier me disais, j’avais plongé mon regard dans celui de ma belle et je ne la quittais pas des yeux, je ne la quitterais plus jamais. J’avais envie de lui dire des millions de choses, notamment que j’étais désolé d’avoir gâché en beauté notre weekend à Vegas, de l’avoir inquiété de la sorte que je l’aimais et que je ferais tout ce qui es en mon pouvoir pour qu’elle me pardonne cet erreur. Le médecin partit, non sans me donner quelques recommandations pour ce soir, comme dormir, il me dit que j’avais eu beaucoup de chance, il m’expliqua en quelques mots quel partit de mon corps avais été touché il ne précisa rien de plus, il préférait me laisser tranquille pour la soirée et passé dans la matinée pour tout m’expliquer en détails. J’étais soulagé qu’ils partent, je n’avais pas le cœur à supporter d’autres termes médicale je voulais juste être avec Tamara. Je serais sa main, je voulais me redresser pour la prendre de mes bras, mais mon corps ne m’obéissais plus, un peu perdus j’évitais d’y penser, je mis toutes mon attention sur la brune. Comment je me sens ? Mon instinct me disait que durant les prochains jours j’allais souvent entendre cette question et que j’allais souvent la détester. Je souriais quand même avant de répondre sur un ton humoristique « Comme … si je venais de … me prendre un camion ». Je serais un peu plus la main de la belle « Je … suis tellement désolé … pour tout » Je repris ma respiration avant de reprendre « Je voulais arranger les choses …. Et …. Je crois que j’ai tout gâché… »
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