✱ NOM/PSEUDO : Darlingx/Carine
✱ ÂGE : vingt et un
✱ J'HABITE : France
✱ PERSONNAGE : inventé
✱ CODE : OK par June
✱ UN PTIT MOT? I'm sexy & i'm know it

« Je ne vois pas à quoi tout ça va vous servir, je ne vois pas en quoi cela va changer quelque chose de votre vie de savoir que je réagie au quart de tour, que je n’oublie rien, que je ne pardonne pas, que je n’es peur de personne, que je suis pas forcément le plus sympas, que je drague & saute tout ce qui bouge, que je suis pas forcément le plus clair des types, que je ne pense qu’à ma gueule. J’ai un caractère de merde, mais cela me sert à me protéger des gens qui oserait se servir de moi. Vous avez toujours envie de connaitre mon histoire ? »

« Aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais été envieux de personne et je n’ai surtout manqué de rien. Je viens de San Francisco, ma ville natale, j’ai vécue ici jusqu’à mes quinze ans. J’avais une famille plutôt aimante, enfin on s’aimait parce qu’on était obligé nous n’étions pas proche on donnait juste l’apparence de la famille parfaite. Mon père était l’un de ces mec super reconnus dans tout SF, pour être franc je n’ai jamais su ce qu’il faisait comme métier, je savais juste qu’il rapportait beaucoup d’argent et que j’étais heureux quand il m’en donnait une partie, ma maman était l’une de ses femmes plus amoureuse de l’argent que de l’homme en lui-même, elle était journaliste et je l’es toujours admiré, cette manière de faire croire à tout le monde qu’elle nous aimait plus que tout au monde alors qu’elle nous a quitté du jours au lendemain le jours de mes quatorze ans. Je n’ai jamais cherché à la revoir. Cette histoire ne nous a pas rapproché mon père et moi, il faisait sa vie je faisais la mienne et basta. Un an plus tard, j’ai appris que ce dernier avait des problèmes de cœur je l’es appris bien trop tard … le jour où il a succombé à sa crise cardiaque. Suite à sa mort, on a voulus me placer en foyer pour jeunes, mon paternelle avais tout prévus sur son testament il m’avait légué toutes sa fortunes et je ne savais pas à quel point elle était immense, il avait aussi précisé que j’étais bien assez mature pour parvenir à mes besoins tout seul et que le fait de me mettre en foyer n’étais pas conseillés. Evidemment, comme la loi interdit à un mineur de s’occuper de son argent seul, j’ai eu le droit à un tuteur. Le frère de mon père. Lui aussi avais un métier qui lui rapportait de l’argent, il voyageait beaucoup je l’es donc suivis dans les quatre coins du monde jusqu’à ma majorité ou j’ai pris ma propres routes.
Je me suis posé quelques temps en Italie, c’est là que ma vie a changé je me suis plongé dans tout ce qui est drogue et compagnie. C’est aussi là que je l’es rencontré, cette envoutante créature, la seule capable de me faire tourner autant la tête ! Je me souviendrais toujours de la première fois où on s’est vu, de son regard de son magnifique sourire … on a plongé dans l’enfer elle et moi, drogue, alcool, amour tout ce qui est possible de nous détruire, mais on était bien, on était heureux et on s’aimait. Nous nous sommes mariés au bout d’un an, on se détruisait mutuellement et ça nous convenait. J’avais arrêté la drogue, on c’était installé en France j’avais trouvé un petit boulot merdique histoire de m’occuper. Quand à ma belle, elle m’avait juré qu’elle avait arrêtés, je l’es suivit pendant l’une de ses nombreuses sortit nocturne, à la recherche de sa dose quotidienne. J’ai commencé à m’en prendre au dealeur, une bagarre s’en es suivit, j’ai reçus un coup de couteau qui m’a empêché d’éviter le pire … ma belle à voulus me venger j’ai tourné les yeux deux secondes, deux secondes fatidique où je n’ai pas pu la retenir, le dealeur la poussé, sa tête a violemment frappé le sol elle est morte sur le coup. Une partie de moi est morte avec elle, c’est la seule femme que j’ai aimé et que je n’aimerais jamais, j’avais vingt-quatre ans et j’étais déjà veuf. J’ai quitté la France je suis revenus à San Francisco pour oublier. Aujourd’hui je suis le plus parfait des connards, j’utilise les femmes juste pour le sex, je prends je jette et ça ne va jamais plus loin. »