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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH CHARLOTTE MARCHAND ✱ you fit me better than my favorite sweater. 79124 CHARLOTTE MARCHAND ✱ you fit me better than my favorite sweater. 79124

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i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
Invité
Invité
Sam 17 Mar - 22:29


Charlotte Anais
Marchand


✱ JOB/ÉTUDES : serveuse
✱ SITUATION : en couple avec Eliott Jones
✱ ORIENTATION : hétérosexuelle
✱ ÂGE : 21 ans
✱ ORIGINE : Paris, France
✱ AVATAR : Kaya Scodelario
✱ GROUPE : love


facebook
« enlève ton masque d'anonymous è.é »

✱ NOM/PSEUDO : romy
✱ ÂGE : 19 ans
✱ J'HABITE : en France
✱ PERSONNAGE : Scénario à la base, mais super vieux
✱ CODE : [OK by June]
✱ UN PTIT MOT? DANSE DE LA JOIE

JE PRENDS CONNAISSANCE DU FAIT QUE POH EXPLOITE SON JEU ÉGALEMENT SUR FACEBOOK ET QUE ME CRÉER UN COMPTE EST RECOMMANDÉ, QUE MON PERSONNAGE POURRAIT FIGURER DANS LES ARTICLES DE LA BLOGUEUSE TRUE LIE ET QUE J'AI PASSÉ LE TEST PSYCHOLOGIQUE POUR VENIR ICI AU PRÉALABLE
romychou
 
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Anonymous
Invité
Invité
Sam 17 Mar - 22:30

this is my story
« I want love to murder my own mother »


Quand je suis née, j’aurais du me douter. Me douter que ma vie était partie pour être un fiasco. Mais non, j’ai foncé « droit dans le mur ». J’ai grandi à Paris, ville Lumière, ville ce que vous voulez, ville où j’ai vécu jusqu’il y a peu de temps.
Mes parents n’étaient pas vraiment ce que l’on pouvait appeler des riches. Ils travaillaient tous les jours, parfois tard… Nous n’étions pas pauvres, mais on n’était pas riche non plus. Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais manqué de rien. Vraiment, il faut bien l’admettre. Fille unique, mes parents ont toujours fait attention à ce que j’ai tout ce qu’il me faut. Bien sur, je n’allais pas m’acheter des trucs inutiles, mais j’avais tout ce qu’une petite fille avait besoin. D’ailleurs, je me demande pourquoi du coup, pourquoi je suis partie en vrille quelques années plus tard. Mais bon, passons.
Très vite, je me suis rendue compte que la plupart du temps, il n’y avait personne d’autre que moi dans notre appartement parisiens. Mes parents travaillaient beaucoup, et j’ai vite remarqué qu’il développait un certain syndrome de lassitude avec moi ; vous savez quand vous offrez un nouveau jouet à un enfant, pendant quelques jours, quelques mois, il ne le quitte plus, s’amuse tout le temps avec, et puis un jour, il en a marre, il trouve un nouveau jouet, plus cool, plus neuf, plus sympa et l’ancien est peu à peu abandonné au fond d’une malle. J’ai vite eu l’impression d’être le vieux jouet, bien que mes parents n’eurent jamais d’autre jouet, comprenez, d’autre enfant. Je restais définitivement fille unique, et bientôt encore plus : fille toute seule.
D’un autre coté l’école ne m’intéressait pas trop. Disons, que je n’étais pas très assidue. J’avais des facilités, c’était sur ; je préférais clairement apprendre seule, réviser seule que d’être dans une salle de classe, j’étais autodidacte ; si bien que même si il m’arrivait (de plus en plus) de sécher les cours, je n’étais jamais à la traine. Mes parents (qui de toute façon ne se rendaient compte de rien) n’y voyaient que du feu. Je vivais ma vie, tranquille. Je passais mon temps dans les rues de Paris, sur les Champs Elysées. Je rêvais de vivre dans le XVIème arrondissement. De m’habiller chez Chanel, de perdre mes sacs Louis Vuitton comme d’autres perdent leurs sacs en plastique Franprix.
A l’école j’étais assez populaire je crois. Je ne sais pas par quel moyen, je m’étais retrouvé dans une école de bourges, j’étais aux anges dès le début. Ravie d’être avec eux, ravie d’être parmi eux, j’avais l’impression que c’était ma chance pour moi de devenir « comme eux ». Stupide, comme si l’argent allait me tomber sur la tête juste parce que j’étais dans une école chic… Je crois qu’ils m’aimaient bien parce qu’ils voyaient en moi la « rebelle de service » celle qui n’était pas comme eux, qui osait les choses, qui n’avait pas peur des conséquences, peur d’être punie.
Tout allait parfaitement bien, après tout j’étais clairement libre de faire ce que je voulais, j’avais tout ce dont j’avais besoin, ni trop, ni trop peu. Je n’avais au fond vraiment pas de quoi me plaindre. A part toujours cette même envie d’être une autre plus riche, plus belle, plus… plus tout.
Un jour, sans trop savoir pourquoi, j’ai commencé à trainer avec les mauvaises personnes. Pourtant, je n’étais pas du genre influençable. Mais bon… J’ai commencé à sortir, beaucoup. J’ai même cru tomber amoureuse.
Il s’appelait Lucas, c’était ce qu’on appelle un bad-boy. Je l’avais rencontré à une soirée un peu glauque où j’étais allée, parce que je n’avais pas pu me rendre à une soirée populaire et je n’avais aucune envie de rentrer chez moi. Alors j’avais allumé une cigarette et j’étais partie sans trop savoir où j’allais. Et je m’étais retrouvé dans un coin un peu bizarre où se trouvaient mes « nouveaux amis ». Il était assez tard quand il est arrivé. Ou assez tôt, c’est selon. Quoi qu’il en soit, j’étais déjà dans un état plutôt lointain de la réalité, j’avais l’impression d’avoir bu mon poids en litres de vodka et autres rhums… J’avais mal à la tête et je trainais sur la terrasse dans l’espoir d’un peu d’air en cette nuit d’été. Nous étions effectivement en plein mois d’aout et bien que l’orage gronde, il n’y avait pas un courant d’air. J’étais assise par terre, les pieds dans le vide à travers les barreaux du balcon et il s’est assis à coté de moi. Je n’ai pas bougé, déjà parce que je m’en foutais et parce que j’en avais même pas la force. Je sentais son regard sur moi, alors je me suis composé un visage sombre et distant avant de me tourner vers lui, il était brun, avait des cernes qui encerclaient ses yeux et il me regardait, et je crois même qu’il souriait. Il a rien dit, il m’a embrassé, je l’ai laissé faire.
C’était la relation la plus étrange que j’avais jamais eu. Si on pouvait appeler ça une relation, je n’ai même jamais trop su si nous étions ensemble. Quoi qu’il en soit, ça a duré pendant plus de 6 mois. Il m’entrainait dans des situations que je ne contrôlais pas. Moi, tête brulée, je ne refusais rien de toute façon, j’aimais trop cette adrénaline qui me parcourait quand j’étais avec lui. J’ai fini au poste de police du XIème arrondissement un soir, j’étais complètement bourrée et défoncée, et il m’avait entrainé dans une histoire sordide, dans des ruelles de Paris, j’avais été arrêtée par la police, il s’était tiré. C’est mes parents qui étaient venus me cherché, je ne les avais encore jamais vu inquiets pour moi. Ile m’ont demandé de le quitter, de ne plus le voir, et j’ai su que c’était la meilleure chose à faire, que c’était le truc le plus gentil que mes parents aient pu me dire. Je l’ai fait.
Quand il est arrivé vers moi quelques jours plus tard, un sourire aux lèvres, il ne s’inquiétait même pas de savoir ce qui m’était arrivé en garde-à-vue. Il souriait et j’étais à deux doigts de lui tomber dans les bras, mais j’ai tenu bon. Je lui ai dit tout ce que j’avais sur le cœur, j’ai tout lâché. « C’est pas possible, bien sur que c’est fini pour nous. Tu peux plus faire ce que tu fais avec moi. Regarde toi, j’étais au commissariat et tu as attendu deux jours avant de venir me voir. Je peux plus tu vois, je suis fatiguée. Casse-toi. »
Pour moi c’était fini. J’étais prête à me remettre sur les rails, à retrouver la raison. Il a insisté quelques temps, et puis il m’a laissé. Ma descente aux enfers s’achevait, j’étais prête à revenir et reprendre le cours de ma vie.
Autant je me fichais de l’opinion que mes parents avaient de moi, autant je m’inquiétais de ce que mes amis pensaient, je voulais qu’ils soient fiers de moi.
C’est à ce moment là que j’ai recommencé à sortir du coté des Champs…

J’avais réussi à remonter la pente. J’étais plutôt fière de moi. J’avais tout laissé derrière moi, bien décidée à tout oublier et surtout à ne plus me laisser avoir par un mec. J’étais prête à devenir un roc, un mur.
Je repris donc ma vie, toujours sans mes parents, bien sur. J’avais alors 18 ans, et je sortais tous les soirs, je n’avais presque pas un sou, mais j’étais dans les meilleurs soirées de Paris, j’étais LA où il fallait être, je me liais avec tous ces gens qui pensaient que j’étais comme eux, que j’habitais dans un loft luxueux. Je me fichais que ce soit faux, ce que je voulais c’était « être ». J’avais réussi à tout laisser derrière moi enfin, et à devenir celle que je voulais être. J’étais persuadée d’avoir tout ce dont j’avais besoin.
Et un soir, je l’ai rencontré, je l’ai vu. Un dragueur, on me parlait de sa réputation, toutes les filles étaient à ses pieds, et moi aussi je crois. Mais je ne voulais pas me faire avoir une nouvelle fois. Pourtant quelque chose d’incontrôlable m’attirait chez lui. Léopold. Je me fichais soudainement des conséquences, je le voulais, lui. À la fin de cette soirée, il s’avéra qu’il me voulait moi. Je ne sais pas s’il croyait que j’étais comme lui, riche, mais je m’en foutais complètement.
Nous nous sommes revus plusieurs fois, j’ai même fini par lui avouer que je n’étais pas celle qu’il croyait, contre toute attente, il resta avec moi. C’est là que j’ai compris que nous étions ensemble, lui et moi, un couple, un vrai. Je crois même que j’étais heureuse, en couple et heureuse, c’était étrange comme sensation.
Je me faisais prendre, une nouvelle fois au jeu de l’amour, j’étais complètement amoureuse de Léo, et je n’avais pas peur de revivre ce que j’avais déjà vécu, parce que je savais qu’avec lui ça n’arriverai pas. Qu’il ne me ferait pas ça. Il avait arrêté de draguer, pour moi, il était devenu fidèle. Chose incroyable, je me livrais à lui, sans peur.
Pendant huit mois, alors nous avons été dégoulinants, nous étions exactement ce que j’avais voulu éviter : amoureux. Tout allait parfaitement bien.
Jusqu’à ce qu’il me demande en fiançailles. Chose étonnante, j’ai accepté, j’avais vraiment envie de ça. Charlotte Marchand, allait être fiancée avec un gars complètement riche et amoureux d’elle. Elle allait tout avoir. Et puis quelques jours plus tard, j’ai flippé, littéralement. Qu’il se rende compte que ce n’était pas ce qu’il voulait et qu’il me laisse sur le bord de la route. J’avais gouté au luxe, je ne voulais rien perdre de tout ça. Je voulais absolument garder cette nouvelle vie. Mais j’ai tout foutu en l’air. C’était comme si je savais que les choses allaient tourner à la catastrophe, alors j’ai pris les devants, et j’ai fait la chose la plus stupide qui me passait par la tête.
Son père était irrévocablement attiré par moi, et je me suis dit que lui allait m’apporter plus, inconsciente de ce que je faisais, j’ai foncé dans cette relation. La tête la première j’ai replongé dans l’enfer. Il me faisait de merveilleux cadeaux. Lui comme moi voulions garder cette relation caché, tout était parfait si on pouvait dire les choses comme ça.
Jusqu’au jour où Léo à débarqué quand nous étions les deux. Il nous a découvert tous les deux, son père et sa fiancée ensemble. Il est parti. Il a quitté la France, j’ai vite appris qu’il s’était réfugié à San Francisco.
Après m’être moi-même rendue compte que son père se fichait de moi, que je l’intéressais uniquement sexuellement, je me suis mise à culpabiliser, je me dégoutais. Il n’était rien, et n’allait rien m’apporter. J’avais perdu Léo et je voulais le récupérer. Le temps passait et je n’avais d’autre choix que de constater que Léo me manquait. Plus que je ne voulais l’admettre : j’avais commis la plus grosse erreur de ma vie en le trompant.
Je décidais donc de faire la seule chose qui me paraissait raisonnable, et qui ne l’était en fait pas du tout. J’ai pris mes économies et le premier avion pour San Francisco. Bien décidée à le retrouver. A retrouver notre relation…
En avril 2011, je débarquais à San Francisco. Les mains dans les poches. Je ne sais pas trop ce qui m’a pris de partir comme ça ; je n’avais aucune chance de retrouver Léo.
Pourtant, j’ai réussi. Je l’ai vu, je lui ai dit que j’étais désolée. Que je voulais repartir à zéro, mais il n’a jamais voulu m’écouter. Il est parti sans se retourner.
Par un hasard assez incroyable, j’ai retrouvé Lilas, ma meilleure amie. Elle avait disparue en France, enlevée et j’avais été la pire amie du monde en ne la cherchant pas. Mais aujourd’hui elle et moi étions là, à San Francisco.
Très vite, je me liais avec du monde. Je rencontrais Alan et Khris, deux mecs complètement disjonctés qui sont devenus rapidement mes meilleurs amis.
Lilas, Alan, Khris et moi. Durant les vacances d’été, nous sommes partis tous ensemble en France. Pendant deux mois.
Et c’est cette distance qui paradoxalement me rapprochait d’Eliott Jones, le petit frère de Khris. Il me manquait, et je ne comprenais pas vraiment ce qu’il était en train de se passer.
En rentrant à San Francisco, mon appartement avait été dévasté par une tornade. Je n’avais plus rien. Instinctivement, je me réfugiais chez Eliott.
C’est là que le « nous » avait commencé. Eliott était différent de tous ceux que j’avais connus avant lui. Et c’était une bonne chose.
J’étais heureuse avec lui, amoureuse. Et puis j’ai appris que j’étais enceinte, mais pas de lui. D’un garçon que j’avais connu cet été à Paris. Je décidais d’avorter. Eliott restait avec moi. Je comprenais qu’il m’aimait aussi.
Mais notre histoire été semée d’embuches ; Eliott se fit agresser, je ne savais pas comment réagir. Je décidais de rester à ses cotés, parce que je l’aimais plus que je n’avais jamais aimé personne. Jusqu’à ce qu’il m’apprenne qu’il m’avait trompé. Moi qui avais fait des efforts inimaginables pour lui, j’avais l’impression que tout s’effondrait. J’étais obligée de le quitter. Même si je l’aimais encore…
Et puis, récemment, en février, je du rentrer en France pour voir ma mère qui était malade. Mon père voulait que je la voie « une dernière fois ». Ca m’éloignait de mes problèmes, mais ce que je ne savais pas, c’est que ça me rapprochait d’un nouveau problème.
A l’hôpital, juste avant de mourir, ma mère décidait de me dire la vérité. Quelle vérité ? « Tu as une sœur, Charlotte. Tu as une sœur que j’ai eue d’une aventure, avec un italien. Ton père le savait, et il accepté de rester avec moi, si je l’abandonnais à son père. C’est ce que j’ai fait. Parce que j’aimais ton père. Et quelques mois plus tard, j’étais enceinte de toi... » J’étais sous le choc. J’avais une sœur, une grande sœur.
Le jour de l’enterrement, je regardais si jamais elle était là. Dans le fond, je remarquais une fille qui me ressemblait. Mais je fis comme si je ne l’avais pas vue. Je n’étais pas prête à l’affronter.
Début mars, je prenais l’avion et retournais à San Francisco. Laissant tout ça derrière moi. Enfin, c’est ce que j’imaginais.
Quelques jours après mon retour, Levanah l'ex de mon meilleur ami qui était revenue à San Francisco, elle aussi, emménageait avec moi, pendant que je me remettais avec Eliott, le seul que j'aimais.
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Sierra Desrosiers
Sierra Desrosiers
all i care about is love
AVATAR : Hayley Williams.
✱ ÂGE : 33
✱ QUARTIER : SOMA.
✱ COLOCATAIRES : Son mec et sa fille.
all i care about is love
Dim 18 Mar - 11:47

Oh oui c'est vrai que tu étais le scéna de Léo... Fuuu ça remonte :o


Parfait, t'es validé[e], babe!

Bienvenue, nouveau POHien !

Ça y est, tu es désormais chez toi ! Nous avons trouvé que ta fiche était de qualité satisfaisante pour figurer dans les fiches validées.

Avant de commencer à rp, nous t’invitons à faire réserver ton avatar ici, puis à venir nous rejoindre sur le réseau social facebook; nous te conseillons vivement de le faire, car cela aide beaucoup à l'intégration de ton personnage, mais aussi, de toi, joueur, dans notre grande famille ! Ensuite tu devras aussi créer un formspring, un téléphone et éventuellement un e-mail à ton personnage dans la partie communication.

N'oublie pas de bien remplir ton profil et de te faire aussi une fiche de liens/rps.

Pense aussi à passer sur la chatbox de temps en temps, tu y trouveras une ambiance de fous :3

La dernière chose très importante qu'il te faut retenir est que nous avons une "gossip girl" sur le forum, tenue par un petit groupe de membres motivés. Ta contribution à GG est très importante pour l'avancée du jeu, et voici comment t'y prendre: lorsque tu fais un sujet de rp, envoie un message à Gossip Girl pour les prévenir de ce qui s'est passé dans le sujet, ou ce qui va se passer... idem pour les appels ou les mails importants. Lorsque tu contacte les gossips, n'oublie pas d'indiquer la date à laquelle se situe le jeu, c'est trop important pour la cohérence des articles. Merci d'avance pour ta participation!

Nous espérons vivement que tu te plairas dans cette folle aventure parmi nous r3456

Nat Robbyn & Matthew
Admin
, June Sierra & Andreas
Admin
& Domenico
Modérateur

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