AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus  Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH  Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » 79124  Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » 79124

Le Deal du moment : -43%
-100€ Pack rééquipement Philips Hue ...
Voir le deal
129.99 €

 
  Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es »
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 2:45

 Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » Tumblr_lm4aieW9Hw1qeyh41

    Panier en plastique pour faire les courses au bras, je m'avançais à l'intérieur du Wal-Mart. Je squattais l'ancien appartement de mon frère Alan en attendant de trouver un autre endroit pour vivre: je n'étais pas faite pour la solitude mais c'était soit ça, soit l'incruste chez je-ne-sais-quel-pote. Autant dire que j'avais trop de fierté pour quémander l'hébergement. Un pont me convenait même presque mieux, question de principes. Mais dans l'ancien appartement de mon frère, je me sentais tout de même rudement seule. Le parquet qui grinçait, le silence monotone... j'avais besoin de vie, et avoir pour seul compagnon mon chien Weed me semblait limité.
    En attendant, le frigo ainsi que les placards étaient quasiment vides, ce qui me forçait à faire des courses coûte que coûte. Tout du moins pour le nécessaire.
    Rayon alcools. Parfait. Passant ma main contre les bouteilles comme une petite fille, je finis par m'arrêter sur une de Tequila, qui faisait l'affaire. Seulement qui disait Tequila sous-entendait sel et citron.
    Je sortais alors de l'allée en quête des rayons alimentaire, un peu paumée dans un si grand espace. Les promos omniprésentes, les lumières aveuglantes et le son des cadis qui roulaient étaient désopilant mais peu m'importait: il me fallait mon sel et mon citron.

    Pourtant, ce fut d'autres articles qui attirèrent mon attention. Les capotes, à côté des dentifrices. Mon cerveau fit tilt lorsque je les repérais, à ma droite. A à peine vingt-et-un ans, il était normal -et même primordial- d'avoir des préservatifs sur soi. C'était l'élément clé du kit de survie même, une évidence ! Et alors que j'arrivais au niveau des capuchons en caoutchouc, je me stoppai nette. Un type un peu plus vieux que moi prenait tout l'espace, faisant lui même son choix... ce gars, je ne connaissais. C'était celui que j'avais rencontré sur le bateau, le bad boy qui avait le mal de mer.

    M'avançant vers lui discrètement, je rapprochais mon visage à quelques centimètres du sien, non sans un large sourire. « Je vous conseille les phosphorescences, on se croirait presque dans un remake de Star Wars lorsqu'on éteint la lumière » lui murmurais-je. Il fallait dire qu'avec Khris, on avait presque fait le tour de toutes les sortes de capotes probables et forcément, chacun avait ses petites préférences. Mais revoir cet homme ici m'amusait encore plus que notre première rencontre. Il m'avait vomis dessus, j'avais donc conscience du repas qu'il avait pris. Maintenant si j'apprenais quelle capote il utilisait, peut-être connaîtrais-je quelle genre de personne il mettait dans son lit. Ludiques et drôles comme observations, bien que peu communes... « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » dis-je avec humour tout en regardant une boîte de préservatif goût fruits de la passion.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 4:05





Ça faisait quelques jours déjà que j’étais à San Francisco et je dois dire que je commençais sérieusement à être en manque de pas mal de chose. Dentifrice, brosse à dent, gel douche, bref tout le nécessaire de toilette. En réalité … j’en avais surtout marre de sentir le savon pour fille ! Je n’ai absolument rien contre ça, mais sur moi c’est une tout autre histoire. J’appréciais la générosité de mes nouvelles colocataires vis-à-vis de ma personne, mais le bon sens eut finalement raison de moi; je devais bouger mon cul et acheter le nécessaire. J’avais horreur des centres commerciaux, ce genre d’endroit me donnait tout simplement envie de vomir ! Après quel homme normalement constituer aimait fréquenter ce genre d’endroit ? Quoi qu’il en soit, après avoir pris une bonne douche et reçu quelques indications de la part de Kacee, je traçai ma route jusqu’au centre commercial.

Un petit coup d’œil à droite, un petit coup d’œil à gauche, ça y est j’étais perdu au beau milieu des allées. Non mais … c’est quoi le but de mettre autant de chose dans un si petit espace ? J’étais venu me chercher du dentifrice et comme par hasard je m’étais retrouvé dans les rayons de lingeries pour femmes enrobées !! Génial. Et j’allais où moi maintenant ? Je n’étais quand même pas pour demander mon chemin à la dame du service à la clientèle … elle me faisait les yeux doux depuis tout à l’heure … j’étais maudit ! Je relevai donc mes manches, pris mon courage à deux main et filai devant moi tête baissée en faisant comme si je contrôlais parfaitement la situation … et le pire dans tout ça c’est que ça avait fonctionné puisque je m’étais retrouvé dans la rangée approprié. Dentifrice et cap…otes ! C’est à ce moment précis que je me souvins de la petite réplique pourrie de Jared me conseillant de faire une provision de condoms … Mine de rien, ça faisait quand même dix ans que je n’avais pas coucher avec une fille … et à l’époque il n’y avait pas autant de choix … Bon sang par où commencer ?

Une petite boîte bleue capta alors mon attention … ultra lubrifiée … « Wow, le mec qui porte ces machins à un sérieux problème de sexappeal ! » J’étouffai un rire puis déposai la boîte avant d’en reprendre une autre. Je les enchaînai comme ça, les unes après les autres avant qu’une petite voix féminine vienne me faire sursauté. Oh putain ! C’était la fille du bateau ! Je veux dire celle sur qui j’avais vomi mon dîner… je l’aurais reconnu entre milles. Mais qu’est-ce qu’elle foutait la bon sang ? Bon heureusement que sa petite réplique m’avait fait rire parce que sinon … Sinon … ouais.

Ma tête se tourna d’elle-même en direction de la jeune femme et je lui adressai un sourire chaleureux en guise de salutation avant de répliquer à son petit commentaire « Vraiment ? Je ne crois pas avoir besoin de ça … je sais où je vais même dans le noir » Je baissai la tête … et me mit à jouer nerveusement avec la boîte que j’avais entre les mains. « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » décidément … elle ne ratait pas une occasion de me mettre dans l’embarras celle-là. « Bah écoute … j’allais justement te demander quelle sortes tu préférais toi … » Je lui souris à nouveau avant de prendre une boîte au hasard pour lui mettre dans les mains. « Nervuré … tu en pense quoi ? Est-ce que ça change vraiment quelques choses ces petites lignes ou c’est de la fausse publicité ? » Je me retenais fortement d’éclater de rire parce que c’était vraiment du n’importe quoi comme sujet de conversation. « À moins que tu préfères sans ? » Je me mordis la lèvre.



Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 14:56

 Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » Tumblr_lm4aieW9Hw1qeyh41

    J'étais naturellement sociable, mais des types pas très réceptifs, il y en avait partout. Heureusement pour moi, l'homme du bateau rit, bien que vraisemblablement étonné de me recroiser dans une ville aussi grande que San Francisco. Son sourire chaleureux me mit immédiatement à l'aise. Le temps d'une seconde, je me laissais même aller à la contemplation de son visage. Pas trop mal le foutu trentenaire, il fallait le reconnaître.
    Sa façon de jouer nerveusement avec les boîtes de préservatifs me faisait rire intérieurement. J'étais presque certaine de l'avoir embarrassé, et j'adorais cela. Moi, sadique ? Non, juste un peu trop taquine, sans doute.

    « Bah écoute … j’allais justement te demander quelle sortes tu préférais toi … » finit-il par me dire. J'haussais un sourcil, satisfaite par l'audace de sa réponse. Techniquement, ce mec était un inconnu: je ne connaissais ni son prénom, ni son âge ou encore sa situation... Les seuls éléments à ma portée étaient: qu'il avait le mal de mer, un penchant pour le sport à en juger sa carrure et une vie sexuelle active. Cela me suffisait pour le moment et entretenait un certain mystère entre lui et moi. « Nervuré … tu en pense quoi ? Est-ce que ça change vraiment quelques choses ces petites lignes ou c’est de la fausse publicité ? » continua-t-il. Je considérais la boîte qu'il me tendait, tout en stimulant ma mémoire du mieux que je pouvais. « Franchement, les nervurés c'est surtout ceux qui ne savent pas se servir de leur pénis. Les nervures donne un faux-semblant d'expérience sexuelle. Je trouve que prendre nervuré, c'est tricher... » lui répondis-je d'un ton entre le sérieux et l'humour afin de donner mon vrai avis avec légèreté. Les nervurés, j'avais déjà testé avec Khris. L'expérience avait été si étrange qu'on avait retiré le préservatif au bout de quelques minutes à peine... fou rire. Je me souvenais de ce moment où les larmes nous montaient aux yeux, à Khris et à moi. Rire après l'amour. Choquant, désinvolte ? Non. C'était ce genre de chose qui m'avait rendue heureuse, auparavant.

    « À moins que tu préfères sans ? » Mon interlocuteur me sortit immédiatement de ma rêverie. L'image de cet homme se mordant la lèvres tout en me parlant me marqua à jamais. Son expression était tellement sexuelle qu'elle en devenait gênante. Sa phrase resta en suspend quelques secondes. J'avoue avoir été prise de court, mais ce court silence n'était pas de taille à me déstabiliser. « Ahhh... bonne question. Je trouve qu'avec ça a son charme, on se sent en sécurité. Sans, j'estime que c'est s'ouvrir entièrement à la personne. C'est pourquoi... » Je choppais deux boîtes un peu à ma droite, prenant soin de passer juste devant mon interlocuteur sans le pousser. « ... J'ai toujours des classiques ou des fruités avec moi. Aucune faute de goût au moins » lui dis-je tout en haussant un sourcil. Je mettais les boîtes à côté de la Tequila dans mon panier et reporta mon regard sur les différentes boîtes de capotes. « Quoique, peut-être devrais-je prendre une taille de XXL au cas où. » J'eus à peine terminé ma phrase que je me mis à rire en compagnie du trentenaire sexy. Ma réplique était purement ironique et taquine. Je lui tentais clairement une perche car en réalité, je n'avais nullement l'intention de choisir ces préservatifs pour "gros calibres".

Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 18:05





Je l’écoutais parler, sourire aux lèvres. Sourire qui ne me quittait plus depuis qu’elle était venue m’interrompre dans ma sélection de préservatif. Avec cette fille c’était comment dire, naturel. Je sentais que je pouvais être moi-même sans avoir à me soucier de passer pour un con et c’est ce qui me plaisait dans tout ça. « Je suppose que tu as raisons, tu sembles être experte en matière de condoms dit moi … tu es représentante ou … » J’étouffai un rire avant de déposer la boîte que j’avais dans les mains pour me concentrer sur mon interlocutrice.

Elle semblait être ailleurs, perdue dans ses pensées, mais c’était très bien comme ça puisque je m’étais permis de la regarder avec un peu plus d’insistance. Je n’aimais pas particulièrement les blondes, mais elle, elle avait ce je ne sais quoi qui captait mon regard à tout coup. Peut-être que c’était ce faux air de sainte ni touche qui m’attirais ... ou simplement ce qu’elle dégageait en général … à voir. Bref c’était bien beau tout cela, mais ça avait suffi à me faire perdre le fil de notre conversation, c’est pourquoi j’avais relancé avec une question d’ordre un peu plus personnel… Ce n’était pas ‘’ voulu ‘’ si on veut, ça m’avait tout simplement échappé. J’avais toujours été comme ça moi, no pensée avant de parler, peu importe ce que ça plaise ou non, moi je disais ce que j’avais à dire et fort heureusement pour moi, ça n’avait pas choqué la jeune femme qui se trouvait à côté de moi. Au contraire, puis que la réponse qu’elle me fournit suite à cela me laissa sans voix. Je n’avais jamais vu la chose comme ça et je dois avouer que ce n’étais pas bête du tout. Après pour moi le sexe ça avait toujours été que du cul, pas de sentiments ni rien et à bien y repenser, j’avais toujours eu des rapports protégés.

J’aurais bien voulu répliquer à ses dernières paroles, mais le choix de ses préservatifs m’intéressait plus que la conversation à présent. ‘’ Classique et fruité ‘’ pensais-je en étirant le cou pour voir ce qu’il y avait d’autre à l’intérieur de son panier. « Je vois … tu ne te casse pas la tête toi en tout cas… Avec du classique on pourrait croire que ta vie sexuelle est un peu monotone voir platonique … mais vu la bouteille de tequila qui repose sagement à côté, je dirais que je suis mitigé.» Je lui souris de nouveau avant de choisir ma propre boîte de condoms que je balançai dans le fond de mon panier avant qu’elle ne remarque quoi que ce soit. «Quoique, peut-être devrais-je prendre une taille de XXL au cas où. » Est-ce qu’elle venait vraiment de dire ça ? Oh putain ! J’éclatai de rire sans retenue … je m’attendais à tout venant de cette jeune femme, mais là je dois avouer qu’elle m’avait tué ! J’aimais son sens de la répartie et le fait qu’elle soit sans gêne, mais le best dans tout ça c’est qu’elle s’imaginait que j’avais ‘’ THE PENIS ‘’ dans le pantalon quoi … Le gros machin qui sert à rien !! J’avoue que mon physique pouvais laisser croire ce genre de chose, mais de là a viser du XXL … « Ok toi tu couches avec Jared ! » Relançais-je en éclatant de rire à nouveau. « Bah écoute … c’est toi qui voit si t’aime la nature et les troncs d’arbre … pour ma pas trop ça… » J’accompagnai ma phrase d’un petit sourire avant de reporter mon regard sur le présentoir.

J’avais envie de jouer, vraiment ça me démangeais de voir jusqu’où elle pouvait pousser le jeu avec un inconnu c’est pourquoi je m’étais accordé le droit de lui lancé un défi … pas n’importe lequel, non. C’était une chose de complètement personnel et de très gênant, du moins pour moi parce que je risquais de passé pour le pervers de service après ça, mais ça ne me gênais pas. J’étais conscient de ce que j’avais dans le pantalon et pour tout dire j’en étais fier … Donc mine de rien, j’étirai l’élastique de mon pantalon ainsi que celui de mon boxer avant de reporter mon regard sur la jeune femme. « Et à l’œil … Tu crois que je chausse quoi comme capote ? »




Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 19:15

 Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » Tumblr_lm4aieW9Hw1qeyh41

    « Je suppose que tu as raisons, tu sembles être experte en matière de condoms dit moi … tu es représentante ou… » me dit-il avec humour. Il fallait dire que mes partenaires sexuels avaient toujours été... hors normes. Pas excessivement nombreux mais totalement marginaux. « Je vois … tu ne te casse pas la tête toi en tout cas… Avec du classique on pourrait croire que ta vie sexuelle est un peu monotone voir platonique … mais vu la bouteille de tequila qui repose sagement à côté, je dirais que je suis mitigé. » Je me retournais vers mon interlocuteur, qui avait les yeux rivés sur mon panier de courses. Je ne pus m'empêcher de rire. « C'est vrai qu'au premier coup d'oeil, ça pourrait être les courses d'une alcoolique nymphomane, mais je préfère dire que je suis une fêtarde qui ne veut pas chopper de MST, ça fait moins cas désespéré. »

    Je jetais de petits coups d'oeil vers l'homme afin d'être bien certaine de son sex appeal. Aucun doute, ce type était bien fait. Cet inconnu, devrais-je dire... même si je n'en avais absolument pas l'impression. Il avait suffit de quelques mots pour instaurer une atmosphère bonne enfance entre lui et moi, comme si nous nous connaissions depuis des années. Cela en devenait tellement bizarre que je me demandais si je ne l'avais pas rencontré quelque part auparavant. Impossible, je me serais souvenue d'une type pareil...

    Sa réaction face à ma référence aux préservatifs grandes tailles ne se fit pas attendre: il explosa d'un rire franc et dénué de retenue. « Ok toi tu couches avec Jared ! Bah écoute … c’est toi qui voit si t’aimes la nature et les troncs d’arbre… » Jared ? Jared ! Jared... Non, je ne connaissais pas de Jared, ou tout du moins, je ne m'en souvenais pas. « Non je ne couche pas encore avec Jared mais apparemment c'est une bonne référence en la matière » lui répondis-je en riant. La taille, je m'en foutais complètement, tout dépendait de la personne. J'avais même déjà flirté avec des femmes donc... autant dire que j'en avais -presque- rien à faire qu'il y ait un pénis ou non. Peut-être étais-je un peu de mauvaise foi à penser cela, car je n'avais jamais été confrontée à un homme "mal équipé", et j'avoue que cela ne m'attirait pas spécialement. Compréhensible, non ?

    Tels deux pervers, nous restions donc devant le présentoirs à préservatifs à discuter jusqu'à ce que... l'improbable se produisit. « Et à l’œil … Tu crois que je chausse quoi comme capote ? » Mon interlocuteur venait de baisser son pantalon ainsi que son boxer, dans une grande surface avec caméras, vigiles, clients divers et variés... Mon regard bloqua quelques secondes sur son engin puis remonta rapidement vers son visage. « Putain... » ne pus-je m'empêcher de souffler. D'accord, il était vraiment très très très bien foutu. Il me regardait, fier. Je me mordais douloureusement la lèvre inférieure pour m'empêcher d'exploser de rire. Les larmes me montaient aux yeux. Je tentais de souffler afin de faire redescendre l'euphorisme, mais avec difficultés. « Je pense qu'il faut du sur-mesure à ce stade, mais peut-être que les vigiles qui vont probablement arriver d'une minute à l'autre si tu ne remballes pas la marchandise pourront mieux te renseigner sur le sujet. »

    Fais chier. Ce type m'avait subjuguée. Il était arrogant et complètement timbré, mais ce subtil mélange rendait la créature d'autant plus folle. « Excuse moi mais... t'es vraiment réel ? Je veux dire, tu viens vraiment de me montrer ton matos là tout de suite maintenant ? » J'essayais de prendre un ton des plus sérieux mais je n'y arrivais pas. Étais-je en train d'halluciner ?! Ce fut une vieille femme, postée à quelques mètres de nous, qui me certifia l'authenticité de mon interlocuteur. Bouche ouverte, yeux exorbité, elle s'exclama: « Doux Jésus vous n'avez pas honte de montrer de telles choses à une demoiselle ! Goujat, immondice ! C'est un lieu public ici voyons ! »
    Elle frappa mon acolyte exhibitionniste avec son sac à main férocement. Il fallait faire quelque chose afin de se barrer en douce avant l'arrivée des vigiles.
    « Madame, madame voyons calmez-vous ! Mon mari ne connait pas bien les coutumes de notre société occidentale voyez-vous, il revient d'un long voyage qui l'a un peu... ahem... bouleversé. N'est-ce pas chéri ? Pardonnez son exhibitionnisme, ce n'était vraiment pas pensé à tord... » Sourire de faux-cul. La dame me regarde avec étonnement: c'était le mensonge le plus foireux de toute ma vie. Pourtant il semblait fonctionner, car la femme cessa de le frapper pour un temps. J'avais envie de rire, d'exploser de rire. Ce mec était fou ! Et j'adorais cela.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 24 Fév - 5:03





Pourquoi j’avais fait ça ? À vrai dire je n’en avais aucune idée. Pour moi c’était une connerie comme une autre et de toute façon personne ne me connaissait ici alors autant faire ce que je voulais pour rendre le jeu un peu plus, comment dire agréable ? Bref … La blondinette n’avait pas été la seule prise de court par mon geste. À vrai dire, il n’était pas prévu que mon pantalon glisse aussi bas. Et bah oui en l’espace de quelques secondes je me retrouvais le matos complètement libéré dans un centre d’achat bourré de monde et de caméra surveillance. Mon premier film porno tien, j’allais écrire ça dans mon agenda. Exhibitionnisme dans un magasin grande surface dix-huit ans et plus. La bonne blague !

La réaction de ma charmante inconnue me fit sourire. Je ne m’attendais pas à ce qu’elle réagisse de la sorte, mais ça me plaisait en vrai. Après quel homme n’aurait pas apprécié une telle réaction de la part d’une jeune femme a la découverte de l’élément qui fait la fierté d’un mâle? Aucun. « Je pense qu'il faut du sur-mesure à ce stade, mais peut-être que les vigiles qui vont probablement arriver d'une minute à l'autre si tu ne remballes pas la marchandise pourront mieux te renseigner sur le sujet.» Dit-elle pour me faire sortir de ma rêverie. « Ouais, rappelle moi de leur demander lorsqu’ils nous chopperons tous les deux pour nous faire passer un interrogatoire. » J’étouffai un rire et remontai mon pantalon alors qu’elle reprenait la parole. Je n’écoutais pas vraiment ce qu’elle me disait, en vrai j’avais la tête complètement ailleurs. C’est cette vieille dame qui m’attaqua à coup de sac à main qui me fit prendre conscience de la réalité. La pauvre elle avait dû être traumatisé par ce qu’elle venait de voir … C’est vrai qu’un pénis en pleine expansion, elle ne devait plus avoir l’habitude d’en voir mais quand même.

Je la laissais faire, me contentant simplement de me protégé avec mes avants bras. Je ne voulais pas répliquer à cela puisque premièrement c’était une femme et deuxièmement elle était âgée. Dur! Heureusement pour moi que ma compagne de jeux était doté d’une vivacité d’esprit hors pair parce qu’autrement j’aurais atterri au centre d’homme battu de la ville. Joke. «Madame, madame voyons calmez-vous ! Mon mari ne connait pas bien les coutumes de notre société occidentale voyez-vous, il revient d'un long voyage qui l'a un peu... ahem... bouleversé. N'est-ce pas chéri ? Pardonnez son exhibitionnisme, ce n'était vraiment pas pensé à tord...» l’intervention de la blonde me fit sourire, mari ein ? Pas mal … pas mal du tout même. Maintenant c’était à mon tour de faire mon entrer sur scène.

Lorsque celle-ci cessa finalement de me frapper, je pris un air d’homme complètement perdu puis attirai ma nouvelle femme dans mes bras « Ouais, vous savez… j’ai grandi avec les loups m’dame et pour moi c’est tout à fait normal de me ‘’ montrer ‘’ de cette façon, je n’ai pas encore adopter votre style de vie et comme tout ça est nouveau pour moi bah il m’arrive quelque fois d’avoir des écarts de conduite … vous m’en voyez navré, vraiment … je tenterai de me retenir la prochaine fois que vous serez dans les parages promis.» Je lui offris le pire des sourires que j’avais en réserve avant de poser mon regard sur la blondinette que je tenais fermement au creux de mes bras. « Tu viens ma chérie ? Je crois qu’on a pas mal de condoms à essayer toi et moi.» J’étouffai un rire qui se transforma en toussotement histoire d’essayer de rendre la situation le plus crédible possible. « Si vous voulez bien nous excusez. » Dis-je à la vielle dame en me mettant en route pour aller je ne sais où. En même temps il fallait qu’on se bouge si on ne voulait pas se faire prendre par les vigiles qui ne devaient pas tarder à arriver.

Ce n’est que quelques allées plus loin que je m’arrêtai pour éclater de rire. C’était plus fort que moi, tout ça me paraissait tellement … irréaliste. Mais bon sang je n’avais jamais autant rit de toute ma vie. « C’était… é.n.o.r.m.e. Damn !» Il me fallut quelques minutes encore pour reprendre le contrôle de moi-même et me permettre ainsi de continuer ce que j’avais à dire. « Allez, laisse-moi t’invité à prendre un verre pour te remercier de m’avoir autant fait rire et en même temps pour me faire pardonner de … tu sais quoi sur le bateau. » J’avais honte de ce que j’avais fait ce soir-là sur la traversé d’Hawaii à San Francisco, mais que voulez-vous ce sont des choses qui ne se contrôle pas. « Et j’insiste ! » À peine eu-je le temps de terminer ma phrase que les vigiles nous avaient retrouvé. « Oh shit ! » Il fallait qu’on fasse quelques chose, on ne pouvait pas rester planter là à rien faire. Rapidement je pris le panier de la blonde pour le déposer par terre et m’emparai de sa main pour me mettre à courir en direction de la sortie la plus près.



Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 24 Fév - 13:15

 Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es » Tumblr_lm4aieW9Hw1qeyh41

    L'homme joua le jeu à la perfection, bien que son mengonse -tout comme le mien- était invraisemblable. Mon ventre me faisait presque mal tant il était difficile de me retenir de rire. Qu'est-ce qu'on était con et qu'est-ce que c'était bon ! Je sentais l'euphorie se rependre dans ma tête, me donnant cette folle impression que rien ne pouvait m'arrêter. « Tu viens ma chérie ? Je crois qu’on a pas mal de condoms à essayer toi et moi » finit par annoncer mon acolyte "élevé par les loups", sous le regard interloqué de la vieille femme, muette.

    Blottie dans les bras du trentenaire sexy, je fis un dernier sourire hypocrite à l'attention de notre terrible agresseur avant de tourner les talons. Nous nous mîmes en route vers je ne sais quel rayon: peut importait, il fallait paraître le plus naturel possible. Collé l'un à l'autre, nous avancions dans le magasin, prêt à exploser de rire au moindre signe. Rayon laitages, nous nous arrêtâmes. Fou rire indescriptible. Les larmes me montaient aux yeux alors que je me tenais le ventre. « C’était… é.n.o.r.m.e. Damn ! » Je n'aurais pas mieux dit.

    Ce type était magnétique. Sans rire ! Outre sa verbe exceptionnelle et son je-m'en-foutisme charmant, il avait dans le regard et dans l'allure quelque chose de sexuel. Ce mec devait avoir une dizaine d'années de plus que moi et pourtant... je le trouvais plus attirant que des types de mon âge. Ce n'était pas pour autant que j'avais envie de lui sauter dessus dans la minute et de le violer entre les yaourts aux fruits et les danettes, non: seulement il avait ce je-ne-sais-quoi qui le rendait... agréable à regarder, disons.
    « Allez, laisse-moi t’invité à prendre un verre pour te remercier de m’avoir autant fait rire et en même temps pour me faire pardonner de … tu sais quoi sur le bateau. » Dans ma tête, c'était la rave party. Il venait de m'inviter à boire un verre, non ? Ce type était tellement marginal que je ne pouvais refuser. Vous en connaissez beaucoup des mecs qui vous montrent leur pénis en plein supermarché ? Non. Cela aurait pu en choquer beaucoup -et moi aussi, d'ailleurs- mais la manière de faire de ce mec m'avait convaincue. « Et j’insiste ! » Et il insistait.

    « A une condition... » A peine eus-je le temps de lui répondre que l'inconnu me vola mon panier, le posa sur le côté et prit ma main afin de m'entraîne avec lui. Les vigiles étaient au bout de l'allée, il nous avait repérés. Main dans la main, nous cavalions entre rangées de tomates et de poireaux afin d'échapper aux gorilles enragés lancés à nos trousses. Mais où était cette putain de sortie ?! Les gens nous regardaient courir comme des dingues à travers le supermarché, étonnés. « Arrêtez les ! Arrêtez les ! » hurlait un des hommes de sécurités derrière nous.

    La main de mon cavalier écrasait un peu la mienne, mais je ne pouvais pas m'en plaindre. Si il la lâchait, je n'étais pas certaine de suivre son rythme, or je préférais avoir une main en moins qu'un entretient avec les brutes qui tentaient de nous rattraper. « Ici, ici, touuuuurne ! » dis-je à mon interlocuteur tout en lui administrant un si gros coup de hanche qu'il ne put que pivoter dans la bonne direction. La sortie était à présent en face de nous, à une dizaine de mètres environ. Ne freinant pas la cadence, nous courrions le sourire aux lèvres, tels deux gamins pris en plein flagrant délit. Quatre, trois, deux, un... nous franchîmes les portes coulissantes avec précipitation, ce qui fit grogner de rage les vigiles plus loin derrière nous. Pourtant, nous continuions de courir encore: ce n'était pas parce qu'officiellement nous étions hors du Walmart que les types de la sécurité n'attenteraient rien contre nous.
    « Stop stop stop... » tentais-je de dire à mon acolyte. J'étais essoufflée, mais hors d'atteinte. « Putain tu me rappelles quand tu veux pour faire des trucs du genre... c'était... C'était fou ! Et t'es rapide pour un vieux. » Je lui lâchais la main tout en explosant d'un rire franc et libérateur. L'adrénaline noyait mon cerveau dans une euphorie si douce que j'en venais à savourer l'instant seconde par seconde.

Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

Drew&Levy - « Dis moi quelles capotes tu aimes, je te dirai qui tu es »

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» KYLER || Pu besoin de capotes, Chui d'jà papa !
» Isabella Curtis ★ Je te jetterais des sorts pour que tu m'aimes encore... (8)
» That's why I smile ; Eno & Levy.
» Levy Keynes & Eva Wells
» « Don't stop the party ; Syd&Levy.

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.1 ::  :: 
CENTER
-