AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  

N'hésitez pas à inscrire vos persos sur facebook et à nous y rejoindre ! (inscription facultative) ♡


N'oubliez pas de voter et afin de nous faire connaître !


Pour célébrer la nouvelle année, le Maire a organisé un bal masqué. Rejoignez-nous ici pour en savoir plus KEEP  ϟ One second is all it takes. One fucking second and your life became hell. - Page 2 3997999705


Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH KEEP  ϟ One second is all it takes. One fucking second and your life became hell. - Page 2 79124 KEEP  ϟ One second is all it takes. One fucking second and your life became hell. - Page 2 79124

Le deal à ne pas rater :
SSD interne Crucial BX500 2,5″ SATA – 500 Go à 29,99€
29.99 €
Voir le deal

 
 KEEP ϟ One second is all it takes. One fucking second and your life became hell.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : Précédent  1, 2
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 14:42


Absence de réponse, absence de tout. hormis le moniteur qui augmente, je fais un pas en avant, mais je me stoppe dans mon geste. Déjà assez fait je pense. Je serre le poing énervé contre moi même . Rien à faire de plus je pense ! Non mais qu'est-ce qui m'a prit de dire ça ? De plus il y a bien un moment que j'avais pensé à Camilla et maintenant c'est ici qu'elle doit me revenir en tête et me faire blesser Sonic. Bravo Keep un dieu vivant niveau débilité. Passant une nouvelle fois la main dans mes cheveux, je finis par soupirer et attraper mon manteau, voyant du coin de l’œil l'infirmière poser le plateau de Sonic plus loin et le regarder avec prudence, avant de me jeter un regard et de me voir prendre mon manteau. son regard de supplice semble me dire de rester ici et pas de me casser, surtout si je leur laisse un Sonic autant énervé. Navré. Je lui adresse un sourire courtois. Laissez je vais le faire... Je récupère le plateau, avant d'avancer la table où la fille la posé vers le lit de Sonic. Ouai il va surement finir à terre où sur moi, c'est bien pour ça que je reste pas à côté du lit. J'suis pas débile à ce point. Toujours aucune réponse, j'ai la gorge serré, p*tain non mais ça va pas de me mettre dans ce genre d'état. C'est finit entre nous je devrais pas être autant touché lorsque je le blesse. Non. C'est finit certes, mais je l'aime encore, je le sais très bien, j'en ai conscience !
Je serais de retour je pense dans deux trois jours, le temps de ... enfin le temps d'un aller-retour quoi... Si y'a un problème... j'ai mon portable... Je parle dans le vide j'en ai bien conscience. J'aimerais bien lui dire que je serais de retour demain dans l'après-midi mais je ne pense pas vraiment réussir ce miracle. Certes je ne retourne pas à SF, et je ne fais que rejoindre Léon à Paris, on a convenu de cela pour bosser tranquille sans que Cléo m'engueule que je reparte dès après en Écosse. Dans un sens j'aimerais lui dire que je serais pas loin, une heure et demi d'avion à tout casser... quasiment pas de décalage horaire... Seulement ça voudrait dire lui avouer que je serais à Paris, avec Léon, et je pense pas que cela arrangera les choses. Vu l'ambiance suite à mes paroles, si il venait à apprendre que je me tire dans cette ville, je pense que même en mauvais état il pourrait me tuer... en dommage collatéraux à son colère. Je sais pas quoi ajouter à ce blanc... Je baisse les yeux dépité me dirigeant vers la porte. Reposes toi. Rien a ajouter de toute manière. J'ouvre la porte et finit par m'arrêter dans le couloir pour respirer et m'injurier mentalement.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 15:20

« Laissez je vais le faire... » Ben oui ben voyons, n'oublions pas que Keep est un chevalier servant, y'a que lui qui peut approcher la bête c'est vrai. Pauvre con. Il s'approche, je peux sentir sa présence derrière moi. Rapprochant la table au niveau de mon lit, je ne réagit pas, serrant juste un peu plus le poing pour éviter de lui lançait à la figure. « Je serais de retour je pense dans deux trois jours, le temps de ... enfin le temps d'un aller-retour quoi... Si y'a un problème... j'ai mon portable... » C'est ça. Barre toi. Fait le ton aller-retour. I don't need you anyway. C'est beau de se mentir à soi-même hein ? Plus il se dirige vers la porte, plus j'ai l'impression de crever. J'veux qu'il reste là. J'veux pas qu'il parte. J'ai pas envie d'être encore tout seul. Pourtant je ne peux m'empêcher de faire mon buter, mon cerveau me commandant de rester en quelques sorte digne. Quel connerie encore. La clinche de la porte grince. «Reposes toi. » Il sort. Je ferme les yeux. Cette vie n'est au final qu'un putain de cauchemar.

    3 jours plus tard.

J'ai pour ainsi dire pas bouger d'un centimètre. A peine le kiné parti que je reprenais pas ma position allonger sur le côté. Pas un seul mot n'était sorti de ma bouche durant ces 3 jours, pas plus qu'un seule nourriture avait franchi la barrière de mes lèvres. D'ailleurs il avait fini par me brancher à une poche de nutriment essentiel pour ma survie et ma guérison. Oui malheureusement je m'étais renfermé complètement sur moi-même. Les idées noire tergiversaient dans mon cerveau à tel point que je faisais à peine la différence entre mes période d'éveil et de sommeil. J'pense que les médecins devait rajouter quelque chose dans ma solution aqueuse une fois la nuit tombait. La psy était repassé et c'était donc fait un tout nouvel avis sur moi. Elle avait essayé de me secouer pour que j'lui parle, en vain. J'étais … Amorphe. Une seule personne sur cette planète était éventuellement capable de me faire réagir, malheureusement elle n'était pas là. Je savais qu'il n'était pas reparti à SF, autrement il aurait prononcé le nom de la ville ou mentionné Sonny, ne pas savoir où il était me rendait dingue, Londres peut être ? Vas savoir, et puis au fond, qu'est ce que j'en avais à foutre ? Ce type était incapable de se décider quant à ces sentiments pour moi, incapable de nous laisser une chance quand j'en avais le plus besoin, j'ai fait des efforts ça a jamais été assez. Fine. I give up. Le problème c'est qu'avec moi le terme abandonner prenait un sens beaucoup plus général. Ma fierté s'étend fait la malle avec mes jambes, j'avais plus la moindre envie de vivre, et ça se voyait. De toute façon. Qui me regretterait ?
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 16:04


premier jour à Paris.
Hé dude cesses donc de te torturer, il est entre de bonnes mains... Je relève la tête vers Léon qui pose son appareil photo sur la table où je suis assis, je le regarde un instant avant de regarder de nouveau les maquilleuses et autres tourner autour des modèles. Je ne me torture pas. Je me sens juste mal de l'avoir blessé... et m'appelle pas "dude". Je réplique, reprenant la tablette pour la caler sur mes genoux et faire défiler le reste de l'ébauche du magasine. Un rire léger sonne à mes oreilles tandis que Léon encore une fois essayer de me déculpabiliser. De toute manière il fait ça pour la dixième fois depuis que j'ai atterrit à Paris. Fine... mon amour ! Hein ?! Je relève la tête alors que les mannequins français se retournent vers nous, et que je lance un regard assassin au photographe qui semble pas du tout touché. Je le laisse faire, rien à répliquer, j'ai pas vraiment envie d'être ici.

Deuxième jour à Paris.
Rejoignant Léon au salon, y'a Tina aussi qui est assise à la table entrain de téléphoner, plutôt en colère. J'aime mon assistante, elle s'énerve toujours pour trois fois rien et après je passe pour le patron cool. J'attrape un croissant, en finissant de boutonner ma chemise, mon thé m'attendant déjà près de mon ordinateur. Je suis mort de fatigue , et on doit boucler tout ça pour ce soir. Je jette un coup d'oeil par dessus l'épaule de Léon pour voir les photo sélectionné par Tina. Pas mal, je supervise juste le laissant faire à son goût. Avant de me lancer dans la relecture de tout ça. Je renvoie l'article sur la chirurgie esthétique à Mona pour quelle revoit la fin, je décide de supprimer la page de Gala de Miami, c'est du vent ça sert à rien. Et les heures défilent sans que j'y prenne attention. Je relève la tête alors que je déclare le magasine envoyé et complet, mon ordinateur affichant deux heures et demies du matin. Damn ! Réfléchissant sur le temps qu'il me faudrait pour aller à l'aéroport, je suis arrêté de suite dans mes pensées par Léon qui me dit clairement que j'attendrais demain pour prendre l'avion. Charmant, même plus libre de ma personne. Je lui lance un regard noir mais fatigué et je finis par m'enfermer dans ma chambre et que face au noir je me retrouve a ne trouver aucun sommeil malgré mon état de fatigue. La porte s'ouvre doucement alors qu'aucune lumière du salon filtre dans ma chambre. La suite est entièrement éteinte, et Tina semble partir... Et je sais pertinemment qui il est avant même de le sentir sur le lit. Qu'est-ce que tu fous ? Je me tourne vers son ombre que la fenêtre projette. Et avant même d'avoir une réponse je sens ses main glisser sur ma joue, avant que ses lèvres viennent sur les miennes. Tiraillé entre la fatigue, la négation, le fait que ce soit Léon et l'envie je le repousse pas et c'est lui qui y met fin. Je viens te tenir compagnie... Mon esprit bug un long moment suite à ses mains qui descend le long de mon dos, j'arrive à répliquer que c'est pas possible mais c'est pas très fructueux vu que Léon revient sur mes lèvres. Damn il fout quoi ?! Arrêtes... c'est trois fois rien... t'en meurs d'envie... tu ne le trompe pas, vous êtes plus ensemble... et je te ferait aucune scène en sachant que tu penses à lui... allez... prends le dessus Keep, t'en meurs d'envie... Est-ce que je dois le détester de connaître à ce point mes pensées, d'être à ce point lui et d'être le seul sans doute à être aussi con et pourtant aussi bon ?! Néanmoins en moins de deux minutes Léon a eut le chic pour faire venir l'envie, et ses mots se répète en moi " tu ne le trompe pas..., vous êtes plus ensemble" . C'est vrai... je ne l'aurais plus, je l'embrasserais plus, la toucherais plus... et si je sais que je pourrais jamais trouver quelqu'un à son égal est-ce que ça doit signifier que je dois m'abstenir de tout ?! Mes pensées ce sont déjà envolées tandis que mes doigts dégage son tee-shirt par dessus sa tête. Sans tenir compte de la petite voix qui me dit que je vais me haïr.

troisième jour, retour en Écosse.
C'est l'alarme de mon portable qui me fait ouvrir les yeux d'un seul coup. Merde où je suis ?! Je me retourne brusquement le bras autour de ma taille me rassurant. qu'un moment tandis que je reconnait les cheveux emmêlé de Léon, et que les souvenirs de cette nuits me reviennent en tête. Haut de coeur. Et je suis en retard. Mon avion ! Le louper serait juste ignoble surtout après... ça ! Je me décale. Enfilant mon boxer alors que j'essaye en vain de supprimer ça de ma tête. J'enfile un jean à défaut de trouver un pantalon de costume, j'en ai plus de propre tant pis. Bottine enfilé, tee-shirt, gilet... Je file à la salle de bain, si j'ai pas le temps de prendre une douche pour effacer tout le reste de souvenirs que ça implique, je passe un long moment à me brosser les dents, sans m'ôter cette impression d'être un connard. " Tu ne le trompe pas... vous êtes plus ensemble..." alors pourquoi j'ai cette impression qui me dit le contraire ? Connard. J'attrape mon sac jetant le reste de mes affaires, me foutant royalement de Léon qui s'habille. pour une fois oui je le haïs. Mon taxi est là, et je suis presque à l'heure si je me dépêche. Ça se reproduira plus jamais ! D'ailleurs il s'est rien passé du tout c'était une erreur monumentale... Je lance à Léon froidement, en enfilant une veste et une écharpe. Je sais... Je suis désolé... connard. Je le pense pas, je peux pas lui en vouloir. Il m'a pas forcé, j'avais qu'à pas... Anyway.

[...] J'avais pour but d'aller prendre une douche et me changer, mais j'ai eut la bonne idée d'appeler l'hôpital pour avoir des nouvelles. Il mange plus, il parle plus, il fait plus rien. P*tain ! Alors je me retrouve dans le couloir, mon sac sur l'épaule entrain de chercher l'étage que je trouve par habitude. Je pousse sa porte n'ayant pas trouvé de médecin à qui parler. C'est comme ça que tu comptes guérir le plus rapidement ?! Ma voix est sèche et je me rend compte que c'est surtout ma colère de ce matin qui sort. Parce que ça me tu de le voir dans cet état, et que moi durant ce temps j'étais... là-bas, avec Léon. Bousillant tout beau souvenir qui allaient avec cette ville. Winner Keep. Winner. J'accumule toutes les crasses ces derniers jours.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 21:34

Bip, un bip régulier, c'est tout ce qui brisait le silence de ma foutu chambre, même ma respiration pourtant toujours aussi laborieuse ne parvenait pas à se faire entendre. Un fantôme, voilà c'était ça. J'étais devenu un fantôme. L'envie de vivre m'avait quitté forcement maintenant il me suffisait juste d'être de plus en plus discret, de moins en moins reconnaissable, transparent. J'aspirais à devenir invisible avant de crever une bonne fois pour toute. L'infirmière était passé tout à l'heure, elle avait essayé de me parler, m'avait secoué un peu l'épaule, elle avait même allumé la TV en me proposant de critiquer avec elle tous les programmes qui y passé – ce qui avait été l'une de mes activités favorite ces derniers jours même si ces dames n'appréciait pas que je révèle la suite des intrigues grâce à des détails auxquelles elles n'avaient pas prêté la moindre attention. Avant de partir elle me laisse quand même mon plateau repas, au cas où, puis elle ressort et de nouveau c'est le silence. Jusqu'à ce que quelques minutes -ou heures ?- plus tard brusquement ma porte s'ouvre, une odeur masculine vient faire frémir mes narine. Keenan. « C'est comme ça que tu comptes guérir le plus rapidement ?! » Tiens... Il s'est réellement passé que 3 jours depuis qu'il est parti ? Les yeux toujours fixé sur le mur d'en face je ne réagis pas. Amorphe. I give up with you Keenan. I fuckin' give up. Le ton de sa voix fait pourtant tourné mon cerveau a une certaine vitesse, l'homme est en colère, ça sonne plus comme une accusation qu'une véritable question, en même temps … La seule réponse que j'pourrais lui donner laisserait place à un foutage de gueule en bonne et dû forme. Sauf que je suis las de tout ça. Je suis fatigué de toute ces conneries. J'ai plus envie de me battre pour lui, la preuve je n'ai même pas envie de me retourner pour le regarder. De toute façon je suis sûr qu'il ira rapidement m'oublier dans les bras de quelqu'un d'autre, après tout il est encore jeune, il est sexy & riche. De quoi attirer absolument n'importe qui. Pourquoi diable s'attacherait-il donc à un futur infirme dans mon genre. Donc non, je ne réagis en aucun cas à son entré, pas un soupire, pas un mouvement, pas même un battement de cœur plus puissant. Rien. Juste rien.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 21:53


Pas un geste. Pas un mot, pas un seul mouvement. What's this fuck ?! Il se fout de moi ou quoi ?! La porte encore ouverte, les bruits du couloir me parvenant encore, dans la pièce seul le bip régulier retentit. On se croirait à la morgue ou dans une chambre d'un mec dans le coma. Qu'est-ce qu'il fou au juste ? Bonne question et les secondes défilent sans que j'ai aucune réponse. Me retrouvant bien c** sans réponse je finis par pousser la porte. Tiraillé entre l'envie de contourner le lit pour voir son visage, pour le supplier d'arrêter ses conneries, et celle de le gifler et le frapper jusqu'à ce qu'il réagisse. De toute manière ça changera rien avec Sonic n'est-ce pas ? J'avale ma salive sans savoir quoi faire. tu comptes jouer au muet et renfermé encore combien de temps ?! Évidement pas de réponse. Soupire. Pourquoi agit-il ainsi ? Pourquoi ne montrer plus aucun effort à sa guérison ? Pourquoi se laisser périr ainsi ? Pourquoi après avoir tout fait pour vivre, quitte à souffrir bien plus que tout homme l'aurait enduré, maintenant il se laisse crever, renfermé.
Pourtant j'ai pas de patience, pas aujourd'hui. Désolé je sais que pour lui je devrais en avoir, que justement après "ça" je voudrais pouvoir m'excuser. Mais m'excuser pour quoi ? C'est bien ça le pire, si j'ai ce regret au travers de la gorge, j'ai rien à m'excuser. On est plus ensemble. Keep c'est finit. Alors oui je perds patience, je perd tout sens de la douceur, gentillesse, compréhension et blablabla... Attrapant le fauteuil au pied de son lit je le traine jusqu'au côté du lit où il est tourné. Ses yeux et son visage cadavérique me glacent le sang mais ça ne fait que me renforcer dans ma colère. Il a pas le droit de se laisser dépérir pas après avoir survécut à sa chute. Ok tu veux jouer au c** Sonic... on va être deux... tant que tu ne te seras pas décidé à te bouger et à manger... je bougerais pas d'ici, je mangerais pas et je vais t'imiter dans ton plus grand splendeur... tu veux ressembler à un cadavre bien, tu auras au moins ton reflet dans ce fauteuil. Je lance avec froideur. Ok je devrais certes lui trouver des excuses, il en a. C'est pas moi qui suit paraplégique, qui suit le corps à moitié entièrement plâtré... Mais je m'en fou, il peut pas renoncer au reste, il peut pas juste décider d'arrêter de ce battre, si je dois être injuste et méchant... si c'est que ça je m'en remettrais, j'ai bien plus gros sur la conscience depuis cette nuit. Sans pour autant croiser son regard je me laisse tomber sur le fauteuil, sans ajouter un mot de plus.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 14 Fév - 23:46

« Tu comptes jouer au muet et renfermé encore combien de temps ?! » Je sais pas ça dépens de toi Keenan. T'as jamais remarqué que quand tu partais je faisais d'énorme pas en arrière ? Non ? Ben il est grand temps d'ouvrir les yeux dude. J’entends du bruit derrière .. Tiens il agit. C'est qu'y'aurait du progrés finalement, un meuble racle contre le sol... J'fronce les sourcils. Chaise ? Fauteuil ? Rapidement j'analyse le son et visualise la pièce. Fauteuil. Bingo. Reprenant une expression neutre quand il arrive face à moi je regarde à travers lui. C'est tout ce qu'il mérite pour m'avoir encore laissé seul au profit de ces connard d'amis. « Ok tu veux jouer au c** Sonic... on va être deux... tant que tu ne te seras pas décidé à te bouger et à manger... je bougerais pas d'ici, je mangerais pas et je vais t'imiter dans ton plus grand splendeur... tu veux ressembler à un cadavre bien, tu auras au moins ton reflet dans ce fauteuil. » Il est froid. Glacial même. Sur le coup j'affiche une expression de surprise, seulement il ne me regarde plus, il ne me regarde pas. Je le fixe, intrigué par son soudain comportement, révélation. He cares. He fuckin' cares. Je garde mes yeux fixé sur lui, le détaillant de pied à cap, il était débraillé, sûrement avait-il pris l'avion très tôt ce matin seulement c'était étrange qu'il n'est même pas pris la peine d'au moins se doucher avant de venir ici. Lui qui est tellement porté sur les apparences. Je déglutis en distinguant des rides d'inquiétude sur son visage. Un léger sourire apparaît sur mon visage. Il ne changera jamais. Il pourra jamais s'empêcher de trop s'en faire pour moi. Et puis, ne supportant plus qu'il n'ose pas croiser mon regard, j'agis en conséquence. Stupidement probablement ouais. Rassemblant toute les forces qu'il me reste en stock. Je force sur mes deux bras, utilisant mon plâtre comme appuie à vrai dire et me jette en avant droit sur lui. Stupide ouais. Complètement stupide. Mes perfusions se détache automatiquement, seul mon assistance respiratoire suit à peu près le mouvement, en vérité j'm'en fiche un peu de tout ces détails technique là maintenant. M'accrochant au cou de Keenan, je panique en remarquant que je n'avais absolument aucun appuis au niveau des jambes, normal vous me direz puisqu'elle sont paralysé, mais c'est une chose de le savoir, s'en est une autre de l’expérimenté en real live. Je hais déjà cette sensation de poids mort qui pend sous mes hanches, m'accrochant au cou de celui que j'appelais mon homme j'arrive à quasiment me redressé pour le regarder dans les yeux, après un court regard, je plonge me visage dans son cou, retirant cette foutu assistance pour sentir son odeur un peu mieux, encore une idée stupide d'ailleurs. Mais j'me fiche de ce que les médecins diront, j'en ai absolument rien à battre, je suis mieux dans ces bras que n'importe où sur terre même si plus je le serre contre moi plus mon torse semble prendre feu. J'arrive cependant à articuler « Ne me laisse plus jamais après une dispute. » Voilà c'était sorti. Je détestais quand on s’engueulait mais ce que je détestais encore plus c'est quand il partait après ça, même si c'était important, même si c'était prévu j'en ai rien à foutre je ne veux plus qu'il parte après une dispute. Plus jamais. Mon moniteur commençant à s'emballer je me doutais que d'ici quelques secondes les infirmière et médecins débarquaient c'est pour ça que j'm'accrochait à lui comme une moule à son rocher, j'voulais pas qu'on me l'enlève, rien à foutre je voulais pas qu'il reparte.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 15 Fév - 0:08


Je fixe la pièce en proie à un véritable dilemme. Je veux pas de ce silence, je veux qu'il reparle, qu'il mange, qu'il aille mieux. J'voudrais m'excuser aussi. Mais je le ferais pas, parce que ça signifierait qu'il le sache, et qu'il me déteste pour ça. Il a le droit oui mais pas de souffrir par ma faute. Bravo pour une fois depuis des semaines tu enchaines Keep, c'est toi le c** qui fait souffrir le monde maintenant. Mais ma parole qu'est-ce que je suis devenu ? Un bruit se fait entendre dans la pièce, et je reviens à moi, à la réalité, mettant quelques secondes encore à réintégrer les choses et surtout la pièce. Mes yeux se tourne sur le lit, vide, de Sonic. Mon regard tombant sur lui... Pùtain qu'est-ce que tu fo... Je me bouge mais il est déjà près de moi. J'ai envie de le gifler, réellement. Cependant ses doigts se refermant sur moi et sa présence me font littéralement fondre l'envie de lui faire quoi que ce soit de mal ! Ne me laisse plus jamais après une dispute. Ses mots m'empêchent de vraiment réaliser qu'il devrait être allongé, dans son lit et pas là, pas sortit de son lit alors que ses jambes ne fonctionnent plus et que la moitié de son corps est brisé. Non je me rend compte qu'encore une fois c'est de ma faute. Est-ce dû à mon départ qu'il a arrêté de se nourrir ? qu'il s'est renfermé sur lui ? Mon estomac se serre violemment. Pourtant je m'éloigne de lui, mon bras se glissant autour de sa taille sans appuyer de peur de lui faire mal. Essayant de le soutenir en le repoussant vers le lit. Je veux pas qu'il soit contre moi, je veux pas avoir encore une fois ces visions de moi il y a quelques heures à Paris. P*tain non, je veux pas associer Sonic à ces souvenirs, à tout... Tu dois te recoucher ... La porte s'ouvre d'un seul coup et je sourire crispé à l'infirmière qui accourt pour m'aider. Pestant contre Sonic et tout le reste, je l'aide à l'allonger de nouveau, et tandis qu'elle remet en place les perfusions et le reste, je repose les couvertures sur lui. Pas besoin de lui remettre la perfusion pour l'alimentation... il va remanger, j'y veillerais... Je sourie doucement à cette femme qui me fixe un instant avant de soupirer de soulagement. Merci monsieur Renton... c'est un plaisir de vous savoir de retour ! Je sourie, crispé. Alors qu'elle continue à jurer auprès de Sonic. Elle finit par nous laisser, et je me pose sur le bords du lit, remettant en place les couvertures plus dans une excuses pour m'occuper les mains. Excuses moi... Je murmure doucement avant de relever les yeux vers lui, mes excuses étant pour l'avoir laissé autant pour ce qui s'est passé, pour ce que j'accumule depuis des semaines... Ma main glisse lentement sur la sienne. Je t'avais dis que j'allais revenir... j'avais pas le choix. Je te promet que je repartirais pas... je te le promet... mais tu dois manger Sonic... et ne plus jamais refaire ce genre de connerie... le médecin à dit que la moindre chute pouvait être fatale... refais plus jamais ça... Je murmure encore en le fixant avec sérieux. L'évènement précédent s'étant passé trop vite, c'est maintenant que la frayeur commence à monter. Mes doigts se crispant sur sa main légèrement, l'envie dingue que tout ne soit jamais arrivé. Qu'on soit encore tout les deux à Paris, en revenant de la Tour Eiffel, lorsque mon seul problème était qu'il avait provoquer un désordre dans l'hôtel en bloquant l'ascenseur, et ensuite qu'on trouvait aucun préservatif... enfin du moins on avait du mal à savoir où il était bref.. Paris, quand tout le reste n'était encore rien que du vide... Je relève la tête vers lui. Sonic... jures moi que tu vas te battre pour guérir... peu importe ce qui arrive jures moi que tu vas tout faire pour guérir ! Puéril ? Enfantin ? Peu importe, je me rend compte à quel point la moindre de mes conneries peu tout basculé, alors oui je veux qu'il me le jure, je ne veux pas qu'il se foute en l'air par ma faute... Je le supporterais pas un seul instant.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 16 Fév - 2:14

Il me repousse. Il. me. Repousse. Ce qui ne m'empêche cependant pas de m'accrocher à sa chemise comme un enfant s’accrocherait à son doudou. Il me pousse sur le lit, forcement j'apprécie pas la chose et sert encore plus sa chemise qui va finir en bouilli entre mes doigts. Il a de la chance que mon autre bras soit plâtré sinon il aurait pu être sur que je me serais pas mal débattu pour rester contre lui. Cela dit si je veux rester comme ça aussi près de lui c'est pas seulement parce que je supportais plus ce manque de contact entre nous mais aussi parce que putain... Avoir mes jambes là qui me lâche comme ça, avoir ces deux poids morts qui au lieu de m'aider à tenir debout me déstabilise complètement, putain ça me fait flipper ouais. Je devine que si Keenan me lâche soudainement je tomberais sur le sol, à la place je le regarde et vois mes jambes pendre là comme deux morceau de chair inutile. « Tu dois te recoucher … » Relevant mon regard vers lui, j'espère que mes yeux sont expressif, reste près de moi, je me recouche si tu te couches avec moi. Malheureusement avant que ces suppliques n'est pu traverser mes lèvres, une infirmière débarque. Soupire. Elle attrape mes jambes pour les foutre sur le lit alors que je reste à demi accroché à Keep. C'est elle qui me force à le lâcher en tapant sur mon bras pour pouvoir remettre mes transfusion. De nouveau le dos collé au matelas je ne fais plus un bruit ni un geste. Les doigts à présent crispé dans le vide j'ai l'impression qu'un fossé s'est complètement creusé entre moi et Keenan. « Pas besoin de lui remettre la perfusion pour l'alimentation... il va remanger, j'y veillerais... » Ouais.. On verra. « Merci monsieur Renton... c'est un plaisir de vous savoir de retour ! » Ma lèvre supérieur sursaute dans une espèce de grognement. Elle me repique le bras je grogne un peu plus j'avais encore plus l'impression d'être handicapé avec tout ces tubes, c'était comme des chaînes. Sans ça dude tu crèves dans l'heure. Wahou génial. Après quelques minutes, l'infirmière nous quitte, Keep remonte encore un peu mes couverture, c'est bon dude j'ai pas envie de devenir une momie. « Excuses moi... » Un murmure. Un aveu. Nos regards se croisent il glisse sa main dans la mienne et soudainement le fossé se referme. Pourtant je ne souris toujours pas, quelque chose n'allait pas. « Je t'avais dis que j'allais revenir... j'avais pas le choix. Je te promet que je repartirais pas... je te le promet... mais tu dois manger Sonic... et ne plus jamais refaire ce genre de connerie... le médecin à dit que la moindre chute pouvait être fatale... refais plus jamais ça... » Je lève les yeux aux ciels, il est pas possible, il va pas se mettre à me sortir le discours médicale lui aussi. J'étais pas tombé, j'avais sauté sur lui, c'est pas comme si ma colonne avait pris un coup. Sa main se crispe pourtant légèrement sur la mienne, je fronce les sourcils, hey dude.. It's okay i'm fine. « Sonic... jures moi que tu vas te battre pour guérir... peu importe ce qui arrive jures moi que tu vas tout faire pour guérir ! » Je soupire et relève le regard vers le plafond. Je sais pas si j'ai envie de me battre. Je connaissais mieux que n'importe qui mes chances de m'en sortir et il fallait voir la vérité en face, elles étaient bien mince. « Mes chances de guérir sont extrêmement mince Keenan. Le type d'opération qu'il va me falloir pour ma colonne reste de la chirurgie lourde et pas toujours efficace. Or je n'ai déjà plus de rate, mon rein gauche à lâché et mes poumons ne seront plus jamais les mêmes après ce choc. Y'a de grande chance que j'y reste. Je veux pas que tu te fasses de faux espoir. Je ne dis pas que je vais pas me battre. J'dis juste que … J'peux pas te promettre de tout faire pour guérir. Je suis pas un surhomme. Et je sais déjà qu'il y aura ces jours où le pessimisme va me bouffer Des jours où j'aurais pas envie de passer des heures avec le kiné, où mon régime me rendra dingue, où mes médoc me donneront envie de vomir et où mon fauteuil donnera des envie de suicide.. Je ne suis pas préparé à cette situation Keenan je ne peux donc rien te promettre quant à mon comportement futur. » Ouais.. Parce que je suis le genre de type qui déteste faire de VRAI promesse à la légère. Je n'ai qu'une parole. Et si je devais lui promettre que je ferais tout pour guérir pour moi c'était comme lui promettre que j'allais guérir or .. l'issue était encore bien incertaine. Soupirant je lâche sa main pour grimper le long de son bras et tirer dessus. En espérant qu'il comprenne que j'avais juste foutrement besoin d'un hug là maintenant. En faite je voulais surtout m'assurer que le fait qu'il me repousse tout à l'heure était juste dû à l'inquiétude de me voir faire le con et pas au fait qu'il est d'un coup une aversion pour moi.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 16 Fév - 2:35


Il lève les yeux au ciel et j'ai encore une fois envie de protester. Mais je dis rien, j'attends qu'il réponde avant de criser. On sait jamais, et puis il a pas à encore faire les frais de ma colère tourné sur moi-même, je veux pas être odieux. Mes chances de guérir sont extrêmement mince Keenan. Le type d'opération qu'il va me falloir pour ma colonne reste de la chirurgie lourde et pas toujours efficace. Or je n'ai déjà plus de rate, mon rein gauche à lâché et mes poumons ne seront plus jamais les mêmes après ce choc. Y'a de grande chance que j'y reste. Je veux pas que tu te fasses de faux espoir. Je ne dis pas que je vais pas me battre. J'dis juste que … J'peux pas te promettre de tout faire pour guérir. Je suis pas un surhomme. Et je sais déjà qu'il y aura ces jours où le pessimisme va me bouffer Des jours où j'aurais pas envie de passer des heures avec le kiné, où mon régime me rendra dingue, où mes médoc me donneront envie de vomir et où mon fauteuil donnera des envie de suicide.. Je ne suis pas préparé à cette situation Keenan je ne peux donc rien te promettre quant à mon comportement futur. Je baisse les yeux sur nos mains jointent l'une à l'autre. Sa logique me fait chier, sa franchise m'exaspère et son ton m'énerve. Pourtant je sais qu'il a raison et je reconnais aussi sa franchise a ne pas me promettre quelque chose en l'air. ais-je le droit de lui en vouloir pour ça ?! Okay... ça me va... Je répond en finissant par relever les yeux sur lui, essayant de lui sourire. La vérité c'est que s'il s'en sort pas, je sais pas ce que je deviendrais. Certes y'a Sonny avec mon enfant à l'intérieur, y'a cette vie tranquille et heureuse qui m'attend... mais c'est quand je sais que Sonic vit sa vie... le savoir... mort... je pourrais pas le supporter. Je refoule ces pensées. Ta gueule Keep songes pas à ça maintenant.
Il lâche ma main et je le laisse faire, le sentant alors remonter contre mon bras avant de le tirer légèrement. Je me mors la langue sans bouger, évidement tu peux pas savoir comme j'en crève d'envie, tu peux pas savoir comme j'aimerais t'apporter ce soutient... Mais déjà y'a mon cœur meurtrit par mes conneries, puis y'a aussi le fait que je suis pas douché, j'ai encore cette sensation de m'être à peine levé, son odeur... envie de vomir. Je dégage doucement mon bras pour caresser sa joue. J'suis pas propre Sonic... j'ai pas eus le temps de me doucher j'étais en retard ce matin... et toi t'es dans un lieu quasi stérilisé... Excuses de merde me cris ma tête que je fais taire cependant. Par contre je bouge pour venir m'allonger à côté de lui enfin m'assoir plutôt dos contre les oreillers, à côté de lui, je reprend sa main. Je reprend mon souffle durant quelques secondes, allez oublies tout le reste Keep. Tu sais à quoi je pensais ? Tu vas devoirs vite faire des efforts pour tenir assis.. et après je t'aménerais dehors pour te montrer à quel point ton pays est vraiment plus merdique niveau temps en hiver que l'Angleterre, okay ? Parlons d'autre chose allez...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 16 Fév - 12:59

Come on dude, it's okay. C'est pas toi qui risque d'y passer fait pas cette tête. « Okay... ça me va... » A la bonne heure ! Il essaie de sourire mais j'vois bien le voile sur ces yeux, arrête de penser au pire Keep, je suis toujours vivant, du moins pour le moment. Profite de l'instant bordel. Et enfin c'est mon moment de vérité, j'tire sur son avant bras espérant visiblement vainement qu'il se baisse, vu que l'homme dégage son bras de mon emprise. Bon ben ça c'est fait. Cependant il caresse ma joue, ce qui ne m'empêche pas de faire la moue. « J'suis pas propre Sonic... j'ai pas eus le temps de me doucher j'étais en retard ce matin... et toi t'es dans un lieu quasi stérilisé... » … Bitch please. Y'a plus de microbe sur ta main que sur le reste de ton corps. C'est pas non plus comme si je t'avais demandé de me rouler un patin. Y'a quelque chose qui cloche, par peur de le découvrir je préfère brider mon esprit et ne pas chercher à voir la connection avec tous les détails depuis ce matin qui pourtant .. Pourtant me saute au yeux putain. L'odeur mélangé à la sienne, le style débraillé, le dégoût contre lui-même, tout ça je sais vers quoi ça mène, je le sais, au fond de moi je le sais. J'ai juste pas envie de le comprendre maintenant, pas envie de me torturer avec ça. Il fait ce qu'il veut même si ça me tue. J'pense pas avoir la force de supporter un aveu de n'importe quel genre maintenant donc je laisse couler. Cependant il vient quand même s’asseoir à coté de moi et reprend ma main, le fantôme d'un sourire prend forme sur mon visage. « Tu sais à quoi je pensais ? Tu vas devoirs vite faire des efforts pour tenir assis.. et après je t'aménerais dehors pour te montrer à quel point ton pays est vraiment plus merdique niveau temps en hiver que l'Angleterre, okay ? » Bien jouer, changer de sujet c'est ce qu'il y a de mieux de toute façon, je crois qu'il a bien compris que ni lui, ni moi avions besoin de parler de ce qu'il avait pu faire pendant ces 3 jours, allez Sonic, oublie tout ça, focus sur le fait qu'il est là maintenant. Prenant un faux air outré je lui lance. « Hey … Laisse mon pays tranquille. S e am fear pròiseil a th'annam oir tha mi a' fuireachd ann an Alba. Bloody british. » Bien sur il ne comprendra pas un mot de ma phrase en gaélique qui signifie que je suis un écossais fier de ces origines. Anyway, soupirant d'aise je me blottis contre son torse à présent à ma porter alors que je continu d'une voix tranquille en jouant distraitement avec ces doigts que je fixe. « Tenir assis je peux tu sais. Mais vas y je te regarde convainc mes médecins que j'peux sortir sans me faire attaquer par les bactéries et mourir d'une maladie infectieuse ni risquer de cogner contre un caillou et fissurer un peu plus tous mes os etc etc... Ils pensent que je suis en sucre je crois. Alors que bon .. Voilà. Si j'emporte ces trucs, qui je tiens à le souligner son portatif, avec moi … » Je désigne mes perfusion et mon assistance respiratoire de la tête. « I'm okay. » S'en suit alors un long regard appuyé alors que je lève mon regard vers lui. You know what I mean Keep. Come on Keep. Va me chercher un fauteuil qu'on puisse sortir d'ici. Il m'en a donné l'envie, là maintenant je ne rêve plus que de dévaler la pente devant l’hôpital. Un sourire de gamin vient alors naître sur mes lèvres, allez dude, fais le pour moi après tout tu m'as refusé un câlin tu me dois bien ça, let's get out of here !
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Jeu 16 Fév - 13:54


Je lui lance un regard en coin après ma remarque sur son pays, évidement il marche dedans, changer de sujet je pense qu'on est habitué à ça... Il prend cet air faussement choqué qui me fait sourire, et me rassure au moins sur son humeur moins sombre qu'à mon arrivé, il a fallut peu de temps pour l'en faire changer mais il a aussi fallut qu'il joue au c** en sortant de son lit. ey … Laisse mon pays tranquille. S e am fear pròiseil a th'annam oir tha mi a' fuireachd ann an Alba. Bloody british. J'y comprend strictement rien, et je sais très bien que c'est fais exprès, provocation dure et dure, je sourie. Je ne réplique rien parce que de un j'ai rien capté de deux, j'ai une vague idée de ce qu'il a pu dire et donc ça ne demande rien à réponse. Anyway. Il bouge doucement et je me raidis légèrement lorsqu'il se blottit contre moi, je fais rien pour autant, pas la force de lui refuser un contact. Tenir assis je peux tu sais. Mais vas y je te regarde convaincre mes médecins que j'peux sortir sans me faire attaquer par les bactéries et mourir d'une maladie infectieuse ni risquer de cogner contre un caillou et fissurer un peu plus tous mes os etc etc... Ils pensent que je suis en sucre je crois. Alors que bon .. Voilà. Si j'emporte ces trucs, qui je tiens à le souligner son portatif, avec moi … I'm okay. Je ne peux retenir à léger rire en regardant aussi ses perfusions et le reste. Pas faux, c'est encombrant, néanmoins je sens son regard sur moi et quand je repose les yeux sur lui j'ai le droit à un sourire horrible. Un sourire a qui jamais je pourrais dire non. Nouveau coup au coeur. Pourquoi la vie est aussi ignoble avec nous ? Pourquoi ne peut-on pas être ensemble sans tout ce passé, toutes cette merde ? Je décide d'arrêter de me torturer encore plus avec ces idées. Donnant un léger coup avec mon index sur son nez comme on le fait à un enfant. Hé dear tu oublies à qui tu as affaire... on ne me refuse jamais rien... sourire amusé, je retrouve le sol laissant ma veste sur le fauteuil je lui lance de se tenir sage jusqu'à mon retour. Refermant la porte je regarde le couloir avant de me diriger vers la banque d'accueil. L'infirmière en chef y est présente et évidement c'est celle avec qui j'ai le plus d'affinité. Oh Mr. Renton c'est un plaisir de vous revoir, j'ai cru que nous allions bientôt manqué de moyen pour votre ami... Paris vous a aidé à vous reposer ? Je lui sourie légèrement perdant mon sourire à son évocation de Paris. Hein ? Je la dévisage sans comprendre et je vois la vieille dame hésité. Oh pardonnez mon indiscrétion... c'est juste que lorsque vous avez signé les papiers avant de partir... vous avez posé votre veste et vos billet et j'ai remarqué la destination... je ne voulais pas vous mettre mal à l'aise. Je lui sourie pour la rassurer... Conscient qu'encore une fois cela revient me hanter. Damn. Oh ne vous excusez pas... malheureusement non c'était pour le travail que j'y étais... En fait je venais vous voir pour vous demander une faveur... Je la regarde avec un sourire polie et légèrement - voir beaucoup enjôleur. [...]

Je pousse la porte de la chambre de Sonic en gardant en équilibre le plateau que j'ai dans une main. Un sourire fier de moi aux lèvres je le regarde. Comme quoi il faut toujours avoir des amis dans les infirmières et médecins... Je lui lance avec un léger rire revenant vers lui, je prend son ancien plateau de repas - intact - pour le poser sur la table de cheveux, et pose celui que je viens d'amener sur la table à roulette, l'amenant près du lit. J'attrape la fourchette pour la faire tourner entre mes doigts... Maintenant c'est donnant/donnant... si tu veux que je t'amène dehors... tu dois d'abord manger ce plateau. En entier. Je me mord la lèvre avec un sourire continuant de le fixer alors que je me suis assis sur le bords de son lit.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Sam 18 Fév - 20:15

Ah mais c'est qu'on aurait droit à un rire ! C'est parfait ça. Il baisse son regard vers moi et vu mon attitude et mon visage de gosse qui est en mode : S'iiiiiiiiil te plait papa j'ai été saaaaage. L'homme agit en conséquence en donnant un léger coup sur mon nez avec son index. Damned ce que je peux aimer ces moments de complicité. « Hé dear tu oublies à qui tu as affaire... on ne me refuse jamais rien... » Ouais .. Je suis bien placé pour le savoir, l'homme fini par se lever en me disant de rester sage. T'inquiète pas dude. Maintenant que j'ai éventuellement enfin l'occasion de sortir un peu j'vais pas jouer au plus con. Jetant un coup d’œil par la fenêtre je vois que l’Écosse ne manque pas à sa réputation, le temps est gris, enfin j'm'en fiche un peu j'ai toujours adoré me balader dans la brume. C'est probablement pour ça que j'adore autant ce pays, été comme hiver le ciel pouvait toujours devenir une véritable menace en moins de 10 minutes. Les minutes passe avant que le rédacteur ne revienne le bras chargé d'un plateau … J'aurais du m'en douter. Soupirant avec un sourire je lève les yeux aux ciels, s'il avait un plateau c'est probablement qu'il avait aussi une bonne nouvelle quant au fait qu'il est convaincu les médecins sinon il aurait pas oser me contrarier encore plus en me forçant à manger. Et puis .. Son sourire aussi est équivoque. Putain ce qu'il peut être beau comme ça. « Comme quoi il faut toujours avoir des amis dans les infirmières et médecins... » Dit il en riant. Ouais c'est ça fait ton charmeur tu crois que j'le connais pas ton cinéma ? Enfoiré de BG va. Tout en enlevant mon ancien plateau l'homme me propose le nouveau en faisant tourné la fourchette entre ces doigts. Ouais bon je crois qu'il va falloir que je fasse un petit effort. « Maintenant c'est donnant/donnant... si tu veux que je t'amène dehors... tu dois d'abord manger ce plateau. En entier. » Faisant mine de soupirer, je me penche pour lui prendre la fourchette des mains. « Okay okay … Pas de problème tu sais. » Par la suite prenant le plateau sur moi, je lève les sourcils devant le plat principal composé pour une fois de patte accompagné de sauce carbonara. Je suis sensé avoir droit à ça ? « Oh damned ils se sont surpassé c'est que ça m'a l'air mangeable. » C'est donc presque de bonne foi que je commence à manger, ouais bon … Le solide a toujours un peu de mal à passer, j'ai beau bien mâcher ça me fait toujours un peu mal au moment où j'avale. Enfin c'était supportable. Cependant je relève les yeux vers le rédacteur et le fait qu'il ne soit pas doucher me revient soudainement. Il a pas du manger non plus depuis son arrivé ici, hum... Regardant mon plat c'est en relevant les yeux vers lui que je lui sort. « T'en veux pas un peu ? J'veux dire, si t'as pas eu le temps de te doucher t'a sûrement pas eu le temps de manger non plus. Et me sors pas le discours du : T'en a plus besoin que moi blablablabla... Mange le plateau en entier etc... Je vais remanger normalement, j'sais que mon attitude a été conne ces trois derniers jours j'ai compris, et j'ai pas envie que tu t’affames pour autant. Allez come on. » C'est alors que je pique un peu de patte avec ma fourchette pour lui tendre avec un sourire de nouveau assez gamin. « Pour me faire plaisir. »
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Sam 18 Fév - 20:31


Il soupire mais attrape la fourchette. Je sourie légèrement, le voyant prendre le plateau vers lui. Étrangement de simple moment comme ça me font rêvé. La simplicité, même si j'aimerais le voir allonger dans un autre lit que celui d'un hôpital - et je ne fais pas mention de mon propre lit non - ou que j'aimerais le voir en pleine forme. Évidement que je voudrais ça, mais ces simples discussions, son sourire et le fait qu'il ne bataille pas contre moi, tout ça réunit. Ouai c'était ça que je rêvais quand je lui ai dis oui.. Avant. Okay okay … Pas de problème tu sais. Il regarde son plateau et un instant je prie pour qu'il ne se plaigne pas du menu. C'est du Sonic tiquer sur un détail juste pour faire son chieur. Oh damned ils se sont surpassé c'est que ça m'a l'air mangeable. Ouf, je sourie en l'observant. Qu'est-ce que tu crois, ils t'aiment bien au fond... Et aussi que j'ai encore une fois un peu abusé de leur gentillesse. mais les infirmières ont l'air de bien l'aimer, même si certaines se plaignent de son comportement... Je le regarde manger peu à peu sans faire aucun autre commentaire, je suis rassuré. Bon au moins s'il recommence à manger ce sera parfait...

T'en veux pas un peu ? J'veux dire, si t'as pas eu le temps de te doucher t'a sûrement pas eu le temps de manger non plus. Et me sors pas le discours du : T'en a plus besoin que moi blablablabla... Mange le plateau en entier etc... Je vais remanger normalement, j'sais que mon attitude a été conne ces trois derniers jours j'ai compris, et j'ai pas envie que tu t’affames pour autant. Allez come on. Je le regarde en soupirant. T'inquiètes pas je m'affame pas... je mangerais en rentrant à l'hôtel... j'ai bien assez mangé ces derniers jours pour sauter un repas... Que dalle il pique dans ses pattes pour me tendre sa fourchette. Je soupire en le regardant, c'est lui qui en a besoin en effet. Pas moi. Mais son regard et son sourire se joignent alors à sa voix. Pour me faire plaisir. Je serre les dents essayant de pas craquer. Peine perdue évidement, c'est Sonic et il sait tout autant que moi jouer de ses charmes surtout sur ma personne. T'es qu'un sale con...un salope con manipulateur. Je réplique même si ma voix et mon sourire contre-dise entièrement la porté de mes mots. J'attrape sa fourchette pour la mettre dans ma bouche. Okay, j'avoue en fait... je vraiment faim. Mais peut importe. Je la retire en le fixant d'un air " t'es heureux là ?" avant de piquer une nouvelle fois dans son assiette amenant la fourchette à ses lèvres. Ouvres la bouche sale gamin capricieux. Il me regarde tel un gosse alors quoi ?!
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Lun 20 Fév - 23:56

« T'inquiètes pas je m'affame pas... je mangerais en rentrant à l'hôtel... j'ai bien assez mangé ces derniers jours pour sauter un repas... » Non, tu mens, t'as pas assez mangé ces derniers jours dude. Tu crois que j'les remarque pas tes traits tiré ? J'suis presque sûr que tu t'es nourri au thé et au croissant. Alors ne me contrarie pas. De toute façon moi aussi je suis capable d'utiliser ma gueule contre toi. La preuve que ça marche, l'homme sert les dent et à la vue de ces rides d'expression un peu plus détendu j'devine qu'il a, encore, craqué pour ma bouille de gosse. « T'es qu'un sale con...un salope con manipulateur. » C'est cela oui, tes insultes ne me touchent pas Keep même si je plante un air outré sur mon visage. La classe anglaise hein ? My arse. Il attrape ma fourchette avant de la porter à sa bouche. Ah ! Bien ! Un énorme sourit apparaît de nouveau sur mon visage face à son expression. Oui je suis heureux, en effet j'suis ravi de voir que mes talents de manipulateur ne sont pas mis à mal par mes blessures même si pour une fois c'est pour la bonne cause, sauf que plutôt que de me rendre l'instrument, l'homme pique de nouveau dans mon assiette et place la fourchette emplie de patte face à mes lèvres. « Ouvres la bouche sale gamin capricieux. » Levant les yeux au ciel, j'fini par hausser un sourcil en fixant le rédacteur. Really bitch really ? Soupirant j'ouvre la bouche pour qu'il me donne la becquet. Ce n'est certes pas désagréable mais mon égo en prend un léger coup, je suis paraplégique pas tétraplégique, mon bras fonctionne toujours, après avoir avaler cette bouchée, je reprend ma fourchette des doigts de Keep tout en disant « Ma fierté d'alpha mâle te demande d'arrêter l'ami c'est indécent. » Bien sûr que j'ai un air amusé, après tout on a eu assez de sérieux pour tout une vie, et puis j'étais aussi terriblement excité à l'idée de pouvoir enfin sortir malgré les contraintes. C'est dingue comme les toute petites choses peuvent se révéler être les plus belles une fois qu'on ne peut plus les faire seul. Continuant de manger mes pattes, arriver à la moitié du plat je lance à Keep « Come on dude, va te chercher à manger le temps que je termine on en a pour 15 minutes, tu peux bien aller chercher quelque chose en attendant. J'suis sérieux quand j'dis que j'aime pas te voir avoir faim. Et puis j't'assure qu'y'a plus fascinant comme spectacle que moi qui galère face à une assiette de pâte. » Nouveau sourire. Bordel ce que j'aurais adoré que ce moment se passe autre part qu'entre ces murs gris & blanc.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 21 Fév - 11:45


Un sourire amusé aux lèvres j'attends la protestation de Sonic. Protestation qui ne vient pas et je le vois ouvrir la bouche sagement. Je mordant la lèvre pour ne pas rire, sérieusement ouai je pensais qu'il allait m'envoyer voir ailleurs, même gentillement je pensais pas qu'il le ferait. Cependant il chope la fourchette de nouveau après ça, chose que je le laisse faire. Ma fierté d'alpha mâle te demande d'arrêter l'ami c'est indécent. Je rie légèrement de sa réplique, et de son sourire. Indécent... intéressant comme précepte. Je réplique avec taquinerie. Un autre sens du mot "indécent" ou plutôt de à quoi il se rattache dans mes pensées. Bon ba dans quelques mois, voir un ans plutôt j'aurais un petit bout de chou qui me dira pas d'arrêter de lui donner à manger vu son âge. Les minutes s'écoulent lentement alors que Sonic finit par s'arrêter dans son activité. Come on dude, va te chercher à manger le temps que je termine on en a pour 15 minutes, tu peux bien aller chercher quelque chose en attendant. J'suis sérieux quand j'dis que j'aime pas te voir avoir faim. Et puis j't'assure qu'y'a plus fascinant comme spectacle que moi qui galère face à une assiette de pâte. Je me crispe au moment où " dude" sort de ses lèvres. Le souvenir de Léon me revenant en tête, je me relève. Je reviens juste près alors... mais triches pas Sonic tu manges tous ! Je reprend mon sourire attrapant ma veste pour sortir, en proie de nouveau à mes pensées.

plus tard...
Je pousse la porte alors qu'une infirmière sort de celle-ci avec un plateau vide et un sourire radieux envers ma personne, et c'est pas moi qui est tout mangé faut féliciter Sonic. Je reviens vers lui avec un sourire un un peignoir que je lui tend enlevant ma veste pour lui poser ensuite sur les épaules. C'est pas le moment que tu chopes en plus la crève je pense Une infirmière entre avec un fauteuil roulant et un sourire comme si elle allait annoncer l'arriver du clown à un gosse.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 21 Fév - 13:27

« Indécent... intéressant comme précepte. » Oui dude indécent. D'accord tu m'as déjà mis pire qu'une fourchette remplis de pâte dans la bouche m'enfin. Ouais bref. Évitons de penser à ça. Quoique remarquer si j'deviens chaud y'aura absolument rien pour me trahir la mécanique étant elle aussi morte pour le moment. Fuck you paralysie. Quelque instant plus tard je finis par dire à l'homme face à moi qu'il peut aller lui aussi manger quelque chose. Mais ce qui m'étonne dans sa réaction c'est sa façon de se crisper quand je l'appelle Dude. C'est pas comme si c'était la première fois que je l’appelais comme ça, hum. Vu son regard vers la droite il est en train de reflechir, de se souvenir de quelque chose et vu ces traits c'était pas forcement agréable. Hochant la tête pour m'empêcher de penser un peu plus j'aperçois le rédacteur qui se lève. « Je reviens juste près alors... mais triches pas Sonic tu manges tous ! » Nyah nyah nyah avant qu'il sorte je réplique d'une voix faussement aigu. « T'inquiète pas pour ça maman. Promis je serais un gentil petit garçon ! » Et par la suite je termine mon assiette dans un silence pesant, en faite j'aurais préféré qu'il reste, il me manque déjà cet enfoiré. Comme promis je termine tout, assiette & dessert, d'ailleurs l'infirmière qui arrive pour me débarrasser me lance demi amusé, demi heureuse. « Vous voyez monsieur Thompson quand vous voulez. » Ouais quand j'veux. Quand Keep est dans les parages surtout, ne lui répondant pas, je la regarde sortir, une seconde plus tard Keep réapparaît dans mon champ de vision, il en faut pas moins pour que mon visage se détende et qu'un nouveau sourire naisse sur mes lèvres. Ah ce mec bordel. Lui-même à le sourire au lèvre, il s'approche du lit pour me tendre un peignoir que je trouve immonde ( oui le miens chez moi est encore pire et alors ? ) et à peine l'ai-je enfilé, sans rechigné s'il vous plaît mais quand même avec quelques difficulté mon plâtre s'accrochant dans la manche, que l'homme le pose sa veste sur les épaule justifiant son geste pas ces mots. « C'est pas le moment que tu chopes en plus la crève je pense » Je lève les yeux au ciel en répliquant «  Ça va j'suis pas en sucre non plus. » Pourtant je ne veux pas lui rendre sa veste, elle a son odeur, et le sentir là comme ça tout près de moi ça me fait juste planer, donc je sers relève le col de la veste dans un geste semblant totalement désintéressé alors que la seconde d'après j'affiche un visage complètement détendu, j'aurais certes préféré ces bras mais on fait avec ce qu'on a je suppose. Quelque secondes plus tard une infirmière entre avec un fauteuil et un sourire. C'est vrai que moi aussi je devrais me réjouir là, mais voir le fauteuil ça me fout juste un coup au cœur. Ça y est. C'est bon c'est devenu réel, je suis un foutu infirme incapable de se déplacer autrement que dans cette prison à roue, j'me sens pâlir, putain pourquoi moi bordel, l'infirmière n'ayant visiblement rien remarqué de mon trouble s'approche de moi pour retirer mes couverture. « Prêt monsieur Thompson ? » Sauf qu'à peine eut-elle poser les mains sur ma peau que je hoche la tête de gauche à droite, nan pas prêt. Pas prêt du tout même. L'infirmière se recule et me regarde avant de lancer un regard à Keep. Ouais je pense bien qu'il ne s'attendait pas à cette réaction, moi qui rêver juste de pouvoir sortir. Mais pas comme ça. Pas AVEC ça. Serrant la veste de Keep dans mon poing je n'arrive pas à détacher mon regard du fauteuil. Mon futur meilleur ennemie je suppose.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 21 Fév - 22:55


Ça va j'suis pas en sucre non plus. Ouai enfin bon vu le temps que tu passes au chaud loin des microbes, désolé mais si t'es un peu en sucre dear ! Enfin j'en dis rien, et avec contentement je vois qu'il ne l'enlève pas pour autant, il proteste juste. Protestes Sonic protestes donc si c'est simplement pour la forme. Je lui sourit amusé et remerciant qu'il le regarde sur le dos.Et l'infirmière arrive avec le fauteuil, souriant à Sonic. Je m'éloigne du lit la laissant agir pourtant je remarque même d'ici très bien Sonic palir. Je fronce un sourcil avançant d'un pas mais déjà il secoue la tête négativement faisant reculer l'infirmière qui s’apprêtait à le bouger. Je reviens près de lui. Qu'est-ce qu'il y a ? Aucune réponse mais je suis son regard des yeux figé sur le fauteuil. Me mordant la lèvre, je repose mes yeux sur lui, ses mains crispées. Finalement était-ce une bonne idée le fait de le sortir dehors ?! Je regarde l'infirmière qui m'interroge du regard. C'est bon je vais m'en occuper... Elle me regarde avec un sourire me demandant si je vais m'en sortir parce que je dois aussi mettre les perfusion et son aide respiratoire, je lui sourie avec assurance lui disant que je sais comment ça fonctionne je m'en sortirais. Cléo m'a en effet beaucoup balader en fauteuil juste après mon réveil il y a dix ans... J'observe la femme partir, contournant le lit pour décaler légèrement le fauteuil et m'assoir sur le lit, mes doigts glissant sur sa main le faisant lâcher le tissu de ma veste. Hé Sonic... Sonic regardes moi... c'est que pour un temps... t'en aurais plus besoin après... Je lui prend le menton pour l'obliger avec douceur à tourner la tête vers moi histoire de lui faire détourner le regard du fauteuil. C'est que pour un temps ce fauteuil... Mais si t'es pas près, on sortira un autre jour... le temps est pas près de se changer en magnifique soleil, alors y'a le temps... Je reprend avec douceur un sourire léger aux lèvres.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mar 21 Fév - 23:56

« Qu'est-ce qu'il y a ? »  Ce qu'il y a ? Moi-même je ne le sais pas. Je bloque, juste je bloque. Mon cerveau reprend son rythme de croisière, je peux dire le modèle, la taille au cm près et le poids de ce foutu fauteuil connaître son ennemi hein … Plutôt que de mettre un nom sur l'émotion qui me consumer là maintenant je m'attarder sur les faits, ce fauteuil était fait pour les infirmes de longue durée. Je déglutis en serrant un peu plus la veste de Keenan. Je ne fais pas attention à ce qui se passe autours de moi, mon regard reste fixer sur le fauteuil alors que je peux sentir des frissons parcourir mon échine, je veux pas aller là dedans, je ne veux pas avoir besoin de roue pour bouger, je veux mes jambes PUTAIN ! Je sursaute quand la main de Keep attrape la mienne me faisant lâché sa veste. «  Hé Sonic... Sonic regardes moi... c'est que pour un temps... t'en aurais plus besoin après... » Ces doigts se posant sur mon menton je me vois obligé de tourner la tête, plantant mon regard dans celui du rédacteur face à moi, j'essaie de me concentrer sur lui et pas sur ce que je ressens en ce moment même.  « C'est que pour un temps ce fauteuil... Mais si t'es pas près, on sortira un autre jour... le temps est pas près de se changer en magnifique soleil, alors y'a le temps...  » Non, de nouveau je hoche la tête de gauche à droite, je veux sortir. Je veux respirer de l'air frais. Je ne veux pas rester dans cette putain de chambre. Pourtant c'est pas pour autant que je me sens capable de me poser dans un fauteuil roulant pour me laisser guider, cette situation est inconnu, j'ai pas été préparé à ça, je ne sais pas comment réagir, bordel qu'est ce que je dois faire ? Une bouffé de panique me fait respirer plus rapidement, je serre les doigts de Keep entre les miens, putain aide moi Dude. Aide moi. Profitant de sa proximité je me laisse tomber en avant dans ces bras, espérant trouver ainsi un moyen de me calmer avant que mes poumons manifeste leur mécontentement et qu'il soit définitivement hors de question de sortir. Lâchant sa main je le serre contre moi de mon seul bras valide quitte à me faire mal. La tête enfoui contre son cou je lui lance hésitant et un peu révolté.« Je .. Je sais pas quoi faire Keep, j'comprend plus rien .. Putain … comment je suis censé réagir face à ça ?! J'ai pas été formé pour ça ! Cette situation n'est pas censé exister je comprend pas Keenan je comprend PAS. » Ouais il est là le problème j'ai pas été formé à agir spontanément face à une situation nouvelle n'impliquant aucun problème militaire, les infirmes ne servent à rien ils sont une perte de temps, un bon infirme est un infirme mort, comment j'étais censé réagir face à tout ça ? J'y suis pas préparé putain... Serrant encore un peu plus l'homme contre moi j'me sens trembler, n'ayant jamais connu ce foutu sentiment d'impuissance avec un tel force, ouais … Il va de soit que j'allais craquer. Encore. Inutiles infirmes ...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 0:10


Je le fixe avec douceur, et je le vois encore une fois répondre négativement de la tête. Je me mors la lèvre sans savoir quoi faire. Je sens ses doigts serrer ma main, je dis rien, le laissant faire, incapable de savoir quoi lui dire pour l'aider. L'instant d'après je le sens contre moi alors que son bras me compresse contre lui avec force. Interdit un moment, je finis par écouter ses paroles, sentant son souffle dans mon cou. Je .. Je sais pas quoi faire Keep, j'comprend plus rien .. Putain … comment je suis censé réagir face à ça ?! J'ai pas été formé pour ça ! Cette situation n'est pas censé exister je comprend pas Keenan je comprend PAS. Ma main libéré par Sonic remontant doucement sur son dos alors que mes doigts se glissent dans ses cheveux, trop long et pas coiffé, ça ça ne change pas. Je le repousse pas, si mon malêtre de tout à l'heure est encore présent, je ne l'écoute pas. Sonic a besoin de moi c'est la priorité non ? Personne ne l'est Sonic... personne n'est formé pour ça... Je répond doucement au bout d'un moment, restant assis dans la même posture. Je sens son rythme cardiaque contre mon torse, si ce contact et cette proximité pourrait me rendre mal à l'aise vis à vis de nous deux pour le moment, je suis mal à l'aise de le voir dans cet état point final le reste je m'en fiche. Sonic.. ce n'est qu'un fauteuil... tu aurais pu être cloué au lit pour le reste de tes jours... c'est qu'un fauteuil et c'est pas définitif ! Je reprend , puis je m'écarte un instant pour prendre son visage entre mes mains, posant mon front contre le sien. Ne résonne pas comme ça... je sais que tout va changer... mais c'est que passager... et tu peux y arriver Sonic ! Je reprend avec fermeté mais sans lâcher ma douceur, fixant les deux opales marrons face à moi. je devrais pas faire ça, pas rester si proche, pas être ici. "Vous êtes plus ensemble." Ses paroles me reviennent en tête à ce moment, mais je décide de l'ignorer. Oui je devrais pas être si proche, pas être là à le laisser dans mes bras... Mais il a besoin de moi j'ai pas le droit de le lui refuser...
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 19:40

Je peux sentir ces doigts passaient dans mes cheveux, et ouais dude, au revoir la belle coupe de Paris ils ont vite repoussé ouais. Mes cheveux sont des trolls. « Personne ne l'est Sonic... personne n'est formé pour ça... » Certes mais moi je suis techniquement formé à tout. Toute les foutus situation je suis censé pouvoir les aborder sous un angle militaire, les émotions ne doivent pas être prise en compte. Jamais. Je me sers encore une peu plus contre lui aide moi dude j't'en supplie. «  Sonic.. ce n'est qu'un fauteuil... tu aurais pu être cloué au lit pour le reste de tes jours... c'est qu'un fauteuil et c'est pas définitif ! » Être cloué au lit pour le reste de mes jours ? Sérieusement Keep ? Tu crois que je serais encore vivant là maintenant si j'avais été tétraplégique ? Bordel que non. Et ça me fait flipper bordel qu'il dise ça parce que putain cette opération là sur laquelle il semble tellement compté … Elle peut me clouer dans un lit. Elle peut bordel. C'est quitte ou double cette foutue connerie putain. Avant que je ne me torture complètement l'esprit Keep pose son front contre le miens. Et ouais, je suis totalement aspiré par ces foutus yeux bleu. « Ne résonne pas comme ça... je sais que tout va changer... mais c'est que passager... et tu peux y arriver Sonic ! » Si tu le dis, le fait est que là je suis juste complètement absorbé par son regard, Keep bordel on est plus censé être en couple, pourquoi tu me tentes comme ça ? Forcement je me rapproche, c'est même pas prémédité, juste voilà quoi, il pose son front contre le miens, pour moi c'est juste une putain d'invitation. Et dire que j'ai pas envie de l'embrasser là maintenant se serait mentir. J’oublie tout là, mon handicap, ce fauteuil, cette chambre d’hôpital, y'a juste lui qui compte. Sauf qu'alors que j'allais posé mes lèvres sur les siennes la porte s'ouvre soudainement, je me recule comme si je venais de me prendre une claque. Je me retiens de fusiller l'infirmière du regard, d'ailleurs cette dernière semble déjà bien assez embarrassé comme ça « Hum … Excusez moi. Je venais juste voir si vous n'aviez pas de problèmes avec les équipements … je … Je vais repasser dans 5 minutes. Continuez continuez  » Elle repart et moi je me pose contre mes oreillers, c'est bonne chose au fond qu'elle soit arriver pile à ce moment là. Keep m'avait quitter pour la simple et bonne raison que je risquais trop ma vie. J'lui donnais complètement raison sur ce point rien qu'en étant dans ce lit d’hôpital, c'était pas à moi de faire le premier pas, je devais juste me faire pardonner. Et puis même … Il a du tourné la page c'est tellement voyant qu'il a couché avec quelqu'un ces 3 derniers jours. Un soupire sort de mes lèvres. Oublions ça. Faisons comme si rien ne c'était passé. Me redressant de nouveau, je me penche pour attraper mes cuisses, une frisson me parcourt l'échine quand j'pose les mains sur ma peau glacé, bordel ce que ça peut être étrange comme sensation, après avoir déglutis, je fais en sorte de pousser mes jambes sur le côté, soudainement je m'accroche à Keep pour ne pas tomber à la renverse « Damned, j'pensais pas avoir les jambes si lourde. » C'est surtout que je n'ai plus du tout l'habitude d'être assis, toujours mon bras accroché à lui je le regarde pour lui dire « Je suppose que ma crise de panique est passé j'peux regarder cette saloperie sans me sentir sur le point de tout régurgiter, merci d'être là dude, je sais pas comment je m'en sortirais sans toi.  » Sisi je sais, j'aurais fait absolument aucun progrès depuis mon entré à l'hosto et je me laisserais mourir voilà. Bref, posant mon regard vers le fauteuil je lance par la suite un regard à Keep. Ouais, j'aurais besoin de ton aide pour ça aussi parce que si j'essaie de monter là dedans tout seul.. Bonjour les chutes.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Mer 22 Fév - 22:58


Je le fixe avec douceur essayant de le calmer. Pourtant son regard si proche commence lentement à me déstabiliser alors que je me rend compte que j'aurais pas du installer autant de proximité. A trop vouloir être présent, et l'aider j'en oublie l'essentiel. Nous ne sommes plus ensemble ! Néanmoins je perds tout réflexe qui devrait me tirer en arrière et m'éloigner de son visage. Ses yeux fixé sur les miens m'en empêche et j'assiste immobile au fait qu'il s'avance lentement. P*tain non Sonic fait pas ça, je t'en supplie arrête toi et continue pas plus loin. On est plus ensemble, on est pu fiancé, on est séparé, tu vis ta vie, on ne doit plus être ensemble... Alors que toutes ces raisons tournent dans ma tête je continue de le fixer immobile. La porte s'ouvre d'un seul coup et Sonic d'un seul coup se recule totalement je reprend mon souffle. Et Dieu existe ! Hum … Excusez moi. Je venais juste voir si vous n'aviez pas de problèmes avec les équipements … je … Je vais repasser dans 5 minutes. Continuez continuez. Je me retourne. Non non c'est bon vous pouv... Porte refermée, ok merci beaucoup. Grande aide après sauver les futurs instants de ma vie elle me laisse comme ça en plan. Damn ! Sentant Sonic bouger je finis par tourner la tête de nouveau vers lui, le voyant occupé à essayer de bouger ses jambes. Le voir ainsi me retourne dans un sens l'estomac. Et je bénis le ciel que personne puisse lire dans les pensées, il en vomirait de savoir ce que je pense en ce moment, et moi même le penser me fait mal. Mais j'y peux rien, je peux pas virer ça de ma tête. De voir l'homme que j'ai toujours pensé invincible, l'homme que j'ai aimé depuis des années... le voir là comme ça j'en tombe de haut. Néanmoins je ne laisse rien paraître, et mon bras se tend vers lui lorsque je le vois se déséquilibrer, il s'accroche à moi et je le soutiens légèrement veillant cependant à rester beaucoup moins proche qu'avant l'arriver de l'infirmière. Damned, j'pensais pas avoir les jambes si lourdes. Je suppose que ma crise de panique est passé j'peux regarder cette saloperie sans me sentir sur le point de tout régurgiter, merci d'être là dude, je sais pas comment je m'en sortirais sans toi. Je sourie légèrement crispé après l'épisode de tout à l'heure. Je me lève du lit et attrape le fauteuil pour le coller le plus près puis glissant un bras sous ses jambes l'autre l'aidant à se relever pour se pousser sur le fauteuil on arrive finalement à l'asseoir dedans. Et moi je sens plus mes bras. La prochaine fois que je te porte penses à perde du poids avant... Je lance avec un sourire moqueur, en effet je suis loin d'être aussi fort que lui, si plus d'une fois il m'a soulever - pour des choses dont je ne veux pas évoquer les souvenirs, aussi torrides soient-ils - je dois dire que je n'ai guère tenté l'expérience depuis disons... dix ans où je devais le porté quand il était trop défoncé ou ivre, mais à cette époque c'était un cadavre ambulant. Je me redresse le redonnant ma veste qui a glisser , puis je m'attaque aux perfusions à attacher au fauteuil et tout le reste... tu sais... si tu y tiens... je peux toujours m'occuper de collé plein de petits autocollant sur le fauteuil, pour que ça le rende plus joli pour toi... comme les enfants... sauf que je mettrais plein de petit tanks et de mitraillettes dessus. Je commence ma phrase sérieusement finissant pour sourire au moment où je fais allusions aux autocollants. Finissant de tout mettre sur son fauteuil je remet ma veste sur ses épaules.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 24 Fév - 1:26

Bon voilà, ma fierté est réduite à néant. Adieu. L'homme venait littéralement de me porter jusqu'à mon fauteuil, mais genre limite façon princesse en danger. Putain mais quel honte, ils riraient bien tous les types que j'ai envoyé dans la tombe là maintenant. Dans un soupire je finis pas être assis dans le fauteuil. Les yeux se ferment. Okay. Tout va bien. « La prochaine fois que je te porte penses à perde du poids avant... » Je répond au tac au tac « C'est toi qui veux toujours que j'mange dude, j'étais prêt pour la diet moi. Et puis c'est mon plâtre le plus lourd pas moi. » Enfoiré va. Putain ce que ça peut être étrange d'être là dedans, comme ça peut être aussi fuckin' étrange d'être assis sans avoir d'équilibre. Entendant Keep posé mes perfusion et bouger mon système d'assistance respiratoire je ferme les yeux un peu plus, au fond j'avais peur de quitter cette chambre, peur de voir que maintenant les bureaux étaient trop haut, les gens définitivement trop grand, les escaliers impraticable, putain mais quel situation merdique. La panique remonte lentement le long de ma gorge, je peux sentir mon ventre se tordre, rester zen il fallait que je reste zen. Mon salut viendra de la veste de Keep que ce dernier apporte en même temps que les perfusion. J'ouvre les yeux, lui lançant un regard alors que je couvre de la veste dans un soupire de contentement. « tu sais... si tu y tiens... je peux toujours m'occuper de collé plein de petits autocollant sur le fauteuil, pour que ça le rende plus joli pour toi... comme les enfants... sauf que je mettrais plein de petit tanks et de mitraillettes dessus. » … Mes sourcils froncé ainsi que mon air septique pourraient répondre à eux tout seul. Il est pas sérieux là ? Non il est pas sérieux, dans un soupire amusé je lui répond. « … Non je m'occuperais de la personnalisation moi-même merci, j'ai peur de ce que toi et ton esprit d'artiste pourrait inventer. » Ouais, parce que monsieur le directeur de vogue serait bien capable de revisiter le militaire pour rendre mon fauteuil certes beaucoup plus beau mais beaucoup moins ...Viril. Ouais encore faudrait-il que ce genre de truc face viril. Enfin bref, revitalisée je pose ma main valide sur l'une des deux roues et pousse dessus pour m’élancer – forcement je pars aussi un peu sur le côté -. Et c'est enthousiaste que je lance « Allez come on ! On va louper la pluie Écossaise ! » Bon c'est pas comme si elle revenait au moins tous les 15 minutes m'enfin .. Voilà. Et puis j'étais pas vraiment sûr de pouvoir rester très très longtemps dehors, c'était déjà un miracle que les médecins aient accepté de me laisser sortir alors.
Revenir en haut Aller en bas
Anonymous
Invité
Invité
Ven 24 Fév - 1:42


C'est toi qui veux toujours que j'mange dude, j'étais prêt pour la diet moi. Et puis c'est mon plâtre le plus lourd pas moi. Lais oui Sonic bien sur espères sérieusement que je vais tolérer le fait que tu ne manges pas assez. Et puis c'est juste le temps du plâtre douloureux, une fois que ça irait mieux il pourrait s'appuyer sur ses deux bras pour s'assoir et se mettre dedans. Alors je ne réponds rien, continuant de transposer les appareils pour le faire sortir de la chambre. Je vois du coin de l’œil son visage crispé et ses yeux clairement clos. Je ne dis rien, lui laissant aussi le temps , je ralentis les choses en prenant mon temps pour les installer. Alors que je lui propose de customiser son fauteuil le sourire qui suit mes dire me fait rire légèrement. Évidemment, i'm kidding ! Non mais sérieusement ? Si il y ajoute n'importe quel truc j'aurais plus honte qu'autre chose. … Non je m'occuperais de la personnalisation moi-même merci, j'ai peur de ce que toi et ton esprit d'artiste pourrait inventer. Je prend un air faussement choqué lui remettant correctement la veste sur lui. Moi et mon âme d'artiste ?! tu pourrais avoir plus de reconnaissance... envers cet artiste qui a du flirter avec tes infirmières pour t'avoir cette sortie. Je répond avec outrance joué, avant de le voir appuyer sur une roue pour avancer. Il part surtout sur le côté, mais bon... c'est un début... Allez come on ! On va louper la pluie Écossaise ! La pluie Écossaise... Et on dit que l'Angleterre est le pays pluvieux, on vit que c'est pas les Britannique qui ont lancé ça ! Bref, je sourie légèrement posant les mains sur les poignées de son fauteuil pour le pousser. Même si je sais qu'il va détester ça, pour le moment il doit s'habituer à avancer, et ce n'est que sa première sortie donc chut. Je le lâche pour ouvrir la porte de sa chambre et le pousser jusqu'au couloir... Tu veux que je te fasse une visite guidée ? Je suis devenu experts la dedans je te promet..., j'explique avec humour.
Revenir en haut Aller en bas

Revenir en haut Aller en bas
 

KEEP ϟ One second is all it takes. One fucking second and your life became hell.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 2 sur 2Aller à la page : Précédent  1, 2

 Sujets similaires

-
» NIRI ✿ i'm all your life... and life's a bitch.
» ETHIANNE HAWTHORNE ✱ one life, one life.
» What. The. Hell ?
» What the Hell
» forever & never - Hell <3

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
The Pursuit of Happiness :: POH V.1 ::  :: 
OUT OF TOWN
-