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 kyler&mickey Ҩ work hard, party harder.
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Anonymous
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Sam 7 Jan - 23:25

work hard, party harder
Parfois, les gens agissent stupidement. Mickey était habituée à faire n'importe quoi. Raconter des conneries, conduire bourrée, boire à finir par en vomir, s'envoyer en l'air avec des inconnus — ou presque, ha ha —, ça, elle en avait l'habitude. Faire ce qu'elle n'aimait pas sans réfléchir, un peu moins. D'accord, elle avait besoin de travailler. Il fallait bien payer le loyer, il fallait bien se nourrir, il fallait bien blablabla. En vérité, lorsqu'elle avait entendu parler d'une place au Manchester, elle avait juste songé que c'était l'occasion de retrouver du boulot, une occasion qu'elle attendait depuis qu'elle avait quitté.. précipitamment le Burlesque. Pas une seconde elle n'avait pensé qu'elle ne cadrait pas, PAS DU TOUT avec l'endroit. Auparavant, il lui était arrivé de venir, une ou deux fois. Elle n'avait apprécié ni la musique ni l'ambiance. Alors pourquoi tenter de venir bosser ici ? Parce que tu es conne, ma pauvre fille. Dieu merci, sa période d'essai n'était pas encore terminée. Avec un peu de chance, elle ne serait pas retenue. D'un autre côté, elle avait besoin de ce boulot. Faut savoir faire des compromis. Elle n'était déjà pas capable d'en faire avec les autres, alors avec elle-même, c'était mort. Voilà sans doute pourquoi elle n'avait cessé de faire des conneries depuis qu'elle était arrivée, une heure plus tôt. Difficile de croire que j'ai déjà été serveuse. Ce n'était plus de la maladresse, à ce point-là, mais de la connerie, purement et simplement. Renverser deux fois le même verre sur le même type, à cinq minutes d'intervalles était trop suspect pour être innocent. Pourtant, elle ne l'avait pas fait exprès. Enfin, la première fois. Le mec s'était retenu de l'insulter lorsqu'elle avait tâché la seconde jambe de son jean. Intérieurement, Mickey avait sourit. Ça ne faisait pas de mal à ces gros tas de muscles d'être titillés, de temps à autre.

L'une des filles, une grande brune dont le prénom refusait obstinément de s'inscrire dans la mémoire de Mike — elle savait juste que l'autre était là depuis plus longtemps qu'elle, ça restait l'essentiel — avait reléguée la petite brune au bar. Pour tout dire, à telle heure de la journée, il n'y avait pas tant d'activités, en dehors des deux ou trois habitués qui se regardaient dans le blanc des yeux, à deux-trois tabourets d'intervalles. Chaude ambiance. Étouffant un bâillement, elle fourra la main dans sa poche et en extirpa son téléphone. Éteint. Génial. Mickey, la prochaine fois, tu le mettras en charge. Elle oubliait systématiquement le de faire. Bon, bah, c'est mort pour facebook. Reportant son attention sur les quelques clients présents, elle constata que l'un avait plié bagage — il venait de claquer la porte — et que l'autre était également en train de prendre ses cliques et ses claques. Mh, merveilleux. La collègue brune de Mike s'approcha, son sac sur l'épaule. « Tu diras à Hills que je prends ma soirée » lâcha-t-elle avec un sale rictus de pétasse. Cool, les rats quittent le navire. Lui renvoyant un sourire digne d'un spot publicitaire pour du dentifrice, Mickey hocha la tête. Compte dessus. Elle n'avait qu'à aller le trouver, Hills, le patron. Ce n'était pas compliqué. Il lui suffisait de mettre un pied devant l'autre et d'avancer, jusqu'à ce qu'elle le rencontre. Sauf si elle en avait peur. Ce qui était plutôt compréhensible, en fait. Ce gars-là avait quelque chose d'un peu effrayant sur les bords. Mike avait entendu parler de lui, au journal télévisé, une fois. Elle n'accordait que peu de crédits aux rumeurs mais il s'agissait quand même d'un quotidien fiable. Techniquement fiable.

S'étirant, elle balaya la salle du regard, s"attardant quelque peu sur la silhouette — les fesses, uniquement — de la brune qui s'en allait. Lorsque la porte se referma à nouveau, Mike réalisa qu'elle était seule. Qu'il n'y ait personne en milieu d'après-midi pouvait se comprendre. Mais à cette heure-là ! C'était d'un chiant. Allons rendre service à l'autre poufiasse. Elle contourna le bar, balançant au passage son téléphone dans son sac qui traînait entre deux piles de verres, avant de s'arrêter net. Elle n'avait pas encore vu Hills. Avec un peu de chance, il n'était même pas là et miss beau-cul-sale-gueule aurait droit à un savon pour s'être tirée en pleine journée. Peut-être même se ferait-elle virer. Mickey esquissa un sourire. Qui disparut aussi vite que la lumière. « Hé ! » C'est ça, comme si on allait te répondre. Génial, les fusibles aussi sont pourris. Le Manchester : tout pour plaire.

Il lui fallut une bonne poignée de secondes pour que ses yeux s'habituent à la pénombre. Gagnant à nouveau le bar, elle soupira. Et évidemment, il fallait que ça arrive maintenant. Elle n'y connaissait rien, en électrice. Bordel. Double bordel. Triple bordel. Bordel de merde, ouais. Restait à appeler Hills. Si jamais il traînait là, dans son bureau.. ou ailleurs. « HILLS ! LES PLOMBS ONT SAUTÉ ! » hurla-t-elle. Utile. Et intelligent. Il s'en était sans doute rendu compte par lui-même. « VOUS ÊTES OÙ BORDEL DE MERDE ? » Poli. Et très calme. Bravo Mickey.

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Anonymous
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Dim 8 Jan - 1:54



Nous étions samedi, ce qui signifiait que dans exactement deux jours j’allais quitter la ville en compagnie de Ryan pour aller m’éclater sur les routes Américaines au gré de mes envies sans que personne ne vienne me faire chier à propos du boulot ou de ma vie personnel tien. J’étais comme ça, une âme libre et solitaire qui n’aimait pas forcément la compagnie des autres. Allez savoir pourquoi j’avais accepté de prendre en charge ce bar lors du départ de mon prédécesseur, moi-même je l’ignorais. Peut-être parce que c’était mon premier boulot sérieux ? Que c’est dans cette boite que j’ai fait mes débuts en musique. Bref, j’avais beau dire ce que je voulais, j’adorais cette boîte, l’ambiance conviviale, mes employés tout quoi. J’aimais ce que j’en avais fait et le succès grandissant de cette petite ‘’ entreprise ‘’. J’en étais fier si on veut.

Je n’avais pas pour habitude de bosser le week-end, mais comme je partais dans quelques jours, j’avais décidé de venir donner un peu de mon précieux temps histoire qu’Enora n’ait pas trop de mal à gérer le truc pendant mon absence. En même temps j’allais pouvoir en profiter pour voir cette ‘’ nouvelle ‘’ que j’avais engagé à la va vite l’autre jour. Ouais je suis trop généreux je sais. Que voulez-vous c’est dans ma nature – on va dire. Remarque je m’en fichais bien, une employé de plus ou une de moins, ce n’est pas ça qui allait changer quelque chose dans ma vie. Après je ne les connaissais même pas tous. Ma foi. Moi et mon je m’en foutisme légendaire … je me vendais du rêve.

J’étais donc assis à mon bureau depuis six heure trente le matin. Matinal le mec, pas vraiment, mais plus vite je finissais ce que j’avais à faire, plus vite j’allais pourvoir rentrer chez moi. Les heures passèrent à une vitesse folle, les bières aussi d’ailleurs … les effets commençaient justement à se faire sentir. Saoul sur mon lieu de travail au beau milieu de l’après-midi, ça mon gars c’est la vraie vie. Pas de compte à rendre à personne … enfin vous comprenez le truc. Reste que j’en avais ma claque, plus que quelques papiers à signer et j’allais pouvoir ficher le camp. Cette nouvelle attendrait encore un peu avant d’avoir l’honneur de pouvoir me voir en personne, elle était le cadet de mes soucis après tout.

J’étais donc sur le point de signer le dernier document, quand le du bar sombra dans la pénombre. Mais qu’est-ce qui se passait ici ? Encore une de ses écervelée qui ne savait pas faire la différence entre un interrupteur et un panneau électrique. Je rageais. J’attendis quelques instant, histoire de voir si elle allait rattraper le coup et faire revenir l’électricité, mais rien ne venait. Rien sauf une voix qui s’élevait en bas et qui semblait m’interpeller. ‘’ Hills ‘’ huh ? Et le respect elle ne connait pas cette connasse ? Je me levai donc de ma chaise, puis me dirigea vers la porte en renversant quelques trucs sur mon passage vu le haut taux d’alcool que j’avais dans le sang. Comme il n’y avait pas de fenêtre qui donnait sur l’extérieur pour éclairer moindrement la pièce, je mis un peu te temps à trouver la poignée et lorsque ce fût fait, j’ouvris brusquement la porte et me mit à hurler comme un vrai sauvage ! Je m’en foutais qu’il y ait des clients ou non, cette fille allait vite savoir à qui elle avait affaire.

« TA GUEULE ! MAIS QU’EST-CE QUE T’A FOUTU BORDEL ? ET PUIS T’ES QUI TOI POUR ME PARLER COMME ÇA ? » ‘’ pauvre conne ‘’

Si elle pensait qu’elle avait le droit de me parler de cette façon, elle se foutait un doigt dans l’œil et l’autre dans le cul ! Non, mais son éducation était à refaire celle-là ! Je dévalai les marches à coup de deux en faisant attention de ne pas me tuer au passage, puis me dirigeai jusqu’au bar ou elle semblait être. Je ne voyais pas grand-chose au vu de l’emplacement du bar vis-à-vis du soleil, mais j’arrivais à distinguer une silhouette à quelques pas de moi seulement.

« Bon c’est quoi ce délire tu m’expliques ? Y’a des limites à être incompétente quand même ! »


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Anonymous
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Lun 9 Jan - 3:37

work hard, party harder
vulgarité Ҩ nom féminin, 1) grossièreté, parole ou manière vulgaire ; 2) caractère d'une personne vulgaire ; SYNONYMES : bassesse, grossièreté, obscénité, trivialité.

Ok, d'accord, d'accord, elle n'avait jamais été très fine. Ni même très polie. Avec personne. C'était dans sa nature et ce n'était pas son statut d'employée qui y changerait quoi que ce soit. Mais si Mickey était grossière, ce n'était rien à côté de ce type. Elle recula presque lorsqu'il lui déboula, lui hurlant dessus comme à un chien : « TA GUEULE ! MAIS QU’EST-CE QUE T’A FOUTU BORDEL ? ET PUIS T’ES QUI TOI POUR ME PARLER COMME ÇA ? » Là, elle comprenait pourquoi miss beau-cul-sale-gueule s'était tirée sans aller le prévenir. Pétasse va. Elle l'oublia bien vite cependant, occupée à contenir la bouffée de colère qui montait en elle. Keep calm and breathe deeply. Bordel, ce genre de mecs la mettaient toujours autant hors d'elle. Les nanas avaient beau être très généralement des pétasses — « en chaque fille sommeille une poufiasse babe, tu t'en rendras compte bien assez tôt » lui avait un jour dit Milicent, sa première copine, ce à quoi, elle aurait pu ajouter : et en chaque mec on trouve un connard — les hommes restaient quand même de belles enflures, à l'image de Kyler Hills. Elle ferma les yeux une seconde avant de croiser les bras sur sa poitrine. Se taire et attendre que ça passe. Il finirait bien par se calmer et passer à autre chose. Passer ses nerfs sur les gens devait certainement être son passe-temps favoris et ce n'était pas en piquant une crise de nerfs qu'elle y changerait quelque chose. Si tant est que quelqu'un puisse un jour faire quoi que ce soit pour lui. Dieu m'en garde.

Elle l'entendit approcher, manifestement énervé — nooon, déconne Mickey ! — et se tint prête à encaisser sa prochaine tirade, certainement tout aussi fine que la première. Merde, tout connard qu'il était, il restait son patron. Pour le moment. « C'est quoi ce délire, tu m'expliques ? Y'a des limites à être incompétente ! » cracha-t-il. Ahurie, Mike resta une bonne dizaine de secondes sans voix. Il ne croyait quand même pas qu'elle.. qu'elle avait tout fait sauter ? Mais quel gros con. Fronçant les sourcils, elle secoua légèrement la tête, profondément et définitivement irritée. Elle attendait avec une impatience non feinte le moment où elle pourrait dégager de ce trou, vraiment. Avec un type pareil à la tête de ce bar, il était étonnant que les affaires fonctionnent. « Je n'ai rien fait, fit-elle, vaguement hautaine, ça a sauté, c'est tout, figurez-v— figure-toi » Tu vas quand même pas lécher les bottes de ce crétin. Elle soupira, les doigts pianotant sur le barre. « Et je ne suis pas incompétente, reprit-elle, sans chercher une seule seconde à cacher son agacement, je suis serveuse, pas électricien. Ni punching-ball d'ailleurs. Alors si tu as un putain de problème, va courir un coup au lieu de gueuler sur les gens » Elle termina sur une note furieuse, agrémentée d'un regard assassin qu'il ne dût certainement pas distinguer dans la pénombre. Argh, bordel. Voilà, elle était énervée et bien énervée. Il fallait qu'elle foute le camp. Ou ça finirait mal. Et quelque chose lui disait que les rumeurs qui avaient un jour couru sur Hills n'étaient pas totalement infondées. On ne fait pas de fumée sans feu, après tout, hein ? Elle avança vers lui pour attraper son sac. « J'me tire » se contenta-t-elle. Et puis quoi encore, il attendait peut-être qu'elle aille tripoter ses fusibles et tout remettre en place ? Qu'il aille se faire foutre, oui.

hj : aucun sous-entendu, nulle part.. aucun -bam-

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Anonymous
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Lun 9 Jan - 6:05



Je me tenais debout devant elle et je dois dire que je me foutais pas mal de ce qu’elle me disait. Il faisait noir, c’était sa faute un point c’est tout. Non, mais pauvre fille. Dire que j’étais ‘’ coincé ‘’ ici avec elle. Une meuf que je ne connaissais pas et qui visiblement n’avait pas de savoir vivre. Le genre de fille qui me rebute quoi. Damn, cette fin de journée allait être longue, quoi que si ça continue comme ça, c’est avec un grand coup de pied au cul qu’elle quitterait mon bar.

« Pas incompétente mon cul ! T’as fait fuir tous les clients qu’il y avait dans le bar ! »

J’aurais pu continuer comme ça pendant de longues minutes encore à lui déballer un tas de saloperies et lui dire ma façon de penser, mais elle ne méritant pas que je lui accorde autant d’importance. Pour l’instant ce qui comptait c’était que je trouve une façon de faire revenir l’électricité et ça je le ferais avec ou sans elle. Les gamines dans son genre je n’en avais que faire et je m’en sortirais beaucoup mieux sans un boulet d’accrocher à la cheville.

La jeune femme poursuivi son baratin encore un moment avant de me dire qu’elle fichait le camp. ‘’ Bon débarra ‘’ pensais-je avant de me rappeler qu’avec le système de sécurité que j’avais fait installer, personne ne pouvait quitter les lieux sans que je n’aie entré un code secret à partir de mon bureau. Haha la bonne blague. La porte était verrouiller de l’extérieur comme de l’intérieur et je ne pus m’empêcher d’éclater de rire à cette pensée. La gueule qu’elle allait tirer quand elle se rendrait compte qu’elle ne pouvait pas sortir et qu’elle aurait l’immense honneur de rester avec moi le tout temps qu’il me plairait … mon dieu.

Par habitude, je me penchai pour atteindre le réfrigérateur et en ressorti quelques bières que je vins poser sur le bar. Sans doute en aurait-elle envie après la surprise de sa vie. J’étais un salop, mais je savais me montrer généreux quand même. Quand ce n’était pas un coup de poing sur la gueule c’était une bière. Trop sympa je sais. Je fini tout de même par prendre appuie sur le bar et ouvrit ma bière.

« Hey … l’électricienne de service. T’aurais pas envie de te transformer en dompteuse de palourde royale ? J’veux dire tant qu’à rester coincer ici … autant s’éclater un peu.»

Cette histoire de palourde putain. Je disais ça en l’air bien sûr. Il était hors de question que je laisse cette meuf poser ses mains sur moi.




[hj; je suis crevé la prochaine rep sera mieux ... mais palourde ! Cool]
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Anonymous
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Invité
Jeu 12 Jan - 17:33

work hard, party harder
vulgarité Ҩ nom féminin, 1) grossièreté, parole ou manière vulgaire ; 2) caractère d'une personne vulgaire ; SYNONYMES : bassesse, grossièreté, obscénité, trivialité.

Elle aurait dû s'en douter. Elle aurait dû prévoir que la porte ne s'ouvrirait pas et que sa belle sortie tomberait à l'eau. Elle aurait dû penser qu'elle allait avoir l'air d'une conne au moment même où elle avait tourné les talons, furieuse. Au cinéma, la jolie fille piquait une crise et quitta la pièce comme une furie, claquant la porte au passage. Ouais, mais on est pas au cinéma. Wake up sleepyhead, bienvenue dans la réalité. Elle s'escrima encore une dizaine de secondes après la poignée avant de renoncer avec un grognement assez peu élégant. Génial, absolument génial. Coincée dans le noir avec son pseudo-patron — futur ex-patron, au train où allait les choses — quoi de mieux ? Il n'y avait pas à dire, ça vendait du rêve. A faire mouiller une nonne. Inspirant profondément, Mickey fit demi-tour et, revenant sur ses pas, tenta de se calmer. S'énerver était complètement inutile. Complètement. C'était clair pour tout le monde, elle n'était pas faite pour bosser ici. Et elle n'en avait aucune envie. Il ne tarderait pas la virer et tout le monde serait content, elle la première. Être grossière n'était pas — plus — utile.

Un vague sourire moqueur passa sur son visage lorsqu'elle vit les bières qu'il avait sorti. Damn, il ne s'attendait tout de même pas à ce qu'elle prenne un verre — une bière, en l'occurence — avec lui ? Reportant son attention sur Hills, Mike le dévisagea du mieux qu'elle put, dans la semi-obscurité. « Hey, l’électricienne de service. T’aurais pas envie de te transformer en dompteuse de palourde royale ? J’veux dire tant qu’à rester coincer ici… autant s’éclater un peu » Ha ha, manifestement, non, il ne s'attendait pas à ce qu'elle boive un coup avec lui. Du moins, pas ce genre de coup-là. Mickey ne put s'empêcher de ricaner. Que fallait-il répondre ? Non merci, je n'aime pas les queues, en dehors de celle de mon mec.. et encore ? Sans façon, tu m'donnes pas envie ? Ouais, pourquoi pas, enfin, si tu comptes te faire greffer un vagin dans les cinq minutes ? Mh, un peu trop.. direct. Elle s'approcha, s'empara à son tour d'une bière qu'elle ouvrit sans mal — la force de l'expérience, ha ha — avant de s’accouder au bar, à côté de son patron. « Tu as les mains libres, non ? Occupe-toi tout seul, moi et ce genre de.. bêtes, on est pas franchement copines » dit-elle. Très éclairant ça, Mike. « En fait.. je suis lesbienne » fit-elle, portant la bière à ses lèvres, un large sourire sur le visage. Ça, c'était direct. Très direct. Un peu trop, peut-être. Elle prit le temps de boire une longue gorgée avant d'ajouter : « et puis bon, mon mec n'apprécierait pas » Ouh, la jolie menteuse. Jared n'en avait certainement rien à faire de savoir où elle allait traîner ses fesses ou même sa langue. Il ne lui demandait qu'une seule chose : faire acte de présence à ses côtés lorsqu'il en avait besoin. Pour le reste.. pour le reste, elle ne lui demandait pas son avis. « Bref. Tu ouvres ? demanda-t-elle, avant de préciser, un vague sourire aux lèvres : la porte, je veux dire » Mh, très fin, élégant.

HJ : navrée, ça pue u.u
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