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 Vaut mieux perdre la vie, plutôt que perdre son amour. ☼ Mon lust, mon maître, mon envie.
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Anonymous
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Ven 2 Déc - 22:58

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« Vaut mieux perdre la vie, plutôt que perdre son amour. »


Certains pourront vous dire de moi que je suis quelqu'un de totalement inconscient. Un peu trop rêveur et heureux, j'oubliais que le monde n’était qu'une horreur. Pour moi, il n'y avait pas plus rose, beau, en paix. Sûrement anormal pour un petit gars comme moi, de se promener dans les rues paumées et sombres de San Francisco, d'autant plus à une telle heure. Je marchais désespérément près des drogués me demandant une dose, alors que ce type de choses ne m'intéressaient plus, et je n'en avais par ailleurs, jamais consommé. Il y avait aussi la présence de prostituées qui venaient poser leurs mains sur mes fesses, afin de m'attirer jusqu'à leur lit. Mais j'étais gay, idiotes. Je déclarais que j'étais pressé, m'échappant alors de leurs bouches désireuses.Je devais absolument rejoindre mon petit-ami Sevan, je me sentais soudainement vraiment pas à ma place ici. J'avais besoin de lui, de ses bras et ses caresses qui me rassuraient à longueur de journée. Sauf que mon appartement était encore loin, et que je devais passer dans un long couloir coloré effayant, dans lequel il n'y avait seulement que deux personnes. J'étais surpris de voir aussi peu de monde, alors que le corridor devait au moins mesurer plus de deux cent mètres. M'approchant obligatoirement des deux êtres, j'aperçus mon ex Lust, que je côtoyais à nouveau depuis quelques mois. « Midnight, et si on faisait comme tes parents ? » Il faisait allusion à mon prénom, donné par ma mère, afin de se rappeler du seul moment passé avec mon père. Le seul, qui était de coucher ensemble au bord de la place à minuit pile, d'où mon existence. Et il était minuit, après vérification sur mon portable. Lust voulait donc, en clair, baiser. « Je n'ai pas le temps, je dois rejoindre quelqu'un. » Tout d'abord, je n'avais pas vraiment refusé et deuxièmement je ne lui avais jamais parlé de Sevan. Alors ce "quelqu'un" mystérieux, il allait sans aucun doute trouver ça louche.
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Ven 2 Déc - 23:56

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Midnight & Lust
« Mon petit bonhomme à moi vient te perdre dans mes filets»




    Je vacillais sur mes deux pieds en lâchant un rire au creux de ma gorge. Nuit tombé c'est à ce moment là que les mauvais êtres sortent pour apeurés les enfants. Les présences de mauvais augure qui vous suit sans le moindre sons pour enfin venir déposer leur souffle sur la peau de votre coup qui tire un résultat de peur et d'insécurité. Pour ma part c'est ce que j'appelle le paradis , mon domaine , ma maison. Je me tapais une veine et en insérait une veine par la suite regardant la drogue s"infiltrée petit à petit. Mes yeux se fermaient lâchant presque un soupire de plaisir. Ma tête commençait à prendre le tour et c'est ce moment que j'appelle l'extase. La journée ne vient que de commencer alors que toute personne normal vient de se glisser sous des draps réconfortant. J'avais longé que quelques ruelles pour en finir dans un immeuble que je connaissais bien. Mes lèvres laissaient fleurir un sourire rusée à leur commissure. Cet établissement je ne le faufilais pas pour autant souvent enfin que depuis cinq mois. J’avançais doucement en même temps je voyais un peu brouillé , mais pour tout dire c'est dans ces moments là que ça m'éclate complétement. Une seul lumière tamisait le couloir dans lequel j'avançais. Tout minuscule barricader de porte de chaque cotée un claustrophobe aurait fait une crise assurer . Je me mis à siffloter doucement déposant mon corps contre un mur miteux. J'en profitais ainsi pour me sortir un joint de ma poche ne me souciant d’aucune part de l'odeur répugnante qui pourrait s'accrocher aux narines des gens. À vrais dire je m'en fous total de leur bien être ! Je finis par apercevoir une silhouette qui s'avançait doucement dans des pas feutrée contre le sol. Son ombre embrassait les murs étroits et mon sourire s'agrandissant de plus belle , mais d'une façon maléfique. Je lui balançais une phrase alors qu'il m'avait dépasser. Pas le temps ? Depuis quand une minute mon chou tu auras toujours le temps pour moi. Tu m'appartiens ma priorité. Je m'avançais et laissa une main baladeuse se promener au creux de ses reins comme la première fois que je l'avais vu. Je l'avais saisie par derrière et avait déposer un baiser furtif sur son coup laissant une odeur de mon joint. Je le contournais par la suite pour me mettre devant lui. «Pas le temps ? ho non tu reste ici mon choux. Tu restes avec moi .». Mes pupilles dilatées le regardèrent de bas en haut.
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Anonymous
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Sam 3 Déc - 13:22

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« Stay with me, sexy boy. »


Les mains dans les poches et la capuche sur la tête à cause du froid, on aurait très bien pu me comparer à un délinquant ou même dealeur de drogue. Seulement, j'avais beau avoir l'allure, je ne me voyais pas l'être, pour l'unique raison que je ne désirais pas mettre des gens dans une merde de laquelle ils ne pourront plus jamais sortir. Certes je ne les obligerai pas à en consommer, mais je savais que ma conscience en prendrait un coup. Peut-être que cela permettrait à des gens de planer et se sentir heureux quelques heures, mais certains mourraient d'overdose, juste parce que je leur avais filé un peu plus de came qu'il ne le faudrait. Raison pour laquelle je ne voudrais jamais devenir un dealeur. Je n'avais pas envie d'avoir des crimes sur la conscience, je n'avais pas envie d'être coupable, et de m'en mordre les doigts jusqu'à la fin de ma vie. C'était aucun doute pour ça que mon Lust entretenait un tel métier. Parce qu'il en avait rien à faire de vous. Vous pourrir la vie est un jeu, qui plus est très amusant. Même de moi, il s'en fichait. Tout du moins, c'est ce que j'en pensais et je ne crois pas avoir eu tort. Quant à moi, j'étais définitivement et désespérément accro. Même s'il me rendait jaloux à longueur de journée, tout en me faisant comprendre que je n'étais qu'un mois que rien comparé aux autres, mais qui acceptaient de coucher avec lui, il me comblait de bonheur. A sa façon. Il passa une main en bas du dos, me déclarant d'une façon étrange, de telle que ça me paraissait obligatoire, que je resterai, avec lui. Lorsqu'il m'embrassa le cou, je me sentais vibrer. Il savait que j'aimais ça... mais j'avais beau lui expliquer qu'il devait absolument arrêter par respect envers Sevan, mon petit-ami... il persistait toujours. Parce qu'il avait conscience qu'en continuant, je finirais par craquer, et qu'il m'aurait pour lui tout seul. Au revoir Sevan, au revoir tout autre amour possible, c'était son but ultime de me faire flancher jusqu'à ses pieds et de finir soumis à ses côtés, pour toujours. Je devais résister... je ne pouvais faire ça à Sevan... « Non... Je ne peux pas... je dois voir Sevan... » dis-je difficilement et d'une façon pratiquement inaudible. Comme si je n'avais pas voulu qu'il l'entende. Comme si ce que je disais, état faux. De plus, je ne le repoussais pas. Il continua ses gestes et face à ces derniers, je me sentais entièrement impuissant, je me sentais faiblir totalement. Il me fixa aussi avec un regard insistant, disant clairement "je t'oblige à rester, tu n'as pas le choix" auquel je ne savais véritablement pas résister. « Hum... d'accord... Je... je reste. » enchainais-je par la suite, en baissant la tête d'un sourire timide. Seulement, il me releva rapidement cette dernière, je ne savais encore pourquoi... Mais ses yeux, bon Dieu. Je plongeais mon regard dedans, complétement absorbé. « Tu t'es drogué, Lust ? » lui demandais-je d'une voix peu rassurée, en lui caressant la joue. Ses pupilles étaient énormes et ça m'inquiétait fortement.
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Sam 3 Déc - 14:18

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Midnight & Lust
« Mon petit bonhomme à moi vient te perdre dans mes filets»



Dans la noirceur de la nuit il me paraissait comme un pauvre petit enfant égaré. Innocent et faible. Je me voyais comme un de ses prédateurs qui ferait tout pour que la bête innocente tombe dans son filet. Midnight restait à mes yeux une des proies les plus facile à obtenir. Je le connaissais au bout de mes doigts. La façon dont je pouvais le faire réagir. Quel partie de son corps je pouvais en tirer des frissons. Chacune de ses faiblesses pour le faire craquer. Ma petite marionnette. Je tirais sur un file et le voilà presque à mes pieds. Enfin pendant notre relation de 4 mois cela avait été ainsi. Dans les temps du présent je le sens me résister , mais croyez moi ce n'est qu'une question de temps. Je l'avais sentie sous mon baiser d'où j'avais pris tout de même le temps de déposer mes lèvres sur sa chaire. Une autre façon de le faire flancher. Une chaire de poule s'était déposé sur sa peau. Il lâcha un nom. Je me permis de hausser un sourcil. Sevan ? Qui que se soit il ne vaut rien je le sais déjà. Comme si tu allais filer aussi facilement pour aller rejoindre n'importe qui. Regarde moi petit si tu en as le courage de plonger ton regard dans le mien. Tu le vois c'est ta pure envie qui se trouve devant toi. Pourquoi cherche tu plus loin alors que tout ce que tu désire se trouve devant toi. «Oh que c'est dommage pour lui moi j'en ai rien à faire il peut bien attendre ce petit Sevan sans importance.»Comme je ne sentais pas qu'il me repoussait ça me fessait sourire de plus en plus. Il suffisait plus qu'un claquement de doigt et je l'avais au creux de ma main. Et puis j'obtenais la réponse que j'attendais. Son visage timide se baissait. «Bon garçon !» Sa main voila à ma joue et que oui je l'avoue ça venait tout autant me chercher que autre fois. Mais aussi que c'était par pure geste de faiblesse. Qu'il aime prendre soins de moi. Car on le sait tous au fond qu'il ne supporte pas de me voir aussi bas , mais encore il m'aide sans s'en rendre compte à m'enfoncer plus bas. Oui dans les moments ou il m'aide à prendre des doses que je n'arrive plus à prendre moi même ça pourrait créer une overdose et si je meurs sous ses doigts , il aurait un seul coupable. «Quand est-ce je ne le suis pas ? » Son visage était tout près je profitais alors de son moment pour lui envoyer une bouffer de mon joint au visage. Ce qu'il détestait le plus alors que pour ma part c'est l'extase. je pouvais déjà voir ses narines qui se retroussaient et son visage qui se transformait en une apparence dégoutée. Je rie doucement comme toujours.
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Sam 3 Déc - 16:07

"Ce petit Sevan sans importance". Sa phrase faisait comprendre clairement qu'il n'y avait que Lust dans ma vie, ce qui était évidemment faux, bien que c'était son souhait très cher. Parfois, je ne comprenais pas totalement mon envie, peut-être pour ça que j'étais autant attiré par lui, dans le sens où je ne pouvais lui résister, parce que l'incompréhension me donnait envie de découvrir. Sauf que de jours en jours, je ne comprenais toujours pas plus ce tatoué. Selon ses dires, je lui appartenais, mais quant à lui, il était libre comme l'air. Injustice ! Même si je ne trouvais pas ça correct, je m'en fichais... parce qu'au final, j'adorais quand il disait "tu m'appartiens, sexy boy." ou "Propriété privée". Je ne saurais dire pourquoi, peut-être car je paraissais alors important, je regagnais confiance en moi d'être à quelqu'un comme lui. D'être à ce type dealeur j'men foutiste sur les bords, un gars populaire et sûr de lui. Forcément, ça me donnait parfois envie d'être comme lui, raison pour laquelle également il me faisait rêver rien qu'en l'écoutant ou le regardant. C'était juste Lust. Il avait tout pour me faire craquer, me faire flancher, détruire ou déstabiliser ; dans tous les cas, il savait parfaitement s'y prendre. Très observateur, il connaît tous mes points faibles - et il faut préciser qu'il y en a énormément - pourtant il les sait tous. Alors au fur et à mesure, il prend un malin plaisir à taper là où je suis faible, où je deviens impuissant face à lui. Alors, il pouvait bien critiquer Sevan que je ne réagissais même plus, puisqu'il m'embrassait le cou tout en même temps... et il parvenait à me faire oublier en une seule seconde les méchancetés dites à propos de mon petit-ami. J'arrivais à simplement dire, vraiment tout bas. « Non... Sevan... c'est mon tout. Ma joie de vivre. Tu ne devrais pas dire ça... lust..» Pourtant, j'étais là, en train de me faire couvrir de baisers au niveau du cou par un autre garçon : logique. Je fermais les yeux délicatement, soupirant de plaisir au contact de sa peau. Il me déclara que j'étais un bon garçon. Si je restais auprès de lui, c'était peut-être pour ça aussi. J'aimais qu'il me dise que j'étais quelqu'un de bien. Peu importe pour quoi, dans quelle situation, j'adorais juste le fait qu'il sorte ça de sa bouche. Posant alors mes doigts sur sa joue douce, je souris nerveusement, sans doute un peu trop inquiet pour son état. Sa réplique me tuait. Quand ne l'était-il pas d'ailleurs, drogué ? Il l'était tout le temps, 24 heures sur 24. Je l'avoue, ça me tuait parfois de le voir planer, tandis que moi j'étais dans la réalité des choses, et non pas celle qu'il inventait. Crachant sa fumée de joint dans mon visage, il rit. Il m'agaçait quand il faisait ce type de choses, mais il suffisait d'une simple caresse pour ensuite qu'il m'apaise. « Lust ! Arrête de rire ! » lui criais-je en balançant le bras jusqu'à la cause de sa destruction progressive de sa vie, la faisant tomber à terre. « Bon débarras. Ça pue ce truc, en plus. »
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Sam 3 Déc - 19:20

    À certain moment je me demandais jusqu'à quel point sa naïveté pouvait aller.Pourtant notre relation n'était baser que sur quatre mois. Quatre mois pour qu'il en devienne accro qu'il en tombe amoureux. À travers ces jours et ces minutes j'étais au point venu de m'attacher. Vous n'avez même pas idée à quel point je déteste ce sentiment. Sentiment de besoin. Lorsque j'entendis sa réaction face à son cher Stevan un seul mot me venu en tête : Ridicule. Son tout ? Alors pourquoi continu tant à t'attacher à moi ? Pourquoi persiste tu ? Tu n,es pas prêt de m'oublier il me semble que je tes marque physiquement comme moralement. Regarde de plus près mon nom est graver sur ta peau. Comme dans un sorte de cage j'ai finis par t'emprisonner dans mes mains. Tu fuis et puis tu reviens. Comme un yo-yo. Il a une seul chose qu'il pourra toujours rêver et espérer c'est que moi je lui appartienne. «Honn mes remarques tes blesse ? que c'est dommage» Il était éjà énerver je ne faisais que rajouter de l'huile sur le feu.«ho j'ai .énervé le petit choux . Attend relax un peu.» Je fis balader a main sur sa joue comme il avait fait avec le mienne plutôt avant de déposer un baiser sur celle-ci. Les rougeur devraient apparaître d'ici quelques minutes et à l'intérieur de moi je pourrais crier victoire. Dans son élan de frustration mon joint avait suivit. Il semblait heureux de l'avoir fait atterrir sur le sol. Je me mis à rire de plus belle comme si j'en avait qu'un seul sur moi ? «Malheureusement tu n'es pas encore complètement débarrasser sexy !». J'en sortis un autre de ma poche et le fit voler juste sous son nez par la suite pour le faire rouler doucement sous mes doigts et l'apporter de nouveau entre mes lèvres. C'était une question de temps avant que l'explosion n'est lieu alors j'attendais l'aire de dire alors tu réagis ? Mon regard ne restait point sur lui et je détachais le couloir délabrer. Hum depuis mes 15 environs je vis dans cet environnement. J'en suis venu à accepter ce genre d'endroit comme une maison. Je suis un pure vagabond maintenant. rare sont les fois que j'arrive à garder un appartement très longtemps. Ça pourrait en devenir une déstabilisation de vivre dans une maison tout proche avec une odeur fraîche. Je suis réaliste d'une façon , car je sais que je ne toucherais jamais à ce type de vie. Je finis par revenir proche de son oreille après avoir laisser un souffle court sur sa peau. «N'ai pas peur et viens avec moi». Je le contournais de nouveau et continuais à m'enfoncer dans le couloir comme un fantôme. Je pivotais sur mes talons et le regardait en lui faisant un signe de main de s'approcher. Je n,avis pas cet crainte qu'il ne me suive pas. Je sentais déjà que un file venait d'être accrocher à son dos dont une force poussait sur celui-ci pour lui dire de me suivre. Une petit voix à l'intérieur de son esprit.

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Anonymous
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Mar 6 Déc - 16:59

Lust me rendait fou, me faisait oublier certaines choses très facilement. Même mon petit ami Sevan. Et je m'en voulais, d'ailleurs, d'être aussi débile devant ce gars. Je ne pouvais rien y faire, il avait cette capacité de me faire flancher en quelques secondes, mais aussi craquer ou encore me rendre totalement fou. Son assurance et son caractère faisaient en sorte de me déstabiliser, ça provoquait chez moi un état de bonheur... parce que j'étais comme important pour quelqu'un de la sorte. Il était connu, était un bon dealeur, était ce gars manipulateur et blessant sans aucune pitié, même avec moi, mais j'avais tout de même l'impression d'être utile quand il me disait que j'étais sa chose. Même si j'étais énervé, il parvenait à me détendre totalement. Non pas car je respirais l'odeur de son nouveau joint, mais parce qu'il me caressait. Je me sentis comme à chaque fois, très gêné, baissant légèrement la tête en rougissant. Je n'arrivais pas à contrôler ce détail... et j'avais toujours l'air d'une tomate, mais c'était de sa faute, il n'avait qu'à pas me toucher aussi ! J'avais beau l'air avoir mal à l'aise avec lui, ce n'était pas le cas, je me sentais vraiment bien ; raison pour laquelle je voulais le voir aussi souvent, que je venais l'aider à se piquer, car je ne voulais pas qu'il se la plante je ne sais où dans son état de planitude. Je ne désirais pas qu'il lui arrive du mal... et j'étais certainement trop con pour être autant attaché, mais à quoi bon ? Je ne pouvais faire le contraire, il avait été une étape importante dans ma vie, la révélation de mon homosexualité et même si nous sommes restés que quatre mois ensemble en tant que couple, j'ai passé en tout deux ans à ses côtés. Je n'étais plus énervé contre lui, oubliant les paroles au sujet de Sevan. Je le voyais se détacher de moi, commençant à marcher à travers ce grand couloir. Où allait-il ? Me laissait-il ici ? Je le vis me faire signe de le rejoindre, chose à laquelle je n'ai pu contester... j'avais affreusement envie de le suivre. M'aggripant alors à son bras, je lui demandais en le fixant dans ses merveilleux yeux marrons. « Où va t-on Lust ? Où est-ce que tu m'emmènes ? Hum ? » Si quelqu'un passait par là, qu'il nous observait un instant, il pourrait en conclure rapidement que j'étais le plus faible des deux. J'avais enroulé mes bras autour de son gauche, comme si j'étais faible, comme s'il me protégeait sans cesse, comme si j'étais à lui et qu'il se mettrait contre qui que ce soit désirant se mettre entre nous deux. Comme s'il était le maître, le grand, la force. Comme si j'étais l'esclave, le petit, le faible. Et j'aimais bien cette idée là.
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Anonymous
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Mer 7 Déc - 5:44

Midnight , minidght , Babe, toi qui est si naïtf, toi qui s'égare à travers les brumes des mensonges et des promesses disparus , tu es le seul qui est la cause à toute cette histoire. C'est de ta faute. C'est toi qui m'a envoutée avec ta beauté divine , qui après cinq ans tu connus à t'attacher alors que j'avais décrocher. Tombe dans mes filets aller tombe comme une bête innocente . C'est à ce moment là que je refermais mes doigts sur ton corps frêle comme une cage , t'empêchant de voir claire , t'empêchant de te débattre laissant l'illusion t'envahir. Tu flancheras , tu tomberas lorsque une de ses cordes sensibles qui te tient brisera , à le moindre signe d'une de tes faiblesses. Comment pourrais-tu échapper ? Mes paroles te glisseront comme des cordes autours de toi aucun geste , mais alors je le sais bien tu ne voudras pas t'enfuir, car tu le sais mon nom est tatoué sur ta peau, imprégné dans ton esprit comme dans ton coeur. Le résultat ? La chute de Sevan. Lorsqu'il chutera sous mes yeux assoiffant d'un pure délice de sa souffrance . Je déambulais tel un esprit sans regarder vers l'arrière , je connaissais déjà les réponses alors que point est-elles arrivées. Je sentais alors ces doigts agrippé mon bras et mon sourire du genre diabolique s'agrandissait, sa voix de gamin m'interpellait. Un bras de distance nous séparait et cela me semblait de trop. Je tirais donc sur son membre ainsi nos souffles se rencontrèrent. Je pouvais sentir le parfum que dégageait ses narines. Un doigt habile vint se déposer sur ses lèvres vermeilles. «Je vais t'emmener dans un endroit qui te feras rêver.» Ces paroles utiliser était nul l'autre en référence à ses rêveries , à son être d'enfant jamais grandi. Je déposais des espoirs dans sa tête pour l'accrocher , le faire espérer ainsi pour une nuit à ses cotées dans les ruelles mystérieuse , imprégner une histoire encore non écrites dans ses pensées . Je le tirais alors dans des pas lents . L'autre extrémité du couloir cachait un escalier. Je descendis suivit de lui dans un tintement sonore du métal sous nos pas peu inaudible.« Aller allons s'aventurer un peu». Mes mains poussèrent la porte qui nous séparait de l'aire frais de la nuit . Sans gêne sans peur je l'entrainais dans mon univers. Là où les drogues nous font planer, où ces chacun pour soit , où il est rare d'avoir un toit stable. Il est déjà trop tard Midnight , tu as déjà dit oui ,maintenant il ne reste plus qu'à a assumer.
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Anonymous
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Ven 9 Déc - 20:12

Nous marchions jusque je ne sais où ; et je m'en fichais de l'endroit dans lequel nous allions bien pouvoir aller. Les raisons étaient simples et évidents. J'étais en la compagnie de Lust, c'était suffisant pour gambader n'importe où. Toujours aussi faible, bien sûr. Aussi, car il venait de me donner le plus merveilleux argument. Nous nous rendions quelque part, qui me ferait en passant rêver. J'avais besoin de ça ce soir, d'avoir des yeux brillants face à la magie. J'aimais bien Peter Pan et ces types de dessins animés, j'adorais rêver et être encore un enfant, bien que je sois adulte. Alors le paradis promis de Lust me donnaient évidemment envie, j'avais déjà hâte d'y arriver. Je fus surpris de comprendre que le lieu de magie se trouvait justement au bout du long couloir, prenant avant un escalier nous dirigeant au sous-sol. Nous entrions dans l'immense pièce, toujours accroché au bras gauche de Lust. Il avait ce sourire aux lèvres, les yeux brillants tant il pensait sûrement déjà à la drogue qu'il allait bien pouvoir recevoir dans ses veines cette soirée là. Quant à moi, mon visage rayonnait avec au milieu, ce magnifique sourire montrant mes dents blanches, tant il était grand. Les lumières colorées faisaient en sorte de rendre la pièce splendide, intense et magique ; et la musique me donnait envie de danser sur la piste de danse. J'étais bien trop timide, malgré le nombre de personnes bougeant sensuellement contre d'autres. Je me voyais bien avec Lust sur la piste, mais c'était impossible. Je le sentis attraper ma main, l'entremêler avec la mienne... comme anciennement, comme un couple et je parus peut-être un peu choqué, mais l'idée de redevenir comme avant frôlait mes pensées très souvent et elle me plaisait énormément. Je me sentis entraîner rapidement sur un canapé, dans lequel nous nous posions. Rapidement, Lust se fit une seconde seringue d'héroïne. Il s'en était fait une avant que l'on se retrouve, il allait en enchaîner une deuxième en à peine vingt minutes. C'était carrément dangereux, surtout cette drogue ! Il avait déjà certainement fait ça plus d'une fois, mais l'inquiétude prit place tout de même. Le fixant d'un regard insistant, pour finalement joindre son oreille afin qu'il m'entende au milieu de ce boucan. « S'il te plaît.. lust... arrête. C'est... c'est... trop dangereux. » J'avais les yeux d'un chien battu, la voix faible et impuissante. Il allait simplement se foutre de moi, je le savais d'avance. Pourtant, j'étais vraiment sérieux. Dans le but de lui montrer, je posais ma main sur son bras, calant ma tête sur son épaule en même temps. « Tu tiens vraiment à rester ici.. ? » L'endroit me terrifiait, j'avais besoin d'être rassuré. Est-ce que Lust allait me donner une marque d'affection ou un souhait de coucher avec moi, encore, gestes qui me donneraient envie de rester ? En tout cas, c'était étrange ici.
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Ven 9 Déc - 22:32

Petite bête si terrifié , ma proie j'avais un si grand emprise sur lui dont il ne connaissait même pas la force. Un contrôle au besoin d’illusion d'un enfant. Voyage dans un univers dangereux j'espérais pouvoir fermer ses yeux l'ombre d'un instant. Refaire venir les images du passé dans son petit esprit tortueux . Je joue avec les souvenirs mais qui est le plus imprudent dans tout cela ? Qui a le plus à perdre ? Les lumières dansent sur son visage d'ange alors qu'il sourie comme une parfait gamin en pleine rêverie. L'odeur de l'alcool font retrousser mes narines et celle de la drogue s'en suit non loin. J'aurais pu l'entraîner à d'autre endroit beaucoup moins rassurant. Les étoiles ne se refermaient pas sur nous dans une noirceur infinie un toit couvrait plutôt nos têtes. J'avais envie cet envie de l'emmener une fois pour toute dans mon monde. Il y a de sa cinq année il a failli être piéger par mon univers. Cela ne tenait plus qu'à un file et l'occasion m'a glisser d'entre les doigts. Des âmes composaient la pièce. Des esprits perdu par le temps et le besoin d'oublier entre deux verres. Peut-être suivis d'un joint entre leurs lèvres , mais une chose était sur ils ne seraient pas épargné leur corps ne le seraient pas. Aucune ne ressortait dans des pensées saines et complètement réaliste le mot ajun n’existe pas dans ces nuits dévergondés que compose le quartier. On sentait bientôt le confort d'un canapé bien décaper par les années contre nos dos. Héroïne Héroïne qui voyageait bientôt dans mes veines grâce à cette magnifique aiguille qui volait juste sous mes yeux. Deuxième dose et pas la dernière de la soirée. Un sourire au rictus de mes lèvres je voyais Midnight qui devenait tendu face à ce spectacle. Les yeux inquiétant et moi ça me faisais juste rire d’avantage. Je n,en oubliais pas le point qu'il avait toujours détester ce spectacle. Ma chute ma défaite en quelque sorte , mais aussi ma raison de vivre et la perfection dont il me serait impossible désormais de me détacher. Mes oreilles captaient ses mots , mais ils se faisaient balancer bien loin quelque part dans ma tête. Je ne me souciais peu de ses conseils. Voix abattu d'une personne qui a peur . Ses doigts se faufilant sur mon bras et sa tête qui se déposait sur mon épaule. C'était plus qu'une impression il était ce petit garçon qui se réconfortait contre moi . Parti très loin de chez lui comme une première fugue. J'avançais doucement la seringue vers son bras avec des yeux moqueurs. Je le voyais déjà se débattre pour que je retira ça proche de lui. Juste quand j,allais toucher sa peau je l'avais déposer sur le sol. J'aime jouer avec lui voyez-vous ? «Arrête de parler tu veux bien ? ». Mes doigts joueurs vint chercher son menton pour l'avancer un peu plus proche de mon visage. Nos souffles se rencontrèrent de nouveau dans des soupirs marqués. J'en vint à faire rencontré nos bouches alors que je prenais le contrôle sur son corps l'écrasant légèrement contre le sofa. Je pouvais déjà le sentir vibrer contre mes mains. Ces dernières se faufilaient au creux de ses reins. Il venait de tomber. Attraper le filet venait de se refermer.
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Anonymous
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Dim 11 Déc - 0:48

Un 'arrête de parler, tu veux?" suivi de ce type de scène, bien sûr que je le voulais. Lust ne perdit pas plus d'une seconde pour m'embrasser délicatement, rapprochant nos corps, en se collant à moi. Je me suis senti transporté dans le rêve qu'il m'avait alors précédemment promis, il n'avait pas menti. Au moment où ses lèvres se sont posées sur les miennes, je repensais à chaque moment passé avec lui et je ne pouvais m'empêcher de prolonger le baiser, ainsi que d'attraper son corps par la poche arrière de son jean, afin qu'il soit davantage proche de moi. Doucement, je fermais les yeux, appréciant simplement ce tendre moment. Lust était doux avec moi, il ne m'avait pas embrassé de façon brutale. Quant à moi, je plongeais ma langue dans sa bouche sans aucun embarras ou timidité, il faut dire qu'il m'avait totalement déstressé pour une fois. J'ignorais si c'est la drogue qui a fait en sorte qu'il entreprendrait un tel geste, mais je fus tout de même heureux. J'étais émerveillé, entièrement satisfait mais il savait très bien que j'allais réclamer plus, tout du mois en vouloir davantage. Une fois la drogue dévorée -ici mon cher lust- je ne pouvais plus m'en arrêter. C'est comme sa drogue à lui, c'est comme le chocolat. Impossible une fois le morceau avalé, on ne peut plus s'en passer. Ben Lust, une fois que je l'embrassais, je ne pouvais plus non plus m'arrêter. Il était en train de me faire totalement rêver et j'étais persuadé qu'il en avait conscience. C'était son but et je le savais, néanmoins je ne pouvais rien faire pour lutter contre son emprisonnement. Une fois dans ses bras, caressant sa bouche de ma langue, je ne pourrais plus partir, tout du moins, que quand il me lâchera. Comme s'il avait un pouvoir magique de frénésie sexuelle. Dès qu'il me touchait, j'avais envie de lui comme pas possible, c'était malheureusement incontrôlable. J'attrapais ces frissons, les papillons dans le ventre, comme autrefois. J'adorais cette sensation, certes, mais ce n'était clairement pas bien ce que j'étais en train de faire. J'étais avec Sevan, bordel, pas Lust, réveille toi Midnight, réveille toi de ce conte de fée paraissant magique, mais étant totalement irréaliste, faux et inventé. Tu ne pourras jamais être avec ton envie, celui que te fera rêver, ce garçon inaccessible. Tu es avec Sevan, il est très bien pour toi, pourquoi recherches-tu quelque chose d'autre, alors que cette personne est carrément suffisante ? J'avais ce don de tout compliquer, ou plutôt, Lust avait ce don de tout compliquer. C'était de sa faute ! Il le faisait exprès et pour cela, je lui en voulais. Par la suite, ses mains se glissèrent entre mes reins et directement, je gémis doucement. Il me faisait du bien rien qu'en me touchant, c'était désespérant. Embrassant son cou de petits baisers, j'émis en même temps une pression sur son dos, pour qu'il s'allonge totalement sur moi, l'attirant pour une fois jusqu'à moi. Lui montrant par ailleurs, que j'avais besoin de lui, là tout de suite. J'avais besoin qu'il me montre simplement que je comptais ne serait-ce qu'un peu à ses yeux, à sa façon. Le sentir entièrement contre moi m'excitait davantage. Pourtant, bien qu'il me l'ait pratiquement interdit, je me nichais jusqu'à son oreille, lui disant. « Envie... je t'en prie.. arrête.. tu sais.. tu sais que j'suis impuissant. Tu le sais. Je peux pas arrêter, y'a que toi qui peut arrêter ce cercle infernal. Je t'en prie Lust.. fais ça pour moi. Montre moi que tu m'aimes de cette manière. Je t'en supplie. Je peux pas faire ça, j'ai pas le droit.... » J'attrapais ensuite son menton pour faire pivoter sa tête en face de la mienne, le regardant d'une manière intense, désespérée, suppliante. Nos lèvres étaient situées à seulement cinq centimètres de l'autre, et il allait sans doute continuer. Mais peut-être que ce soir, il arriverait à me montrer un tant soit peu d'affection, m'indiquant qu'il était heureux que je sois avec Sevan. Qu'il ne ferait plus jamais ce type de gestes exprimant qu'il est contre ma relation avec mon petit ami.
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Dim 11 Déc - 1:39

Nos lèvres s'unissaient dans des baisers endiablés qui prenait forme sous nos doigts baladeurs , ainsi les frissons s'accumulaient , je sentais sa peau hérissée sous mes mains et la température montait d'un cran. On n,en oublie l'endroit , les gens qui nous entourent , les pensés qui voguent dans notre esprit. J'avais attiser le feu entre nous deux , mais seul Midnight en avait rajouter de l'huile en me pressant d'avantage sur son corps bien formé. Je ne me faisais point supplier et je me laissais guider alors que d'une manière j'étais le propre maitre de la cadence. Toucher sa bouche , goûter à la sensation de sa langue contre la mienne s'était comme un peu raviver les souvenirs de ces quatre mois , comme si aucune année n'avait écouler entre temps. Mais encore il avait bien eu un changement de stade au niveau des minutes accumulés , car je n'avais pas vu après que les quatre saisons est défilées cinq fois. Oui j'en oubliais pas le fait que c'était moi qui avait largué au fond d'un ravin cette petite créature. Mon souffle se déposait sur son lobe d'oreille suivit de mes soupirs d'envie au creux de cette dernière. Il vibrait ah ça oui je le sentais , mais alors moi je laisse la vérité que moi aussi mon esprit était chamboulé. Je l'enfonçais doucement dans une lenteur pure qu'il ne prenait même plus conscience , c'est après être tombé qu'il réalisera qu'une parie lui a glissé sous les doigts. Au fond ne serais-je qu'un profiteur ? Un profiteur de sa naïveté de l'emprise que j'ai de lui , et la réponse sera oui. Pour la simple et pure raison que Midnight n'appartient à personne d'autre qu'à moi. Je l'entendis son gémissement parvenir à mon tympan ce qui en fit dessiner un sourire pour la simple et pure raison que je savais à ce moment là que j'avais toucher un point sensible. Une autre faiblesse que je connaissais déjà par cœur. Je les exécutais une après l'autre de quoi lui faire perdre le nord , le sens , lui en tirer du plaisir. Il s'attaquait à mon cou et je ne pus m'empêcher de lâcher de nombreux soupirs d'excitation face au caresse qu’émettait sa bouche. Cet une honte à quel point il peut faire monter ma libido en un seul moment. Cet une honte qu'il arrive encore à me faire sentir aussi bien sous ses mains. Ce n,est pas moi le faible c'est lui , mais comment voulez-vous retenir en même temps ? Il venait de briser quelque chose que j'avais prié : le fait de ne plus parler. Des supplications , une réalisation du fait qu'il était impuissant , mon regard se glissait alors sur lui avec le même sourire. Mon menton fut pivoter et je glissais mes pupilles dans les siennes. Je détachais chaque partie de son âme , une façon de le faire craquer , qu'il abandonne une fois pour toute , qu'il en oublie le fait qu'il soit en couple. Mon visage plongeais avec avidité sur sa chaire enivrante qui couvrait son cou remontant doucement , mais vraiment d'une lenteur à n'en plus finir à son oreille pour en glisser des paroles. «Alors si tu n'as pas le droit pourquoi tu n'arrêtes pas toi même ? Laisse le temps défiler quelque seconde sans soucier de chaque conséquence. Que toi et moi.» D'une part la vérité lui était renvoyer en plein visage. Si il avait arrêter qu'il le fasse lui-même , car pour l'instant tout ce que je sens sous mes caresses c'est l'envie que tu as pour moi , l'envie de cette nuit que je t'offre , tu es si faible. Déjà nos corps si proche je me rapprochais tout de même d'avantage mon bassin qui n'était même pas séparer à quelque millimètre du siens. J’exerçais une pression et ma bouche s'attaquait de nouveau à la sienne , mais d'une façon un peu plus fougueuse tout en oubliant pas d'aller danser avec sa langue qui suivait le rythme parfait de la mienne. Main sur sa poitrine son pouls s'accélérait , son corps vivait.

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Anonymous
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Dim 11 Déc - 17:26

C'était trop dur. Trop dur de résister à la tentation. Trop dur de le repousser. Raisons pour lesquelles je ne fis rien des deux choses que j'étais supposé entreprendre. Au lieu de le rapprocher d'autant plus de moi, je devrais plutôt le repousser, lui dire clairement que notre jeu devait s'arrêter, et tout de suite. Cependant, l'effort était trop horrible, je n'y parvenais aucunement. Les lèvres s'ouvraient afin de lâcher ne serait-ce qu'un son, disant que je désirais qu'il dégage de là, mais pourtant rien ne souhaitait sortir. Aucun bruit de mécontentement, simplement du plaisir, gémissant au creux de l'oreille de Lust. J'avais l'impression de m'être endormi et d'être dans un rêve intense. Seulement, je ne pourrais me réveiller, que quand Lust l'aura décidé. Comme s'il venait d'appuyer sur un bouton magique qui me poussait à ne pas pouvoir partir de son emprise. Petit à petit, il s'en prenait à chacun de mes points faibles, embrassant alors mon cou pour remonter jusqu'à mon oreille, d'une façon très lente, d'une manière comme j'aimais, d'une façon qui m'excitait amplement, d'une façon qui me rendait alors complétement impuissant. Je fermai les yeux délicatement, penchant la tête sur le canapé, me laissant dévorer par Lust. Il était en train de définitivement me manger tout cru, d'une facilité déconcertante. Je n'étais qu'un plat entre mille, il avait certainement rendu dingue d'autres garçons, une tonne en passant. J'avais conscience d'être une simple poupée parmi tant d'autres, une petite marionnette avec laquelle on joue le sadique. Qu'on tire dessus pour tenter de lui faire mal. Pour qu'elle souffre comme un chien, pour trouver un moyen extérioriser sa colère. Une fois entre ses mains, la marionnette allait finir sans vie. Approchant ma bouche de son oreille, je mordillais rapidement cette dernière, pour finalement balader mes lèvres sur son cou, tout en lui disant. « Lust... pourquoi tu fais ça ? Lâche moi. C'est terminé depuis longtemps nous deux... pourquoi. Je te demande, s'il te plaît, d'arrêter. De me lâcher, de m'abandonner s'il le faut, mais d'en finir avec moi. Arrêter de prendre une trop grande place dans ma vie, laisse moi être heureux lust, je t'en prie... » Paraissant toujours autan désespéré, je ne respectais pas mon envie profonde. Oui, j'avais envie de lui. Oui, j'avais envie de gouter encore à ses lèvres. Oui, ce n'était pas bien. Oui, je n'étais qu'un con. Mais oui, et encore oui, Lust me rendait fou, m'offrait une simple nostalgie. Cette nostalgie des moments passés avec lui. Dans son lit, dans le bar, dans un restaurant, dans un parc, dans l'herbe, dans sa maison, à deux, ensemble. Réussissant finalement à quitter ma bouche de son cou si irrésistible, je plaçai une main entre nos deux poitrines, servant de limite pour nos deux corps. Je le poussais violemment, voyant qu'il me tenait encore, voulant par dessus tout que je reste. Mais je ne pouvais pas. Il se tenait encore au-dessus de moi, mais je me roulais sur le canapé pour me lever. Je le laissais alors là, me retournant un instant pour lui déclarer d'une voix triste, un regard vide. « Je te laisse, Lust. Je m'en vais. Tu es incapable de me rendre heureux... Je rejoins Sevan, il m'attend, lui. » Pourtant, s'il tentait de me faire rester là, s'il me montrait qu'il m'aimait ne serait-ce qu'un peu ; alors je serais défintivement à lui, bien trop impuissant. Seulement, il ne devait certainement pas en avoir envie, devait en être incapable. Après tout, je n'étais rien pour lui. Rien.
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Dim 11 Déc - 18:46

Oh bon dieu Midnight tu es si irrésistible , embrasser la peau de ton cou c'est comme un peu goûter à chaque parti de ta chaire tendre , un délice , un vrai plaisir. Ta tête encrer dans le sofa me laissant en profiter , tes lèvres entrouvertes qui dégageait de nombreux soupirs. Tu vogues les yeux fermés dans un monde inconnu , remplie de rêverie et si dangereux. Je te transporte , tu as attraper ma main et mes doigts se sont enfoncer sur ta peau. D'une part que je refuse d'avouer à l'intérieur de moi Midnight est différent , différent des hommes que j'ai transporté jusqu'à mon appartement. Est-ce aussi simple du fait que je lui es offert une place sous mes draps bien plus que tant d'autre. Il tombe dans l'ombre comme un vrais enfant , comme le chaperon rouge dans la gueule du loup. Il court en grande enjambée et puis il tombe juste au moment où j’attrape ses hanches dans une finesse incroyable. Je découvre ses lèvres et il fond sous les caresses les petits plaisirs familiers , mais différent. Il suppliait encore presque à mes genoux sous mon corps. Paroles à mes oreilles que j'écoutais si attentivement. Des réponses ? Mais tu les connais déjà mon chou. Réfléchis un peu à travers tes nombreuses pensées égarés , elle n,est pas loin , elle est un peu effacé , mais prête à être écrite de nouveau. Tu fuis la réalité alors que la seul personne qui est vraiment nostalgique dans tout ça c'est toi. Ta plus grande planche fragile qui fait de toi un être fébrile lorsque les souvenirs se rabat. «Je ne tes jamais laisser partir pas vraiment..» Il finit tout de même par s'agiter sous moi à mon plus grand énervement. Je dominais toute fois ces gestes nos torses était si proche grâce à ses doigts qui se pressaient encore dans mon dos. Je fus pousser violemment que je lâcha un soupir d'agacement ressemblant à un grognement. Il refusait ce moment de plaisir ? Ce moment magique ? Je me relevais lentement frottant mes pieds vers lui. Ces yeux s'agitaient il disait aller rejoindre son homme. Incapable de te rendre heureux ? Alors il faudrait m'expliquer le gémissement que tu as poussé sous mes tympans lors de mes baisers et ton corps entier qui est devenu brûlant qu'après un ébat à peine commencer sur un sofa. «Tu le sais que Sevan ne pourra jamais te faire vibrer comme je le fais. Il ne pourrait pas t'offrir une si belle aventure comme je te tends là en ce moment. Tu le sais je peux te faire rêver si tu reste juste un peu. Babe mes bras sont tendu vers toi aller vient je ne te ferais pas de mal juste que des sourires sur tes lèvres.». Mes phrases avait défilés d'une façon poétique à la fois pour le forcer à rester. Pour le forcer à tomber plonger au profond d'un rêve qui vient à peine de faire ses première minute. Une irrésistible envie , une tentation folle. Je glissais mes doigts au niveau de son cœur qui faisait des siennes. Son souffle était encore à cour , bouche proche de son oreille déposant un baiser sur sa joue. Mot chauds . « Ne ment pas à toi même je le sens sous mes doigts ton petit coeur qui s'affole.» Mon corps retomba sur mon perchoir délabré le regardant attendant qu'il me rejoigne de nouveau.


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Sam 17 Déc - 0:08

Lust m'emprisonnait, s'était en deux trois mouvements, emparé de mon corps, mon cœur, mon âme. Il m'encercla de ses bras durs et forts, dans lesquels j'étais rendu obligatoirement impuissant. Je désirais le repousser afin qu'il atterrisse sur le sol, et avoir alors la possibilité de m'enfuir de son importune emprise. Pourtant, lorsqu'il me retint en posant sa main sur mon petit cœur fragile tout en m'embrassant la joue, je n'en ressentais plus l'envie. Il me chuchota à l'oreille des mots doux qui me rendaient fou. Il m'assura que j'allais rêver avec lui, comme Sevan ne m'avait jamais fait rêvé. Il avait l'air persuadé par ses dires, il me demandait clairement de rester, ce que je n'avais pas la force de refuser. Dès qu'il me proposait quelque chose, me le demandait avec son air irrésistible, je ne pouvais qu'y répondre par un signe positif de tête. Je pouvais réagir inconsciemment, de façon étrange par rapport à mes réactions habituelles, en sa présence. Il me transformait. En bien ? En mal ? J'étais persuadé qu'à ses côtés, je devenais quelqu'un de très important, quelqu'un de bien et puissant - même si je ne l'étais aucunement entre les bras de Lust. Cependant, la triste vérité ne m'apparaissait pas réellement : soit, il ne faisait que de me manipuler et jouait à longueur de journée avec moi. Il me donnait certes une force intérieure, mais une très mauvaise force. J'oubliais tout avec lui, peut-être un peu trop. Il retirait les mauvaises pensées broyant ma tête, enlevait tout problème me rendant triste. Néanmoins, il provoquait dans mon cerveau, une maladie telle que celle de l'alzheimer. Je ne me souvenais plus du fait que j'étais en couple ni la promesse faite d'être fidèle à Sevan pour toujours. Au contraire, il n'y avait que Lust dans ma tête. Il trainait dedans, lessivant toute ma vie, laissant simplement les souvenirs merveilleux passés avec lui, histoire de me mettre dans une déprimante nostalgie. Il me répétait à l'intérieur 'Lust. Lust. Lust. Je suis là, mon chou. Imprime ça, babe. Je suis Lust. Lust. Ton envie. Fais un pas en avant et rejoins moi aux pays des merveilles. Je serais ton Peter Pan et tu seras le mien, pan.' Et ce fut alors très... tentant. Il avait ce don de me faire rêver. Lâchant son emprise, il s'installa par la suite de nouveau sur le canapé. Il avait ce sourire triomphant, exprimant déjà une victoire. Comme s'il devinait qu'il avait déjà gagné. Il allait m'avoir, j'allais m'approcher. En effet, c'est ce que je fis, à son plus grand bonheur. Tout d'abord, je le fixais avec cette moue qui montrait que je lui en voulais de me faire ça. De m'avoir aussi facilement, à chaque fois. De me transformer. Il rayonna au moment où je m'assis à ses côtés. Je me collai à lui en plaçant une jambe entre les siennes, pratiquement assis sur lui. Accrochant son cou de mes mains, j'approchai mon visage du sien pour l'embrasser sensuellement mais rapidement, ce à quoi il allait certainement prolonger, pas satisfait de la vitesse. Reculant doucement ensuite la tête, je le regardai dans les yeux timidement, me sentant les baisser quelques fois, tant son regard me déstabilisait totalement. Je le questionnai tout en même temps, d'un air triste et hésitant. « Pourquoi tu ne me laisses pas être heureux, Lust ? Pourquoi tu rends la tâche trop difficile ? Pourquoi tu veux absolument me voir souffrir ? Pourquoi, Lust ? Pourquoi tu es incapable de me laisser vivre ma vie tranquillement ? Pourquoi tu fais tout pour me garder à tes côtés alors que tu en as rien à foutre de moi ? Je suis paumé, Lust. Aide moi, je t'en prie, tu me perds... » Je désirais des réponses, j'avais envie d'entendre sortant de sa bouche 'Parce que j'ai besoin de toi, Peter Pan. Tu es ma dose de bonheur et je t'aime réellement.' Mais le pensait-il ? Et si oui, était-il capable de l'avouer ? Certainement que non, mais peut-être me trompais-je. Je devais me faire que de simples allusions, comme à mon habitude.
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Sam 17 Déc - 1:34

Vaut mieux perdre la vie, plutôt que perdre son amour. ☼ Mon lust, mon maître, mon envie.  If3hu1

Midnight & Lust
« Mon petit bonhomme à moi vient te perdre dans mes filets»


Tentation , rêve , envie , tout se mélangeait en ce moment dans des paroles rêveuses et tout simplement magique pour en faire briller ses yeux. Tel un gamin en tirer l'étincelle de joie qui se trouve dans son cœur affoler par des battements tout aussi plus fous que les autres. Ses sens alertés et son sang qui circule dans ses veines à une vitesse folle par la chaleur et les frissons que je lui tirais. Il se détachait et puis revenait , tel un yo-yo dont je tenais la ficelle qui semble si fragile , mais que je renoue à chaque fois. Il rampe , il baisse la tête et avance , soumis il me suit au doigt et à l’œil à mon plus grand plaisir. Dans mes sourires victorieux et sadique il se perd dans mes prunelles et en oublie la réalité , la raison , cet autre homme qu'il aime. Ne lâche pas mes pupilles à la fois dilatés , tu te sentiras chavirer , mais aussi en pleine extase. Peut-être c'était une sorte de source de promesses que je glissais à ses oreilles , mais c'est aussi un pure source de manipulation le sentir impuissant sous mes doigts qui caresse sa chaire parsemé d,une chaire de poule complète. Pays des merveilles je t’emmènerais mon chou , ce monde dont tu rêve tant , là tout es possible. Les étoiles flottent encore au dessus de nous , la nuit est encore en vigueur les lueurs du soleil ne seront pas là avant de longues minutes , alors profite pendant que la noirceur dissimule la réalité. Profite alors que les secondes ne sont que poussière et que la seule chose qui puisse t'importer c'est moi et non l'endroit ou les lumières dansent suivit des corps endiablés. Midnight revint vers moi prenant un peu plus de L'assurant soudant de nouveau nos lèvres enviandes l'une à l'autre. Il se séparait de nouveau , beaucoup trop vite , laissant ma bouche plus folle que jamais à vouloir s'emparer d'un nouveau baiser langoureux. J'en lâchais un autre sorte de grognement insatisfait. Ses mains contre mon cou il m'avançait et je le laissais faire attirer comme une sorte d'aimant. Sa voix s’élevait de nouveau , ces paroles qui supplie , ces nombreuses questions qui reviennent sans cesse , je n'avais point envie d'y répondre. Le mystère n'est-il pas merveilleux pourtant ? C'est ce qui te donne tant de t'aventurer une nouvelle fois dans mes bras à la recherche du code , me déchiffrer une fois pour toute , mais je te laisse avec une seule chose jamais tu en découvrira la part entière de mon âme. «Tu n,es pas heureux dans mes bras ? tu souris pourtant comme un vrais enfant. Ces questions arrêtent de les poser et laisse moi te transporter au pays des merveilles .». J’attrapais ses hanches et le fit basculer pour en inverser la situation. Lui contre le sofa et moi contre ses genoux , je pris le contrôle de nouveau. Je laissais voguer mes yeux dans les siens le laissant voguer dans l'océan infinie jamais éclaircie. Je le plaquais un peu plus férocement , mais toujours de façon douce comme il aime tant savourant son cou de nouveau. le fruit défendu , la chose si irrésistible . Je bouillonais de l'intérieur suivit de son corps qui perdait complètement la tête. Je venais de l'emprisonner de nouveau. Le dos contre le meuble plus aucune porte de sortie , tel un prédateur je savourais le plus possible ma proie et il faut dire que Midnight est un choix de première classe. Je glissais une main à ses fesses hum la plus belle chose chez lui !
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Sam 17 Déc - 17:39

La musique avait beau traverser mes tympans, je ne l'entendais pas. Je portais toute mon intention sur Lust, tellement que mes cinq sens étaient tous obnubilés par cet être diabolique. L'ouïe s'occupait d'écouter ses tendres paroles si magiques et paraissant réelles, pendant que la vue tentait de le fixer intensément, afin de trouver ne serait-ce qu'un poil de sincérité dans ce qu'il disait, au niveau de ses yeux. Alors que Lust commençait de nouveau à m'embrasser doucement le cou et à m'emprisonner petit à petit de ses mains baladeuses, mon toucher s'accapara de son bas du dos, dans le but de le coller à moi davantage. La distance qui nous séparait encore, m'agaçait. Nos deux corps se retrouvaient alors l'un contre l'autre, et le contact de son torse collé au mien provoqua une série de frissons sur ma peau. Aussi, mon odorat se chargeait de s’enivrer du doux parfum de Lust, pour le plus grand plaisir de mes narines. Il sentait tellement bon, j'en aurais eu presque l'envie de le manger tout cru si c'était un plat. Attiré par cette délicate odeur, j'approchai timidement ma bouche de son cou, l'embrassant de nombreuses fois, tout en remontant lentement jusqu'à ses lèvres. C'est là que le goût entre dans la scène. Goutant ses lèvres, sa langue. J'en fus tout... émoustillé, de découvrir encore mon Lust. Il n'y avait plus que lui. Comme si nous étions les deux seuls rescapés d'une évasion de zombies sur terre. Comme si nous étions ensemble pour l'infini. En effet, à croire que ma vue commençait à flancher devant une personne aussi sublime et puissante, puisque je ne vis même plus les gens autour de nous. Pourtant, d'autres s'étaient également installés sur le long canapé, mais ma vue n'était intéressée seulement par mon envie. J'avais l'impression que la musique s'était arrêtée, mais le temps aussi. Je ressentais une sensation étrange. Comme si les aiguilles de ma montre tournaient encore plus lentement comme d'habitude, comme si le temps arrêtait les scènes pour les rendre d'autant plus intenses. Le temps avait l'air de s'être réellement arrêté. Pour mes yeux, plus personne ne bougeait autour de nous, ils adoptaient une position figée, la musique n'était plus présente, il n'y avait que Lust. Lust qui m'embrassait avec fougue. Lust qui me balançait des paroles magiques, qui me faisaient rêver. Lust qui me fixait avec cet air irrésistible. Ce Lust dont j'avais réellement envie. Ce Lust à l'emprise de laquelle je ne pourrais échapper. Lust, quoi. Lust qui... me toucha les fesses. Pas étonnant de sa part, en fait. Pourtant un geste devenu habituel, je ne pouvais m'empêcher à chaque fois de le regarder genre "fais moi l'amour, lust !" en me mordant les lèvres timidement, rougissant un peu. Je n'avais pas répondu à sa question, car il connaissait la réponse. Cependant, comme à mon habitude, quand je demeurais être stressé et angoissé de ce qu'il pourrait arriver, je posais des questions, qui allaient certainement embêter Lust, mais ma foi, tant pis. « Tu comptes le dire ensuite, pour bousiller ma vie ? » Lust était tout ce qu'il y avait de plus méchant et blessant, mais était-il capable de me faire ça, à moi ? Je n'en savais trop rien, je ne savais plus quoi me dire dans la tête. Est-ce qu'il m'appréciait un tant soit peu, pour garder notre futur ébat dans sa tête, plutôt que de dévoiler la triste vérité.... à mon petit ami, par exemple ? Je le savais capable de beaucoup de choses, mais de ça... je ne savais quoi en dire.
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Sam 17 Déc - 19:05

Aucun l'ombre d'un mensonge ou d'une simple excuse peu valable aurait pu s’exercer sur le moment présent , puisque je sentais son désir jusqu'au bout de ses doigts. Sous la chaleur de ses mains il s'emparait de mon dos pour faire cambrer mon corps sous l'effet de ses petites attentions délicates remplie de plaisir. Je le sentais bien que la distance était insuffisante et que son plus grand bonheur serait que nos corps se rencontrent dans nos souffles essoufflés . Mes lèvres voguaient ayant le besoin d'en découvrir plus même si je connaissais chaque partie de sa peau , chaque défaut , chaque point sensible , chaque endroit réveiller par des milliers de frissons. Dans son cou je remontais vers sa joue et je le regardais intensément comme si mes prunelles lui envoyaient un message digne «tu ne peux plus t’échapper.» Le cou , la joue puis ensuite l'oreille est-je le droit à cette partie ? Puis ensuite ton torse pourquoi pas ton dos et ta nuque. Je ne demandais même pas la permisse et de toute façon à quoi bon que je le fasse tout m'appartenait cette nuit. Chacun de tes membres je le sens il me réclame sans cesse. Ta tête et tes lèvres malgré leur silence me supplient , je ne fais qu’abréger leur souffrance. Mes narines s'ouvraient doucement parcourant sa peau fraîche qui ne savait plus comment réagir par le moment. J'avais cette envie qu'il se sente spécial important pour qu'il soit heureux ? Laisser moi encore réfléchir sans doute que non , mais plutôt pour le faire faiblir encore plus d'avantage. Quelque part il espérait encore que mon cœur est une place pour lui qu'au fond je tiens à lui et qu'il est une importance. Ce genre de petits trucs me faisaient tout simplement marrer il le sait bien le nombre d’hommes qui ont partagé mes draps le temps de la lune dans le ciel pourquoi ne serait-il pas l'un parmi tant d'autre , un d'un ceux qui ne m'aide qu'à adoucir mes instinct primitif. Il s'aventurait et se perdait dans le labyrinthe j'étais la source qui profitait alors pour lui tendre une main et profiter pour accomplir mes envies. Une sorte d’illumination à travers ces rues sombres qui peut s'avérer à se transformer en quelque chose de cruelle de quoi l'apeurer et de le sentir si fragile sous mes doigts et quand il est sur le point de briser en mille morceaux tu referme la cage une nouvelle fois et son âme éclate en de nombreuses particules. Le temps vient quelque d'irréaliste , les secondes s'envolent et les baisers s'enflamment. Le mercure monte encore de nouveau et ne semble pas atteindre son point culminant on n'en oublie même l'endroit. Des corps sous les feu des projecteurs se baladent et moi je l’emmène dans un jeux dangereux. Il fit figure encore de mon plus agacement alors qu'il parlait encore de nouveau. Je pris tout de même le temps de le regarder que d'un instant à peine accorder pour déposer un doigt sur ses lèvres. «Chut !» Oublie les conséquences qu'elle soit grave ou peu importante . Oublie ce Sevan qui occupe toute ta tête à chaque heure du jour. Tu le sais que si tu vas le rejoindre tu auras manqué ce moment magique que seul je peux t'offrir. «Il est trop tard pour reculer .» À la fin de ses paroles je prie son bassin et le plaqua de nouveau sur le dos envoyant une main baladeuse sous son t-shirt au file de mes baisers sur son qui descendait bientôt en long et en large vers ses abdominaux bientôt dévêtue.
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