| Mar 22 Nov - 19:04 | |
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SOREN CARSON POWERSde battre, mon coeur c'est arrêté
ft. Dave Franco
Je m'appelle Soren Carson Powers et j'ai 22 ans. Je suis hétéros, incasable et né(e) à Londre en Angleterre, le dix neuf février.
Charmeur ★ Déterminé ★ Débrouillard ★ Fort ★ Indépendant ★ Mystérieux ★ Mature ★ Affectueux ★ Attachant ★
Jaloux ★ Cruel ★ Froid ★ Imprudent ★ Imprévisible ★ Têtu ★ Manipulateur ★
| pseudo :darlingx âge :vingt sexe :féminin nationalité :Frenchy activité : 7j/7
| | commentaire : love U avatar :Dave Franco groupe :money scénario ou PI : Personnage Inventé code du règlement : ok by Momogene |
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[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]DAVE FRANCO[/font] | [/size] [font=arial][size=9]Soren Carson Powers[/size][/font] |
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| Mar 22 Nov - 19:05 | |
| My Story
« Oublier tous de suite les conte de fée, oublier vos vie pathétique, oublier tous ce que vous pensez savoir sur la vie, car vous ne savez rien, vous n’y connaissez rien. »
Je m’affalais sur le vieux clic-clac dégarnis de mon appartement miteux de Londres, enfin appartement c’était vite dit ! C’était un cagibi ce machin, pas de lumières, pas de charmes, c’était juste un endroit pour dormir en fin de comptes, à la base ce placard c’était pour montrer à ce qui me sert accessoirement de père que j’étais capable de me débrouiller tout seul, sans lui et le fric de sa pétasse. Je m’allumais une cigarette et m’allongeais sur le canapé, je fixais le plafond et tentais de remémorer ce qui m’avais amené jusqu’ici. Je me souvenais de la maison blanche dans un petit quartier sympa de Londres, je me souvenais du rire cristallin de ma maman, de son merveilleux sourire, de sa joie de vivre, je me souvenais aussi de l’amour qu’elle portait à mon cher père, je me souvenais de leur merveilleuse histoire d’amour… Ils étaient tellement compatible, d’accord sur tout, en harmonie comme on dit, je me surpris à sourire, je tirais une latte sur ma cigarette.
Tout avait l’air parfait au final, on était heureux, j’avais dix ans et j’étais vraiment heureux. Seulement, on ne décide rien dans la vie je l’ai appris à mes dépend. Une putain de maladie à emporter mon bonheur loin, très loin. Je perdais aussitôt mon sourire, je revoyais le visage décomposé de mon père lorsqu’il a dû m’annoncer la terrible nouvelle qu’à présent ce serais juste lui et moi, je me revoyais le serrer dans mes bras et je me souvenais que c’était la dernière fois qu’on a été aussi proche. Tout à basculé en quelques mois, l’alcool était le seul réconfort de mon père, son seul ami, il ne prenait plus la peine d’aller au boulot, de donner de ses nouvelles, de remplir le frigo, d’être un père. Pendant deux ans j’ai essayé de tenir, de vaincre mon chagrin de supporter mon père comme je le pouvais, de l’aider du haut de mes dix ans, s’occuper de soi-même, de son père, d’une maison et de ma scolarité étais une chose impossible. Alors j’ai laissé tombé la scolarité, je continuais à y aller pour ne pas provoquer plus d’ennuie à mon paternelle, mais je n’écoutais pas, je cherchais des solutions pour nous sortir de là. Un soir en rentrant de l’école, je n’avais que douze ans, mais lorsque j’ai vu cet homme en noir et les deux gros bras sortir un à un nos meubles j’ai compris. J’ai pris ce qui était le plus précieux pour moi le médaillons de ma mère et j’ai suivis mon père. On a squatté un peu partout pendant quelques semaines, les amis, la famille, les centres ce genre de connerie. Cette vie de nomade limite me plaisait, j’étais redevenus un enfant et mon paternelle un père. Ça n’a pas duré longtemps, j’ignore comme cela s’est fait, mais du jour au lendemain on à emménagé dans une sorte de grande maison immonde, ça puait le fric là-dedans. Tout est allé très vite, j’ai dû changer d’école, j’ai dû appeler la mocheté blonde avec lequel on habitait belle maman, j’ai dû parler correctement, m’habiller correctement, participer à des soirées interminable avec tous ces vieillard plein de fric. Mon père aussi à fait des sacrifices, il a dû oublier qui il était contre une poigné de fric, ces valeurs, l’amour de sa vie, son fils, sa vie. En un rien de temps il est devenus PDG de je ne sais quel compagnie et l’argent étais devenus ma nouvelle lubie. A dix-sept ans, majeur ou pas je me suis cassé avec l’argent que j’avais mis de cotée. Et j’ai atterrit là. J’écrasais ma cigarette et me mis de nouveaux assis, je regardais quelques photo qui trainait sur la table et je souriais.
Quand j’ai pris mon indépendance j’ai commencé une nouvelle vie. J’ai commencé à volé pour pouvoir m’en sortir, peu de temps après j’ai commencé à dealer, il m’est arrivé aussi de vendre mon corps lorsque j’en avais vraiment besoin, mais c’est quelque chose que je ne referais jamais. J’ai voulus m’en sortir, j’ai continué les études à coté, je voulais être vétérinaires. Je n’y suis pas arrivé, j’ai vite abandonné. C’est là que j’ai rencontré Jordane, mon double au féminin, elle et moi c’était comme une évidence, il nous suffit d’un regard pour nous comprendre, d’un geste, d’une parole. Elle m’aidait pour les études, mais c’était peine perdue pour moi. J’ai fait de nombreux coup avec elle, c’était une très bonne coéquipière de vol. Evidemment j’ai essayé de l’attirer jusqu’à mon lit, je n’y suis jamais arrivé pour mon plus grand malheur. Elle a habité six mois à Londres, lorsqu’elle est partit j’ai hésité à la suivre, je n’ai pas pu, mais elle venait régulièrement pendant les vacances. On nous a souvent pris pour un couple parce qu’on est tellement fusionnelle et que personne ne le supporte. Je regardais la photo de Jordane et moi, je souriais et me rendais compte qu’elle me manquait. San Francisco c’était loin et ça faisais une éternité qu’on ne c’était pas vu. Je reposais la photo sur la table et en pris une autre, mon sourire disparut, ma colère, ma tristesse remontais d’un coup.
Maëna, ma belle Maëna. Une fille qui avait l’air banale au premier regard et pourtant c’était la seule jusqu’à présent qui avait réussis a bouleverser mon cœur. J’allumais une autre cigarette, je tirais une latte pris la bouteille de whisky sur la table et en bu une longue gorgée. Maëna, c’est la petite bourgeoise qui cherchait des sensations forte, c’est celle que j’ai entrainé dans mes conneries. En quelques mois elle était passée de la fille à papa à la petite junkie. Au départ c’était juste une histoire de cul, de drogue, d’alcool, des soirées à n’en plus finir il n’y avait pas de sentiments là-dedans. Je l’hébergeais juste parce qu’elle avait quitté sa vie parfaite sur un coup de tête. Au fil du temps elle est devenue indispensable, elle m’est devenue indispensable. Je puais le mec amoureux à quinze kilomètres, je ne faisais ma vie que par elle, j’oubliais tout le reste. Evidemment, le destin ne tient pas à ce que je sois heureux, il m’a aussi enlevés mon amour. Renversé par un mec alcoolisé, un mec qui n’a pas assumé ses actes …
Apres sa mort, je ne voyais que par une seule chose, la venger j’ai retrouvé le mec, j’ai engagés des gros bras qui se sont fait un plaisir de lui régler son compte. Evidemment il est mort. Je suis allé quelques mois en prison pour non insistance à personne à danger. Je suis sorti rapidement, merci papa. Je me leves du clic-clac, tape un grand coup dans le mur, tire une latte et remet mes idée en place. Une semaine que j’étais sorti, j’avais essayé d’agir normalement, mais tout ici me rappelais Maëna, je jetais rapidement un coup d’œil sur les photos éparpillés et l’idée m’est venus tout seul. J’ai rassemblé mes affaires, mon fric et j’ai pris le premier avions pour San Francisco. Retrouvé ma vie d’avant, mais en mieux, ne plus tombé amoureux. Retrouver Jordane et notre duo infernale.
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| Mar 22 Nov - 20:02 | |
| T'as fais exprès de t'appeler comme ça, pour que tes initiales fassent SEX, hein? re Bienvenue |
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Julie R. Evansi'm a motherfucking admin ✱ QUARTIER : crocker amazon.
✱ COLOCATAIRES : Dom sometimes.
| Mar 22 Nov - 21:10 | |
| Rebienvenue ! J'adore ton vava Bonne chance pour ta fiche! |
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Ciara A. Halvarezall i care about is success ✱ QUARTIER : Sunset District
✱ COLOCATAIRES : mon petit ange
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