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Si je suis fou, ca ne peut être que de toi - Déesse <3 i'll be fine once i'll get it, i'll be good
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| | | Lun 7 Nov - 22:13 | |
|  Déterminé, je fermais violemment mon ordinateur portable, peut-être un peu trop violemment même. Tant pis, je n’avais pas le temps de vérifier si il était toujours en bon état de fonctionnement. Je pris la première veste qui me tombait sous la main, mon paquet de cigarette et un peu d’argent pour le bus. Je ne prie même pas la peine de fermer mon appartement à clé, j’étais vraiment pressé par le temps. Par chance un bus passait pile au moment où je sortais de l’immeuble, je m’enfournais dedans à la vitesse éclair, je crois même que j’avais fait peur au chauffeur, il ne m’avait pas demandé mon ticket de bus, tant mieux cela me faisais économisé quelques dollars. Je ne savais pas exactement ce que je faisais pour être franc, je savais juste que je devais aller la voir, enfin que je voulais absolument la voir. Ça m’avait paru comme une évidence en fait, il m’a fallu du temps pour me décider d’aller la voir, mais au point où j’en étais je n’avais rien à perdre, même pas ma fierté celle-là je l’avais perdus au moment où j’avais écrit la lettre. Je ne sais pas ce qui me prenait, j’étais complètement paumé ! Je n’arrêtais pas de penser à elle depuis samedi soir, c’était super perturbant, j’ignorais si c’était le fait qu’elle m’est laissée sur ma faim ou simplement le fait que je ressentais peut être quelque chose de plus fort qu’une simple envie de sexe, malgré mes appréhension la deuxième solution était la plus plausible pour le sexe je serais simplement allé en voire une autre – ce qui sans me vanter n’étais pas difficile à trouver -. Arrivé en face du bureau de l’avocate je descendis du bus. Je ne me dirigeais pas tous de suite vers le bâtiment, pour le moment je m’appuyais sur un mur en face, j’observais la fenêtre du bureau de Denver, je m’allumais une cigarette pour savoir ce que j’allais faire. Ce genre de comportement ne me ressemblait pas du tout, je crois même que je me faisais peur à moi-même ! Moi Clyde Adam Iver, serais-je capable de tomber amoureux ou un truc dans le genre ? Ouai, ça faisais vraiment peur ! Je tirais une dernière latte sur ma cigarette que j’écrasais au sol. Je traversais la rue d’un pas rapide, mis la capuche de ma veste pour ne pas que les camera voit mon visage. Je montais les escaliers quatre à quatre, j’arrivais enfin devant la porte du bureau de Denver, je retirais ma capuche, souffla quelques secondes et ouvrit la porte du bureau de l’avocate en grand, d’un pas déterminé je me dirigeais vers elle qui surprise me regardais d’un drôle d’air. Une fois face à elle, j’attendis quelques seconde, je mis une mèche de ses cheveux derrière son oreille, passa ma main sur sa joue et l’embrassa passionnément. |
| | | | Denver Hopkinsall i care about is friendship ✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
| | Lun 7 Nov - 22:36 | |
|  Encore une journée à laquelle je finissais tard. Il était déjà 21h. Je pouvais très bien continuer mon travail chez moi, mais j’avais envie de le terminer ici, dans mon bureau. En même temps, je laissais ma fenêtre Facebook ouverte et je pouvais ainsi parler à quelques personnes. Il ne me manquait plus qu’à classer quelques documents sur les différents clients que j’avais puis j’en avais terminé pour aujourd’hui. Heureusement que j’aimais mon travail, sinon je croyais sincèrement que j’aurais pu devenir folle avec tout ce boulot. Mais j’aimais ce que je faisais et c’était le principal. Alors que j’étais en train de ranger un dossier dans le tiroir, une conversation Facebook avait attiré mon attention : Clyde me demandait où j’étais. C’est en poussant un gros soupire que je me mis à lui répondre. Notre conversation ne dura pas longtemps, car aux minutes qui suivaient, il s’était déconnecté en me disant qu’il allait me laisser tranquille. Perplexe, j’avais tout de même continué à bosser, terminant de faire des allers retours de mon tiroir à ma grande armoire remplie de documents. Les minutes passèrent et je terminais tranquillement de ranger les dernières affaires qui me restaient. Je devais être une des rares qui restaient à cette heure-ci à l’entreprise tout de même. Mais comme personne ne m’attendait chez moi, je préférais rester ici et attendre que tout finisse.
Alors que j’étais en train de ranger un de mes derniers dossiers, j’entendis du bruit dans le couloir. Sur le coup, je ne fis pas très attention. Ca devait être un collègue qui avait terminé de travailler aussi tard que moi et qui rentrait chez lui. J’étais dos à la porte de mon bureau quand j’entendis celle-ci s’ouvrir à la volée. Je sursautais presque et je me retournais rapidement pour voir… Clyde. Qu’est-ce qu’il foutait là? J’étais tellement sur le cul de le voir là, qu’aucune parole ne sortit de ma bouche. Je le regardais s’avancer vers moi et je le regardais, surprise, fronçant les sourcils. Je vis sa main s’approcher de mon visage pour remettre une mèche derrière mon oreille puis me caresser la joue. A quoi il jouait? Je n’eus pas le temps de le questionner qu’il s’avança encore plus et m’embrassa. Hein? Encore? Non mais… Quelques secondes plus tard je le poussais, mettant mes mains sur son torse, pour l’écarter de moi. Je le fixais quelques instants, puis ma main partit toute seule et je le giflais. C’était par pur réflexe! Je le regardais s’en remettre, laissant un silence planer sur nous. Puis là, je ne pus m’empêcher de parler :
« A quoi tu joues Clyde? Qu’est-ce tu fous là? J’avais pourtant été claire! » dis-je d’une voix élevée et un peu cassée. |
| | | | | | Mar 8 Nov - 0:27 | |
| Je savais pertinemment que j’étais bien seul dans mon délire et qu’au moment précis où j’étais rentré dans le bâtiment j’allais me prendre la pire honte de toute ma vie. J’étais resté figé face à elle, je voyais bien son regard moitié je vais te tuer moitié étonné, je ne pouvais simplement pas m’empêche de l’embrasser c’était quelques chose d’incontrôlable. Parmi toutes les filles que je fréquentais, que ce soit juste des amis ou plus que ça il y a fallu que je m’acharne sur la plus difficile de toutes, sur la seule qui était bien déterminée à me jeter quoiqu’il se passe, quoique je tente. Sa réponse fut des plus douloureuses, je m’attendais évidemment à cette réaction, seulement j’avais un minimum d’espoir qu’elle me rende mon baiser comme la dernière fois, je m’étais surement un peu trop accroché à ce minuscule espoir, beaucoup trop même ! Contrairement à ce que je pensé j’avais encore un peu de fierté qui trainait dans le coin, cette dernière étais vite partit après la gifle. Je toisais Denver, je plongeais mon regard de gamin qui pensais faire plaisir, mais avais juste fait une énorme bêtise, je passais ma main sur la joue qu’elle avait frappé. Oui, définitivement oui je faisais pitié c’était claire & net ! Je devais même avoir légèrement les larmes aux yeux, allé Clyde reprend toi t’es un homme après tous des femmes tu peux en avoir à la pelle quand tu veux ! – vantard va !- . Je me reculais d’un pas après sa réflexion. Je baissais les yeux quelques secondes et al regardas de nouveau elle était vraiment en colère. J’avais vraiment merdé. Une colère incontrôlable monta d’un coup, je serais les point machinalement « Je ne sais pas ce qui me prend Denver ! Nan t’a pas été assez claire, t’a pas été assez claire quand tu m’as embrassé Samedi, t’a pas été assez claire quand t’a commencé à te déshabiller ! Je ne crois pas une seule seconde à l’excuse de l’alcool ou du fait que tu sois complétement paumé, j’ai envie d’une seule et unique chose depuis ce soir-là j’ai juste une envie folle d’être avec toi et de t’embrasser pas plus, je ne cherche pas avoir plus ! » J’avais haussé un peu trop la voix « Je veux juste être avec toi Denver ! » Ajoutais je en tapant sur le bureau de toutes mes forces. « Je veux juste être avec toi » murmurais-je une nouvelle fois. Je repris mes esprits au bout de quelques minutes, lorsque je remarquais le regard paniqué de mon interlocutrice paniqué. Je desserrait les points et fixais mes mains ainsi que le bureau je reportais mon regard sur la brune, merde quel con ! Désormais je sentais vraiment que j’avais les larmes aux yeux. Je reculais de plusieurs pas afin de m’éloigner de Denvy et bafouais quelques excuses « Je..je…je suis désolé, je … je … je sais pas ce qui m’a pris, je ne voulais pas te te te faire du mal ou peur excuse moi je vais partir pardon » Je me passais une mains dans les cheveux, tandis que les larmes ces traitresse coulait toutes seule le long de mes joue, je baissais la tête histoire qu’elle ne les voit pas et je me retournais prêt à partir.
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| | | | Denver Hopkinsall i care about is friendship ✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
| | Mar 8 Nov - 19:54 | |
| Il m’avait embrassée. Encore une fois. Je ne pouvais même pas dire si ce baiser m’avait plu ou pas, tellement j’étais surprise. Sur le coup, je n’avais rien fait. J’avais réalisé petit à petit puis je l’avais poussé, écarté vite fait de moi. Je sentais la colère monter en moi. Le mec, on lui dit non, et il continue encore et encore! Il fallait le lui dire en quelle langue? Et puis, bizarrement, moi qui suis toujours aussi sarcastique et directe, j’avais l’impression d’avoir du mal à lui dire non à Clyde. Il se raccrochait tellement à moi, que c’était comme si je ne savais plus quoi faire. Comment lui dire qu’il n’avait aucune chance, que j’allais toujours le repousser… C’est pour ça que ma gifle partit toute seule : c’était la seule manière pour moi, sur le moment, de lui faire comprendre ce que je ressentais vis-à-vis de ce qu’il venait de faire. Tout devenait plus clair pour moi, il m’avait demandé sur Facebook où j’étais, c’était bien pour venir me voir. J’étais donc là, maintenant, devant lui. Il se tenait la joue après que ma main lui ait passée dessus. Je me sentais un peu nulle d’avoir osé faire ça en fait. Mais je sentais qu’il le fallait pour qu’il comprenne que je ne partageais pas la même envie que lui.
Sauf le truc que je n’avais pas prévu, c’est que lui aussi se mette en colère. Je le vis serrer ses poings puis commencer à me dire qu’il ne me croyait pas sur toute la ligne. Que je n’avais pas été claire sur mes intentions, quand je l’avais embrassé et quand je mettais déshabillée. J’étais tellement abasourdie par son changement d’humeur, que je le regardais sans comprendre presque paniquée. Il commença aussi à taper sur mon bureau en affirmant qu’il voulait être avec moi. Je sursautais presque. Le silence apparut ensuite. Je ne faisais rien pour le briser, je fixais juste Clyde, l’air complètement désorientée. Il dût voir la panique dans mes yeux, car je vis ses muscles se détendre et son regard posé sur moi. Regard qui semblait à présent perturbé, tellement il disait qu’il était désolé. Je crus même avoir des larmes jaillir tandis qu’il faisait demi tour pour partir. Des larmes? Non, pas des larmes quand même! Je réfléchissais une demi-seconde puis instinctivement, je m’avançais pour l’attraper par le bras, le forçant à rester. Une fois que je le mis face à moi et que je l’eus lâché, je le regardais encore quelques instants. Il pleurait bien. Merde, je me sentais mal là.
« Euh… écoute Clyde… Je ne sais pas vraiment ce que tu attends de moi. Je t’ai dit que ce qu’il s’était passé samedi soir, c’était juste pour délirer… Je ne voulais pas aller plus loin. Je suis désolée si tu as cru autre chose… »
Je marquais une pause, laissant un silence gêné s’installer entre nous. Je passais une main distraite dans mes cheveux, puis je continuais :
« Je ne sais pas non plus ce que t’entends par être avec moi. Si tu parles d’une relation, tu sais très bien que je ne peux pas. Et puis, tu es mon ami Clyde. Je n’ai pas envie que ça change. »
Je lui fis un pauvre sourire désolé puis je m’approchais de lui, le fixant toujours dans les yeux. Je levais ma main pour retirer légèrement quelques cheveux devant ses yeux puis j’essuyais les larmes qui étaient tombées. |
| | | | | | Mer 9 Nov - 19:44 | |
| Dans la famille sangsue, je demande le jeune imbécile ! Mais qu’est ce qui me prenait ? Je n’avais pas pour habitude de forcé qui que ce soit à faire ce qu’il ne voulait pas. Pour le coup je me sentais bien con ! J’avais limite envie d’éclater de rire pour me foutre de ma propre gueule, nan mais c’est vrai débarqué dans le bureau de la fille qui deux jours avant vous avez laissé tomber au moment fatidique – dira-t-on, - qui vous avez clairement dit la veille que rien, absolument rien ne serais possible entre vous, qu’il n’y avait aucun espoir quoiqu’il se passe ! Nan, mais nan, malgré la clarté des propos ca ne devait pas être explicite pour moi, franchement après la claque que je m’étais prise ca ne pouvais pas être plus être précis que ça. J’hésitais entre resté planté là comme un con, ou partir en courant et noyé ma débilité dans l’alcool ou avec la première fille que je croiserais. J’optais pour la deuxième solution. Je commençais à partir, en pensant à qui viendrait dans la minute si je lui proposais une partie de jambe en l’air, j’avais presque trouvé lorsque Denver me rattrapais par le bras. Je stoppais net, sans vraiment osé me retourné tous de suite, je fis finalement face à elle, l’avocate me lâcha et me fixais. Merde, je crois que si elle me refaisait la scène de samedi c’est moi qui allais lui en mettre une. Je ne décrivais pas tous de suite l’expression de son visage, ah mais oui c’est vrai que je pleurais ! – fillette que j’étais -. J’écoutais ces paroles sans vraiment y croire en fait, j’étais encore dans ma phase « l’imbécile-qui-croit-qu’elle-est-à-fond-sur-lui-mais-elle-ne-le-sait-pas-encore » je souriais intérieurement à cette pensé, extérieurement, j’avais baissé les yeux je n’avais plus envie ou peut être plus la force de la regarder en face. Après un court instant de silence gênant ou autrement appelé le laps du temps où tu dois te transformer en souris pour te sortir de cette situation. Malheureusement, je n’avais pas la chance d’avoir ce pouvoir la, ses paroles me fit sourire sur le coup. Finalement, j’avais eu un réaction super excessive et pas du tout adapté, j’ignorais pourquoi, peut-être parce que j’étais juste frustré de ne pas avoir tiré mon coup. Ouai on va dire ça, c’était la réponse la plus envisageable dans mon cas, j’étais bien incapable de tombé amoureux ou je ne sais quoi d’autre. Je la regardais dans les yeux à présent, j’hésitais à l’envoyé baladé avec sa pitié ou faire le mec calme, parce que je tenais tous de même à elle malgré tout et l’envoyé chier allais juste envenimer les choses pour de bon, un sourire s’affichas sur mon visage quand celle-ci essuya mes larmes. Eh merde j’avais encore terriblement envie de l’envie. « Je suis vraiment désolé, je n’aurais jamais dû venir à ton bureau, t’embrasser contre ton gré et m’énerver de la sorte. Je ne suis pas comme ça d’habitude, je sais pas pourquoi j’ai réagi comme ça, je ne sais pas ce qui me prend » Je soufflais un coup, je sentais la colère remonté et je repris le plus calmement possible « Je n’attends rien de toi Déesse » dis-je en lui caressant la joue « Je n’attends plus rien le message est clair maintenant … » ajoutais-je avec un sourire triste.
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| | | | Denver Hopkinsall i care about is friendship ✱ COLOCATAIRES : Mickey et Snow
| | Jeu 10 Nov - 20:53 | |
| Je ne m’étais jamais confrontée à une situation telle que celle-ci. D’habitude, dès que je faisais comprendre à un mec qu’il n’avait aucune chance avec moi, il me laissait tranquille. Déjà, avec la tête et la froideur que j’utilisais assez souvent, ils comprenaient plutôt assez vite. Sauf que là, ce n’était pas n’importe quel mec que je pouvais croiser, c’était Clyde. Un client et un ami. Et puis, il fallait avouer que j’avais fait une connerie aussi en l’embrassant à mon tour. Chose que je n’aurais jamais dû faire. Je m’étais malheureusement rendue compte trop tard. Et puis, comment gueuler sur lui, avec la gueule d’ange qu’il avait. Je l’appréciais vraiment, mais il se faisait trop d’idées. Et j’avoue que je ne savais plus trop comment agir. Et ça devait se voir vu ma claque qui était partie au quart de tour. Il en pleurait même le pauvre. Putain, dans quoi je m’étais foutue encore. Il ne fallait pas que je laisse les choses comme ça! C’est pour ça que je l’avais retenu avant qu’il ne prenne la poudre d’escampette. Je n’avais pas envie que ça reste comme ça entre nous. Je lui expliquai donc de manière plus calme, ce que je pensais de la situation. Alors que j’essuyais ses larmes, je vis enfin un mince sourire sur ses lèvres. Bon ça va, si j’arrivais à le faire sourire, j’allais dans le bon sens. Il fallait continuer comme ça.
Il me répéta qu’il était encore désolé, qu’il n’aurait jamais dû venir ici pour m’embrasser encore, pour s’énerver et qu’il n’était pas comme ça d’habitude. Il réagissait donc différemment avec moi… Je ne savais pas comment comprendre ce qu’il venait de me dire. Je restais donc en silence, l’observant encore d’un œil bienveillant, un léger sourire qui flottait sur mes lèvres. Je sentis sa main sur ma joue alors qu’il me disait qu’il n’attendait rien de moi et que le message était clair. Je ne faisais aucun geste pour enlever sa main sur ma joue. Je trouvais ça doux et agréable en fait. J’étais vraiment en manque de tendresse, il fallait l’avouer. Je restais un moment comme ça, puis je me décidais à prendre sa main pour la serrer doucement dans la mienne, avant de répondre :
« Ne fais pas cette tête Clyde. Je suis sûre qu’il y a plein d’autres filles qui attendent pour te voir. Ne perds pas ton temps avec moi. »
Je lâchais sa main puis je m’approchais de lui, toujours le fixant dans les yeux :
« T’es un mec adorable Clyde, je le pense vraiment. Même si tu fais des tags! » dis-je en rigolant.
Je restais un moment sans rien dire, rien qu’à le fixer. En fait, j’étais à court de mots là. Plus rien ne me venait à l’esprit. Alors instinctivement, je me mettais sur la pointe des pieds et j’enroulais mes bras autour de lui. Rien de mieux qu’un câlin. |
| | | | | | Mar 15 Nov - 22:27 | |
| J’étais vraiment un imbécile. Le genre de gars qui réfléchit seulement après avoir agis. En pénétrant dans le bureau de la sorte, en l’embrassant sans son accord j’avais fichus toutes mes chances en l’air. Ca me tuait. Je détaillais l’avocate, ses yeux, son regard qui t’envoutait littéralement, je crois bien que c’est justement à cause de son regard que j’avais craqué la première fois. Pour aujourd’hui, le fait qu’elle me repousse m’attirais deux fois plus, c’était étrange l’effet que produisait cette femme. J’avais réussi à ravaler mes larmes et retrouvé un peu de ma fierté. Ce n’est pas en forçant Denvy à m’embrasser que je la ferais craquer, au point où j’en étais je ne la ferais plus craquer je crois. Qui ne tente rien n’a rien. Je souriais à ces mots et répondais « Je n’es pas l’impression de perdre mon temps avec toi, même si c’était le cas je pourrais m’estimer heureux d’avoir pu perdre de précieuse minutes en ta compagnie Déesse » suite à ces mots, je déposais un baiser sur sa main qui se trouvait dans la mienne tout en la regardant. J’affichais le sourire triste du mec timide, je faisais vraiment pitié aujourd’hui, vraiment. Je la laissais continuer, je ris à sa remarque et baissais les yeux, tout naturellement elle venait se serrait contre moi. Je resserrais mes bras autour d’elle et ca me suffisais, je déposais un bisou sur son front et nous restions comme ça pendant de longue minute. Tout en continuant de la câliner, je brisais le silence « J’ignore qui t’a fait mal à ce point déesse, mais j’espère sincèrement que ce mec va se rendre compte de la perle rare qu’il a perdus »
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