| Sam 8 Jan - 0:37 | |
| WELCOME TO SAN FRANCISCO ! Ladonya, Heaven Marley CARACTÈRE Comme une vrai poupée de porcelaine, je suis extrêmement fragile. De l’extérieure, personne ne ressent à quel point je suis sensible. Il m’en faut vraiment peu pour éclater en sanglot, mais devant les autres en générale je ne pleure jamais, sauf si vraiment l’on me pousse à bout. Je préfère garder ma tristesse pour moi, et moi seule, si ce n’est à mes meilleurs amis. Mise à part mon coté de porcelaine, je suis une jeune femme très énergique, et pleine d’ambition étant toujours présente pour mon prochain. De nature attentionnée, et attentive, les personnes de mon entourage aime se confié à moi, et entendre ce que je leur conseil. Oui, je suis plutôt du genre sociable, puisque bon depuis toute petite j’ai toujours préférer la paix à la guerre, comme cela peut se ressentir, et je pense que même si je grandis et que je m’affirme, rien n’en change. On peut donc comprendre que je suis une vrai perle, seulement il faut éviter de trop vouloir marcher sur mes pieds, parce que je suis malheureusement très peu patiente, et part au quart de tour très rapidement, donc si on me cherche trop étant assez rancunière, je n’hésite pas à mettre des bâtons dans les roues. Et oui, la petite Marley ne se laisse pas faire, malgré son coté de porcelaine.
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| ft. jessica szohr |
Histoire Un réveil plutôt difficile je dois dire, mais bon c'est de ma faute je n'aurais jamais dû boire autant hier soir. Encore une soirée bien arrosée, c'est tout mon genre ça. Un réveil qui fut assez étrange, un mal de tête comme jamais, je dévisageais la pièce du regard, j'avais l'impression de n'avoir jamais pénétrer dans cette chambre, et pourtant si. Quand je vis mes vêtements sur le sol et une boite de préservatif sur la droite, je compris tout de suite que j'avais coucher avec un mec que je ne connaissais pas, mais le premier qui fut renverser par mon charme. Je me mordais les lèvres essayant d'adapter une méthode de fugitif, oui j'avais l'intention de prendre la fuite, même si l'envie de voir le visage de cet inconnu je dois l'avouer me rongeais, je n'aime pas l'idée du corps à corps que j'ai fait avec lui cette nuit. Je me lève du lit, m'habille en vitesse, puis juste avant de partir il stop la porte que je m'apprêtais d'ouvrir. Je met une mèche de cheveux derrière une oreille, puis relève le regard vers lui. « Tu comptais quand même pas partir sans me dire au revoir ? », je ne comprenais pas sa réaction, je ne savais pas comment est-ce qu'il fallait que je réagisse, alors je fronçais les sourcils puis il prit mon visage entre ses mains pour m'embrasser, et moi je restais planter là, à ne pas savoir quoi faire. Je reculais légèrement mon sac, puis le poussa à l'aide de mes deux mains. « Tu me repousses après cette nuit ? Tu t'fou de moi ! », je ne comprenais plus rien, ma tête était vide, je ne me rappelais de rien, et lui avait l'air de s'être attaché à moi, ou du moins c'est ce que je croyais. Je mis une main dans mes cheveux tournant le regard pour regarder le lit, « Je.. Je suis désolée mais je ne me rappelle de rien, et c'est assez gênant.. », je sentais mon regard pesé de plus en plus sur moi, j'avais l'impression qu'il me tuait en un seul regard. Je finis par tenir tête à cette fâcheuse réalité et le regarda. « Je suis désolée, mais je dois y aller. » il restait devant la porte, et on pouvait remarquer que la bloquer l'amusait. Je trouvais ça absolument pas drôle, et cette main baladeuse qui circulait sur ma cuisse montant jusqu'à mon cou, et ses lèvres qu'il y posait. Je frissonnais de peur, et la boule au ventre j'avais envie de pleurer. Il ferma la porte à clef, et j'en versa une larme. Je n'avais aucune envie de tenter quoi que ce soit avec se beau garçon, car oui il était plutôt bel gueule. Cette nuit avait été fait dans un autre état d'esprit, nous avions eut des rapports sous le contrôle de la drogue, rien d'autre. Ce jour là, j'ai réussit à partir sans qu'il ne se passe rien, seulement les jours et semaines qui ont suivit, il restait toujours à me traquer, jusqu'au jour où il ne m'a pas laisser filer entre ses mains. Et comme par hasard, le jour où mes parents rentraient d'un voyage en Jamaïque. Il avait osé me forcé, osé me giflé pour que je lui obéisse, pour que je me laisse faire, et le pire c'est que j'en pleurais toutes mes larmes de mon corps. Imaginez-vous traqué tout le long que vos parents sont en vacances, et que vous vous retrouvez seule chez vous, imaginez cela, rien qu'un instant. La boule au ventre me hantait nuit et jour, je ne dormais plus, et ne mangeais plus. C'est d'ailleurs dans cette période que j'ai commencer ma crise d’anorexie. En tout les cas, je reste marquer de ce 6 juin 2006. Après qu'il est eut ce qu'il voulait, je suis partie en courant des kilomètres et des kilomètres, mes larmes rendaient flou ma vision, mais pas encore assez pour que je n'y vois plus rien. Arrivée chez moi, je me suis laisser glisser contre la porte, et mes parents était en face se moi avec leur sarouel, et leur grand gilet de tissu. « Marley ! », j'en suffoquais, et mes parents vint me chercher pour m'asseoir sur le canapé. Il a fallut une heure pour que je me remette de ses fortes émotions, pour tout leur expliquer, de A à Z. Ma mère s'est promis de ne plus jamais partir comme ça, mais mon père lui a préférer que l'on déménage, pour que je sois loin de cette ville, où l'on a préférer me voir souffrir au martyr, plutôt que de nager dans le bonheur. Arrivée dans notre nouveau chez nous, - car oui nous avions fait Yorktown à San Fransisco -, j'ai tout de suite respirer une nouvelle air, et me suis très vite fait au paysage. Non je n'étais pas dépaysé, au contraire, je me sentais mieux que nul part. Les gens ici sont plus que formidable et accueillant, seulement le passé reste gravé dans ma tête, et je n'arrive pas à tourner la page. J'ai beau me dire que c'est du passé, qu'il faut que j'avance, que rien n'est plus beau que ce que je vis en ce moment même, mais rien n'est clair dans ma tête. Je vis avec une peur monstrueuse de revivre ce que j'ai déjà vécu, non je ne veux pas avoir à faire au déjà vu. Rien qu'une main sur mon épaule me fait frissonner. Et pourtant, avec des parents comme les miens, on ne peut pas dire que je mène une vie stressante. Mais rien n'y fait, c'est comme-ci c'était hier.
SURNOM: Déjà en principe mon prénom est Heaven, mais tout le monde m'appelle Marley, mais pour les intimes c'est Marl' ou Marly. ÂGE: Dix neuf années. DATE DE NAISSANCE: 19 février 1991 NATIONALITÉ: Americano-jamaïcaine | GROUPE: Wild Child ORIENTATION: Complètement hétérosexuel ! SITUATION AMOUREUSE:
Célibataire, et oui c'est bien triste. Mais on fait avec ! Et ne pas me demander pourquoi, parce que je ne saurais vous répondre. Mis à part que c'est la vie, et que je suis bien comme ça. | QUALITÉS:
Bon je suis pas la perle des perles, mais faut savoir que je suis pas la plus dur non plus. Attentionnée, passionnée, courageuse, vous n’êtes pas prêt de m’marcher sur les pieds. DÉFAUTS:
Impulsive, jalouse, et boudeuse c’est pas toujours facile les journées à mes côtés hein. |
IN REAL LIFE ON JOUE A UN JEU ? | |
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