Harper ★ Jude Marleen ★ Judy ou Harper ★ vingt-quatre ans ★ féminin ★ américaine ★ britannique et américaine ★ née à San Francisco ★ le 14 février 1987 ★ à SF depuis sa naissance ★ homosexuelle ★ aisée ★ libertine ★ diplômée de musicologie à l'université de San Francisco ★ sex ★ 1,69 m ★ 55 kg ★ blonde ★ bleu ★ possède une croix tatoué sur son poignet gauche ★ style décontracté et changeant ★ allergique aux chats ★ asthmatique au cas des grands stress ★ A+
★ une couleur: gris. ★ un animal: chien. ★ une saison: hiver. ★ un plat: lasagne. ★ une chanson: don't you want me - the human league. ★ un film: saga saw. ★ un acteur : johnny depp. ★ un chanteur(se) : joan jett. ★ un groupe : guns n' roses. ★ un dessin animé: roi lion. ★ un super héros: daredevil. ★ un pouvoir: arrêter le temps. ★ un pays: usa. ★ une devise: life isn't about waiting for the storm to pass, it's about learning to dance in the rain. ★ un élément: l'air. ★ un fruit: cerise. ★ un légume: brocoli. ★ un métier: vétérinaire. ★ un voyage: alaska.
★ plus grand secret : va savoir. ★ plus grand fantasme : faire crac-crac dans un avion. ★ plus grand rêve : adopter tous les chiens des refuges du monde entier.*out* ★ tic nerveux : passe régulièrement la main dans ses cheveux. ★ popularité : ★★★★★
★ j'ai le nez de mon père. ★ les yeux de mon père. ★ la bouche de ma mère. ★ les sourcils de mon père. ★ les cheveux de ma mère. ★ le caractère de mon père. ★ généreuse comme ma mère. ★ arrogante comme mon père. ★ le talent de coureuse de jupons n°1 de mon père. ★ la même voix que ma mère mais un peu plus grave. ★ je ressemble à mon père.
hors jeu
★ pseudo & prénom : electric chapel/julie. ★ âge : 18 ans &des poussières. ★ sexe : F. ★ nationalité : belge &russe. ★ comment je suis arrivé sur POH : grâce à bazzart. :heart2:
★ commentaire : le design est à tomber.
★ je suis un : PI. ★ avatar : teresa palmer. ★ code du règlement :
Spoiler:
OK. by June
Ma fiche est complète à 100%
Code:
[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]TERESA PALMER[/font] | [/size] [font=arial][size=9]Jude M. Harper[/size][/font]
Ma vie est un océan de jouissance que n'importe quelle autre idiote de mon genre donnerait n'importe quoi pour être à ma place. J'aime ma vie, non je ne regrette rien. Autant crever la gueule ouverte que de regretter. Mes procréateurs ? Rien de plus lamentable. Á croire qu'ils étaient fait l'un pour l'autre. Une mère britannique et ex-playmate dont la vie se résumait à faire baver les branleurs de la planète. Et papa dans tout ca ? Plus banal tu meurs. Fils purement gâté d'un ex-ministre américain devenu récemment homme d'affaire à la mort de son vieux. Amen, un parasite Harper en moins. Oui je le détestait, je les déteste tous. Je ne pourrais pas vous en dire d'avantage sur la raconte de mes géniteurs émis qu'ils se sont rencontrés à Las Vegas, dans un de ces striptease club de prostituées. Non attendez, ce n'était pas n'importe où. C'était à Palms, bien sûre. L'endroit d'effervescence où les porcs du genre de mon chère père y dépensaient leur saleté de frics rien que pour voir ces femmes à corps d'Aphrodite secouer leur attributs devant leur gueules. Maman précédemment prostituée et papa un porc de premier classe. A croire que je suis le résultat final de leur accouplement, ca me donne envie de gerber. Non, je ne suis pas comme eux. Une prostituée ? Non, je ne me fais pas payer. Et ce que je tient de mon père ? Rien. Non en fait je mens. Je suis une droguée du cul tout comme ce connard. La meilleure période de ma vie était probablement mon enfance. Née avec une petite cuillère en argent dans ma bouche, la bourgeoisie était à mes pieds. Une enfance heureuse où j'en profitait pleinement de l'insouciance qui en découlait. J'étais la petite fille de papa. Tout le monde m'aimaient. J'étais innocente. Je faisait l'objet de beaucoup de compliments, entourée par l'amour de ma mère et de ces saloperies de Jones. Ils exauçaient le moindre de mes caprices. J'étais un enfant pourri gâtée.
Ensuite vient adolescence, encore un autre univers. Non, pas rose cette-fois ci. Dans cette période perturbatrice, j'y prolonge les yeux fermés. Je créait mes propres limites faisant des nouvelles expériences tels que les relations sexuelles, l'alcool, la drogue et le tabac. J'en abusait même, j'en étais consciente. Le gros déchet que je suis, je deviens très vite accro à ces saloperies. J'avais souvent le cerveau en nuages, c'était drôle. Tellement drôle qu'un jour sur deux je risquait de me faire écraser par une bagnole qui m'insultait gentiment de conasse. Je leur répondait que j'étais flattée. Une bouteille de vodka dans la main, mon sac de l'autre, je m'en foutait de l'avenir qui pourrait m'attendre. Je n'ai pas honte de dire que j'aime le sexe, non. C'est mieux que la dope - quoi que - et qu'au moins, j'arrive à ne plus réfléchir à ce que je suis. Ayant côtoyé les mecs aussi bien que les femmes, je commençait à acquérir une certaine identité sexuelle où mon orientation fut mise en questions. Je ne pouvais pas nier cette attirance que j'éprouve pour les personne du même sexe. D'ailleurs, j'ignore toujours si l'une des raison était dut au fait que je fréquentait une école chrétienne pour filles. On pourrait me considérer comme une lesbienne mais je déteste les étiquettes. Après tout, coucher avec un homme ne me dégoute pas sauf que je sais que je n'éteindre jamais le septième ciel avec lui. Á l'adolescence, je pouvais tout faire, tout avoir puisque je pouvais tout acheter. Mais d'après ce qu'on dit, il y a bien une chose qu'on ne pourrait jamais acheter; l'amour. Á quoi ca sert ? Absolument à rien. Non je ne croit pas au grand amour. Ce n'est pas éternel, Shakespeare avait tord. Les prostituées sont là pour bien quelque chose. Elles sont temporaires tout comme l'amour mais on peut s'en lasser dés que NOUS on le décide. Ce sentiment sado-masochiste vous kidnappe dans un cercle infernal. Non, je n'ai pas honte de dire que j'ai aimé cette salope qui m'avait entièrement détruit. Elle s'était prise d'une telle délicatesse que rien qu'en entendant son prénom, j'avais envie de gerber tout mes organes. Mais ca, laissez moi vous le dévoiler un peu plus loin.
Avais-je fais mon coming out ? Oui. Je me souviendrais toujours de ce soit disons discours pendant l'un de ces dîners familiaux en un dimanche lourd et chaud. Les Harper avaient touché le sujet déclencheur. Encore une preuve qui me confirmait d'avantage que mon père était un crétin. Ils parlaient d'un fait qui s'était déroulé en Iran; un adolescent avait été condamné à mort pour homosexualité. « C'est totalement compréhensible! Les États-Unis devraient faire pareil sinon on risquerait d'être envahit ! » déclarait-il à gorge déployée. Son rire machiavélique raisonne toujours dans ma tête. Je ne levait pas les yeux vers sa gueule, je fixait les couverts dans mes mains. J'avais envie de lui envoyé mon assiette dans la figure mais non, j'essayai tant bien que mal de me contrôler les émotions qui boquillonaient en moi. « Dans ce cas, ils devraient s'en charger de ton adorable chère fille peut-être. ». Le ton de ma voix était posé tandis que mon regard affrontait le sien. Il se sentait terriblement embarrassé et j'ai fini par quitter la table tandis qu'il essayai d'apaiser la gaffe que je venais de lâcher sous prétexte que je n'étais pas dans mon état normal. Non j'allais très bien, j'allais parfaitement bien. Le soir venu, il débarqua dans ma chambre. Il était furieux, c'était peut être la première fois que je le voyais dans cet état. « C'était quoi ce bordel !? » s'écriait-il en s'approchant à grands pas vers ma direction. J'étais entrain de fumer ma clope à la fenêtre quand celle-ci me fut brutalement arrachée des doigts et jetée. « Généralement, on appelle ca un coming out. ». J'étais calme, je m'en-foutiste, ca l'agaçait davantage. « Demain tu pars pour Harvard. Ta candidature à été acceptée. ». Non, c'était impossible. Je n'avais jamais postulé pour Harvard et j'étais bien trop conne pour un endroit pareil, quoi que... D'autant plus, ma soit-disant destiné était de faire du droit. Mais ce n'était pas pour moi. Il savait très bien que je voulais commencer des études en musicologie à San Francisco mais le truc, ce qu'il s'en foutait royalement de ce que je désirais. « Conneries. Je n'ai jamais postulé pour Harvard». Je n'étais pas conne, je savais très bien ce qu'il avait trafiqué derrière mon dos. L'argent dominaient le monde. Énervé, il finit par quitter la pièce en claquant bruyamment la porte derrière lui. Je sentais le sang bouillonner en moi. J'avais une soudaine envie de me jeter par la fenêtre. Mais non, ca serait bien trop lâche. Le lendemain, seule ma mère m'avait adressée la parole. D'ailleurs, je ne lui ai jamais dis que je l'aimais. Ai - je un cœur, au moins ? J'en doute, parfois. Je n'ai jamais réussi à rendre heureux quelqu'un, j'ai toujours tout fais foirer, à croire que le bonheur n'est pas fait pour moi. Ce jour-là, mon père m'ignorait totalement. « J'espère que tes valises sont prêtes. » me lâchait-il sèchement avant de s'isoler dans son foutu bureaux. Je ne partirait pas de San Francisco, pas aujourd'hui, ni demain, ni après demain, jamais. Je le suivit dans la pièce et y pénétrait sans la permission. Il ne me lança aucun regard s'occupant à feuilleter un document. Adossée à la porte, mes yeux bleus le fixaient pendant un long moment. Il me faisait pitié. Je reportait mon regard sur le revolver accroché au mur tel un objet décoratif. Des centaines d'idées morbides me traversèrent l'esprit mais je les chassais rapidement et revenais à la réalité. « J'ai vu ta Bentley devant le Hilton Hotel avant-hier... » lui déclarais-je d'une voix calme en me baladant tranquillement dans son bureau dans lequel j'y mettait à peine les pieds. « Je ne suis pas le seul d'avoir une Bentley dans la ville. ». Il était sec et fuyait mon regard, ses gestes devenaient de plus en plus nerveux. Décidément, il ne savait jamais cacher ses émotions. « Oui mais tu vois... Comme je suis bel et bien une Harper et que je suis soit disant admise dans l'une des plus prestigieuses universités des États-Unis, je suis censée être une fille très intelligente non ? ». J'affichais un sourire provocateur et il finit par lever ses yeux vers moi, intrigué, perdu. Je sortis mon Blackberry et en à peine quelque secondes, je tombais sur ce que je cherchais; des preuves. Il s'approcha de moi et m'arracha le portable des mains. Il lui fallut un moment avant de réagir en démontant l'arrière de mon Blackberry. « Ne te force pas, j'ai des copies de ma carte mémoire. D'ailleurs la prochaine fois, fais au moins un effort de chercher une autre que ma copine et majeur s'il te plaît. Parce que bon, tu sais à quel point ca pourrait ruiner ta réputation. ». Furieux, il finit par lancer l'objet contre le mur et celui-ci s'éclata en mille morceaux. Il ne répondait pas à ma question, préférant le silence prendre le dessus. « Qu'attends-tu de moi ? ». Je sentait l’inquiétude se présenter dans sa voix. Il avait peur de moi, ca m'amusait. « Juste un simple pacte. »
J'avais manipulé mon père comme le bon me semblait, le faisait tourner autour de mon doigt afin qu'il réponde au moindres de mes caprices. Mais après quatre ans passée à l'universitée de San Francisco que mon père avait accepté de payé, je rechutait dans mes connerie. L'élement déclancheur à tout ca, était probablement le fait que ma mère sombrais petit à petit dans sa maladie. Son cancer de la poitrine se développement à une vitesse impressionante et moi, j'étais incapable d'affronter. Héroïne, haschich, cannabis, opium, cocaïne, LSD... J'en ai essayé la plupart, si ce n'est toutes. Hallucinogènes, stupéfiants, stimulants et, de temps à autres, des médicaments détournés ; je n'en ratais aucune. Disons que, depuis ma dépendance, la drogue était devenue sa plus grande passion. D'ailleurs, il m'était déjà arrivé de frôlé l'overdose à plusieurs reprises. Cette chute dans la drogue et mes délires schizophréniques m'ont coûtés une cure de désintoxication. Et comme n'importe quelle dépendente à la drogue, je ne reconnaissait pas mon addiction parce que j'étais persuadée que je pouvais arrêter lorsque je le decirais or sur ce coup là, j'avais largement tort. « Jude, tu détruis ta propre mère à cause de tes conneries et ton attitude. Elle a besoin de sa fille près d'elle. Et si tu crois que je te laisserait encore la voir dans l'état que tu es sans arrêt, tu as largement tord. Tu as obtenu tout ce que tu désirais de moi. J'ai accepté de payer tes études à l'université de San Francisco et maintenant, tu n'as désormais rien à faire à part surveiller les virements sur ton compte. Et dis-moi, qu'est ce que tu fais de tout cet argent ? Tu te dope à la cocaine ?! Pourquoi ? Donne moi au moins un raison ! » s'écriait mon père tandis que je ne l'écoutais que d'une seule oreille. Assise à son bureau, je m'occupais à écrire mon prénomen en lettres gras sur son plan de travail. Je refusais d'affronter son visage parcequ'au fond de moi, je savais qu'il avait raison. « J'en ai pas. Je fais juste ce que j'ai envie de faire.» Il s'approcha alors de moi et s'agenouilla afin de pouvoir attraper mon regard. « Ecoute Jude, si tu veux continuer à voir ta mère, il suffit juste que tu acceptes mon aide en intégrant le centre de désintoxication. Ne le fais pas pour toi si tu n'en as pas envie, ni pour moi, mais pour ta mère. J'en ai pas d'autres choix. Je sais que je n'ai jamais été un bon père, mais là, ta mère a besoin de la vrai toi. Alors s'il te plaît, ne me laisse pas te forcer. » Je levais finalement mes yeux vers lui. Son air si inquiète et son le ton de sa voix très calme, m'inspirait de la pitié sans savoir pourquoi. Je me levais alors de ma chaise en soupirant et me dirigeait sur un pas lent vers la porte. « J'espère que j'aurais au moins accés à internet dans ce lieu merdique. » Il m'en a fallut presque six mois pour que je soit finalement sevrée. Une fois sortie, je ne me sentais pas totalement métamorphosée mais je n'avais plus les même priorités qu'avant. En ce temps, je dirais plutôt que je suis devenue un peu plus responsable qu'auparavant par peur peut être que mes anciens démons feront surface un jour. Cela fait quelques mois que je n'y touche plus aux substance illicites, mais je ne peux pas nier le fait que l'alcool et le tabac compensent souvent ce manque. Même si je mène une rythme de vie assez différent du précédent, cela ne fait pas de moi une personne différente. Je pense que je reste toujours la même garce au fond de moi. Celle qu'on aime, ou qu'on adore détester. Ton fantasme où peut être ton pire cauchemar.
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