petterson ★ emily ★ em' ★ 22 ans ★ féminin ★ américaine ★ américaine ★ né à san francisco ★ 11 décembre 1989 ★ bi ★ moyenne ★ célibataire ★ photographie ★ family ★ 1m.68 ★ 55 kg. ★bonds ★ bruns ★ a des lunettes mais ne les porte jamais, préfère des verres de contact ★ décontracté ★ O-

★ pseudo & prénom : laura, tazer.
★ âge : 16 yo.
★ sexe : féminin.
★ nationalité : québecoise.
★ comment je suis arrivé sur POH : bah euh marie ou dan sûrement.

★ commentaire : je vous fais chier avec mon retour x) mais poh me manquais.

★ je suis un : scénario/PI
★ avatar : emma watson.
★ code du règlement :

Spoiler:

Ma fiche est complète à 100%

Je m’appelle Emily Aurelia Petterson, Aurelia est le prénom de ma grand-mère maternelle, mais vous savez seulement Em’ va faire l’affaire. Je suis née le 11 décembre 1989. J’étais le deuxième enfant de ma famille, malheureusement. En fait ce que je vais vous compter, c’est ce que mes parents adoptifs m’ont dit puisque je ne m’en souviens vraiment pas. Ils pourraient bien me dire ce qu’ils veulent, mais je les aime et je les crois totalement. Donc je suis la deuxième enfant de ma mère, qui avait 25 ans lors de ma naissance. Elle avait déjà eu, 2 ans plus tôt, mon frère prénommé Maël, le 18 février. Ma mère, Lena, avait une insuffisance cardiaque, mais malgré tout ça elle a réussi à mettre deux enfants au monde, il faut dire que mon père, Chris, s’occupait beaucoup d’elle et avait les moyens financiers aussi, il était avocat. En fait, mon grand frère hérita malheureusement de la maladie de ma mère, mais moi je naquis normalement. Je ne me souviens malheureusement pas vraiment de mes parents, ni mon frère. Je n’avais que 2 ans lorsque je fus placé dans un orphelinat. Ma mère avait toujours des problèmes de cœur qui ne s’étaient vraiment pas améliorer avec ses deux grossesses, mon père décida donc de l’emmener à l’hôpital, nous laissant à la maison avec notre gardienne qui était l’une de nos voisines. Mon père conduisait, il avait bien hâte d’arriver à l’hôpital il faut dire, et il eu un moment d’inattention et il ne fallu que ça pour causer un accident. Mes parents moururent sur le coup, je me retrouvai donc à l’âge de 2 ans, orpheline. Les services sociaux me séparèrent de mon frère, moi j’allai dans un orphelinat pour filles à Berkeley. Je ne réclamais ni mes parents ni mon frère, j’étais bien trop jeune. Je fus très rapidement adoptée par une jeune couple, riche et sans enfants. Après quelques semaines à l’orphelinat, ils me repérèrent, ils n’avaient que 25 ans et désiraient avoir un enfant. Mon père adoptif travaillait avec son père, dans une entreprise familiale d’assurance. Ils avaient donc beaucoup d’argent et tant qu’à ma mère adoptive, elle était journaliste, ça ne rapportait pas beaucoup d’argent mais ils n’en avaient pas besoin, c’est simplement qu’elle aimait ça. Bien qu’ils fussent jeunes, ils savaient qu’ils ne pourraient pas avoir d’enfant puisque mon père adoptif avait eu un cancer il y a quelques années qui le rendait stérile. Ils décidèrent donc de m’adopter et je fus leur seule fille. Ils décidèrent de garder mon nom de famille, celui de mon père biologique, Petterson, pour que au moins une trace de mes parents biologiques. J’ai donc toujours eu ce que je voulais, je savais que j’avais été adopté mais je ne ressentais pas vraiment le besoin de me renseigner sur ma vraie famille. À l’école j’avais beaucoup d’amies, je n’étais pas différentes des autres. J’avais des parents, de l’argent, tous les jouets que je voulais et j’avais de bonnes notes. J’ai toujours été une personne avec beaucoup d’ambition. En grandissant, je me développai une réelle passion pour la photographie. Comme j’étais enfant unique à la maison, je me trouvais un moyen de m’exprimer, même si j’étais une personne très extravertie. J’aimais bien photographier des paysages, des animaux, mais ce que je préférais bien sûr c’était des personnes. Au lycée j’étais assez populaire, je faisais la fête et j’avais tout de même de bonnes notes. Je n’étais pas une fille facile, mais j’aimais l’idée de l’amour. J’ai eu quelques petits copains, mais rien de bien sérieux. À 18 ans, je décidai d’aller étudier en photographie à l’UCSF, je voulais maintenant que ma passion devienne mon métier. Je n’habitais pas bien loin de mes parents adoptifs, que j’ai toujours adorés. Ils m’aidaient financièrement et moi je continuais régulièrement à aller les voir. À l’âge de 19 ans, ils décidèrent que c’était le temps de me parler de mon frère, mon frère biologique qu’ils m’avaient caché, il se prénommait Maël et avait 2 ans de plus que moi, toutefois ils ne savaient pas où il était aujourd’hui. C’est certain que j’aurais aimé le rencontré, mais je n’avais vraiment aucune autre information sur lui. Je continuai donc ma vie à San Francisco, je continuai mes études en photographie et commençai à trouver quelques contrats, j’aimais vraiment ça. Je devais très souvent faire des photos pour les cours et j’aimais ça, je savais que j’avais fait le bon choix. Je continuais de faire la fête, ayant quelques petits copains mais ne trouvant toujours pas le grand amour. Lors d’une fête, je me rapprochai d’une fille que je ne connaissais pas, en fait on dansa ensemble toute la soirée et on s’embrassa. Ça n’alla pas plus loin que ça, en fait je n’ai jamais revu cette fille, mais j’ai réellement aimé ça, autant qu’avec un gars. Depuis ce temps, je me remets en doute, je me pause vraiment des questions, après tout il y a des gens qui sont bi, peut-être que je le suis aussi. Il y a quelques temps, j’ai rencontré Mary Jude, qui est mannequin. On devint très rapidement amie et elle devint également mon modèle. Celle-ci fini par faire le lien entre moi et son petit copain qui s’appelait Maël Petterson, c’était lui mon frère. Donc je le rencontrai et depuis on essai de rattraper le temps perdu, mais ce n’est pas facile. Il a deux enfants avec MJ et je suis la marraine de leur petite fille, j’adore vraiment leur fils et leur fille, ils sont de super modèle pour mes cours. Avec tout ça, j’essaie de rester de moi, je veux réussir dans la vie avec mon métier de photographe. Voir mon frère avec sa famille, c’est certain que ça me donne le goût d’avoir la mienne aussi, mais avant je dois trouver le mien, mon grand amour. Avant ça il faudrait bien que j'arrête de me questionner sur ce que je suis, et que je trouve avec qui je veux être, peut importe le sexe de cette personne...