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Le 6 janvier 2016, le forum a fêté ces 5 ANS ! Bon anniversaire POH Charlotte Anais Marchand 79124 Charlotte Anais Marchand 79124

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 Charlotte Anais Marchand
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Anonymous
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Lun 1 Aoû - 8:42



charlotte anais marchand


marchand ★ charlotte ★ cha' ★ 20 ans ★ ★ française ★ française ★ né à Paris ★ 3 janvier 1991 ★ 11 avril 2011 ★ hétérosexuelle ★ moyenne ★ célibataire ★ serveuse ★ friendship ★ 1m66 ★ 52kg ★ bruns/chatains ★ bleus ★ un tatouage ★ rock/vintage ★ aucune ★ aucune ★ A+


★ une couleur: réponse.
★ un animal: un... euh... une licorne.
★ une saison: printemps.
★ un plat: pizza.
★ une chanson: Not in Love - Crystal Castles.
★ un film: Little miss Sunshine.
★ un acteur : Jack O'Connell.
★ un chanteur(se) : Lady Gaga.
★ un groupe : The XX.
★ un dessin animé: Totally Spies.
★ un super héros: Batman.
★ un pouvoir: télékinésie.
★ un pays: France.
★ une devise: Qui ne tente rien, n'a rien.
★ un élément: eau.
★ un fruit: fraise.
★ un légume: chou-fleur.
★ un métier: attachée de presse.
★ un voyage: l'Afrique du Sud.

★ plus grand secret : j'ai couché avec le père de mon fiancé.
★ plus grand fantasme : réaliser un fantasme.
★ plus grand rêve : vivre heureuse ?
★ tic nerveux : joue avec ses doigts & mordille sa lèvre inférieure.
★ popularité : ★★★★★
spontanée ★ généreuse ★ drôle ★ attentive ★ gourmande ★ curieuse ★ ambitieuse ★ amusante ★ déterminée

bornée ★ imprévisible ★ grincheuse ★ chiante ★ manipulatrice ★ rancunière ★ colérique ★ paresseuse

On me dis que :

★ j'ai le nez de ma mère
★ les yeux de mon père
★ la bouche de ma mère
★ les sourcils de ma mère
★ les cheveux de ma mère
★ le caractère de mon père
★ spontanée, comme mon père
★ colérique, comme ma mère
★ les talents d'ambition de mon père
★ la même voix que ma mère
★ je ressemble à personne


hors jeu


★ pseudo & prénom : Romane.
★ âge : 18 ans.
★ sexe : indéfini (:
★ nationalité : française.
★ comment je suis arrivé sur POH : je me souviens plus, par hasard, je crois.

★ commentaire : j'aime le nouveau design, j'aime tout. voila. Big Bisous Bien Baveux (coucou, j'ai 12 ans). Et aussi plus sérieusement, j'ai modifier certains passages de l'histoire de Charlotte, vu que Léo est parti & que c'était son scénario, je l'ai refait un peu à ma sauce...

★ je suis un : scénario (il y a plus le lien)
★ avatar : Kaya Scodelario.
★ code du règlement :
Spoiler:

Ma fiche est complète à 80%




Code:
[size=12][color=crimson]★ [/color][font=Georgia]KAYA SCODELARIO[/font] | [/size] [font=arial][size=9]Charlotte A. Marchand[/size][/font]
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Anonymous
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Lun 1 Aoû - 8:43

ton histoire



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J'aurais pu faire simple...


Quand je suis née, j’aurais du me douter. Me douter que ma vie était partie pour être un fiasco. Mais non, j’ai foncé « droit dans le mur ». J’ai grandi à Paris, ville Lumière, ville ce que vous voulez, ville où j’ai vécu jusqu’il y a peu de temps.
Mes parents n’étaient pas vraiment ce que l’on pouvait appeler des riches. Ils travaillaient tous les jours, parfois tard… Nous n’étions pas pauvres, mais on n’était pas riche non plus. Quoi qu’il en soit, je n’ai jamais manqué de rien. Vraiment, il faut bien l’admettre. Fille unique, mes parents ont toujours fait attention à ce que j’ai tout ce qu’il me faut. Bien sur, je n’allais pas m’acheter des trucs inutiles, mais j’avais tout ce qu’une petite fille avait besoin. D’ailleurs, je me demande pourquoi du coup, pourquoi je suis partie en vrille quelques années plus tard. Mais bon, passons.
Très vite, je me suis rendue compte que la plupart du temps, il n’y avait personne d’autre que moi dans notre appartement parisiens. Mes parents travaillaient beaucoup, et j’ai vite remarqué qu’il développait un certain syndrome de lassitude avec moi ; vous savez quand vous offrez un nouveau jouet à un enfant, pendant quelques jours, quelques mois, il ne le quitte plus, s’amuse tout le temps avec, et puis un jour, il en a marre, il trouve un nouveau jouet, plus cool, plus neuf, plus sympa et l’ancien est peu à peu abandonné au fond d’une malle. J’ai vite eu l’impression d’être le vieux jouet, bien que mes parents n’eurent jamais d’autre jouet, comprenez, d’autre enfant. Je restais définitivement fille unique, et bientôt encore plus : fille toute seule.
D’un autre coté l’école ne m’intéressait pas trop. Disons, que je n’étais pas très assidue. J’avais des facilités, c’était sur ; je préférais clairement apprendre seule, réviser seule que d’être dans une salle de classe, j’étais autodidacte ; si bien que même si il m’arrivait (de plus en plus) de sécher les cours, je n’étais jamais à la traine. Mes parents (qui de toute façon ne se rendaient compte de rien) n’y voyaient que du feu. Je vivais ma vie, tranquille. Je passais mon temps dans les rues de Paris, sur les Champs Elysées. Je rêvais de vivre dans le VIIIème arrondissement. De m’habiller chez Chanel, de perdre mes sacs Louis Vuitton comme d’autres perdent leurs sacs en plastique Franprix.
A l’école j’étais assez populaire je crois. Je ne sais pas par quel moyen, je m’étais retrouvé dans une école de bourges, j’étais aux anges dès le début. Ravie d’être avec eux, ravie d’être parmi eux, j’avais l’impression que c’était ma chance pour moi de devenir « comme eux ». Stupide, comme si l’argent allait me tomber sur la tête juste parce que j’étais dans une école chic… Je crois qu’ils m’aimaient bien parce qu’ils voyaient en moi la « rebelle de service » celle qui n’était pas comme eux, qui osait les choses, qui n’avait pas peur des conséquences, peur d’être punie.
Un jour est arrivée dans ma classe une petite rousse. Elle était vraiment toute petite comparé aux autres, j’apprends de mon voisin de derrière qu’elle à sauter deux classes, il m’apprend aussi qu’elle à sauter sur un élève qui lui avait piqué son gouter quelques années plus tôt. Je souris, elle me plait déjà. Elle s’assoit à coté de moi, un sourire un regard. C’était parti.
Petite Lilas. Rapidement devenue comme une petite sœur pour moi. A treize ans, nous étions inséparable, c’est avec elle que je commence à sortir, elle à sécher les cours, moi à continuer puisque bien sur tout le monde s’en fout de savoir où je suis, ce que je fais. Je vis encore et toujours ma vie sans me préoccuper de qui que soi, sans rendre compte à personne.
Je crois que Lilas à été la première et peut-être la seule à toujours me comprendre, à toujours savoir lire en moi.


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Tout allait parfaitement bien, après tout j’étais clairement libre de faire ce que je voulais, j’avais tout ce dont j’avais besoin, ni trop, ni trop peu. Je n’avais au fond vraiment pas de quoi me plaindre. A part toujours cette même envie d’être une autre plus riche, plus belle, plus… plus tout.
Et puis un jour, Lilas est partie, c’est comme ça que j’ai préféré le dire. J’ai vraiment eu l’impression d’être la pire amie au moins de l’avoir laissé qu’elle ait pu se faire enlever. J’avais encore plus de mal en voyant que je ne pouvais rien faire, j’avais 17 ans. C’était impossible pour moi de la retrouver. J’ai commencé a trainer avec les mauvaises personnes. Pourtant, je n’étais pas du genre influençable. Mais bon… J’ai commencé à sortir, beaucoup. J’ai même cru tomber amoureuse.
Il s’appelait Lucas, c’était ce qu’on appelle un bad-boy. Je l’avais rencontré à une soirée un peu glauque où j’étais allée, parce que je n’avais pas pu me rendre à une soirée populaire et je n’avais aucune envie de rentrer chez moi. Alors j’avais allumé une cigarette et j’étais partie sans trop savoir où j’allais. Et je m’étais retrouvé dans un coin un peu bizarre où se trouvaient mes « nouveaux amis ». Il était assez tard quand il est arrivé. Ou assez tôt, c’est selon. Quoi qu’il en soit, j’étais déjà dans un état plutôt lointain de la réalité, j’avais l’impression d’avoir bu mon poids en litres de vodka et autres rhums… J’avais mal à la tête et je trainais sur la terrasse dans l’espoir d’un peu d’air en cette nuit d’été. Nous étions effectivement en plein mois d’aout et bien que l’orage grondait, il n’y avait pas un courant d’air. J’étais assise par terre, les pieds dans le vide à travers les barreaux du balcon et il s’est assis à coté de moi. Je n’ai pas bougé, déjà parce que je m’en foutais et parce que j’en avais même pas la force. Je sentais son regard sur moi, alors je me suis composé un visage sombre et distant avant de me tourner vers lui, il était brun, avait des cernes qui encerclaient ses yeux et il me regardait, et je crois même qu’il souriait. Il a rien dit, il m’a embrassé, je l’ai laissé faire.
C’était la relation la plus étrange que j’avais jamais eu. Si on pouvait appeler ça une relation, je n’ai même jamais trop su si nous étions ensemble. Quoi qu’il en soit, ça a duré pendant plus de 6 mois. Il m’entrainait dans des situations que je ne contrôlais pas. Moi, tête brulée, je ne refusais rien de toute façon, j’aimais trop cette adrénaline qui me parcourait quand j’étais avec lui. J’ai fini au poste de police du XIème arrondissement un soir, j’étais complètement bourrée et défoncée, et il m’avait entrainé dans une histoire sordide, dans des ruelles de Paris, j’avais été arrêtée par la police, il s’était tiré. C’est mes parents qui étaient venus me cherché, je ne les avais encore jamais vu inquiets pour moi. Ile m’ont demandé de le quitter, de ne plus le voir, et j’ai su que c’était la meilleure chose à faire, que c’était le truc le plus gentil que mes parents aient pu me dire. Je l’ai fait.
Quand il est arrivé vers moi quelques jours plus tard, un sourire aux lèvres, il ne s’inquiétait même pas de savoir ce qui m’était arrivé en garde-à-vue. Il souriait et j’étais à deux doigts de lui tomber dans les bras, mais j’ai tenu bon. Je lui ai dit tout ce que j’avais sur le cœur, j’ai tout lâché. « C’est pas possible, bien sur que c’est fini pour nous. Tu peux plus faire ce que tu fais avec moi. Regarde toi, j’étais au commissariat et tu as attendu deux jours avant de venir me voir. Je peux plus tu vois, je suis fatiguée. Casse-toi. »
Pour moi c’était fini. J’étais prête à me remettre sur les rails, à retrouver la raison. Il a insisté quelques temps, et puis il m’a laissé. Ma descente aux enfers s’achevait, j’étais prête à revenir et reprendre le cours de ma vie. Il y avait Evelyn que j’avais rencontré quelques temps plus tôt qui m’a aidé. A chaque fois qu’elle était en France elle passait me voir et prenait soin de vérifier que tout allait bien pour moi, que je ne perdais pas les pédales. C’est ce qui m’a aidé, je me disais à chaque fois qu’il fallait que je fasse gaffe pour quand Evelyn viendrait me voir.
Autant je me fichais de l’opinion que mes parents avaient de moi, autant je m’inquiétais de ce que mes amis pensaient, je voulais qu’ils soient fiers de moi.
C’est à ce moment là que j’ai recommencé à sortir du coté des Champs…

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Anonymous
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Lun 1 Aoû - 8:43

ton histoire




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J’avais réussi à remonter la pente. J’étais plutôt fière de moi. J’avais tout laissé derrière moi, bien décider à tout oublier et surtout à ne plus me laisser avoir par un mec. J’étais prête à devenir un roc, un mur.
Je repris donc ma vie, toujours sans mes parents, bien sur. J’avais alors 18 ans, et je sortais tous les soirs, je n’avais presque pas un sou, mais j’étais dans les meilleurs soirées de Paris, j’étais LA où il fallait être, je me liais avec tous ces gens qui pensaient que j’étais comme eux, que j’habitais dans un loft luxueux. Je me fichais que ce soit faux, ce que je voulais c’était « être ». J’avais réussi à tout laisser derrière moi enfin, et à devenir celle que je voulais être. J’étais persuadée d’avoir tout ce dont j’avais besoin.
Et un soir, je l’ai rencontré, je l’ai vu. Un dragueur, on me parlait de sa réputation, toutes les filles étaient à ses pieds, et moi aussi je crois. Mais je ne voulais pas me faire avoir une nouvelle fois. Pourtant quelque chose d’incontrôlable m’attirait chez lui. Léopold. Je me fichais soudainement des conséquences, je le voulais, lui. À la fin de cette soirée, il s’avéra qu’il me voulait moi. Je ne sais pas s’il croyait que j’étais comme lui, riche, mais je m’en foutais complètement.
Nous nous sommes revus plusieurs fois, j’ai même fini par lui avouer que je n’étais pas celle qu’il croyait, contre toute attente, il resta avec moi. C’est là que j’ai compris que nous étions ensemble, lui et moi un couple, un vrai. Je crois même que j’étais heureuse, en couple et heureuse, c’était étrange comme sensation.
Je me faisais prendre, une nouvelle fois au jeu de l’amour, j’étais complètement amoureuse de Léo, et je n’avais pas peur de revivre ce que j’avais déjà vécu, parce que je savais qu’avec lui ça n’arriverai pas. Qu’il ne me ferait pas ça. Il avait arrêté de draguer, pour moi, il était devenu fidèle. Chose incroyable, je me livrais à lui, sans peur.
Pendant huit mois, alors nous avons été dégoulinants, nous étions exactement ce que j’avais voulu éviter : amoureux. Tout allait parfaitement bien.
Jusqu’à ce qu’il me demande en fiançailles. Chose étonnante, j’ai accepté, j’avais vraiment envie de ça. Charlotte Marchand, allait être fiancée avec un gars complètement riche et amoureux d’elle. Elle allait tout avoir. Et puis quelques jours plus tard, j’ai flippé, littéralement. Qu’il se rende compte que ce n’était pas ce qu’il voulait et qu’il me laisse sur le bord de la route. J’avais gouté au luxe, je ne voulais rien perdre de tout ça. Je voulais absolument garder cette nouvelle vie. mais j’ai tout foutu en l’air. C’était comme si je savais que les choses allaient tourner à la catastrophe, alors j’ai pris les devants, et j’ai fait la chose la plus stupide qui me passait par la tête.
Son père était irrévocablement attiré par moi, et je me suis dit que lui allait m’apporter plus, inconsciente de ce que je faisais, j’ai foncé dans cette relation. La tête la première j’ai replongé dans l’enfer. Il me faisait de merveilleux cadeaux. Lui comme moi voulions garder cette relation caché, tout était parfait si on pouvait dire les choses comme ça.
Jusqu’au jour où Léo à débarqué quand nous étions les deux. Il nous a découvert tous les deux, son père et sa fiancée ensemble. Il est parti. Il a quitté la France, j’ai vite appris qu’il s’était réfugié à San Francisco.
Après m’être moi-même rendue compte que son père se fichait de moi, que je l’intéressais uniquement sexuellement, je me suis mise à culpabiliser, je me dégoutais. Il n’était rien, et n’allait rien m’apporter. J’avais perdu Léo et je voulais le récupérer. Le temps passait et je n’avais d’autre choix que de constater que Léo me manquait. Plus que je ne voulais l’admettre : j’avais commis la plus grosse erreur de ma vie en le trompant.
Je décidais donc de faire la seule chose qui me paraissait raisonnable, et qui ne l’était en fait pas du tout. J’ai pris mes économies et le premier avion pour San Francisco. Bien décidée à le retrouver. A retrouver notre relation…

Charlotte Anais Marchand Tumblr_loywciklyl1qd8v2go1_500



[u.c]

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Lun 14 Nov - 16:50

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