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 Dwight & Jordane | Keep your hopes up high and your heads down low! PART II [HOT]
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Ven 1 Avr - 0:52

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D W I G H T & J O R D A N E
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J'accompagnai Dwight jusqu'à l'intérieur du taxi avant de me laisser choir comme une daube sur la banquette et de fermer les yeux. J'avais des courbatures partout mais cela n'était rien comparé à Dwight. Je m'inquiétais pour lui. Le savoir dans cet état me faisait mal au cœur – tiens, j'en avais un bizarrement – et je me demandais comment on pouvait se battre avec autant de hargne. Surtout qu'il n'était pas particulièrement musclé comme garçon. Je devais être masochiste ou totalement tarée – c'est pas un scoop – mais le voir se battre m'avait donné envie de lui. De lui sauter dessus et le violer sur place. Mais bon l'occasion ne s'y prêtait pas vraiment. Je posai une main sur sa cuisse et l'autre sur le cuir avant d'indiquer mon adresse au chauffeur. D'ailleurs, ça me fit penser que le gamin – qui était plus vieux que moi mais l'ignorai – n'était jamais venu dans mon antre. L'antre du démon. L'enfer. Je me sentis un peu fiévreuse et n'arrivai presque plus à respirer. Donc heureusement que la salle n'était pas si loin de chez moi parce que sinon j'aurai fini par vomir. Pour une cambrioleuse qui avait été attaché à une chaise pendant des jours par son propre père et habituer aux pires méthodes de tortures, je trouvai ça pitoyable.

Quand le taxi s'arrêta devant l'immeuble, je poussais un soupir de soulagement avant de régler la note. Puis, je pris la main de Dwight avant de le trainer dans l'entrée. J'étais couverte de sang mais le portier avait l'habitude et ne broncha pas quand il nous vit. Je lui versai assez d'argent pour qu'il se taise. Les mecs étaient si facilement achetables. Ça en devenait déconcertant. Je passais une main dans mes cheveux que je détachai d'un simple clic avant de secouer la tête pour libérer la crinière rousse. Je me sentais déjà mieux. Une fois dans l'ascenseur, j'entrepris d'ôter mes chaussures et rétrécis de cinq centimètres et demi. « Ouf! » Puis je me tournai vers Dwight pour caresser son visage l'obligeant à me regarder. Nos yeux restèrent en contact très longtemps. Pendant tout la montée. Et quand l'ascenseur s'immobilisa, je mis fin au contact visuel pour regarder s'il n'y avait personne. Puis, je fis signe à Dwight de venir. D'un pas rapide et avec de brefs coups d'œil au-dessus de mon épaule, j'introduisis la clé dans la serrure pour ouvrir la porte mais je me stoppai sur le perron avant de me retourner vers mon interlocuteur. « Ce que tu as vu ce soir... tu ne dois jamais le raconter à personne... Je dois rester une pétasse sans cœur et manipulatrice. Il en dépend de ma survie. Si tu le dis à quelqu'un... Je te tuerai. Je le ferai à contrecœur mais je te tuerai. » Puis, je lui libérai le passage pour entrer.

Après avoir claqué la porte, je passai au devant de lui pour voir que mon chat était posté sur le canapé et nous regardait bizarrement. Entrer dans l'appartement d'une cambrioleuse peut être quelque chose de nouveau pour ceux qui viennent du monde extérieur. On s'attendait à quelque chose d'impersonnel. De froid. Avec des meubles modernes mais au contraire. Le mien était avec des couleurs chaudes et des photos de ma famille trônaient sur le mur. Je ne faisais rien pour les cacher. Je ne voulais pas cacher qui j'étais. Sauf mon nom et mon âge n'étaient pas réels. Je n'étais qu'une illusion factice de ce que je voulais donner. L'invitant à s'assoir sur le canapé, je me penchai dans la malle juste devant lui pour choper un flingue. Un bon flingue. Puis, je l'armais avant de le poser sur la table. « Quand on est recherchés dans de multiples états, on doit s'attendre à tout. On en devient paranoïaque. Et si tu demandes si j'ai déjà tué quelqu'un. La réponse est oui. » Je lui répondis sans ciller avec le plus de sincérité possible avant de disparaître dans les bas fond de mon appartement. Une fois dans la salle de bains, je pris une bouteille d'eau oxygéné, des cotons et des pansements avant de retourner le voir. Je lui souris vaguement avant de m'assoir devant lui sur ma table basse et d'entreprendre de soigner sa blessure. « J'avais dix neuf ans – en vérité j'étais beaucoup plus jeune que ça – et le mec est arrivé pendant un braquage. J'ai paniqué et j'ai tiré. Mort sur le coup. » Je restai silencieuse avant de reprendre la parole tout en appliquant la solution piquante sur son front. « Tout chez moi n'est qu'illusion. Mon nom, même mon prénom est faux. Quand à mon âge... J'ai été obligé de l'augmenter un peu quand j'ai repris la suite de mon père. Être une gamine de quinze ans, c'est pas terrible. » Bien entendu, je n'avais jamais dit à Dwight à quel âge j'avais prétendu reprendre la suite de mon père. Sinon il saurait que j'étais étonnamment jeune. Je posai finalement le pansement sur le haut de son crâne avant de me relever et de le regarder. « Si tu connaissais mon âge véritable... Tu n'en reviendrais pas. En ce qui concernait mon nom, tu m'appelles comme ça tous les jours. Je ne suis pas un monstre. J'aime juste manipuler les gens pour éviter la souffrance. That's all! » Puis d'un mouvement, je m'écartai pour aller dans la cuisine et choper une bière et me versai un verre d'eau. Je lui tendis la bière et posai mon verre sur la table. « Tu m'excuseras mais je dois me mettre à l'aise. » Comme une pro, je retirai ma robe qui tomba à mes pieds et allais la poser sur la chaise délicatement avant de m'assoir à côté de lui et de sortir une cigarette de mon sac. J'avais suffisamment confiance en Dwight pour savoir qu'il était surement en train de baver. Mais bon c'est vrai qu'une nana en soutien gorge noire avec des bas s'était alléchant. Plus qu'une question de temps avant qu'il ne me saute dessus. Et je ne dirai pas non. Je fis tomber la cendre doucement dans le cendrier avant de me pencher et de capturer ses lèvres. Pour une fois que je me sentais bien avec quelqu'un. C'était plutôt rare. Et merde!
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Lun 4 Avr - 23:40

C’était la première fois que j’allais voir la demeure de Joe. Je pouvais déjà m’imaginer quelque chose de froid et pas beaucoup de décoration. Normalement, nous décorons l’intérieur de notre maison avec ce que nous ressentons ou des couleurs qui nous inspire. Au départ, j’aurais trouvé que le noir et gris aurait marché comme couleur. Après ce soir, j’avais eu l’occasion de connaitre une toute autre femme et totalement différente de l’image qu’elle donnait d’elle. Je devais être l’un des seuls chanceux qui avait vraiment vu la vrai Jordane caché derrière un immense mur de brique. Je ne sais pas vraiment par quel miracle je m’y étais pris pour venir détruire les barrières autour d’elle, mais j’y étais parvenu. J’aurais préféré ne pas devoir lui démontrer que je tenais à elle en la sauvant des griffes de plusieurs agresseurs , mais elle avait été chanceuse que je ne sois pas resté indifférent à notre dispute. J’avais bien des défauts et j’en étais conscient, mais me faire sortir tout ce qu’elle avait sur le cœur d’un coup ca je ne méritais pas ca. Surtout que je n’y étais pour rien dans l’histoire de drogue. J’étais tout simplement là pour avoir du plaisir et performer devant une foule en délire.

Au final, je suis bien content que la soirée se termine ainsi car je pouvais passer plus de temps avec Joe et la redécouvrir car qui sait ce qu’elle cache encore à l’intérieur. Ce n’est pas facile de vivre une vie comme la sienne, mais je n’étais pas vraiment en mesure de savoir l’ampleur de son fardeau. J’étais tout de même impatient de rentrer dans l’antre de la cambrioleuse. Il y avait surement des indices sur sa vie à l’intérieur. Mon mal de tête me tira de mes pensés et lorsque je regardai à l’extérieur le chauffer stoppa devant un immeuble. J’étais dans une sorte de transe entre la semi-conscience et l’inconscience. Joe refila de l’argent au chauffeur et me pris par la main pour me trainé dans l’entrée. Nous étions tous les deux couverts de sang et le portier ne broncha même pas. Il n’était pas normal ce mec. Un être normal aurait été alerté en nous voyant arriver ainsi devant l’entrée d’un immeuble. Joe lui refila de l’argent et je continuai à fixé le portier alors qu’elle me tirait vers l’intérieur. Elle passa son autre main dans ses cheveux pour venir les libérer.

Je ne sais pas par qu’elle magie je tenais encore debout. J’avais les paupières qui se fermaient à mesure que le temps avançait. Une fois à l’intérieur de l’ascenseur, je fermai les yeux. J’allais sombrer dans l’inconscience lorsque je sentis la main de Joe sur ma joue ce qui me ramena à la réalité. Merde mec ! Reprends-toi en main. Pendant toute la montée, je soutins son regard. Je me sentais bien avec elle et je ne voulais pas que cette nuit se termine car je ne savais pas si je pourrais revivre une soirée comme celle-ci avec. Je la suivi jusqu’à sa porte et elle l’ouvrit avant de se retourner vers moi. « Ce que tu as vu ce soir... tu ne dois jamais le raconter à personne... Je dois rester une pétasse sans cœur et manipulatrice. Il en dépend de ma survie. Si tu le dis à quelqu'un... Je te tuerai. Je le ferai à contrecœur mais je te tuerai. » Je n’avais aucune intention de détruire sa réputation. Elle avait décidé de mener cette vie alors certaines choses devaient rester intact sinon ca viendrait tout bousiller. « Je te le promets… ca restera entre nous deux, articulai-je avec difficulté. » Je me sentais complètement pathétique dans l’état que j’étais. Je me donnerais bien un coup sur la tête pour me réveiller, mais ca ne viendrait qu’empirer les choses.

Comme j’avais deviné, il n’y avait rien de froid dans son appartement. C’était l’opposé de froid et je me sentais un peu pauvres avec mes couleurs. J’avais décoré le-mien en noir et blanc, après c’est moi qui avais eu des préjugés sur la cambrioleuse. Ce n’était pas parce qu’elle montrait qu’elle avait un cœur de pierre que nécessairement son appartement serait peint complètement en noir avec un simple lit comme meuble. On ne vivait pas tout ce qu’on voyait dans les films d’Hollywood non plus. Je n’aurais jamais cru que Joe aurait un animal de compagnie. Ca demande beaucoup d’entretien et ce n’est pas tout le monde qui à la patience d’en avoir. Je ne pus m’empêcher de regarder les photos de familles. Elle ne m’en avait pas parlé et je ne savais même pas si elle avait de la famille. Joe m’invita à prendre place sur le canapé. J’avais les jambes en compote et le fait de me retrouver assis me permis de me détendre un peu. J’avais encore de l’adrénaline qui pompait à chaque battement de cœur. Ce n’est pas tous les jours que je me bats et j’essaie d’éviter ca à tout prix. Ce n’est pas quelque chose de nécessaire dans mon livre à moi pour prouver que je suis plus virile qu’un autre. Je sais qu’avec ma face d’enfant ca n’aide pas à me prendre au sérieux, mais je peux être un adversaire de taille. Une fois que quelqu’un m’a cherché je ne m’avouerai jamais vaincu à moi que je meurs. Je refuse de perdre en quelque sorte…

Elle se pencha pour récupérer un objet dans sa malle et en ressorti un flingue. Oh putain ! Elle devait être en train de faire une blague. J’avais horreur des armes à feu et dans mon livre à moi si tu trimbale un flingue, il ne faut pas avoir peur d’enlever la vie de quelqu’un si on l’utilise. Joe le chargea et le posa sur la table. « Quand on est recherchés dans de multiples états, on doit s'attendre à tout. On en devient paranoïaque. Et si tu demandes si j'ai déjà tué quelqu'un. La réponse est oui. » C’était comme si elle avait lu dans mes pensés. Je ne tenais pas vraiment à savoir si c’était déjà arriver, mais avec elle je m’étais habituer à l’extraordinaire.

Tu veux entendre des tranches de vies intéressantes et avec de l’action? Joe en avait surement plein à conter. Elle disparu pour revenir avec une trousse de premiers soins. Je me sentais encore comme un gamin, mais j’aimais bien l’attention qu’elle me donnait. Je sentais pour une fois qu’elle ne se foutait pas complètement de moi. « J'avais dix neuf ans et le mec est arrivé pendant un braquage. J'ai paniqué et j'ai tiré. Mort sur le coup. » Tué à un si jeune âge n’était pas ce qu’on pouvait espérer lorsqu’on était adolescent. On ne choisi pas dans qu’elle famille on vient au monde et dans son cas ce n’était certainement pas ce qu’elle se voyait dans sa vie future. Elle appliqua du peroxyde sur mon front et ca vint pétiller un peu, mais rien à comparer à ce que j’avais enduré auparavant. « Tout chez moi n'est qu'illusion. Mon nom, même mon prénom est faux. Quand à mon âge... J'ai été obligé de l'augmenter un peu quand j'ai repris la suite de mon père. Être une gamine de quinze ans, c'est pas terrible. » Elle a été obligé d’augmenter son âge ? Ca veut dire que tout ce temps ce n’était qu’un mensonge et qu’elle me traitait de gamin alors qu’en réalité c’est peut-être le contraire. Je n’étais aucunement fâché de savoir qu’elle avait menti sur son âge. Elle paraissait plus jeune qu’elle en avait l’aire aussi. « Si tu connaissais mon âge véritable... Tu n'en reviendrais pas. En ce qui concernait mon nom, tu m'appelles comme ça tous les jours. Je ne suis pas un monstre. J'aime juste manipuler les gens pour éviter la souffrance. That's all! » Est-ce qu’elle était vraiment plus jeune qu’elle faisait croire tout le monde? Ca n’avait aucune importance à mes yeux. Je suis tombé pour la Joe que je connais et même si elle avait menti sur certains points ca ne faisait pas d’elle un monstre. « Je n’ai jamais dit que tu es un monstre Joe … Je sais que tu as sacrifié beaucoup de choses et que ta vie n’a pas été que du bonheur. C’est pourquoi, je comprends que tu as eu besoin de fausser un peu ton identité pour le métier… »

Elle s’écarta et s’éloigna vers la cuisine. Joe revient avec une bière et un verre d’eau. J’acceptai la bière en la remerciant d’un geste de la tête. La rousse déposa son verre sur la table. « Tu m'excuseras mais je dois me mettre à l'aise. » Elle enleva sa robe dans le temps de le dire et alla la mettre sur le dossier d’une chaise. Je n’aurais jamais cru qu’elle se déshabillerait ainsi lorsqu’elle avait dit qu’elle devait se mettre à l’aise. Je me rinçai donc l’œil et profita de la superbe vue. Une femme en soutien gorge noir avec des bas c’était comme un repas servi sur un plateau d’or. Tu ne refuse pas une chose pareille. Tout la fatigue que j’avais éprouvé tout à l’heure se dissipa complètement. Elle vint s’asseoir à coté de moi et ne tarda pas à venir capturer mes lèvres avec un baiser. Elle demandait vraiment à ce que je la prenne ici et maintenant dans son appartement, mais je voulais faire durer le suspense encore un peu. Il lui restait peu de morceaux ce qui me donnait un avantage déjà. Tandis que j’étais encore habillé. Je l’embrassai avec plus de vigueur tout en caressant sa peau de satin. Je vins la soulever pour venir la déposer sur moi. Je vins caresser sa face pour ensuite descendre tranquillement le long de son dos. Je pouvais sentir les frissons procurer par mes caresses sensuelles. J’étais vraiment aux anges et la soirée ne pouvait que se terminer en beauté.
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Mar 5 Avr - 4:25

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Je me sentais bien avec Dwight. C'était bizarre quand on savait que je ne l'appréciais pas tant que ça en début de soirée. En quelques heures, ma vision des choses, ma vision de lui-même avait changé. Je ne le voyais que comme un gosse, un gamin paumé des rues mais le voir se battre, se battre pour moi. Sa façon et sa manière de me parler, même de me toucher... Tout me plaisait chez lui. Nous avions fait un deal. Essayer de faire tomber l'autre amoureux de soi. Je n'étais pas capable d'éprouver des sentiments et je ne pouvais pas être avec lui, même si je le voulais. J'en étais incapable. Le mettre en danger, me mettre en danger. Enfin vu ce que j'avais observé ce soir, il était parfaitement capable de se défendre tandis que moi, j'avais passé pour la pire des cruches. Une nana incapable de se défendre, d'arriver à poutrer deux gars complètement défoncés. Mais j'étais mal tombée. Je me suis blessée et ça ne m'arrivait que rarement. Il faut dire que la dispute avec Dwight, la trouvaille de la drogue m'avait chamboulée. Pourtant, je ne pouvais pas parler de mœurs étant donnée que je devais être une des personnes les plus malhonnêtes au monde. Je volais pour gagner ma vie. Je ne me mettais jamais à nue. Il ne fallait pas dans mon métier. C'était interdit! On devait sans cesse s'inventer un personnage. Un jour, j'étais une jeune fille prude qui cherchait son chemin, abordée par un homme malveillant qui voulait sa virginité. Il m'introduisait dans son antre et je le dépouillai de sa crédibilité. Le cygne blanc. Le soir, j'étais une connasse, une chienne en chaleur qui était prête à se taper tout et n'importe quoi, attirant les mecs mariés et frustrés, leur volant leur âme. Le cygne noir.

Je ne sus pas dire combien de temps dura ce baiser mais il me fit du bien. Je sentis ses mains parcourir mon corps et je frémis. Mon corps répondait à ses caresses sans que je le veuille vraiment. Une aura de sexe et de désir se mit à raisonner dans mon appartement et je commençai à me sentir fiévreuse. Puis, sa poigne se raffermit sur mes hanches et il me souleva pour me mettre à califourchon sur lui. Je mis fin au baiser, haletante, gardant mon regard hypnotisé par le sien. On avait couché de nombreuses fois ensembles. Beaucoup trop. Mais jamais comme ça. Jamais avec autant de hargne et de passion. Le sexe entre nous était mécanique. Certes, je savais qu'il me désirait , je l'avais senti. Mais moi, c'était uniquement que du sexe. Hors là c'était vraiment différent. Enfin pour moi. Cette soirée avait changé la perspective que j'avais de lui. Je me mordillais la lèvre pendant qu'il parcourait le long de mon échine. J'en eus la chair de poule. Mon souffle se fit plus rauque et je me mis à caresser son visage enfantin avant de me pencher à nouveau vers lui pour l'embrasser sauvagement. Un baiser torride. Nos langues entamèrent une danse endiablée digne des plus grands ballets et je me rapprochai un peu plus de lui, collant mon torse contre le sien. J'emmêlai mes doigts dans sa chevelure avant de me relever, à bout de souffle.

J'aimais ses cheveux, même s'il faisait un peu emo à la Jena Lee. Cependant quand j'y repensais, je n'avais aucun style de mecs bien prédéfinis. Charles était la virilité incarnée tandis que Dwight était un emo. Un gamin en quelque sorte. Je continuai de caresser ses cheveux et ma main descendit lentement le long de son visage pendant que ma bouche parcourait son cou, le parsemant de micro-morsures. Puis, elle redescendit lentement le long de son torse, mettant un temps infini avant d'arriver à sa jumelle. Toujours en douceur – le calme avant la tempête – je les glissai sous son tee-shirt en attrapant l'extrémité d'une part et d'autre. Je relevai la tête avec un petit sourire avant de lui retirer le haut. Mes jambes se nouèrent autour de son dos. Pendant que je le choppai à la nuque, l'approchant férocement de moi, échangeant un regard d'un désir ardent. Je me trouvai complètement à sa merci mais je savais qu'il ne tarderait pas à réagir. Comment ? Je l'ignorai.

Prenant tout mon temps, je me relevai l'obligeant à me faire face de toute sa hauteur pour le chopper par la taille. Il me surplombait d'une bonne tête. Je restai scotchée. Il avait des yeux magnifiques. Bleu électrique. Je cessai de respirer un moment, me sentant démunie. « Je viens de le remarquer. Mais tu as des yeux magnifiques. » Ma voix s'était faite plus rauque, plus tremblante. Je me collai à lui posant ma tête contre son torse. Un geste tendre qui m'étonnait moi même. Je n'étais pas du genre à m'attarder. On baisait et il se barrait ou je me barrais mais là, comme signaler plus haut, cette soirée était bien différente. Je le sentais et je sentais également que lui aussi. Comme ci un lien s'était tissé entre nous durant la soirée. Que cette bagarre nous avait rapproché. Je trouvais ça bizarre. Je veux dire pour un mec qui voulait me baiser vite fait dans les coulisses, le voilà qui voulait prendre son temps avec moi, comme pour savourer le moment. J'inspirai un bon coup, savourant le moment quand je me ressaisis. Je repris brusquement connaissance, un sourire victorieux sur mes lèvres.

D'un geste brusque auquel il ne devait pas s'attendre, je le collais contre le mur donnant un baiser des plus fougueux. Ma main perdit de l'altitude pour aller se poser sur sa virilité. Je voulais certes prendre mon temps mais ce genre de choses c'est comme les plantes, si on ne s'en occupe pas, ça fane. Et je voulais pas que la tension s'estompe. J'adorai ce genre d'ambiance. Le genre que pour passer au travers, il faudrait une sacré dose de retenue. Hors, je n'en avais pas. Je pouvais sortir tous ses phéromones sortir de son corps pour entrer dans le mien, mettant mes hormones en éveil. Je me mis à jouer avec l'élastique de son boxer continuant de le fixer du regard, vibrant toujours autant, me mordillant la lèvre. Sauf que le faire devant le chat me bloquait un peu. Je me défis de mes escarpins – oui oui, je les avais encore – pour rétrécir un peu plus et me sentir chétive face à lui. Il avait des bras impressionnants. Surement due à la pratique de la basse. J'avais le souffle coupé. Complètement. Perdant peu à peu pieds pour me fondre dans un feu de désir que s'il n'y mettait pas fin bientôt, j'allais être complètement immoler. Me sacrifiant complètement. Je mis sur la pointe des pieds, le mordillant légèrement dans le cou pour lâcher la phrase. « Ma chambre est au fond du couloir. A moins que tu ne veuilles un spectateur. » Le feu vert était donné, reste à savoir combien de temps monsieur Underwood mettrait à passer la seconde ? Pour ma part, j'avais retiré le frein à main, prête à me laisser conduire à sa guise.
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Sam 9 Avr - 0:44

Toute ma vision de la rousse avait changé durant la soirée. Au début, j’avais agis comme si elle n’était qu’un simple objet sexuel qui me permettrait de satisfaire mes pulsions. Désormais, je crois que je ressentais vraiment quelque chose pour la cambrioleuse au fond. J’étais un peu effrayé par l’idée de tomber amoureux d’elle, mais je ne rejetais pourtant pas ce sentiment qui avait vu le jour ce soir. Au contraire, j’étais en train de laisser tout mes actions découlé de cette nouvelle sensation. Je me sentais différent comme si je réalisais finalement que l’amour n’était peut-être pas quelque chose de si désagréable. Je ne pouvais pas savoir si pour Joe c’était la même chose, mais de mon coté ma perception d’elle avait changé. Je voulais savourer chaque moment en sa présence au lieu que de baiser et partir après comme si rien ne s’était passé. Tout ce qu’elle avait dit à propos de moi était vrai et je ne sais pas pourquoi c’est venu me blesser. Normalement, je reste indifférent à ce que les gens peuvent penser de moi. J’avais réagi d’une toute autre façon avec Joe. J’avais couru après pour pouvoir m’expliquer et c’est alors que je l’avais trouvé et on connait la suite. Elle avait réussi à percer mon cœur de pierre où les autres avaient échoués dans le passé. Je sais très bien que je ne suis pas un ange, mais qui n’a pas de défaut. Je n’ai pas demandé d’être comme je l’étais. Certains facteurs dans ma vie avaient influencé mon évolution au fil des années. Je le saurai jamais ce qu’aurais été ma vie si j’aurais connu l’amour de mes parents comme tout enfant normal. Il faut passer à d’autre chose et c’est ce que je faisais en savourant chaque instant de ce qui se mijotait entre moi et celle qui avait su redonner la vie à mon cœur que je croyais éteint.

Joe n’était pas insensible aux caresses que je lui faisais. Son souffle se faisait plus rauque et elle vint glisser sa main le long de mon visage avant de se rapprocher de moi et m’embrasser sauvagement. Je pouvais sentir mon cœur qui battait la chamade et je ne pouvais plus me contrôler. Cette femme me faisait perdre tout mes moyens. Nos langues vinrent se caresser durant ce baiser et elle se rapprocha encore plus de moi pour venir se coller contre moi. Elle passa sa main dans mes cheveux avant de mettre fin au baiser. Je profitai de se moment pour reprendre mon souffle. Elle descendit tranquillement sa main le long de mon visage tout en parsemant mon cou de morsures. Elle poursuivit sa descente le long de mon torse et venir glisser ses mains sous mon t-shirt pour venir me le retirer. Elle vint me chopper à la nuque avec plus de forces. Jordane m’attira vers elle tout en me regardant avec un des yeux qui me désirait. Je n’allais pas me laisser mordre ainsi sans pouvoir répliquer et comme elle me laissait cette chance je n’allais certainement pas rater ma chance. Je vins passer une main dans ses cheveux pour ainsi découvrir son visage d’ange et je m’approchai d’elle. Je glissai mes lèvres le long de son cou choisissant l’endroit idéal. Je vins alors mordre dans son cou sans toutefois lui faire de mal. Je replongeai mon regard dans le sien avant de venir capturer ses lèvres avec plus de vigueur qu’avant.

Prenant son temps, elle se releva m'obligeant à lui faire face de toute ma hauteur pour ensuite me chopper par la taille. Elle resta absorbée par mes yeux qui étaient perdu dans les siens. « Je viens de le remarquer. Mais tu as des yeux magnifiques. » Sa voix s'était faite plus rauque, plus tremblante. J’aurais bien voulu répondre quelque chose, mais ca m’aurait trahi. En guise de remerciement, je lui souri. Elle se colla à moi posant ma tête contre mon torse. Je passai mes bras autour d’elle et caressa son dos avec douceur pour la faire frissonner. Immergeant d’un rêve, Joe me fit un sourire que je ne pouvais déchiffrer. Je compris rapidement qu’elle était sérieuse. D'un geste brusque, elle me colla contre le mur et me donna un baiser des plus enflammé. Sa main vint se poser sur ma virilité. Elle se défit de ses escarpins pour rétrécir un peu plus. Elle se mit sur la pointe des pieds, me mordillant légèrement dans le cou pour lâcher la phrase. « Ma chambre est au fond du couloir. A moins que tu ne veuilles un spectateur. » Elle venait de me donner le feu vert alors je n’allais certainement pas la faire attendre. Je la soulevai pour l’amener dans sa chambre. Je voulais savourer chaque moment, mais je n’en pouvais plus. J’avais envie de Joe et toute cette flamme qui brulait entre nous depuis notre arrivé dans l’appart devait être atténué avant d’exploser. Je la déposai sur le lit et vint caresser à nouveau chaque parcelle de son corps. Je pris mon temps à enlever ses sous-vêtements. C’était comme si je découvrais Joe à nouveau. Je ne pouvais m’empêcher d’apercevoir à quelle point elle était belle. Je vins caresser ses seins avant de venir les prendre en bouche. Mes mains continuaient leurs caresses le long de son corps alors que je descendais le long de son ventre pour en arriver à son intimité. Je vins le prendre en bouche en utilisant ma langue autour de son point sensible. Je pouvais sentir mon membre se gonfler et pour ne pas perdre de temps je vins me défaire de mon jeans et mon boxer en même temps. Je n’oubliais jamais de mettre un préservatif car je ne voulais pas me ramasser avec un enfant. Je m’occupai donc de mettre un préservatif sur mon membre en érection avant de l’introduire à l’intérieur de Joe.

Une fois à l’intérieur, je poussai un soupir de soulagement, la pression venait de tomber. Lentement, j’entamai des mouvements de vas et viens en elle tout en l’embrassant. Après quelques temps, mes coups de reins ce firent plus violents et plus profond. C’était l’extase totale de sentir l’entre-jambe humide de ma partenaire contre mon sexe bien durci. Il n’y avait pas meilleur position que celle de l’empereur J’avais toujours aimé cette position. Faire face à sa partenaire, la voir éprouver du plaisir ne faisait qu’accentuer mes propres envies. C’est toujours bien de mettre un peu de piquant alors je reculai et invita Joe à se relever. Je la soulevai et vint la plaquer contre le mur. Je vins me réintroduire en elle en continuant mes coups de bassins à différentes vitesses pour contrôler mon plaisir. Je ne voulais quand même pas que ca se termine trop rapidement. Je vins l’embrasser avant de venir mordre son cou à nouveau. De partager un tel moment avec Joe s’était ma définition d’une soirée parfaite. Je me considérais vraiment un homme chanceux d’être tomber sur une fille comme Joe. Elle était unique et mes sentiments pour elle ne faisaient qu’accroître. Je crois que je suis en train de tomber en amour avec la cambrioleuse… mais est-ce que je suis prêt à l’accepter ?
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Sam 9 Avr - 2:18

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Dwight & Jordane | Keep your hopes up high and your heads down low! PART II [HOT] Img2454wh


« Comment passer d'un plan cul à futur petit copain potentiel. Premièrement, prenez une fille manipulatrice, chiante et contre la drogue, mettez la en situation dans une soirée pourrie où des musicos sans talent droguent des filles pour pouvoir mieux les baiser. Amenez un jeune garçon sexy, et complètement à côté de la masse. Ajoutez une engueulade, un vol de drogues et une bonne bagarre et vous finirez par avoir une nuit torride en compagnie de nos deux protagonistes. A consommer sans modération. »

Je me perdais toujours dans son regard, comme une fille ne sachant pas nager au fin fond de l'océan. Je me laissais couler, me laissant submerger par l'eau quitte à mourir noyée. Je n'avais pas honte de ses caresses, elle représentait bien plus que du sexe pour moi. Toujours plus, toujours obtenir plus. Je laissais donc ma tête lever vers lui et quand il vint poser ses mains sur mon fessier pour me soulever. Je me sentis comme une petite chose. J'enroulai mes jambes autour de sa taille et mes mains firent pareilles autour de son cou. Je vins approcher de nouveau mon visage du sien pour le suspendre tellement proche que je sentais son souffle venir se mélanger au mien. Je fermais les yeux et l'embrassai à nouveau pendant qu'il faisait le trajet du salon à ma chambre. Je lui mordillai la lèvre inférieure. Puis, je fus propulser sur le lit comme une poupée de chiffon, complètement désarticulée. Je papillonnai un moment des yeux pour retirer mes lunettes et me laisser guider par mon sens du toucher.

Je fermai les yeux puisque la vue ne me servait plus à rien désormais et me laissais guider comme une aveugle. J'accueillis ses caresses, ses baisers comme si mon corps et le sien étaient conçus pour être l'un avec l'autre. Je posai une main sur son épaule, l'autre devant pour m'emparer de son pantalon. Pendant que ses mains s'affairaient autour de mes sous-vêtements, je me relevai doucement échangeant un baiser torride avec lui. Ma main réussit à faire sauter le bouton et j'entrepris de la glisser dans son boxer pour empoigner son membre en érection. Cela faisait tellement longtemps que je n'avais pas couché avec Dwight, que j'en avais même oublié jusqu'à la taille. Je hoquetais de stupeur de voir un aussi petit gars avec une virilité aussi prononcée. Je le laissai défaire mon soutien gorge et rejetai la tête en arrière quand il entreprit de baiser chaque parcelle de ma peau qui n'avait pas encore été touché de la soirée. Quand il prit un de mes seins en bouche, jouant avec le bourgeon, j'émis un petit gémissement de plaisir. Je hoquetais un instant. J'avais été abstinente depuis trop longtemps. Mon dernier amant, c'était lui. J'inspirai un bon coup, soufflant à intervalles régulières pour m'empêcher de grimper trop vite aux rideaux. Alors, il se baissa, m'obligeant à ôter ma main, presque à contrecœur.

Quand, je sentis ses mains dévaler lentement le long de mes hanches pour agripper le dernier morceau de tissus restant, je fermai les yeux, me mordillant la lèvre quand je sentis sa langue sur mon sexe. J'allais bientôt jouir s'il ne s'arrêtait pas. Je devais me retenir bon sang! Penses à quelque chose de pas excitant bordel. Une de ses mains vint se poser sur mon ventre qui remontait régulièrement pendant que j'agrippai les draps comme pour me retenir. Je sentis même l'étoffe se déchirer sous ma poigne mais je m'en contrefichai. Pour le moment, j'étais bien au-dessus de la couche d'ozone. Je sentis sa poigne se raffermir et je parvins à articuler péniblement. « Dwight... je vais... » Je n'eus pas le temps de finir ma phrase que mon amant se retira brusquement. Au loin, j'entendis un bruit de déchirement. Forcément, le préservatif. Je n'étais pas comme toutes ses poules pondeuses. Pressée d'être mère.

Puis, je le sentis, sans le voir, revenir sur moi. Je pouvais ressentir la chaleur qui émanait de son corps. Je l'aidais quelque peu à trouver son chemin et me crispai un peu quand il s'introduisit en moi. J'étais prête, assez humide pour l'accueillir. J'enroulai donc mes jambes autour de ses hanches pour l'encourager dans ses va et vient. D'abord, lents et maitrisés, je l'encourageai dans sa manœuvre en poussant de petits gémissements pour planter mes serres dans son dos. Je relevai doucement la nuque pour l'embrasser. Puis, il accéléra la cadence et je me surpris même à hurler son nom dans un élan passionné. Comme un appel au sexe, à l'orgasme et à ce qu'il continue. Je ne voulais pas qu'il s'arrête. Une main dans son dos, l'autre sur la couette, j'agrandis le trou que j'avais fait auparavant.

Puis, Dwight ralentit, se retirant complètement de moi. Oh non! Pas déjà! Puis, je fus soulevée du lit pour me retrouver plaquer contre le mur, violemment, sauvagement. Une copulation des plus frénétiques. Je vins me nicher complètement, remettant mes jambes autour de sa taille et il me pénétra à nouveau avec plus de force, plus de hargne. Je lâchai un cri, un son émanant du plus profond de mes entrailles pour me laisser guider. Nos corps se mirent à bouger en osmose et je dus jouir quelques secondes avant lui. Alors, je me fis haletante, trempée de sueurs pour me laisser choir dans ses bras. J'étais complètement épuisée et quand il se retira de moi, j'eus un petit cri de douleur. Comme pour sceller ce moment parfait, je lui donnai un baiser avant de me remettre sur pieds. Puis, je me laissai tomber mollement sur le lit. J'avais chaud. Terriblement chaud. Et j'avais soif aussi.

Je choppai donc un maillot qui trainait par là et l'enfilai pour le regarder à nouveau. J'avais repris mon souffle. Je me sentais mieux. « Est-ce que tu veux rester cette nuit ? J'aimerai vraiment... que tu passes la nuit ici. » J'aurai pu servir l'argument de 'j'ai peur de faire des cauchemars' mais non. Pas après ce que nous venons de vivre. Une telle alchimie sexuelle était rare dans un couple. Alors si en plus nous n'en étions pas un, je pense que là, c'était en voie d'extinction. Je me remis sur pieds vite et traversai l'appartement vêtue d'un tee-shirt vachement trop grand pour aller dans la cuisine. D'ailleurs à qui était cet habit ? Surement à lui parce que je n'avais pas eu d'amants depuis bien longtemps. Je me versai un verre d'eau pour lui en faire un lui aussi et lui ramener. Ensuite, je pris une cigarette, partis ouvrir la baie vitrée et m'éloignai sur le balcon fumer ma clope. Le vent vint adoucir ma peau brulante et une fois rafraichie, je retournai à l'intérieur prendre ma place habituelle dans le lit. Étais-je réellement en train de tomber amoureuse de Dwight ? Lui proposer de rester dormir n'était-ce pas une énorme erreur de ma part ? Ou faisais-je la plus grosse connerie de ma vie ? Je ne pouvais le dire. Je me contentai de le regarder. Puis, je tapotai l'oreiller à côté de moi pour lui faire signe de venir. Je posai ma tête sur son torse, caressant ses abdominaux pour plonger dans le sommeil relativement vite. Demain était un autre jour. Hier, je ne t'aimais pas. Aujourd'hui, je commence à t'aimer et demain, je t'aimerai... VDM ?
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Anonymous
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Sam 9 Avr - 3:13

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