HISTOIRE !

Le 25 décembre est bien annoncer. Depuis quelque minute chaque gens se souhaite joyeux Noël avec des baisers sur les joues après que l'horloge est indiquer minuit tapant. Chez les Blueberry en plein cœur de Londres . Cinq petits garçons bien habiller et coiffer sont installer autours de la table avec un grand sourire et ne tienne pas en place plus de deux secondes en espérant pouvoir déballer leurs cadeaux le plus vite possible. Olivia dépose la dernière assiette sur la table et accroche ses doigts plus difficilement sur le rebord de la table. Dépose une main dans son dos et respire doucement. Enceinte de son sixième enfant celui ne semblait pas tarder d'une minute à l'autre. «Tu as bien choisis ton temps pour arriver toi..». Ses prunelles se posent sur son marie qui semble avoir deviner ce qui se passe . La jeune femme acquiesça de simple hochement de tête.

Les cents pas se faisait dans le grand couloir de l'hôpital. En attente d'une grande réponse primordial. Complication ne faisait que augmenter son inquiétude. La porte battu de nouveau. L'homme se présenta devant elle et se rassoya en voyant que ce n'était pas le médecin. C'est quelque heure plus tard qu'on lui dit une mauvaise nouvelle. Olivia n'avait pas survécu en essayant de mettre l'enfant au monde. Une petite pouponne de à peine 5 livres dans un linge blanc. Peau de porcelaine pareille comme sa mère on aurait dit une poupée. Lorsque on lui remit l'enfant dans ses bras il ne l'avait pas regarder comme un père regarde sa progéniture. La seule chose qu'il partagea avec elle c'est de lui avoir donner son nom.

En petite boule recroqueviller sur elle même dans un petit coin sombre de sa pièce. La jeune poupée de douze ans essayait de cicatriser lentement ses blessures. Son visage en pleure en plein sanglot exprimait la grande douleur. Des cernes et des marques sur son visage le rendait presque horrible. Des bleus sur ses genoux . Elle pouvait sentir une goutte de sang percer la barrière de ses lèvres. Le liquide chaud glissa à l'intérieur de sa gorge et ses paupières se fermèrent en attrapant ses mèches en les tirant avec peur de sur sa tête. Rien de plus épeurant rien de pire lorsque que votre propre père vous prends dans ses bras en ne disant de ne pas s'en faire. Que même si vous avez envie de crier vous ne pouvez pas , car personne n'endenterait vos lamentations votre appelle à l'aide. Qu'il va plus loin par la suite qu'une simple accolade paternel. Reese n'avait pas comprit ce geste et cela l'avait inquiéter au plus profond. Il ne la touchait que pour lui en retirer quelque cicatrices sur ses jambes ou sur ses bras habituellement. En l'espace de quelque minute Reese à fermer les yeux et à ravaler ses larmes et sa peur. Elle est rester neutre , mais a gorge brûlait de hurler à s'en déchirer les poumons. Il l'avait dépuceler sans le moindre remords. La jeune adolescente était terrorisée . La porte de sa chambre s'ouvrit et par moyen d'auto défense elle se replia encore plus contre elle même. «C'est pas vrais..». La voix de son frère aînée retentit dans ses oreilles le plus grand soulagement le plus jamais entendu. Il prit doucement la blonde dans ses bras et la serra fort contre son coeur caressant ses mèches blondes. «Ça va aller ma belle t'en fait pas..». Ses pupilles sans éclat le regardèrent et elle se blottit tout contre lui. «Neil emmène moi là d'ici..». Il hocha la tête et quelque jour plus tard les deux jeunes gens s'envolaient pour les États-Unies en direction de chez leur tante.

Ses doigts couraient sur les touches du piano laissant sortir un douce musique plutôt triste d'un grand chagrin qui sommeillait dans son coeur qui se transformait peu à peu en de la pierre . Elle refoulait les larmes qui lui montaient au yeux lui provoquant la pire douleur à la gorge et un nœud dans son ventre. Un monstre un fantôme c'est sans doute ça qu'elle ressemblait maintenant. Reese ne disait plus un mot ne laissais même plus un seul sourire fleurir sur le coin de ses lèvres. Ses prunelles cristaliennes avaient perdu leur magie qui les faisait briller son visage avait perdu des couleurs. Ses mains agrippèrent ses mèches de couleur blé en secouant de tout sens. Ses poings rencontrèrent les touches avec violence et puis la jeune enfant brisé éclata en de profond sanglot .Une main attrappa son épaule et elle sursauta se retournant subitement.. «Reese..du calme c'est que moi. Oh ma belle ce que je déteste te voir dans cet état». Sa tante attrapa Reese et la serra dans ses bras essayant de la réconforter , mais cette dernière la repoussa d'un coup sec. « Reese bon sang ! Tout ce que je veux c'est te réconforter je sais que ce n'est pas facile ce que tu vis laisse moi au moins te serrer dans mes bras» .«Non tu ne sais pas justement ce que je vis alors laisse moi tranquille c'est pas toi que j'ai envie qui me serre dans ses bras c'est ma mère je veux pas toi encore moins Charlotte et Zoey» . Les paroles sortirent si rapidement et étouffé par les nombreuses larmes qu'elles en étaient presque incompréhensible , mais on ressentait de la façon qu'elle les avait prononcer. Tant de haine dans sa douce voix et des remords. Julia n'osa pas la toucher une nouvelle fois et se pinça la lèvre en regardant la jeune blonde qui étouffait ses sanglots entre ses mains frêles. Elle vint s'agenouiller en face de sa nièce. « Je sais que c'est dur , mais un jour tu devra accepter le passé qu'on ne peut pas reculer vers l'arrière . Tu dois passer par dessus tout ça ma chérie.. ». Elle lui dit tout ça en une douceur impeccable en jouant avec une mèches de ses cheveux essuyant aussi son visage de porcelaine d'un revers de main. Reese n'en fut pas tout aussi d'accord elle se releva sur ses pieds en hurlant presque. Non ! Non ! Je ne l'accepterai jamais. Jamais tu m'entends !. Elle attrapa de nombreuses photo ainsi que des feuilles qu'elle jeta dans tout les sens. Fit tomber son tabouret et se jeta contre le sol. Pourquoi ? Pourquoi moi POURQUOI ?!. Sa tante bouche bée ne savait plus quoi faire elle ressortie de sa chambre laissant la jeune fille en larme tordu par le chagrin sur le sol.

Ce ne fut pas la première fois et ni la dernière que ce genre d'évennement se produit dans la demeure. Reese à peur et ne parle jamais.