Quel douce journée que celle-ci ; je me prélassais dans mon doux sofa récemment emporté d’Italie, le regard scrutant les horizons de la ville que m’offrais ma baie vitré, cocktail fraise, mangue, ananas en bouche et là alors je voyais tout ce genre d’avantage qu’avais une vie. Oui car pourtant, aux premiers abords ; la vie n’a rien d’un long fleuve tranquille, il s’agit constamment de problème, et l’on vient parfois à se dire que la mort est à côté, de tout repos. Pourtant, voilà que les sonneries de mon téléphone que je vins à ouïr m’extirpèrent de ma tranquillité convoité. Je me relevais précipitamment me hâtant vers le téléphone. Mon i phone me délivrais alors l’interlocuteur que j’aurais dans quelques instant, ou pas. Je levais les yeux au ciel lorsque je pu lire maman. « Qu’est ce qu’elle veux encore… » Je décrochais, soupirant avant de répondre « Oui maman ? » « Tu as étais acheter ta tenue pour ce soir ? » « Ce soir ?! » « La soirée de bien faisances ma chérie, ça fais une semaine que je t’en parle… » « Oui, en effet, je me demande comment j’ai pu oublier. Bon écoute maman, je n’ai pas le temps de trouver une tenue à temps alors c’est bon, tu diras que je suis malade. » « Tu rigoles j’espère ? Tu vas y aller, j’en ai assez que tu te prélasses. » « Ouais, ouais. » « Il y a intérêt que tu y sois, ou je te coupe les vivres. » « Tu me coupes les vivres non mais ça va.. –BIP BIP BIP- » je soupirais, raccrochant le téléphone. C’étais vraiment oser de me menacer de me couper les vivres pour une simple soirée de bien faisances, je faisais glisser mes yeux d’un Bou et l’autre de la pièce… réfléchissant à quel genre d’habits serait le mieux approprié à cette soirée et évidement puisque ma mère parlais de robe, je n’aurais aucun intérêt à y aller en jean et bustier… pourtant, c’est dans ce genre d’habit que je me sentais le plus à l’aise. J’ouvrais mon dressing, y dénichant une robe traduisant l’effet jupe haute et petit haut blanc simple, je filais sous la douche, me coiffer et me maquiller d’un léger trait d’eyes liner noir et enfilais. J’apprêtais à cette dernière, un petit sac noir satiné rectangulaires orné de diamant et de jolis escarpins noirs, un collier blanc en perle portais près du coup pour attirer les yeux sur mon décolleté. Une fois les préparatifs fini, je m’apercevais qu’il étais neuf heure moins le quart, il étais certain que je serais vraiment pille à l’heure ce qui ne me ressemblais en rien, tout comme cette soirée d’ailleurs alors je me disais qu’il n’étais pas plus mal d’approprié mon comportement en fonction des objectifs de mes journées ou de mes soirées, assez complexe je vous l’accord, car je ne suis en aucun cas du genre à me plier aux désirs des autres ; mais, ma mère c’est différent et, ça l’a toujours étais ; alors, je ne pouvais me permettre de flancher. Ce que la vie m’avais appris s’était qu’il fallait toujours être allié des plus fortunés, cela revient à dire que ce sont d’ailleurs les plus puissant. Autrefois, l’argent ne faisais pas le bonheur et il est certain qu’aujourd’hui le bonheur se trouve encore dans des choses simple bien qu’il soit éphémère à côté du bonheur à duré offert par l’argent, pourtant, en me promenant parmi mes semblables j’avais distingué très clairement que l’argent étais partout, dans chaque mains, chaque poches, chaque sourire longuement dissimulé, chaque regards mal intentionné, à présent même pour garer sa voiture il fallait payer, je me souviens avoir souris à cette pensé, imaginant un monde ou pour emprunté les trottoirs nous devrions prendre un tiquet et payé à un parc mètre a la fin de l’emprunt de ce trottoir, un monde ou seul l’argent serais maitre de tout, un monde dont nous n’étions plus si loin, et l’argent étais même propice à des soirées de ce genre, et moi, bien entendue, je faisais comme si j’approuvais ce genre de soirée, ce genre de pratique qui consiste à payer, toujours encore plus…

J’entrais dans la pièce, submergeaient par l’air chaud de la salle dans laquelle je venais de faire irruptions, le tirage des noms avait déjà commencé et à peine eu-je le temps de prendre place que je pu entendre le couple auquel j’appartenais, Andrew Danny Winters, je n’avais jamais entendue parler, cependant cette soirée serais propice aux rencontres bien que j’aurais largement préférée rester à ma détente parfaite auquel j’avais bruyamment étais arracher. J’entrais dans la salle ou il nous était indiquer de nous rendre pour procéder au déroulement de la soirée, à peine arrivé un jeune homme m’interpella « Enchanter! Andrew Danny Winters… Enfin, tu le sais déjà! » Je souriais, légèrement sans trop cacher mon désintéressement complet de la soirée, d’accord, s’était certain, cette soirée aller aider bien des gens etc., mais la charité ce n’étais pas mon genre d’intérêt, pas que je trouve ça répugnant, mais presque, mon nez odorais à cinq kilomètre l’hypocrisie de toute part et s’étais ce genre de chose que je n’appréciais pas. Des gens aller se retrouvé affecté l’un à l’autre, qu’importe les relations, ici l’hasard étais le seul maitre est sur des visages m’entourant, je discernais l’ennuie déjà quelque peu installer ou bien l’étonnement de se retrouver avec tel ou tel personne, s’était assez amusant. « Lou Orphea Swann. » ce dernier, n’attendis pas très longtemps avant de rompre le silence installé, j’avouais être sociable mais ce genre de soirée, c’étais à l’inverse totale de ce que j’étais, je n’étais pas du genre à être tout sourire, à aimer la foule et la cohue générale, la tranquillité étais de loin mon meilleure abris. « Alors, pas trop nerveuse à l’idée de devoir faire des défis ce soir? » je rigolais à cette remarque, et renchérissais presque immédiatement « j’ai l’air d’être une fille angoisser pour ce genre de soirée, et puis, ce n’est qu’un défis ne me dis pas que tu n’en a jamais fais ? » j’attrapais la cerise du cocktail disposé sous mes yeux, il étais là tel une évidence, j’aller le boire, c’étais certains d’ailleurs, il m’aguichais dignement. Je la mettais en bouche souriant à mon interlocuteur tenant la petite queue toujours à l’extérieure de ma bouche.