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Ven 4 Juil - 10:11



I'M A BITCH, I'M A LOSER BABY MAYBE I SHOULD QUIT.





Déphasés sont la cadence de ses pas, l'outrance le presse dans ses retranchements. Nesham l'enfant de Tel-Aviv à le passé dans les rétines. Il fait son maximum pour ne pas le regarder, mais il définit étrangement qui il est devenu. Les tympans sourds. L'inspiration de sa cigarette. La peur s'est perdu avec lui. Il le sait, c'est un perdant. Il a tout perdu. C'est ça la liberté dans tous les sens du thermes, n'avoir plus rien à perdre. Sa liberté, il en est venu à la détester. Éperdument marié au vide, il continue la marche en cherchant un putain de taxi libre. Les touristes paumées entre deux vols de Los Angeles lui tapent sur le système. Nesham est sur les nerfs à cause de lui-même c'est surement le pire. Irrité. Rien ne le sauvera. Gaïa l'a invité dans son nouveau chez soit. Il a dit oui sans hésitation. Il s'enfonce de plus profondément. Gaïa enfant de l'absolution artistique, ombrageuse, débris, débris, beaucoup de débris, trop de débris. Un lien étrange les connectés, c’était une amitié celée dans l’obscurité. S’il va la voir c'est aussi parce que Nesham à enchainé les mascarades crasseuses, par où commencer? On l'allume, facilement dégouté, il rentre dans le jeu, devient rapidement sale avec son indifférence qu'il déguise dans une attention gratuite pour ensuite se plonger dans les situations chaotiques. La noirceur doit sans doute lui plaire. Nesham se puni, se lapide, se flagelle pour s'engloutir plus profondément dans les abysses. Le moteur chancelant pianissimo dans sont thorax le gène inexorablement, il aimerait plongé les mains à l'intérieur pour l'arracher et le dilapidé. Il fini sa clope et puis monte à l’intérieur. Les lumières injectent leurs puissances à travers ses iris.

Les aplats se confondaient, se superposés à travers son esprit. Il lui avait dit qu’il arriverait sans doute tard. Voir Tim dans cette état l’avait chamboulé car il savait qu’il en était responsable. Il aurait du faire comme a son habitude le concernant, repousser les choses car il était conscient de la fragilité mais il se souvient de sa puissance éphémère. Tout ce qu’il espérait c’était qu’il allait se remettre rapidement. Croire en l’espoir n’était pas dans son habitude mais là il le souhaitait vraiment, ne pas avoir blessé sa meilleure amie également. Il débarque enfin à l’adresse indiqué sonne quelques coups chez Gaïa. L’atonie incrusté dans ses muscles puis la jeune femme vint ouvrir. Il observa l’azure et l’ébène de la jeune femme qu’il surnommé la brindille. Salut Gaïa, désolé d’arriver si tard. paroles à moitié éteintes. La jeune femme l’invite à entrer, il observe les cartons posés un peu partout dans son espace de vie. Comment tu vas ? ça ce passe bien ton emménagement ? Elle venait de débarquer à Los Angeles, elle avait plein de chose à penser, à faire donc une pause était sans doute la bienvenue, ce soir ils allaient honoré la nuit et se vider complètement l’esprit. Il s’est enfoui dans son canapé, enlevant sa veste en cuire et en posant une bouteille de Whisky sur la table. Il commençait à rouler plusieurs joints. Aller, pendaison de crémaillère improvisée pour fêter ton emménagement.

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Anonymous
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Mar 8 Juil - 21:12

Ses pensées se balançaient, s'enlaçaient, s'emmêlaient, et elle était horrifiée. A l'idée de devoir se débrouiller seule désormais. Elle n'osait regarder les minutes défiler, sans pouvoir réellement peindre quelque chose. Il fallait qu'elle se noie dans cette évasion mentale à laquelle elle s'était habituée, qu'elle arrive à y repérer cette lumière, cette étincelle qui lui permettra d'avancer. Elle n'avait pas encore déballé plusieurs de ses cartons, elle ne se souciait que de son nouvel atelier. Elle avait réussi à tout y mettre en ordre, bien avant sa chambre, ou toute autre pièce de la demeure. Beaucoup de têtes lui manquaient déjà, elle avait laissé sa vie à San Francisco, pour venir à Los Angeles, en toute spontanéité. Elle en avait besoin. De cette isolation, d'être complètement livrée à elle-même, de se défier quotidiennement, d'éviter sa génitrice et surtout Svetlana, d'avoir le contrôle, tout simplement. Des émotions furtives, intenses et violentes jaillissaient de toute part, lorsqu'elle pensait à celle qui avait incendié son cœur. Alors elle se recroquevillait sur elle-même, elle s'était même résolue à arrêter de forcer cette inspiration à venir. Elle était comme estropiée, abîmée, et quelque part, elle avait ce désir caché, bien enfoui, de disparaître et d'être en paix. Elle y songeait souvent et elle avait bien hâte que ce moment là arrive. Ce qu'il lui restait à faire? Se laisser aller dans ses envies, dans ses conneries, et la venue de Nesham allait probablement l'y aider.

Salut Gaïa, désolé d’arriver si tard. Elle venait de lui ouvrir la porte, un sourire entre les lèvres, le laissant pénétrer dans l'appartement. Nesham, le meilleur ami de sa muse, mais aussi son complice de désinvolture et de mésaventures, probablement. Elle se sentait vaciller entre deux mondes, deux images, deux Gaïa et un paradoxe impressionnant. Elle ne pouvait se résoudre à choisir, cette passivité inconsciente la convenait. Comment tu vas ? ça ce passe bien ton emménagement ? Elle prit place nonchalamment sur le canapé, attendant qu'il en fasse de même. Elle était déjà presque dans cet autre monde, embrumé, non pas à cause de la drogue, elle n'avait pas encore essayé de trouver un dealer dans cette nouvelle ville, mais à cause du manque de sommeil, et ce train de vie nouvellement entamé qui la racinerait de jour en jour. ça peut aller! je suis en pleine forme comme tu vois. Sinon ouais, je me suis déjà occupée du plus important : mon atelier. Je te ferai visiter. Et toi alors? je suis contente que tu sois venu. Gaia pouvait se permettre d'être totalement elle-même face à Nesham, de ne pas faire d'effort, pour paraître irréprochable, ou pour ne pas inquiéter son entourage. Elle se sentait libre en quelque sorte. Aller, pendaison de crémaillère improvisée pour fêter ton emménagement. Elle le regardait rouler ses joints, partant chercher les bouteilles de Vodka qu'elle avait laissé pour eux. Voilà ! avec ça, on pourra bien tenir. Sinon..j'ai pas encore trouvé de bon dealer dans le coin mais un voisin que j'ai rencontré m'a filé un petit stock de coke et je sais que c'est pas de la synthé Elle partit chercher ce qu'elle avait en réserve pour leur soirée. On le met dans le joint?
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Anonymous
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Jeu 17 Juil - 20:31


 

L’amour est enfant de la consommation, il voudra toujours toujours toujours plus de choix. Voulez voulez-vous des sentiments tombés du camion. L’offre et la demande pour unique et seule loi, prends garde à toi.  

 



La dynastie d’un exile mourrait dans le creux de leurs veines asséchées. A l’intérieur les labyrinthes qui celaient en leurs coeur, des Minotaures. L’endoctrinement basique d’une éducation  sous les disciples, n’était qu’une réverbération amer et stérile dans l’esprit de Nesham. Les stigmates, la saleté de leurs mondes. Il fallait la noyer. Gaïa lui parle de coke, Nesham réfléchit un temps. Pas de séance photo en prévision, c’est bon. Il peut se lâcher. Il peut laisser tomber la pression. Nesham a des principes qu’on pouvaient qualifier d’homme précieux, comme éviter d’être défoncer ou avoir le visage marqué pour travailler. Juste que son corps restait l’élément central de son travail alors il le considérait comme un temple dans lequel il jouait l’équilibriste, vacillant entre les pluies de rédemptions et les summums blasphématoires. C’est partie. Il la remercia d’un regard et il mît la poudre hallucinogène dans le joint en la saupoudrant comme s’il allait produire une nouvelle recette de vie. Ses gestes s’éprirent d’une mélancolie amer. Coller dans le cristallin tamisé par les marques inconscientes, il avait encore débordé dans ses jeux anatomiques. Nesham se laissait aller dans le rôle du pantin car on l’avait fait devenir un automate. hâte de visiter ton atelier. On lui avait forgé le vice dans des perversions impubères qui lui donner à la fois envie de dégueuler mais qui toucher à ce besoin et l’acrimonie se révèle a cette instant. Au côté, imprimer dans le dégout. Dans ses rotules instables.


Nesham regardait Gaïa en essayant de deviner les fêlures accompagnées de celle dont il connaissait déjà. Mes visions s’accéléraient, se freinaient dans les mesures incongrus d’une monotonie qui m’étouffaient. La recherche d’une bohème brisant les réalités passagères. La défonce pourquoi pas, c’est pas plus éphémère que le reste Quelqu’un a remarqué que c’était une fuite ? . Parfois les gens ne voyaient uniquement ce qu’il voulait voir, buvant ce qu’on pouvait leurs dire juste pour se rassurer. Je ne jugeais pas son départ, je ne jugeais pas ses actes juste que je me demandais si c’était vraiment ce qu’elle voulait étant donné qu’elle était un flux d’incertitude, puis tu la cherchais un peu aussi, tu cherchais son répondant dans l’altitude de ce qu’elle avait déjà consommé. Les écorces de l’enfances la fessaient pleurer dans le silence. Bon à nous Nesham prend la bouteille et il avale plusieurs gorgée d’affilé, le breuvage le réveille un peu puis il lui donne la bouteille en allumant un joint en la fixant. c’est quoi ton bordel ? Gaïa elle connait le bordel de Nesham car il lui a déjà tout raconter en étant dans un état second.

 
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Ven 18 Juil - 3:49

Mes retrouvailles avec Nesham me permettaient de me ressourcer, de me purifier en commettant encore plus de péchés, je me réconciliais avec l'ancienne Gaïa. L'alcool, les stupéfiants me rendaient sobre, je me retrouvais. Une antinomie qui me définissait bien, qui reflétait cette incohérence persistante dans mon esprit. Un détachement, une insouciance auxquelles j'arrivais aisément à me complaire. Je jugeais qu'il n'était pas nécessaire que je fasse des efforts, une guillotine nous attendait tous, nous allions tous dépérir un jour ou l'autre, alors qu'est ce que cela pourrait bien changer que j'arrête cette autodestruction? Nous n'étions tous que des bombes à retardement, alors je voulais être libre de mes mouvements, idolâtrer toutes ces formes féminines, les dessiner, les peindre, les manipuler à ma guise. Je n'arrivais à le faire que sous l'effet de la drogue, ma seule panacée dans cet univers qui semblait prendre un malin plaisir à me crucifier. C’est partie. Il s'attelait à sa tâche sans hésitation, et j'en faisais de même de mon côté, un sourire aux lèvres. J'avais l'impression de retrouver une Svet au masculin, et sa présence me rassérénait d'une certaine manière. hâte de visiter ton atelier. Une fois que je terminai de préparer ce mélange cataclysmique, je bu une gorgée de l'une des bouteilles, attendant patiemment qu'il finisse.

Quelqu’un a remarqué que c’était une fuite ? Mes iris bleutés se posèrent sur les siens, je lui adressai un regard inquisiteur, suivi d'un sourire insouciant, continuant de rouler mon joint. Je ne souhaitais pas répondre tout de suite. Bon à nous je me hâtai de l'allumer, pour qu'il s'inhale dans mes poumons, que ses effets pénètrent dans mon cerveau pour paralyser cette cacophonie, la geler, la suspendre, ne serait-ce que pour quelques instants, ou l'accentuer, la quadrupler, l'amplifier au point de ne plus rien ressentir. Je ne demandais qu'à être emportée par ces bornes inexistantes. c’est quoi ton bordel ? J'éclatai de rire, mon bordel. Le terme le plus approprié pour décrire ma situation à ce moment là. Mon bordel? ouais.. Un coup de tête. Mais tout ça, tu vois? Touuuut ça ! Je pointais du doigt tout ce qui nous entourait avec la même bonne humeur, teintée d'une amertume que je me plaisais à inhiber, encore un mauvais réflexe que j'avais développé à SF. C'est mon asile ! Je peux faire mes conneries sans qu'on vienne me faire chier. En plus, les gens semblent aimer ma folie ici, on ne me juge pas. Je m'hydratai ensuite en buvant encore et encore de ma bouteille, la posant assez brutalement sur la table. Je me sentais beaucoup trop opprimée à SF, alors lorsque j'ai eu cette proposition, je l'ai saisi. Tu devrais faire pareil Nesham ! J'ai au moins droit à un nouveau départ. Personne ne me connaît encore, je me sens plus libre. Tu comprends? C'est peut-être une fuite, mais j'en ai vraiment besoin.
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