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 Les plaisirs violents ont des fins violentes.
i'll be fine once i'll get it, i'll be good

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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
i'm a motherfucking admin
AVATAR : Rosie.
✱ ÂGE : 35
✱ QUARTIER : Richmond.
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Dim 12 Jan - 19:55

Heath était rentré. Enfin. Mot inutile qu’elle ne prononcerait jamais à voix haute, bien trop coutumière à jouer l’indifférente. Et puis, nul n’avait besoin de savoir qu’il lui avait manqué…un peu…un tout petit peu. C’était déjà pas mal qu’elle parvienne à le reconnaître. Un grand pas chez la jeune femme mais pour qu’elle le formule à voix haute, il faudra attendre une autre centaine d’années. Certains pourraient donc dire que se présenter chez lui, le jour même de son arrivée témoignait d’un certain manque mais la jeune femme ne le voyait pas ainsi. Du moins, avait-elle prévu le coup puisqu’elle s’y rendait dans l’optique de récupérer quelque chose. Chose que lui avait envoyé Dmitri, un de ses amis que Heathcliff avait rencontré à Paris. Oui, inutile de préciser qu’amis impliquaient qu’ils se soient déjà vus tout nus dans des situations qu’il vaut mieux taire pour le moment. Elle sonna donc chez son…elle ignorait comment le qualifier, car, soyons honnêtes, ils étaient loin d’être des amis et avaient même plus tendance à se faire du mal que du bien. Amants, alors ? Peut-être, ce serait beaucoup plus de la vérité. L’appréhension lui bouffait les entrailles, même si son visage n’en démontrait rien. Cigarette au bec, elle s’était armée de son expression la plus indifférente qu’elle avait en réserve. Puis la porte s’ouvrit sur un Heath torse-nu. Bordel, il était quand même incroyablement sexy. Un con, certes, mais un con sexy. Voilà le principal problème avec les cons, ils avaient le plus souvent tout pour eux. Parvenant à conserver son regard dans le sien, indifférente comme à son habitude –merci le contrôle-, elle recracha sa fumée. « J’suis venue récupérer ce que Dim’ m’a envoyé » lança-t-elle de but en blanc, pas le temps pour les préambules.
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Anonymous
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Dim 12 Jan - 20:22

Il était rentré, il avait finalement réussit à quitter Paris. Lui qui était parti pour le temps d'un week-end s'était vu y rester plus longtemps que prévu. La première cause était son vol, qui avait été annulé et la seconde était bien évidemment le bon temps qu'il prenait dans cette ville, les parisiennes ont le dont d'être assez à son goût. Alors, pourquoi se presser à rentrer, finalement ? Il venait tout juste de finir de ranger sa valise et se préparer à aller rendre visite à Georgia, comme il le lui avait promis hier encore. La sonnerie de l'appartement retentît au sein de celui-ci, ne se préoccupant pas du fait qu'il n'avait pas de t-shirt, il se dirige vers la porte, s'interrogeant sur qui pourrait bien lui rendre visite, puisqu'il n'attendait personne. La porte maintenant ouverte, il se retrouva face à face avec Lera. Qu'est-ce qu'elle foutait là ? Il osa les sourcils, surpris de sa visite. C'était bien la dernière personne qu'il aurait pensé trouver derrière la porte. Non pas qu'il n'était pas content de la voir, loin de là. « Tiens, Lera. », comme à son habitude, la jeune femme se passa des politesses et entra directement dans le vive du sujet. Elle venait chercher le cadeau de Dimitri. Il souri alors, « J'étais presque en train de penser que j'aurais pu te manquer.. Mais non ! ». Il laisse la porte ouverte, faisant demi tour jusqu'à sa chambre où se trouver le paquet que lui avait remit Dimitri juste avant son départ. Il n'avait pas chercher à savoir ce qu'il pouvait bien avoir à l'intérieur, ni pourquoi il lui offrait quelque chose. Il donna le paquet à Lera qui l'avait suivit, « Ce sera tout ? ». Il agissait comme s'il se fichait d'elle, bien que c'était loin d'être le cas. Mais il avait pu remarquer que la jeune femme était proche -trop proche à son goût- d'Aksel, un ami à lui et apparemment à elle aussi. Ce qui l'avait mit sur les nerfs, à de nombreuse reprise ? Si il était jaloux ? Oui. C'est pour cette raison qu'il essayait de ne pas trop s'attarder avec elle. Et puis, elle était venu chercher son paquet, et uniquement ça. Pas vrai ?
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
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i'm a motherfucking admin
AVATAR : Rosie.
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Dim 12 Jan - 21:13

Elle avait simplement sourit à sa remarque. Un sourire ironique alors que son regard le défiait ouvertement. « Heureusement le presque sauve un peu tout ça » dit-elle sur un ton sarcastique étudié. Oh non, elle ne le reconnaitrait jamais…bon, elle avait passée cette étape mais pour le reste, il pouvait toujours courir. Elle était fière Lera, un peu trop pour son propre bien. Cela finirait par à avoir sa peau, et elle en avait tout à fait conscience. Néanmoins, cette fierté que l’on prenait souvent à tort pour de l’arrogance lui avait par plusieurs fois sauver la mise alors elle s’y accrochait désespérément, comme le seul repère qu’elle avait dans ce monde. Vous pouvez lui faire du mal mais son plaisir à elle réside dans le fait qu’elle ne vous le montrera jamais. La douleur n’était rien en comparaison à la honte qu’elle éprouvait à devenir un livre ouvert qu’il suffisait de secouer un petit pour en connaitre le contenu. Heath se dirigea vers sa chambre et bien sûr, elle le suivit, sans attendre d’y être invitée. Quelques secondes plus tard, elle se retrouvait avec le paquet entre les mains. « Merci » elle avait beau avoir un sale caractère, elle connaissait les rudiments de la politesse…cela lui arrivait disons. Cela étant le paquet était bien trop gros et lourd pour ce que son ami était supposé lui avoir envoyé, nul doute qu’il y avait ajouté quelques trucs…le connaissant, elle n’était pas certaine de les apprécier. Il avait un humour douteux, à tous les coups, il y avait foutu des cuisses de grenouille sachant qu’elle détestait ça…ou pire. « C’est que monsieur est pressé de me voir partir » fit-elle avec un demi-sourire, sarcastique comme à son habitude. A vrai dire, elle ne voulait pas partir. Certes était-elle venue récupérer son présent mais cela n’empêche qu’elle ne trouvait pas l’idée de le voir, lui, repoussante. « D’abord, un cendrier ! » s’exclama-t-elle soudainement avec plus d’entrain avant de se lancer à la recherche du dit cendrier, connaissant assez bien l’appartement pour le trouver par elle-même. « Alors Paris ? T’as l’air d’avoir pris ton pied ! » Elle lui servit un sourire amusé. Jalouse ? Jamais. Ce n’était pas son genre. Ok, peut-être un peu…
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Anonymous
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Dim 12 Jan - 22:42

Elle n'avait pas l'air de vouloir partir, finalement, il n'était pas contre. C'était Lera après tout, il ne serait jamais contre sa compagnie. C'est pourquoi il ne préféra pas répondre à sa remarque, la regardant alors partir à la recherche d'un cendrier au sein de l'appartement. Il la suit sans rien dire, sortant de sa chambre pour alors rejoindre la pièce à vivre. Et puis, elle aborde le sujet de Paris. Il sourit en coin, "Ouais, vachement. C'est un truc à refaire.". Il l'a provoque, il savait très bien qu'elle cherchait la mouche, qu'elle voulait lui reprocher des choses, alors qu'elle n'était pas en position de dire quoi que ce soit à ce sujet là. "Et toi alors, j'ai vue que tu prenais ton pied avec Aksel ?", sa voix était séche. La colère monté en lui rien qu'en évoquant le sujet. ça l'énervé, ça le dépassé de savoir qu'elle se comportait de cette façon. Pourtant, il était conscient qu'il n'était pas la personne la mieux placé. Mais savoir que Lera, sa Lera couchait avec d'autre gars, ça le rendait toujours furieux. Mais il savait se contrôler en temps normal, mais pas cette fois-ci. C'était pas n'importe qui, c'était son pote. Il serait les dents tout en la regardant, le regard noir. Il continue de la regarder puis, tombant -malheureusement ?- sur le cendrier avant elle, il se tourne à nouveau face à elle, l'objet en main, "C'est ça que tu cherches ?". Et puis, sans crier garde, il fait exploser le cendrier au sol. Les poings serrés, il préfère plutôt explosé un foutu cendrier plutôt que de lever la main sur elle. Il en avait pas envie, pas maintenant. Sa réaction pouvait parraître abusive par rapport au fait qu'il lui repprochait, et elle l'était. Il a toujours eu le don de s'énerver facilement, et Lera surtout, a toujours eu le don de le provoquer sans même s'en rendre compte.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
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Lun 13 Jan - 0:00

Un truc à refaire. Elle pouvait sentir dans sa voix la provocation, ciment de leur relation. Ils semblaient donner l’impression de sans cesse chercher à pousser l’autre dans ses retranchements. Peut-être était-ce le cas. Du moins pour la blonde qui s’y connaissait dans la matière. A tel point que l’on pouvait aisément dire qu’il s’agissait là de son talent caché, nous en avions tous…non ? Elle avait cependant décidé de ne pas prendre la perche que lui tendait le jeune homme, bien qu’elle fût hautement agacée. Non, elle ne s’énerverait pas. Non, elle ne lui ferait pas le plaisir de faire une crise de jalousie. Non elle ne perdrait pas le contrôle. Alors, elle fit la sourde oreille, continuant de chercher l’objet convoité, s’occuper les mains valait mieux que les foutre sur le visage de Heathcliff. « Plutôt ouais » c’était à son tour de fanfaronner, son sourire en coin faisant écho à celui qu’avait arboré le tatoué quelques secondes plus tôt. « Pourquoi ça te pose un problème ? » Elle savait qu’il n’y avait nul besoin de poser cette question, son ton parlait pour lui et inutile de préciser également à quel point elle exultait. Plaisir qui fut abruptement écourté par un vacarme assourdissant, qui la fit d’ailleurs sursauter de surprise. Curieuse, elle leva les yeux vers lui. Elle connaissait ce regard. Elle le connaissait un peu trop bien au goût de son corps. « T’as fini ta crise, c’est bon ? » Elle aurait dû se taire, ramasser son paquet et se tirer. La fermer au mieux. Non, sa putain de fierté l’aurait encore une fois. « Non mais c’est quoi ton problème au juste là ?! Tu casses un cendrier, bravo, t’es un surhomme ! » Oh la ferme Lera. Ferme ta grande gueule. Ta putain de grande gueule.
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Anonymous
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Lun 13 Jan - 0:28

Il ne dit plus rien, il passe sa main sur son visage tout en tournant en rond dans le salon. Il essaye de se calmer, il venait de foutre en milles morceaux un cendrier, c'était suffisant. Pas besoin d'en faire plus. Puis le son de la voix de Lera arriva à ses oreilles, il l'entendait râler, se moquer de son acte qu'elle avait provoquer toute seule. Alors qu'il s'était arrêté, le regard posé sur elle, il alla lentement lui faire face avant de lui foutre une gifle. Il n'avait jamais été le genre de gars à être violent avec les femmes, avant Lera, il n'aurait jamais été capable de le faire, par respect. Mais leur relation à eux.. elle a toujours eu le don de le provoquer, de le mettre à bout. On viendrait même à penser qu'elle le faisait exprès, qu'elle cherchait tout les moyens possibles de lui faire péter un cable. Elle pouvait être fière d'elle, encore une fois, ça avait fonctionné.  "La ferme Lera, tu comprends ça ?", le bras de Lera en main, il la serrait -sans même sans rendre compte- de toutes ses forces, il n'était même plus capable de contrôler ce qu'il se passait. Son crops prenait le contrôle, il était spéctateur lui même de ce qu'il lui faisait dans ces moments là. Et puis, il connaissait Lera, elle n'était pas du genre à se laisser faire. Il savait qu'elle allait en rajouter une couche, qu'elle allait se défendre et que la situation deviendra vite incontrôlable.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
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Lun 13 Jan - 0:59

La gifle avait sifflé. Brulante. Violente. Sous le coup de la surprise, elle avait bloqué sa respiration. Ce n’était pas une si grande surprise, au fond. Elle l’avait sentie venir. Elle l’avait provoqué, pouvait-on dire. Mais elle n’était néanmoins pas prête à la fermer. Encore moins depuis qu’il l’y ordonnait. Personne, ô grand personne ne lui donnait des ordres. C’est bon, elle avait raccroché le boulot de pute. Insoumise, elle ne se plierait devant personne. Elle avait mal, c’était une évidence. Encore plus depuis qu’il l’agrippait, peu décider à la lâcher. Oh non, elle était loin d’avoir dit son dernier mot. Elle se dégagea violemment de son emprise, se faisant plus encore mal au passage pour lui écraser son poing sur le nez en se souvenant des cours de défense qu’elle avait pris il y avait quelques années. « Frapper une femme, j’suis sûre que tu te sens super puissant, c’est bon, tu te sens enfin homme, t’as des couilles qui te sont poussées, ça y est ? » siffla-t-elle en massant son poing de son autre main, son regard ne quittant toujours pas le jeune homme. Elle n’en avait pas terminé. « Débouche bien tes oreilles car j’vais pas le répéter, j’me fais sauter par qui j’veux aux dernières nouvelles oh et puis qu’est-ce que t’es minable, sérieusement, fais quelque chose pour tes problèmes d’image » Et elle savait que lui non plus. Imperceptiblement, elle fit deux pas anrrière.
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Anonymous
Invité
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Lun 13 Jan - 1:36

Alors qu'elle s'était dégagé de son emprise, Lera écrasa son poing sur son nez. Il posa sa main sur son nez, un sourire en coin, quelque peu étonné par la force de la jeune femme. Mais il n'avait pas vraiment mal, il cnnaissait la douleur d'un vrai coup, et ce n'était pas ça. Mais son sourire ne tarda pas à disparaitre de son visage, il ne releva pas la première remarque de Lera. Il était peu content de ce qu'il venait de faire, mais il ne l'avouerait pas. Et puis, encore une fois, il se dit -pour sa défense- qu'elle avait eu ce qu'elle avait semé. "C'est sûr, écarte tes jambes à qui tu veux. Pute un jour, pute toujours, non ? Tu penses quand même pas que je te fais une crise de jalousie ? Lera, regarde toi. Tu l'as mériterais même pas, ma putain de crise.", à peine avait-il finit de parler qu'il sentait déjà les remords apparaître. Mais il n'en fit pas plus attention, reprenant tout en étant conscient que les mots pourrait la blesser plus que des actes. Il s'approche d'elle, le regard noir de colère, "Dis moi, entre nous deux, la personne la plus minable c'est bel et bien toi, je donne pas mon cul à n'importe qui pour avoir un peu d'intérêt.". Il plonge son regard dans le siens,les sourcils froncés.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
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Lun 13 Jan - 2:15

Elle accusa le coup, se forçant à garder son regard dans le sien. Heureusement elle avait encore sa fierté. Heureusement. Car à cet instant précis, des larmes seraient apparues au coin de ses yeux et elle aurait baissé la tête en signe de honte. Oh non, elle n’allait pas lui faire ce plaisir. Elle s’était promis de ne laisser personne la traiter de la sorte, plus jamais. Même si cela lui était douloureux, oh oui, elle avait mal. Chaque mot qui sortait de la bouche de Heathcliff était comme des poignards qui s’enfonçaient un peu plus en elle. Son sourire dans le sien, elle se permit même un sourire narquois et sarcastique. Non, elle ne lui ferait pas le plaisir de le frapper, même si l’envie était puissante. Non, non, elle ne le frapperait pas, ce serait reconnaître que ses mots l’ont touchés. Certes était-ce le cas, mais il n’avait pas besoin de le savoir n’est-ce pas ? « Oh je te confirme que t’es bel et bien le plus minable, frapper une femme pour se sentir homme, je crois qu’on peut pas faire mieux » Elle éclata d’un rire bref et ô combien provocateur. Lorsqu’elle se retrouvait dans la panade et blessée, elle se rétractait derrière son air de défi. « T’arrives à pire faire qu’une…t’as dit quoi déjà ? » Elle fit mine de réfléchir, son sourire s’agrandissant à vu d’œil « Ah oui, que quelqu’un qui recherche l’attention en offrant son cul, d’ailleurs sur ce point, je te rassure, c’est pas l’attention que j’veux, enfin sûrement pas la tienne, t’sais même les putes ont leur limite » Elle dit le mot ‘pute’ avec une fierté étudiée. Cela faisait un moment qu’on ne lui avait remis la gueule dans le passé, encore une preuve que non, elle n’y couperait. « J’aime juste ça, m’faire culbuter, j’vois pas ce qu’il y a de mal et sois pas aussi imbu de ta personne, t'es pas le meilleur coup que j'aie pu avoir, Aksel s'en sort mieux » Vaine tentative d'éveiller ce truc que l'on appelait jalousie, m'enfin, tant qu'elle pouvait le piquer à vif dans sa fierté de mâle, cela lui convenait. Elle récupéra ce qu’elle était venue chercher, à savoir le cadeau et non la preuve d’un certain attachement de la part de son homologue photographe. « Bon la pute a encore d’autres visites à aller faire » Elle souriait, pour de vrai cette fois, riant presque gaiement, comme s’il s’agissait de l’activité la plus géniale qui soit, se trouvant conne. Démésurément conne d’avoir cru que…après tout, quelle importance.
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Anonymous
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Lun 13 Jan - 8:15

Il baisse la tête en arrière, posant ses mains sur ses yeux. Il respire calmement, c'est la première fois qu'il paraît aussi calme depuis son arrivé. Il se demandait comment ils avaient pu en arriver là, c'était tout bête, pourtant. Il regrettait déjà d'avoir agit comme un con, alors qu'elle avait l'air d'être venu en paix, alors que c'était la première personne qu'il voyait depuis qu'il avait reposé ses pieds sur le sol californien, qu'elle était certainement la seule personne qu'il aurait vraiment voulu voir. Il dit rien, il a plus rien à dire. Elle l'a piqué à vif, elle en est consciente vue son sourire, ses rires, il le sait et il pourrait presque s'énerver à nouveau. Mais il reste calme, il respire, le regard scotché sur elle. Elle lui a cloué le bec en l'espace de quelques mots. Elle avait réussit à lui remettre les pieds sur terre. Ouais, il avait été minable de la frapper, il le savait. Mais il avait pas su contrôler ses nerfs, c'était peut-être un défaut chez lui. Un truc l'énerver chez elle et il tapait, il pourrait tout casser, il en avait rien à foutre que ce soit une femme, dans ces moments là. Il détestait la putain d'expression qu'elle abordait à chaque fois qu'elle était avec lui, celle qui le laisse penser qu'elle se fiche de lui. Il aime pas non plus savoir que quelqu'un d'autre que lui à posé sa main sur son corps, qu'un autre gars à pu goûter à ses lèvres. C'était des petits détails qui le foutait en rogne, alors qu'il ne devrait même pas être toucher, rien qu'un petit peu. Lui qui prétendait se foutre complètement d'elle. Ça prouve encore une fois que c'était pas vrai, qu'il était pas si indifférent à ce qu'elle pouvait faire. Et puis, Aksel, encore Aksel. Il la regarde en souriant, faussement. Elle s'attaquait maintenant à ce qu'il avait de plus précieux, sa fierté de mec. « C'est bien. Je suis content pour toi. Sincèrement. T'es une pute qui s'assume, c'est le minimum quand même. », puis elle récupère ses affaires, il la suit du regard, sans rien dire. Il savait qu'elle s'apprêtait à partir. Il en avait pas envie, il savait qu'il devait s'excuser, lui dire qu'il ne pensait aucun des mots qu'il lui avait dit. Mais sa fierté le lui empêcha, la boule à la gorge. « Ah, tu fais le tour de la ville ? C'est open bar ce soir ? Tu me diras, comme toujours. », mentalement, il se traitait de tout les noms, il devait fermer sa gueule, il le savait. Mais les mots qui blessent sorte tout seul alors qu'il n'arrive même pas à trouver les mots juste, rien que mentalement, les mots qu'il serait censé dire. Le sourire de Lera fit remonter ses nerfs d'un seul coup, sa main se posa sur un verra non loin de lui, qu'il fit assez rapidement explosé contre le mur, près de la jeune femme. Et merde.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
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i'm a motherfucking admin
AVATAR : Rosie.
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✱ QUARTIER : Richmond.
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Mer 15 Jan - 11:17

Comment avaient-ils pu en arriver là ? Elle était venue avec les plus nobles intentions pourtant…bon certes, pas exactement. Elle était venue récupérer son cadeau, s’attarder un peu sur le visage de Heathcliff, humer accidentellement sa fragrance, s’en enivrant et non se foutre sur la gueule. Remarque, cela ne devait plus la surprise, cela se passait toujours comme ça. Il n’y avait pas de temps pour la tendresse…toujours à se prendre la tête, à se provoquer, à se consumer tant ils étaient accro l’un à l’autre. Et bien sûr, ne le reconnaitraient pas. Leur putain de fierté encore une fois. « Merci beaucoup Heath, ça me touche profondément ce que tu dis là » elle était encore et toujours sarcastique, tout sourire, effrontée. Atrocement insolente. Elle prit ses affaires, ne tenant plus à s’attarder ainsi, le cœur à vif. Elle avait mal, bordel et non pas à cause de sa joue ou bien encore de sa main. Ses mots avaient pénétré au plus profond d’elle-même…malgré elle. Elle le détestait d’avoir autant d’influence sur elle. Pourquoi fallait-il que ses mots parviennent à la toucher autant ? Connard. « Ca m’a réussi jusqu’ici, je ne vois pas pourquoi j’arrêterai » Bien sûr, il fallait toujours qu’elle ait le dernier mot. Il faudrait qu’elle songe à la fermer un jour. Ouais…elle y songera. Et alors qu’elle s’apprêtait à poursuivre son chemin, un verre vint s’écraser à une vitesse fulgurante contre le mur, ce qui suffit à l’immobiliser. Son regard fit la navette entre les éclats de verres dont quelques unes éraflèrent son visage et Heathcliff. « Bordel de merde, c’est quoi ton problème ?! » explosa-t-elle, énervée désormais. La colère l’aidait à rester debout, pour le moment, fichue grippe de merde. « Non mais franchement, va te faire soigner Strauss, il est temps de consulter ! » elle criait toujours, comme si cela aiderait à tenir éloignée la température grimpante. « T’as vrai aucune couille, après avoir frappée une femme, ca y est, tu t’attaques à la vaisselle, je te félicite, t’es pas un mec, t'es qu'une merde Heath, une merde »
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 11:44

Elle le provoque, encore, toujours un peu plus. Elle trouve les mots juste, les mots qui l'énerve. Il est hors de lui, il ne sait plus quoi dire, ne sait plus quoi faire. Il essaye de se contrôler, mais il y arrive pas. Putain, elle avait le don de le foutre dans des états pas possible. Il arrivait jamais à trouver le juste milieu avec Lera, toujours trop. Trop bien ou trop mal. Jamais de bien, jamais de moment au calme. Ça finissait toujours comme ça. Toujours un trop plein. Il sait que ce qu'il fait, c'est mal. Il peut pas aller contre ça. Il aimerait la prendre dans ses bras, s'excuser, se faire pardonne. Mais il n'était même plus maître de ses réactions, c'était comme si il assistait lui même à ce qui se dérouler dans cette pièce. Elle explose, telle une bombe à retardement. Elle l'insulte, elle hurle dans l'appartement. Il lui dit de la fermer, une fois, deux fois. Elle en a rien à foutre, elle continue. Ses poings se serrent et il essaye du plus profond de lui de pas craquer. Il a se regard noir qui ne lui appartient pas en temps normale. T'es une merde Heath, une merde. Les mots résonnent dans sa tête. Une merde, c'était comme ça qu'elle le voyait. Il était rien d'autre qu'une merde pour elle. Sans même se rendre compte lui même ce qu'il faisait, son poing se cogna contre la joue de Lera. Non, non, non. Il devait pas taper là, il devait pas la taper elle. Il visait le mur, pas elle. Il laisse tomber son bras le long du corps, il la regarde, choqué par son propre comportement. Putain, il venait de lui foutre un coup de poing. « Je suis désolé. », et c'est sorti tout seul, rapidement. Même s'il était conscient qu'un simple désolé ne lui fera pas rattraper la faute qu'il venait de faire.
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Lera-Ann Litwinski-Vilte
Lera-Ann Litwinski-Vilte
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Mer 15 Jan - 11:58

Elle hurlait. Il l’intimait de la fermer. Puis un coup. Et le silence. La douleur. Oh putain, qu’est-ce qu’elle avait mal. Si mal qu’elle ne parvenait même plus à respirer, hoquetant comme un petit chiot à l’agonie. Elle était à l’agonie. Elle avait la tête qui tournait. Il devait vraiment la détester pour y avoir mis toute sa force. On n’aimait pas une pute, elle devait le savoir. Ses oreilles sifflaient. Elle saignait. Peut-être avait-elle-même quelque chose de cassé. Sa température grimpa d’un coup et les larmes au bord des yeux, elle se permit enfin de prendre une inspiration. Une toute petite, histoire d’éviter de libérer ce cri de désespoir qui menaçait de s’échapper. Non, non, pas devant lui. Jamais. Sa fierté. Elle aurait voulu lui sortir une phrase acerbe comme elle en avait l’habitude mais s’en sentait tout bonnement incapable. Putain, elle avait mal. Putain, elle avait marre de ces conneries. Putain, pourquoi ça se passait jamais bien pour elle ? Les putes ne sont pas faites pour être bien traitées. Elle s’en rendait de plus en plus compte. Et les médocs qui faisaient de moins en moins effet. S’appuyer sur le mur. Avancer. Jusqu’à la porte. Sortir. C’était la mission. Pas si compliqué que ça. Sa main droite rejoignit le mur et à peine un pas de fait que le présent tomba mollement au sol. Elle était pathétique, bordel. Elle se pencha pour le récupérer et son corps ne tarda pas à le rejoindre, le souffle court. Elle aurait dû écouter Elektra et rester au lit pour la journée. Se reposer. Reprendre des forces. Si seulement elle n’avait pas souhaité le voir…si seulement il ne lui avait pas manqué…Si seulement…tiens, il faisait sombre désormais…ce n’était pas normal…ses pensées se perdaient…s’entremêlaient…s’enlaçaient…se disputaient…pour finalement se perdre. Comme elle. Bienvenue dans l’inconscience.
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 12:20

Elle saigne. Putain, il l'a fait saigner. Il fait un pas en arrière, il ose même plus la regarder, même plus la toucher. Il a bien trop peur de lui faire mal, encore une fois. Elle avait l'air sonné, ça c'était parce qu'il avait mis – sans même l'avoir voulu – toute sa force dans son coup. Elle dit rien, pourtant, il s'attendait à des insultes de sa part, encore une fois. Des mots qui allaient le blesser. Rien. Il la regarde se diriger vers la sortie et puis.. elle tombe.  Merde, qu'est-ce qu'elle fait ? Il s'empresse de partir à ses côtés, il la secoue, il ne cesse de répéter son prénom. Mais rien, elle ne dit rien. Il la bouge dans tout les sens, rien n'y fait, elle est dans le coma. Il l'a mit dans le coma. En moins de temps qu'il ne le fallut, son téléphone se retrouva dans sa main et il appela Elektra qui ne tarda pas à lui répondre. « Viens chez moi, tout de suite, grouille toi et discute pas. Lera est dans le coma, je crois, assurément. », il prend pas le temps de lui en dire plus, il raccroche. Il savait que c'était peut-être pas la bonne personne à appeler, sa cousine. Mais il avait pensé qu'à elle. Il regarde Lera, il espère qu'elle déconne, qu'elle fait semblant. Mais c'est pas son style, c'est pas Lera, elle ferait pas ça. Il la prend dans ses bras et il va la déposer sur le canapé. Il fait les cents pas dans le salon, il tourne en rond, encore et encore en attendant le cousine de la blonde. Il se maudit, il aurait pas du faire ça, il aurait du se comporter en adulte, lui parler, lui faire une crise peut-être quand il aurait du la faire. Au lieu de ça, il a prit sur lui et il craqué. Il espérait qu'il ne lui soit arrivé rien de grave.  
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 13:06

Grosse soirée. Réveil assez simple, vu que je suis habituée. Le temps de décuver et hop, j’étais déjà debout. En forme, c’était autre chose. Lera voulait que je retourne à l’appart et j’y avais été. Quelle chieuse celle là des fois. Bon au moins, ça m’avait permis de rater quelques cours toute cette histoire. Une mauvaise grippe c’était ce qu’elle avait. Bon j’étais pas médecin, mais je lui avais dit de bien rester couchée, de ne pas sortir, et de se reposer. Et surtout de ne pas s’approcher de moi ! Je savais pas si c’était contagieux mais je voulais pas attraper la crève merci. Mais c’te débile avait décidé de sortir, je sais pas où d’ailleurs, elle me l’avait pas dit. Je l’avais averti au moins, j’avais la conscience tranquille. Alors moi j’étais restée dans mon lit, facebook ouvert, je regardais un peu les news, je faisais passer le temps quoi… Jusqu’à que mon smartphone vibre à côté de moi. Tiens, l’homme nu. « Ouais ? », « Viens chez moi, tout de suite, grouille toi et discute pas. Lera est dans le coma, je crois, assurément. », « Quoi ?!! » Même pas le temps qu'il me réponde, que j'entends le bip qui signifie qu'il raccroche, je saute de mon lit, attrape les clés de la bagnole et fonce chez le nudiste de Facebook. Après avoir grimpé quatre à quatre les escaliers de l'immeuble, je ne prends pas la peine de toquer gentiment à la porte et je rentre à la volée. « LERA ? » Lâchant mon sac au sol dans le hall, je continue ma lancée jusqu'au salon, où je découvre ma cousine, allongée et inconsciente sur le canapé, des traces de sang sur son visage... Mon estomac se noue rien qu'à la voir, alors que je sens une bouffée d'inquiétude et d'énervement m'envahir lorsque je fonce vers elle, n'octroyant aucun regard à Heathcliff, que je pousse pour qu'il me laisse la voie libre. « Bordel bordel, putain, Lera ! » dis-je en lui prenant le visage, histoire de voir si elle réagit à mes appels. Un peu haletante, je finis par avoir un réflexe et d'attraper son poignet. Ok, le pouls est là, et elle respire. C'est bon signe. Agenouillée au début, je termine par me retourner en me levant, lançant un regard noir à l'autre : « Qu'est-ce que tu lui as fait putain ?! » beuglai-je presque, m'avançant vers lui. « Qu'est-ce qui s'est passé ?! »
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 13:33

Elektra est arrivé dans un boucan pas possible, mais il continuait à penser que ça pouvait pas être pire que ce qu'il avait pu faire ici, y a quelques minutes encore, avec Lera. Elle se rue directement sur Lera, elle a l'air inquiète, y a de quoi. Il se recule pour lui laisser la place près de Lera, il les regarde sans rien dire. Il a pas décroché un mot depuis au moins dix minutes, peut-être des insultes à lui même, mais c'est tout. Il a pas essayé de parler avec Lera, ce serait comme parler à un mort, de toute façon. Cette pensée lui arracha un raclement de la gorge. Et alors qu'Elktra finit par lui faire face, elle le questionne. Qu'est-ce qu'il lui a fait ? Bonne question. Sa mémoire est comme troublé, il ne se rappel même plus de ce qu'il s'est passé, de la force de ses mots, des insultes qu'il lui avait lancé. Il se rappel juste du coup fatale, celui qui l'a fait tomber. « Pas le temps de parler Litwinski, je t’expliquerais plus tard, prend ses affaires, on va à l'hôpital. », c'est ce qu'il était censé faire non ? Prendre Lera à l'hôpital ? Puis sans plus attendre, il lui montre du doigt le sac de Lera ainsi que le paquet qu'elle était venue chercher, encore dans l'entrée prés des bouts de verres éclatés au sol. Lui prend ses clefs de voiture qu'il lance à Elektra avant de prendre à nouveau Lera dans ses bras, il sort de l'appartement et dévale rapidement les escaliers de l'immeuble avant de rejoindre la rue, où se trouver sa voiture. « Ouvre les portes. », une fois que c'était fait, il rentre avec Lera à l'arrière.
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 13:41

C'est quoi ce délire. Bordel, c'est quoi ce délire ?! « Pas le temps de parler Litwinski, je t’expliquerais plus tard, prend ses affaires, on va à l'hôpital. », « T'as intérêt. » pestai-je avant de suivre du regard le doigt de Cliff qui désignait les affaires de Lera. Je me hâtais de les prendre, remarquant au passage plein de bouts de verres par terre... Un verre cassé ? Il lui aurait balancé un verre sur la tête ?! Putain s'il avait fait ça, il était mort. Mais définitivement. S'il avait osé faire du mal à ma cousine. Putain bah quoi d'autre autrement ? Lera ne se serait pas donné un coup toute seule ?! Impossible. J'attrapai les clés de sa voiture au vol, alors que je prenais également mon sac, dévalant les escaliers de l'immeuble, suivie de près par le nudiste portant ma cousine dans ses bras. La voiture fut vite trouvée. « Ouvre les portes. » J'ouvre les portes sans broncher, refermant derrière eux, prenant la place du côté conducteur et démarrant le moteur direction l'hôpital. « C'était quoi ces bouts de verre par terre ? » demandai-je froidement, le scrutant de tant à autre dans le rétroviseur intérieur. « Je te jure que si t'as osé. Je te tue. »
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Mer 15 Jan - 14:00

Il la voit l'observer dans le rétroviseur à de nombreuse reprise, il sent les questions arriver, il avait pas envie d'en parler. Il avait pas envie de rendre des comptes à qui que ce soit, pas maintenant. Il pose son regard sur Lera, on pourrait croire qu'elle dormait. Mais lui savait que c'était pas le cas, parce qu'elle répondait pas, parce qu'elle dormait pas souvent et surtout, elle dormirait pas sur lui, dans ses bras. C'est pas eux. Si ils feraient parti de ses gens là, ils ne seraient pas en route vers l'hôpital, elle, dans le coma dans ses bras. « J'ai fait tomber un verre, ça t'es jamais arrivé ? », il était froid, voir glacial. C'était pas son genre d'agresser les gens en parlant, mais il était sur les nerfs. Sur les nerfs contre lui-même, ça arrive pas souvent. « Je lui ai rien fait, calme toi. Elle s'est cogné. », mensonge. Mais il se voyait mal dire la vérité à Elektra. Il comptait pas se retrouver lui aussi dans le coma, dans les secondes à venir. Et il savait qu'en disant la vérité, il aurait eu de grande chance pour que ce soit le cas, et encore, si ça s'arrêter là. « Bon, on y est dans combien de temps ? »
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Anonymous
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Mer 15 Jan - 14:13

« J'ai fait tomber un verre, ça t'es jamais arrivé ? » Genre. Il me croyait vraiment naïve ? Il me connaissait pas. Les excuses à deux balles, je savais comment les identifier. Mais je préférai me taire pour une fois, je préférai être concentrée sur la route. Je roulais vite, un peu trop vite. Mais je m'en foutais, c'était pour ma cousine. Au pire si un radar flashait, c'était la caisse du nudiste, pas la mienne, donc rien à foutre. « Je lui ai rien fait, calme toi. Elle s'est cogné. » Genre. Deuxième fois. Comme si c'était le genre de Lera de se cogner autant, de tomber dans les pommes et de saigner comme pas possible. Surtout à cet endroit là. Bon, elle était blonde mais quand même, y'avait des limites. Je disais rien, toujours pas. Je me retenais, serrant les dents. J'amenai Lera à l'hôpital puis je m'occuperai de lui. Chaque chose en son temps. « Bon, on y est dans combien de temps ? ». J'avais pas envie d'être gentille. Déjà que je l'étais pas souvent, là encore moins. Le stress me gagnait, je ne voulais pas qu'il lui arrive quelque chose. Elle était mon seul repère ici dans ce foutu pays. « Ferme la. » maugréai-je alors que je tournai dans une rue, donnant sur la voie principale pour l'hôpital. Encore quelques secondes et on y était. Puis voilà, j'étais garée, près de l'entrée des urgences, sur un stationnement interdit, rien à foutre. Ouvrant les portes pour laisser sortir le nudiste et ma cousine dans ses bras, je fonçais à l'intérieur du bâtiment, demandant rapidement de l'aide à une infirmière qui amena un brancard pour poser Lera à l'intérieur, et l'emmener dans un box, alors qu'un médecin arrivait. Je devais rester au dehors pour l'instant, Cliff à mes côtés. Je commençai par tourner en rond, comme un chien enfermé, avant de me diriger de nouveau à lui. « C'est fini les mensonges maintenant. Tu vas me dire ce qui est arrivé... » Je n'eus pas le temps d'ajouter quelque chose que le médecin sortit la tête du box rapidement : « Votre cousine va s'en sortir. Mais, s'est-elle battue pour avoir cette contusion à la tête ? Selon les marques ça serait dû à de la violence, dans le type coup... Je reviens. » dit-il en s'engouffrant à nouveau à l'intérieur, alors que je tournai ma tête vers Cliff, la bouche entrouverte... « Espèce de salop !! » m'écriai-je en le poussant violemment, continuant de m'avancer pour aller lui mettre un coup.
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Anonymous
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Jeu 16 Jan - 9:57

Rapidement, ils étaient arrivé à l'hôpital. Elektra appel une infirmière qui amène un brancard. Il pose Lera dessus alors qu'elle est emmené dans un box. Le dos appuyé à un mur, il reste là, à attendre pendant un instant, qui lui paraissait  long. Il était là, à attendre. Il voulait savoir si elle n'avait rien de grave, si elle allait s'en sortir. Histoire de conscience tranquille ? Peut-être un peu ouais, mais ça s'arrêter pas là. C'était pas n'importe qui, c'était Lera, et même si leurs retrouvailles avaient... un peu dégénéré. Il se soucierait toujours d'elle. Il regarde l'heure sur son portable, n'oubliant pas qu'il avait déjà prévu des plans et qu'il pourra pas annuler, ça lui permettra de se changer les idées, de mettre entre parenthèse son retour désastreux de Paris. Lorsqu'il leva la tête, il fit face à Elektra, sur les nerfs, encore. Elle voulait la vérité et il savait qu'elle le laisserait pas tranquille. Même pas le temps de finir de parler, qu'un médecin débarque. Il se pousse de la cousine de Lera pour maintenant faire face au médecin. Il fait son diagnostic. Et là, il sait qu'il est dans la merde. Plus vite qu'il n'y aurait cru, la cousine débarque sur lui, elle le pousse. Elle l'insulte. Mais il reste de marbre face à elle, il a pas de compte à rendre à qui que ce soit, seulement à Lera. Bien qu'il se doutait qu'ils n'allaient pas se voir pendant un moment. Parce qu'elle le voudrait tout simplement pas, et lui non plus. Il a plus envie de faire face à ce trop plein de sentiment qu'il garde en lui pendant un moment. Il baisse le regard sur la petite, les mains dans les poches. « Tu sais pas ce qui c'est passé, donc arrête de faire tes conclusions seule. », voyant les questions bientôt revenir à l'attaque. Il renchérit, « Ta cousine t'expliquera seule. Elle le fera mieux que personne. ». Il dit plus rien, il s'attend à un coup supplémentaire. Il le sent arriver et il cherche même pas à argumenter sa cause. En même temps, qu'est-ce qu'il allait bien pouvoir lui dire ? "J'ai tapé ta cousine parce qu'elle me pousse à bout, tout le temps, sans arrêt. Qu'elle se fou ouvertement de ma gueule face à moi ? Et surtout, j'ai tapé ta cousine parce que ça me fait chier de savoir que des autres la touche ? Et puis, c'était pas voulu, c'était un accident, vraiment.", non c'était pas son truc, il allait pas se rabaisser à dire des trucs qui n'allaient même pas plaider sa cause. « Bon, passe moi mes clefs, j'ai des trucs à faire. »
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Les plaisirs violents ont des fins violentes.

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